
Après s’être félicitée de la création de nouveaux vaccins contre le Covid, la Commission Européenne vient d’annoncer son intention d’investir massivement dans les « vaccins » ARNm, destinés en priorité aux nouveaux-nés et malades du cancer.
Dans mon précédent article sur les dangers du graphène nous avons déterminé :
- son degré de toxicité
- ses différentes applications, dont les points quantiques de graphène
- ou encore sa capacité à embarquer des extensions numériques.
Nous avons également vu comment prévenir toute accumulation organique pouvant découler d’injections ou de transmissions passives tant de la protéine spike que des nanoparticules de graphène…
Compte tenu des dégâts observés chez les vaccinés n’ayant pas pris de précautions, et de l’éventualité d’une généralisation de la santé-tech, il est plus que jamais nécessaire de lever le voile sur le fait que l’oxyde de graphène est selon toute probabilité un ingrédient clé de la composition des vaccins anti-Covid.
Les mises en garde internationales sur la présence de graphène dans les injections ARNm
Suite aux prédictions du Professeur Montagnier concernant les fréquences d’ondes auxquelles le virus était sensible, aux analyses du Dr Pablo Campra, ayant été le premier, mais aussi un des seuls à avoir montré des clichés attestant la présence de graphène dans les injections ARNm… (2)
La demande déposée auprès de la Commission Européenne intitulée « le temps de la vérité sur la présence de graphène dans les vaccins Covid-19 », représentative du questionnement des citoyens de l’Union, reste lettre morte. (3)
Pendant ce temps aux États-Unis, Karen Kingston, ex-recrue scientifique chez Pfizer, quitte précipitamment son poste pour dénoncer publiquement un « génocide ». Affirmant qu’elle est en mesure de démontrer que l’oxyde de graphène fait partie de la composition secrète, protégée par le Secret des Affaires, des vaccins à ARN messager. (4)
Bien que l’on puisse rester dubitatifs devant les idéologies personnelles de chacun, ainsi que le type de médias ayant donné audience à ces informations, les nombreuses morts inexpliquées ainsi que des handicaps permanents, nous pressent à dénouer le vrai du faux.
Le témoignage de Karen Kingston, recoupant les déclarations du Dr Campra, a poussé de nombreux médias à grosse audience, spécialisés ou non dans la santé, à tenter de faire passer ces nanoparticules pour de simples liposomes. Soit de minuscules billes de graisse encapsulant prétendument directement l’ARN messager. Or, comme le montre cet article, regroupant les interviews de responsables du développement de vaccins ARNm de chez Sanofi, Moderna, et quelques autres labos, les liposomes sont insuffisants pour protéger la charge génétique après injection dans le plasma sanguin. (5)
Titrant son papier « sans enveloppe lipidique, pas de vaccins ARNm », le journaliste montre que même l’apparition des premières nanoparticules lipidiques n’a pas suffit aux scientifiques pour trouver un terrain électriquement neutre, condition indispensable pour protéger le brin d’ARN jusqu’à son but.
L’ancien chef du service des maladies infectieuses de Moderna rappelant que « le diable se cache dans les détails en ce qui concerne les LNPs », ou nanoparticules lipidiques , prenons donc le temps de regarder les détails en face.
Le graphène est la clé des propriétés diélectriques nécessaire à la protection du matériel génétique des injections ARNm
Une des pistes révélées par Karen Kingston montre qu’une entreprise chinoise du nom de Sinopeg a résolu le problème préoccupant le lobby pharmaceutique concernant la protection du matériel génétique des injections Covid, en mettant au point un ingrédient inattendu dans une solution liquide :
De l’oxyde de graphène fonctionnalisé.
Elle précise d’ailleurs que Sinopeg, seule à détenir cette technologie à l’époque, fournissait directement Pfizer.
Peu de temps avant la commercialisation des vaccins ARNm, c’est à dire en septembre 2020, son avance sur les technologies de polyéthylène glycol ou PEG, permit la mise au point d’un « noyau-coque de polyéthylène glycol structuré fonctionnalisé avec du graphène, pour stockage d’énergie polymère diélectrique, destiné à améliorer les performances mécaniques et diélectriques combinées du vecteur d’ARN ». Vecteur, étant le nom scientifique désignant une substance capable de véhiculer du matériel génétique, un principe actif ou des nanotechnologies. (6)
Introduisant, comme nous le montre plus en détails cette étude, des points quantiques de graphène, soit une structure en deux dimensions, dans un hydrogel multifonctionnel magnétisé en trois dimensions. (7)
Cette invention, communément appelée « smart hydrogel », embarque des composants réagissant à leur environnement en fonction de paramètres comme la chaleur, la charge électrique ou la présence de cellules cibles. Un PEG hyper technologique que les médias à la solde des labos présentent comme de simples nanoparticules liposomales, jurant de son innocuité.
