Désintégrer les coronavirus grâce à la diffusion d’huiles essentielles ?

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diffusion huiles essentielles anti-virales

En l’absence de mesures hygiéniques et thérapeutiques préventives ne fragilisant pas les défenses immunitaires, que faire en cas d’épidémie ?

Les concentrations de plantes les plus puissantes, à savoir les huiles essentielles, ont-elles un rôle à jouer dans la prévention de la crise sanitaire actuelle du Covid-19 ?

Comparer la crise sanitaire du Covid-19 à la grippe espagnole n’est pas une hyperbole.

Comme l’ont expliqué le Dr Jean-Pierre Willem et son confrère dans les précédentes interviews (1), la capacité de mutation d’un virus, ses moyens de transport, l’absence de thérapeutique, ainsi que l’affaiblissement des défenses immunitaires liées aux vaccinations abusives et à la consommation de médicaments de synthèse, offrent un terrain propice à sa survie et son agressivité.

S’il met d’ores et déjà en danger de mort une large part de la population mondiale répondant à ces critères, cela pourrait encore s’aggraver.

Ce qui signifie aussi qu’en fonction de la stratégie antivirale adoptée par la médecine conventionnelle, la faculté du virus à devenir plus résistant, et donc, plus dévastateur, pourrait s’accroître jusqu’à devenir beaucoup plus dangereux pour des systèmes immunitaires sains.

Ce type de mutations a été observé avec d’autres coronavirus, comme celui de la grippe aviaire ou IBV (2), l’herpès, ou encore la grippe A, H1N1 (3).

Sans même mentionner le fait que les virus modernes sont antibiorésistants (4).

Or, l’épidémie en cours n’est plus un simple virus grippal mutant, mais un virus de pneumopathie apparaissant moins mortel, pour le moment, que le Syndrome Respiratoire Aigu Sévère ou SRAS, mais infiniment plus volatil et transmissible.

Selon Worldmeter, l’observatoire international de la croissance et décroissance humaine, le taux actuel de mortalité du Covid-19 est passé de 0,001%, selon les médias français appréciant le début des évènements, à pratiquement 6% dans les régions où nous avons le plus de recul temporel, dont 15% des personnes admises à l’hôpital décèdent brutalement (5), et ces chiffres ne cessent d’augmenter.

Par ailleurs, les principales faiblesses recensées augmentant le taux de mortalité y sont les suivantes :

  • 13,2% de faiblesse cardiaque,
  • 9,2% de diabètes,
  • 8,4% d’hypertension,
  • 8% de maladies respiratoires chroniques,
  • 7,6% de cancer,
  • tandis que 0,9% de sujets ne présentaient aucune maladies connues (6).

Il est donc évidemment nécessaire d’être plus que jamais attentifs à l’optimisation de nos défenses immunitaires ainsi qu’à leur capacité d’évolution leur permettant de reprendre le dessus sur l’univers viral moderne.

Toutefois, il est déjà possible que ces précautions ne soient plus suffisantes.

Comme nous l’explique l’étude d’Anne Iten, Laurent Kaiser et Daniel Lew, parue dans la revue en ligne Rev Med Suisse 2010 (4) :

Quand le virus de la grippe espagnole est survenu, « après 1918 il a poursuivi son évolution chez l’homme et a disparu de l’espèce humaine au début des années 60… » pour revenir, à la fin des années soixante-dix.

Tout d’abord sous forme d’une banale grippe, peu préoccupante et traitée généralement avec le médicament Tamiflu.

Puis, progressivement, au fil des décennies, en mutant dans le monde animal… et comme nous l’avons vu précédemment, en s’adaptant aux stratégies vaccinales, ou, peut-être même, en profitant de manipulations génétiques réalisées par l’homme.

Et, par voie de conséquences directes, en accouchant de nouvelles souches mortelles chez l’humain, le poulet, le cochon, la vache, ainsi que tous les animaux que l’industrialisation a pris l’habitude de vacciner, de bourrer de médicaments, d’hormones de synthèse, etc.

