Coronavirus, Covid-19, SRAS, les huiles essentielles médicinales sont-elles la clé ?

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Interview exclusive de Pierre Franchomme

Première pandémie du monde moderne depuis la grippe espagnole qui, rappelons-le, a provoqué 50 à 100 millions de morts (1) entre 1918 et 1919, le coronavirus ou Covid-19 est-il une grippe mutante équivalente au H1N1 ?

Est-il cousin du SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) au même titre que la grippe espagnole était due à une souche H1N1 (2) ?

Et surtout, étant donné qu’aucun protocole officiel n’est proposé, existe-t-il des solutions naturelles susceptibles de prévenir et traiter l’apparition du virus ?

Afin de répondre à ces questions, tout en faisant l’état des lieux le plus avancé possible concernant la nature du coronavirus, les enseignements du passé, ainsi que les protocoles des meilleurs naturothérapeutes en la matière, je vous propose de commencer par l’interview de Pierre Franchomme, qui sera rapidement suivie par celle du Dr Jean-Pierre Willem, naturo-épidémiologiste de renom ayant combattu Ebola à Kikwit.

Pierre Franchomme, un des pionniers des Huiles Essentielles médicinales, ayant suivi les travaux du Dr Jean Valnet (3) en apportant la notion fondamentale de Chemotype (4), identifiant plus précisément les principes actifs des H.E., s’exprime ouvertement et sans tabou sur l’étendue de ses recherches depuis l’apparition du SRAS jusqu’à ce nouveau coronavirus, faisant tant parler de lui.


Jean-Baptiste Loin
Pierre Franchomme, Bonjour,

Pierre Franchomme
Bonjour,

J.B.L.
Vous avez largement étudié le sujet du SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) il y a plusieurs années, selon vous quelles similitudes existent entre le SRAS et le Covid-19 ou coronavirus ?

P.F.
C’est le même type de virus qui a subi quelques modifications.

Il appartient à la même famille, voire à la même espèce, avec une sorte de sérotype (5) différent.

Pour faire simple, on pourrait dire que le Covid-19 est le cousin germain des précédents.

J.B.L.
Savez-vous s’il est plus ou moins virulent que les précédents ?

P.F.
Je ne saurais le dire… Dans la mesure où précédemment le SRAS s’est quand même éteint assez vite, alors que celui-ci vient de créer une pandémie, il y a vraisemblablement une petite différence.

C’est un nouveau virus ayant connu un certain nombre de mutations, puisqu’il a voyagé dans le monde animal avant de contaminer l’homme.

Les mutations que le virus a subi lors de son passage dans différents organismes animaux, auront pu être bénéfiques pour lui, et maléfiques pour nous.

J.B.L.
Tous les animaux contaminés par le virus sont considérés comme des porteurs sains ?

P.F.
Oui, les chauves-souris par exemple ne sont pas malades, ce sont des porteurs sains.

J.B.L.
Est-il exact qu’en plus de s’attaquer au système respiratoire ce virus puisse s’en prendre à l’appareil rénal ?

P.F.
Je ne sais pas, sachant que l’épidémie est en plein développement les remontées d’information se font petit à petit.

Mais en général un virus a tout de même un tropisme très spécifique.

Pour certains ce sera les muqueuses respiratoires, pour d’autres ce sera le parenchyme hépatique, en principe chaque virus a sa propre cible d’élection.

J.B.L.
Existe-t-il des mutations de ce virus depuis sa propagation dans le monde ?

P.F.
Oui, il existe de petites mutations entre par exemple le coronavirus de Chine et celui d’Arabie Saoudite, donnant à chaque fois des pathologies légèrement différentes.

J.B.L.
En fonction des différentes régions de la planète où le virus se propage, dans la mesure où il semble capable de muter rapidement, l’approche thérapeutique risque-t-elle d’être différente ?

P.F.
Premièrement c’est un virus qui paraît tout de même relativement stable, d’après ce que j’ai pu comprendre il dispose d’un A.R.N, ou Acide nucléique, assez long, ne lui permettant pas de trop muter.

Tandis que d’autres virus ont la capacité de muter énormément, le coronavirus que l’on trouve en Chine ou celui d’Amérique du Sud sont très semblables.

Par contre il a des choses que l’on ne sait pas encore, est-ce qu’il y a de petites mutations faisant qu’il est plus virulent chez certaines personnes, ou est-ce que ces personnes sont plus vulnérables ?

On n’a pas encore toutes les réponses, c’est en pleine recherche, et c’est encore très précoce.

J.B.L.
En fonction des informations dont vous disposez, pourriez-vous nous décrire l’évolution du virus sur l’être humain ?

P.F.
Au départ c’est un syndrome pseudo grippal, même si évidemment ce n’est pas du tout le même virus que celui de la grippe.