Mais selon Karen Kingston, en plus du graphène cet hydrogel abrite des protéines spike et des cellules hybrides, mi-synthétiques, mi-organiques, pouvant se reproduire et s’adapter au terrain en apprenant d’elles-mêmes. Attirant l’attention du public sur le brevet de Franco Vitaliano et Gordana Dragan, comme modèle ayant pu servir à la création de cette nano intelligence artificielle. (8)
Voici une traduction de son résumé :
« Cette invention concerne des plates-formes de capteurs auto-adaptables, évolutives et communicantes capables d’une action autonome et/ou cognitive… des capteurs multifonctions, comme des capteurs biomédicaux, biomoléculaires, électroniques, capteurs de communications, et un traitement d’informations. »
Selon la lanceuse d’alerte américaine les lipides cationiques et PEG 2000 constituant l’hydrogel nanoparticulaire chargé électriquement, véhiculent des molécules servant à une ingénierie génétique multipliant les cellules hybrides.
L’intéressée va d’ailleurs beaucoup plus loin en suggérant que la capacité des points quantiques de graphène à dépasser la barrière du cerveau, sert un vaste programme de contrôle des esprits.
L’expérience déjà empirique de la nocivité des injections ARNm
Le Professeur Montagnier, comme vous le savez, a trouvé la mort en plein tumulte alors qu’il essayait de dénoncer des évènements qui le dépassaient.
Le Dr Campra, lui, a rejoint un collectif connu sous le nom de la « Quinta Colonna », ou la cinquième colonne, mouvement convaincu que des extra-terrestres sont en train d’asservir la race humaine par le prisme des labos et gouvernements.
Et Karen Kingston est pour sa part persuadée que les nihilistes, priant le démiurge depuis la chute de Lucifer, instrumentalisent les gouvernements pour préparer l’avènement de l’Antéchrist.
Quant aux rares médias d’envergure relayant l’information, ils répètent en boucle que c’est un complot organisé par les Juifs et la franc-maçonnerie…
Il n’est pas étonnant que, devant le constat d’un agenda aussi machiavélique, l’on ait besoin de donner un sens correspondant à nos convictions profondes. En admettant qu’aucun d’entre eux n’ait été soigneusement mis en avant dans le but d’entretenir la confusion, comment pourrait réagir quelqu’un qui réalise le danger d’une injection s’apprêtant à être administrée à des milliards d’individus bien-portants ? En se convainquant que c’est un coup des extra-terrestres envoyés par le démiurge, pour faire griller l’espèce humaine dans le désert australien à l’aide d’un amplificateur 5G ! Les uns se réfugient dans leurs croyances, les autres activent des mécanismes paranoïaques, pendant que la majorité ne voulant plus en entendre parler, risque une exposition aux pires poisons.
Pourtant dans le cas qui nous occupe, ce que nous appelons des lanceurs d’alerte sont avant tout d’anciens experts disposant de microscopes moléculaires, des scientifiques accomplis, des prix Nobel et spécialistes de formulations secrètes mises au point par Pfizer et Moderna.
Je ne partage personnellement ni la doctrine des uns, ni celle des autres, et Réponses Bio étant un média apolitique aucun débat consensuel n’intervient une seconde dans notre réflexion. Personne à la rédaction n’est nihiliste ou franc-maçon, et nous ne pensons pas pour autant que les extra-terrestres soient en train de réformer Pasteur pour prendre le contrôle de l’humanité, ou même que les sionistes assouvissent une revanche préméditée sur le monde.
Néanmoins, après deux ans de constatations parmi ses proches, contacts professionnels et simples connaissances, personne ne peut ignorer que les ravages des injections anti-Covid correspondent aux symptômes décrits dans les recherches toxicologiques sur les points quantiques de graphène, et l’oxyde de graphène.
Les morts, « Covid longs », ainsi que les vagues de handicaps survenues suite à cette propagande vaccinale, font indéniablement d’elle la plus meurtrière jamais orchestrée dans l’histoire de l’humanité.
Malheureusement il faudrait la confirmation de quelqu’un de l’intérieur, pour que les éléments évoqués dans le présent article puissent prouver la présence de graphène dans la composition des injections ARNm.