Un traitement que la race humaine s’auto-inflige depuis ces cinquante dernières années.

L’interminable bataille immunitaire

Il ne faudrait pas oublier qu’aux origines du monde, les êtres humains aussi étaient pour ainsi dire des virus ayant la capacité de s’adapter à leur environnement, de muter (7).

D’ailleurs le système immunitaire en est devenu en quelque sorte le chef d’orchestre, réorganisant sa partition à chaque fausse note.

En 1918, la guerre, la malnutrition, la fatigue et le manque d’hygiène ont largement permis à cette « petite grippe » de muter fatalement en tuant les organismes les plus démunis.

Provoquant une véritable hécatombe qui s’empila sur les cadavres de la première guerre mondiale.

Tant que ce principe ne sera pas largement compris, de simples coronavirus pourront toujours avoir un impact similaire, voire pire que la tragédie de la grippe espagnole, sur le long terme, en plusieurs vagues, mutant et finissant par renverser les systèmes immunitaires les plus solides.

Tant que le monde de la science et de la santé ne s’accordera pas à étudier et à démontrer l’efficacité de méthodes préventives et curatives contre les coronavirus :

1/ n’affaiblissant pas les défenses immunitaires du patient,

2/ ne renforçant pas outre mesure les mécanismes de mutation du virus,

3/ et n’encombrant pas l’environnement et l’humain de molécules synthétiques…

Bref, tant qu’aucune solution respectant la planète en général et le vivant en particulier ne sera librement comprise et promue, cette « guerre » contre nous-même est perdue d’avance.

La diffusion de molécules volatiles pour lutter contre les épidémies

Utilisées depuis la plus haute Antiquité en parfumerie comme en médecine, les huiles essentielles sont issues des plantes aromatiques connues depuis toujours pour leurs qualités antivirales, respiratoires, digestives, etc..

Les preuves empiriques de leur utilisation contre les épidémies sont abondantes, toutefois des études plus récentes nous montrent précisément comment les propriétés antivirales de l’huile essentielle de tea tree et d’eucalyptus globulus sont efficaces pour désintégrer la majorité des virus (8).

Comme expliqué dans une précédente interview (1), les composés volatils des huiles essentielles s’attaquent à l’enveloppe du coronavirus SRAS, et ainsi qu’il a été montré lors d’études in vitro et in vivo détruisent celle du coronavirus de la grippe aviaire à plus de 95% (9).

Ce qui, en toute logique, devrait suffire à élaborer une méthode de prévention universelle et écologique tout en optimisant les réactions immunitaires humaines et animales.

Cependant, autant rester prudent.

Autant garder en mémoire ces événements tragiques, se déroulant déjà depuis longtemps, aux quatre coins du monde, dans la plus grande indifférence.

Quand la science rencontre la sagesse antique

Préconisée par le Dr Willem comme mesure préventive contre des épidémies létales à plus de 50%, la diffusion d’huiles essentielles semble être un atout dont on aurait tort de se passer.

En plus d’assainir les objets et les habitats, un diffuseur d’huiles essentielles, en fonction des huiles choisies, nettoie également les poumons et les bronches à travers les voies respiratoires.

Bien qu’en aromathérapie les voies orale et transcutanée soient les plus couramment pratiquées, l’inhalation, ne serait-ce que parce que la respiration est la fonction première de la vie, s’avère elle aussi terriblement efficace.

Grâce à l’utilisation d’un appareillage moderne, décuplant considérablement le temps de suspension de centaines de milliards de molécules volatiles d’huiles essentielles pures, permettant d’assainir durablement les lieux, nous sont données de nouvelles perspectives.

Sans oublier que la résonance olfactive influence le comportement, pouvant, si l’on en croit les derniers travaux du Dr Willem, aller jusqu’à prévenir la maladie d’Alzheimer.

