Le CBG, une piste contre les troubles neurologiques dus aux vaccins

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Depuis le scandale des thérapies expérimentales à ARNm, dont la suspicion de présence de graphène ne cesse de se vérifier par des thérapeutes indépendants, une menace de troubles cérébraux, divers facteurs inflammatoires et réactions auto-immunes, pèse sur des milliards d’individus.

Le gouvernement israélien, premier à avoir contraint ses citoyens à une vaccination intensive, a motivé bien plus longuement et largement qu’aucun autre pays une propagande démesurée.

Suite à ces événements, des dizaines de témoignages immortalisés dans ce document vidéo (1) dénoncent un handicap, une opération à cœur ouvert, des troubles auto-immuns, et différents symptômes se recoupant les uns avec les autres.

Rejoignant également les témoignages européens et américains de troubles cutanés, herpès, maladies auto-immunes, accidents vasculaires cérébraux et cardiaques…

Dans une telle situation, en plus des boucliers indispensables que sont le charbon ultra activé et la Phycocyanine, il m’a semblé important de participer au développement de l’accès à des produits étudiés pour protéger la sphère cérébrale, endocrinienne, l’épiderme et, par-dessus tout, sachant lutter efficacement contre les processus inflammatoires des maladies auto-immunes.

Grâce aux dernières études publiées sur les cannabinoïdes, certains spécialistes pensent avoir redécouvert le chémotype manquant, ouvrant une passerelle entre les vertus encore interdites du THC et celles déjà autorisées du CBD, d’une des plantes les plus puissantes conçues par la nature pour le soutien de la santé humaine.

Les études dont je vais vous parler aujourd’hui présentent un cannabinoïde peu connu, largement axé sur l’équilibre psychique et cérébral, ayant la particularité de décupler le potentiel thérapeutique du CBD et du THC tout en apportant de nouvelles propriétés.

Depuis ces dernières années les vertus médicinales du cannabis commencent à être scientifiquement admises en Occident.

Mieux, les chercheurs sont en train de redécouvrir un fait semblant les troubler :

Le système endocannabinoïde humain permettant la sécrétion endogène de cannabinoïdes dans l’organisme, et les phytocannabinoïdes issus du cannabis, « se lient comme s’ils avaient été pensés pour interagir l’un avec l’autre ».

En d’autres termes, c’est uniquement parce que le cannabis proposait une approche thérapeutique impossible à breveter par l’industrie chimique, qu’il a si longtemps été banni.

Comme je l’expliquais dans mon article sur le chanvre, il s’oppose naturellement au commerce pétrochimique en offrant des alternatives non seulement bien plus saines, mais aussi moins onéreuses, ou plus résilientes.

Cependant depuis que les molécules renfermant ses principes actifs ont été synthétisées et commercialisées par l’industrie pharmaceutique contre le cancer, et que le gigantisme du commerce pétrolier commence à s’épuiser, c’est une toute autre affaire.

Quantité d’études permettent désormais d’évaluer concrètement les effets de chaque cannabinoïde présent dans ce que l’on appelle communément « l’herbe », allant jusqu’à redécouvrir un cannabinoïde qui pourrait s’avérer être le chémotype manquant complétant le tableau des indica, sativa et ruderalis, apportant soit une majorité de CBD soit une majorité de THC : Les plantes à CBG.

Le CBG, précurseur des molécules de THC et de CBD ainsi que tous les autres cannabinoïdes, s’effaçant au moment de la maturation de la plante, active plus subtilement que le CBD les récepteurs CB1 et CB2 du système endocannabinoïde humain, harmonieusement et sans effets psychoactifs.

Selon les dernières études en la matière, sur plus de 450 composants contenus dans le cannabis sativa, « aucun ne joue un rôle plus central que le cannabigerol » ou CBG.

Qu’est-ce que le CBG ?

Découvert en 1964 par les Dr Gaoni et Mechoulam, le CBG est depuis considéré comme « la mère » de tous les cannabinoïdes grâce à sa faculté à motiver tant la production de THC, CBD, CBDN, THCA, CBC, que de CBV ou CBGV.

Classé comme inoffensif et non psychoactif au même titre que le CBD, il aura fallu attendre de nombreuses années avant que des botanistes lui permettent de voir, ou revoir le jour, sous une forme naturelle.

Apparaissant spontanément lors du processus de maturation du cannabis sativa, il est rare d’observer une teneur supérieure à 1% de CBG, en fonction des espèces, avant qu’il ne se distille totalement dans le CBD, le THC et les autres cannabinoïdes.

Jusqu’à présent synthétisé pour permettre les études dont je vais vous parler dans une minute, ce n’est qu’à partir de 2017 qu’une poignée de botanistes américains, tous issus de l’Oregon, ont mis au point deux variétés provenant de boutures et techniques de cultivation permettant d’obtenir une plante offrant un taux de CBG allant jusqu’à près de 10%, et ne contenant pratiquement pas de THC.

Poussant en pleine terre dans des champs bio, sans intrants chimiques, issue de graines non OGM, elle s’oppose à la normalisation du CBG en poudre.

Pourquoi le CBG est-il plus prometteur que le CBD pour certaines affections ?

Tout comme le CBD, le CBG prévient et traite de nombreuses affections :

  • sclérose en plaques
  • maladies inflammatoires
  • douleurs
  • maladies cutanées
  • tumeurs…

Cependant selon de récentes observations, il aurait la particularité d’être bien plus efficace que le CBD contre :

  • Les troubles cutanés par le biais de protections anti-inflammatoires ainsi que la relance de processus permettant une amplification naturelle de la santé de la peau. (2)
  • Différents types de cancers, tumeurs et troubles glandulaires (3), et plus particulièrement le cancer du côlon. (4)
  • Le syndrome de l’intestin irritable et autres maladies inflammatoires intestinales. (5)
  • Le dysfonctionnement de la vessie. (6)

Et surtout, il protège les récepteurs endocannabinoïdes contre la confusion immunitaire provoquée par les maladies auto-immunes. (7)

Pour la sphère cérébrale, agissant par le biais de l’activation de nombreux récepteurs CB1 situés dans le cerveau des mammifères, il permet une gestion subtile des mécanismes agonistes et antagonistes du système endocannabinoïde.