Le coronavirus se contracte par les voies respiratoires, donc la muqueuse haute est touchée, ensuite ça tombe rapidement sur les bronches et le bas des poumons, s’attaquant aux alvéoles et provoquant rapidement une forme de pneumonie.

Remarquez qu’une simple grippe peut également déboucher sur ce type de conséquences et provoquer des infections basses, mais moins typiquement que le coronavirus.

J.B.L.
On se doute que les personnes au système immunitaire affaibli ou fragile risquent d’être sensibles à l’évolution du virus, cependant qu’en est-il de celles dont le système immunitaire fonctionne correctement ?

P.F.
A ce moment cela donnerait des formes asymptomatiques ou peu symptomatiques.

Dans le second cas, l’organisme réagirait immédiatement.

Donc pour certaines personnes cela pourrait pratiquement passer inaperçu, tout comme le virus de la grippe : tout dépend du terrain sur lequel il va s’implanter.

J.B.L.
Selon vous quelle est la meilleure prévention ?

P.F.
Dans un premier temps il est important de renforcer le système immunitaire afin qu’il soit prêt pour passer à l’attaque.

On sait que le système immunitaire est extrêmement complexe, extrêmement intelligent et, en fonction de « l’ennemi » qu’il va rencontrer, il s’organisera de façon différente.

Lorsque c’est une attaque virale, il met en place un sytème de défense que l’on appelle la voie TH1, qui fait participer les natural killers (6), les cellules T cytotoxiques (7) et ensuite les macrophages (8).

Ce sont eux qui sont en première ligne pour neutraliser cette vague virale.

J.B.L.
Quelle approche préconiseriez-vous afin de renforcer rapidement le système immunitaire ?

P.F.
En aromathérapie il existe des huiles essentielles qui vont stimuler les natural killers, stimuler les phagocytes, mais il ne faut pas oublier les bêta-glucanes (8) qui sont extrêmement utiles, et que l’on trouve dans le fameux Shiitake par exemple.

Et ne pas oublier non plus le magnésium qui est vraiment incontournable dans la lutte contre les pathologies virales, quelles qu’elles soient.

J.B.L.
Est-il trop tôt pour se prononcer en faveur d’un traitement naturel ?

P.F.
Non, il n’est pas trop tôt.

Les virus, ce sont simplement du matériel génétique, en l’occurence de l’ARN (10), et celui-ci, je veux dire le coronavirus, est contenu dans une membrane, c’est à dire qu’il est enveloppé.

Or, cette enveloppe est composée de phospholipides qui sont extrêmement vulnérables aux composants organiques volatils des huiles essentielles.

Ce qui veut dire que toutes les huiles essentielles vont avoir une action contre ce type de virus enveloppés, avec évidemment des différences dans l’intensité de cette action en fonction des huiles.

Les moins spécifiques vont être plus faibles, tandis que les plus spécifiques seront plus fortes.

Ensuite, le but de la recherche sera de sélectionner les plus actives contre le coronavirus.

Par exemple, en l’état des connaissances actuelles, on peut d’ores et déjà préconiser l’Eucalyptus Globulus qui est actif contre ce type de virus.

A quel niveau exactement ?

C’est la recherche qui nous le dira.

J.B.L.
Est-il possible d’utiliser en prévention comme en début de traitement une petite trousse d’aromathérapie familiale à emporter partout avec soi ?

P.F.
C’est évident !

C’est ce que font la plupart des gens que je connais, mes étudiants, les personnes qui nous appellent, etc., bien sûr.

J.B.L.
Vous préconiseriez le Laurier Noble, l’Eucalyptus Globulus… et quelles autres huiles essentielles pourraient les accompagner ?

P.F.
On pourrait effectivement en choisir d’autres, mais ce n’est pas la peine de se noyer dans les huiles essentielles.

Il est simplement important de choisir une huile d’Eucalyptus non rectifiée.

Parce que la plupart du temps les huiles d’Eucalyptus sont rectifiées pour augmenter le taux d’Eucalyptols, ce qui est absurde parce que d’autres molécules présentes sont également très actives sur les virus.

Il est donc important d’opter pour des huiles non dénaturées ou artisanales.

Ainsi que l’huile essentielle de Laurier Noble (11) qui est extrêmement active dans la pathologie du coronavirus, comme dans beaucoup d’autres pathologies virales.

J.B.L.
Comment les utiliser efficacement en cas de coronavirus ?

P.F.
Une fois que l’on dispose des huiles, reste à atteindre l’endroit où le virus se développe.

Il s’agit donc d’une stratégie à adopter.

Alors comment atteindre la partie basse des poumons, là où se trouve le contact capillaire avec la muqueuse alvéolaire ?

Et bien tout simplement par la voie sanguine, et veineuse en particulier.

Il conviendra donc de masser l’huile essentielle aux endroits où se trouve un réseau veineux important.