Une lanceuse d’alerte venue de l’OMS
En tant que collaboratrice de longue date de l’OMS, le Dr Astrid Stuckelberger connait bien le fonctionnement de cette institution. Etroitement liée aux projets de sécurité sanitaire depuis ces vingt dernières années, elle a enseigné à l’Université de Genève, mais aussi aux Ministres de la santé et responsables de divers centres épidémiologiques, les subtilités des bonnes pratiques de l’OMS.
Elle explique qu’à partir de 2015 Bill Gates et sa Fondation GAVI pour la promotion des vaccins, a pris les manettes des directives sanitaires de l’OMS. Transformant un programme préventif orienté vers les Droits de l’Homme, en mainmise sur les démocraties par le biais du Conseil de Sécurité de l’ONU, régulant comme tout le monde le sait, les décrets gouvernementaux avec l’appui de l’OMS. Cette information s’étant suffisamment recoupée au fil des ans pour comprendre par quels moyens la crise du Covid a été minutieusement planifiée. (9) (10) Ce lien vers un PDF de l’ONU (11) fourni par la scientifique, montrant en détails l’architecture des mécanismes d’action internationaux.
Elle rappelle qu’avant l’intervention de la fondation GAVI, la version ultérieure du programme de sécurité en cas de pandémie prévoyait d’éviter drastiquement toute forme de confinement ou de mise à l’arrêt de l’économie mondiale.
Si de nombreux médias comme Libération ont également tenté de la discréditer, personne ne peut lui ôter le fait d’avoir été témoin des coulisses de l’orchestration de la première crise sanitaire mondiale.
La voie ouverte à une seconde pandémie et le contrôle du cancer
Une fois les technologies ARNm validées en toute hâte par le trou de souris de l’urgence sanitaire, et les suspicions entourant sa composition écartées d’un revers de main, plus rien n’empêche l’invasion d’injections conçues pour s’attaquer au plus vaste panel possible de pathologies. S’immisçant méthodiquement dans chaque pays et couche de population.
C’est ainsi qu’une première génération de « vaccins » anti-cancer s’appuyant sur « la transformation de nanovaccins à base d’ARN et d’hydrogel d’oxyde de graphène fonctionnalisé en polyéthylèneimine » ou PEG, est en train de voir le jour. (12) (13)
Alors même qu’une variante de l’injection anti-Covid s’apprête à être recommandée aux nourrissons et personnes âgées en prévention de la bronchiolite, ou VRS. (14)
Devra-t-on systématiquement s’échiner à prouver tant la présence de graphène que le danger de son inoculation dans le système sanguin, sans espérer la moindre transparence des labos, ou une réelle émancipation des populations à leur encontre ?
Étant donné la difficulté d’une investigation objective sur un sujet défiant le contexte actuel, je vous invite à confirmer ou infirmer les informations glanées dans cet article en partageant les sources dont vous disposez concernant la présence de graphène dans les injections ARNm, mais également à propos bien-fondé des déclarations de lanceurs d’alerte le dénonçant. Un débat permanent, accessible depuis la page d’accueil, restera ouvert à toutes et tous. Je vous invite vivement à partager votre avis dans les commentaires ci-dessous.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Sources et références :
- https://www.reuters.com/business/healthcare-pharmaceuticals/eu-announce-deal-with-pfizer-others-reserve-vaccines-future-pandemic-source-2023-06-30/
- https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES
- https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/P-9-2022-000303_EN.html
- https://karenkingston.substack.com/p/part-1-dismantling-the-the-deceptions
- https://cen.acs.org/pharmaceuticals/drug-delivery/Without-lipid-shells-mRNA-vaccines/99/i8
- https://fr.sinopeg.com/core-shell-structured-polyethylene-glycol-functionalized-graphene-for-energy-storage-polymer-dielectrics-combined-mechanical-and-dielectric-performances_n28
- https://onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1002/nano.202100139
- https://patentimages.storage.googleapis.com/60/f4/84/f1638d97b4e0cf/US20160178652A1.pdf
- https://rumble.com/v1dee2v-dr-astrid-stckelberger-nous-donne-les-solutions-contre-les-vaccins.html
- https://www.youtube.com/watch?v=_2PhrUkKDmk
- https://www.un.int/sites/www.un.int/files/Permanent%20Missions/18-00159e_un_system_chart_17x11_4c_en_web_0.pdf
- https://pubs.acs.org/doi/full/10.1021/acs.nanolett.0c05039
- https://cancer-nano.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12645-021-00087-7
- https://popsciences.universite-lyon.fr/ressources/bronchiolite-du-nourrisson-un-vaccin-innovant-en-cours-de-developpement-sur-lyon/
Photo de Spencer Davis – Credit : Unsplash
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