Il est d’ailleurs démontré depuis longtemps que certaines fragrances améliorent la productivité au travail, d’autres favorisent le sommeil, etc.

C’est donc sur des technologies naturelles d’assainissement et de prévention plus efficaces que jamais, que nous pouvons désormais compter.

Pourquoi l’ultra-nébulisation ?

Le procédé de nébulisation traditionnel des H.E., premier à permettre une diffusion à froid, a récemment donné naissance à une technologie semblant particulièrement adaptées aux circonstances actuelles, l’ultra-nébulisation portable.

Toujours à froid, et sans altérer la puissance des huiles avec de la vapeur d’eau, l’ultra-nébulisation augmente le maintien en suspension des molécules dans l’air en les fractionnant encore plus finement qu’avec une nébulisation traditionnelle.

Le modèle pour lequel j’ai personnellement opté est portable, très discret, grâce à sa dispersion basée sur un principe de résonance par ultra-sons il est silencieux et fort peu énergivore.

S’adaptant aux petites comme aux grandes salles il est pratiquement autonome, c’est à dire avec deux fréquences de diffusion suffisamment espacées pour ne pas saturer l’atmosphère.

L’insertion d’une fiole d’huile essentielle entière, allant de 5 à 15ml, vissée à l’intérieur du bouchon de recharge, facilite le travail de diffusion et libère l’esprit de la corvée de remplissage.

Il peut se transporter aisément et permet donc d’assainir des espaces de toutes tailles, l’habitat, le lieu de travail, et peut même s’utiliser à l’extérieur puisqu’il est muni d’une batterie permettant plusieurs heures d’autonomies.

Cependant attention, bien que conçu pour permettre à toutes les huiles de se diffuser facilement, les plus grasses nécessiteront peut-être d’être mélangées avec une huile plus fluide comme le citron ou le pamplemousse, facilitant le travail de micro-dispersion.

Attention également à ne pas diffuser d’huiles essentielles pures en présence d’enfants de moins de deux ans ou de femmes enceintes, sans avis contraire de votre thérapeute.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin


Les conseils de cet article ne sont pas destinés à remplacer l’assistance médicale nécessaire en cas de contamination au Covid-19. Nous rappelons que les formes de pneumopathies provoquées par cette maladie peuvent demander une réanimation ou une assistance respiratoire d’urgence.


Sources et références scientifiques :

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13 Commentaires
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Louis
4 années il y a

Merci beaucoup

Natacha
Natacha
4 années il y a

MERCI

Béatrice
Béatrice
4 années il y a

Je vous remercie pour cette information.

Caroline
Caroline
4 années il y a

Merci…

Liliane MANGOU
Liliane MANGOU
4 années il y a

Tres admirative des travaux du Dr Willem, j espere de toutes mes forces que les thérapies naturelles telle que l Aromatherapie soient enfin reconnues
Merci infiniment de vos conseils
Cela nous donne Espoir.
Lm

Romeo
Romeo
4 années il y a

Bonjour
Merci

François
François
4 années il y a

Merci, article très intéressant.

Mina
Mina
4 années il y a

merci pour ces infos

Marlena
Marlena
4 années il y a

Bonjour à vous,

Je vous remercie de tout mon cœur, les informations concernant les coronavirus, sont bien précieux, aussi des bons conseils que vous y avez envoyées.
Bon courage et prends-en soin de vous !

À bientôt amicalement !

Serge
Serge
4 années il y a

Merci beaucoup,a bientôt.

Michel
Michel
4 années il y a

merci

Bernard
Bernard
4 années il y a

bonjour vous avez parfaitement raison
L’hygiéne la nourriture et l’exercice physique
Bonne journée a vous et beaucoup d’amour avec nos systémes de contrôle

Gignac Marie
Gignac Marie
3 années il y a

Merci pour la cohérence de vos propos