Le premier c’est la plante des pieds, ça paraît paradoxal mais sous la plante des pieds se trouve un réseau veineux que l’on appelle la sole plantaire de Lejars , qui permet le passage presque instantané des huiles qui vont circuler sur des véhicules protéiques dans le sang, passer dans la grande circulation, arriver jusqu’au cœur, et du cœur se rendre directement au niveau des poumons.

Une deuxième localisation importante serait par la veine hémorroïdaire, soit avec des suppositoires, soit simplement à l’aide d’huiles rectales.

Dans ce second cas on peut dire qu’en quelques minutes les huiles essentielles seront déjà présentes au niveau des poumons.

Une dernière option serait de les appliquer au niveau des poignets, où se trouvent les veines apparentes.

Mais lorsque la pathologie est établie, je dirais que la voie rectale est la stratégie la plus sûre, surtout dans les formes sévères.

J.B.L
Avez-vous tenté d’avertir le gouvernement chinois de ces connaissances au moment où l’épidémie commençait à se répandre ?

P.F.
J’ai fait un certain nombre de conférences et de cours sur la Chine, où je connais pas mal de monde.

Et lorsque l’épidémie a commencé j’ai essayé de faire passer l’information par des amis chinois, expliquant que l’aromathérapie pouvait être une approche intéressante.

Sachant que la Chine est un très gros producteur d’huiles essentielles, ils n’auraient pas eu de problème à les utiliser en grandes quantités. Malheureusement, bien que le message soit arrivé à des personnes importantes là-bas, elles n’ont pas bougé le petit doigt par peur de répercussions à leur encontre, compte tenu de ce qui s’est passé avec le médecin ayant donné l’alerte (12).

Ce qui ne veut pas dire qu’ils ne sont pas potentiellement intéressés, ils utilisent quand même la physiothérapie traditionnelle dans les hôpitaux.

Alors que nous, dans les pays européens, personne n’y pense, on n’en parle pas.

J.B.L.
Est-ce que la communication scientifique internationale à propos du coronavirus vous semble limitée aux seules pistes de la médecine conventionnelle ?

P.F.
Oui, complètement.

J.B.L.
Comment cela pourrait-il s’expliquer ?

P.F.
Bien que ceux qui s’occupent de ces recherches soient des laboratoires de haute performance, il sont toujours orientés vers l’immunothérapie, vers les vaccins, et vers les molécules chimiques pouvant faire l’objet de brevets.

Par exemple je connais des chefs de cliniques qui connaissent très bien l’aromathérapie, mais ils n’en parlent jamais et ne l’utilisent jamais non plus, parce que l’obligation c’est de rester dans les protocoles officiels.

Mais dans le cas qui nous préoccupe aujourd’hui, le problème, c’est qu’il n’y a pas de protocole puisqu’il n’y a pas de thérapeutique approuvée, donc certains auraient peut-être pu « se mouiller », mais ils ne l’ont pas fait.

Nous autres en aromathérapie disposons de beaucoup de connaissances et compétences, mais bien sûr nous n’avons pas à notre disposition les laboratoires de recherche avancée en virologie, etc. qui nous échappent totalement, à moins de disposer de fonds importants pour payer une recherche.

Par ailleurs, il existe beaucoup de collaborations et d’études sur les particularités des huiles essentielles mais elles sont toutes restées au stade in vitro.

Maintenant, ce qui nous manque, ce sont des études au niveau clinique.

J.B.L.
Selon vous, quel débouché cherche la médecine officielle afin d’enrayer l’épidémie ?

P.F.
Eh bien des molécules chimiques connues ou nouvelles, et puis, bien sûr, la vaccination.

J.B.L.
Pensez-vous que la vaccination puisse être efficace dans ce domaine ?

P.F.
De toute façon on ne met pas au point un vaccin du jour au lendemain, on parle d’un an, un an et demi, parfois deux ans, en fonction des difficultés.

A cela doit s’ajouter le stade d’études chez l’homme afin de s’assurer qu’il n’y ait pas d’effets secondaires.

Bon, c’est assez lourd.

Et puis est-ce que cela va servir dans le futur ?

Est-ce que le coronavirus va disparaître ou bien réapparaître comme la grippe, tous les ans ?

Pour l’instant nous n’en avons aucune idée.

Peut-être même n’y aura-t-il plus jamais d’épidémie avec cette souche-là.

Et, dans la mesure où c’est une autre souche, le vaccin ne sert plus à rien puisqu’il est destiné à une souche en particulier.

C’est justement la grande différence entre les vaccins et les huiles essentielles : le vaccin se concentre sur une souche donnée, tandis que les huiles essentielles peuvent agir sur toutes les souches dans la mesure où elles passent par un autre biais.

C’est à dire celui de la déstructuration, entre autres, de l’enveloppe du virus.

Raison de plus pour laquelle l’aromathérapie mériterait d’être étudiée au niveau clinique.

Il ne faut pas oublier que nous avons ici à faire, avec le covid-19, à un virus mortel qui ne touche pas seulement les personnes âgées.

Il y a eu des cas de trentenaires envoyés en réanimation.

J.B.L.
Selon vous les mesures de quarantaine sont-elles utiles ?

P.F.
Je pense que oui, c’est un virus qui se transmet en contact direct, donc s’il n’y a plus ce type de contacts la pathologie disparait par elle-même.

Mais il aurait fallu le faire au tout début.

J.B.L.
Que sait-on sur la résistance du coronavirus hors porteur ?

P.F.
Bien qu’une fois de plus nous manquions de recul dans ce domaine, il semblerait qu’il puisse par exemple contaminer une poignée de porte plus d’une heure après s’y être déposé.

J.B.L.
Comment votre association, Aromathérapie Sans Frontières, se positionne-t-elle face à cette menace ?

P.F.
C’est une association que j’ai créé il y a quelques années afin de soigner les enfants malgaches par le biais des huiles essentielles, tout en pratiquant la médecine intégrative, c’est à dire en adaptant la thérapeutique aux besoins du malade.

Cependant elle n’a, pour le moment, pas les moyens de se développer ailleurs dans le monde.

Pierre Franchomme, merci pour vos réponses.

Propos recueillis par Jean-Baptiste Loin



Les médecines naturelles et le coronavirus

Etant donné l’absence de mesures préventives contre le coronavirus, autres que les quarantaines, les masques hygiéniques et les solutions désinfectantes, ainsi que le manque de traitements « officiels », l’équipe de Réponses Bio se mobilise afin de vous offrir les interviews, articles de fond, références bibliographiques et solutions pratiques nécessaires à un bon emploi des médecines naturelles antivirales et immunostimulantes.

Ces informations sont publiées dans un esprit de cohésion avec toute forme de médecine, de thérapeutique ou de précautions susceptibles d’enrayer cette épidémie.

Nous suggérons par la même occasion de considérer les médecines naturelles en général et l’aromathérapie en particulier, comme des mesures « artisanales » d’urgence afin de pallier les manques de thérapeutiques dans les milieux hospitaliers et les cabinets médicaux.

Les médecines intégratives, c’est à dire toute thérapie susceptible d’apporter des résultats (13), sont à considérer, en de telles circonstances, comme un recours inaliénable à la Constitution des Droits de l’Homme.

Tant que des mesures de quarantaine seront prises au sein de l’Union Européenne et dans le reste de la francophonie, nous publierons régulièrement toute information nous semblant en mesure d’aider, un tant soit peu, à comprendre, prévenir et soigner le coronavirus ou Covid-19.


Afin de considérer toutes les pistes susceptibles de renforcer l’immunité et de traiter les affections virales, je vous invite à la lecture des articles suivants :


Le témoignage du Dr Willem sur « La liberté thérapeutique » :


Sources et références scientifiques :

  1. Grippe espagnole : https://fr.wikipedia.org/wiki/Grippe_espagnole
  2. Grippe A : https://fr.wikipedia.org/wiki/Virus_de_la_grippe_A_(H1N1)
  3. eDoc Jean-Valnet (offert) : cliquez ici pour le télécharger
  4. Aromathérapie : https://fr.wikipedia.org/wiki/Aromath%C3%A9rapie
  5. Sérotype : https://www.larousse.fr/encyclopedie/medical/s%C3%A9rotype/16090
  6. Natural Killer : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lymphocyte_NK
  7. Lymphocyte T : https://fr.wikipedia.org/wiki/Lymphocyte_T_cytotoxique
  8. Macrophage : https://fr.wikipedia.org/wiki/Macrophage
  9. bêta-Glucane : https://fr.wikipedia.org/wiki/B%C3%AAta-Glucane
  10. ARN : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_ribonucl%C3%A9ique
  11. Des études in vitro réalisées en anglais révèlent l’activité du laurier noble contre le SRAS-CoV et le HSV-1 :  https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/cbdv.200890045
  12. Première alerte au coronavirus par un médecin chinois : http://www.rfi.fr/fr/ticker/coronavirus-m%C3%A9decin-chinois-avait-donn%C3%A9-alerte-premier-est-d%C3%A9c%C3%A9d%C3%A9-h%C3%B4pital et http://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-comment-ce-medecin-chinois-a-ete-reduit-au-silence-apres-avoir-donne-l-alerte-05-02-2020-8253420.php et https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200207.OBS24525/un-heros-qui-a-donne-sa-vie-en-chine-la-colere-apres-la-mort-du-medecin-lanceur-d-alerte-sur-le-coronavirus.html
  13. Médecines intégratives : https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9decine_int%C3%A9grative

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