Par conséquent, bien que moins étudié que le CBD, il semble d’ores et déjà être le cannabinoïde permettant la régulation naturelle la plus complète du signal endocannabinoïde humain. (8)

Le CBG, la sphère cérébrale et la vaccination moderne

Dans mon article sur les dangers du graphène, j’avais évoqué avec vous une menace planant tant sur les vaccinés que sur les non vaccinés, à savoir le risque de migration d’artefact 2D en graphène par-delà la barrière hémato-encéphalique du cerveau.

Le cas échéant il deviendrait crucial d’être en mesure de protéger et soutenir activement la sphère cérébrale.

Si l’on en croit les témoignages, il serait judicieux, tant sur le plan vasculaire, qu’au niveau d’éventuels troubles cognitifs, dégénératifs ou auto-immuns, de s’intéresser à des outils de prévention.

Dans cette mesure, le CBG présente tous les atouts lui permettant de faire partie des plantes préventives et curatives les plus prometteuses.

Cette étude basée sur des tests in-vivo montre par exemple que l’apport de CBG a permis, sur la souris, de lutter contre la maladie dégénérative d’Huntington. (9)

Or, l’on sait qu’il en va de même pour le CBD et Alzheimer ou la sclérose en plaques, dont le CBG multiplie les effets bénéfiques tout en y apportant une contribution spécifique.

De la même manière, il décuple d’importants effets protecteurs de cannabinoïdes comme le CBD pour la santé vasculaire, évitant un terrain trop propice à des attaques cérébrales à répétition.

Si nous ne vivions pas dans une société mettant à rude épreuve nos réserves endogènes de cannabinoïdes, il est probable qu’il y aurait eu beaucoup moins de victimes de maladies civilisationnelles.

L’étude pointant la déficience clinique d’endocannabinoïdes

Selon Ethan B. Russo, spécialiste des thérapies au cannabis, de nombreuses maladies comme la fibromyalgie, la migraine chronique, le syndrome du côlon irritable, et d’autres affections résistantes aux traitements de synthèse, pourraient être liées à une déficience clinique en endocannabinoïdes. (10)

En plus de constater une carence symptomatique dans le profil des patients ayant ce type de maladies en commun, a été mise en évidence une amélioration des symptômes en recourant à des médicaments titrés en cannabinoïdes.

Reconnaissant les fonctions maîtresses des différents cannabinoïdes que sont la gestion du stress, de la douleur, du bonheur, du sommeil, de l’appétit, ainsi que de l’équilibre cognitif, comme des facteurs déterminants pour le maintien de la santé.

Le choix de fleurs de CBG et d’extrait de CBD

Bien plus actif pour les troubles cutanés que le CBD, le CBG, comme vous l’avez compris, permettra aussi au CBD d’exprimer ses vertus magistralement.

Néanmoins, ce n’est que très récemment que le commerce de fleurs de CBG issues de fermes bio est devenu possible.

Auparavant, n’existaient sur le marché que des formules synthétiques.

Et, concernant le CBD, c’est exactement l’inverse.

Si au tout début de sa popularité on pouvait trouver plus ou moins facilement des fleurs et préparations bio, avec l’engouement et les restrictions, des formules désastreuses ont monopolisé l’offre.

Soit les fleurs n’ont généralement pas vu le soleil et le CBD qu’elles contiennent est peu actif.

Soit les préparations comme les crèmes et bonbons à la mode, ne méritent même pas l’encre nécessaire à parler d’eux tant la probabilité d’une origine naturelle est quasi nulle.

C’est pourquoi Réponses Bio a opté d’une part pour des fleurs de CBG en vrac ayant poussé dans une ferme bio, en pleine terre, nourries avec un compost artisanal issu de productions d’œufs et de graines germées bio.

Des analyses complètes, mettant en évidence le taux exact de cannabinoïdes présents dans les fleurs est disponible sur la page du produit, montrant un taux moyen de 9% de CBG ainsi que de petites quantités de CBGV.

D’autre part, une extraction de CBD à l’oxygène, l’approche la plus saine que l’on puisse considérer pour un extrait efficace, concentrant le CBD de fleurs cultivées au soleil, en Oregon, sans OGM, pesticide ou engrais chimiques.

Quelques recettes pour préparer vos fleurs de CBG ?

Pour la détente, en infusion, laissez tremper 1 gramme de fleur réduites en poudre, dans 500ml d’eau bouillante avec un demi verre de lait végétal le plus gras possible (coco, amande…) pendant 5 à 10 minutes.

Pour un usage plus concentré, on préparera une décoction en faisant bouillir 1 gramme de fleur de CBG dans 500ml d’eau additionnée d’un demi verre de lait végétal pendant 5 minutes, avant de laisser infuser 15 minutes.

Pour une macération, on mettra dans un contenant en verre, si possible au soleil, une à plusieurs fleurs écrasées dans une de l’huile végétale, de préférence de chanvre ou d’olive, en quantité suffisante pour recouvrir les plantes.

Laisser reposer au moins 48h, et pour une efficacité maximale, 3 semaines et plus.

Pour un dosage le plus concentré possible, la même préparation dans un alcool de grain est envisageable.

Une fois la macération obtenue, on peut soit conserver les résidus organiques au fond du récipient, soit les filtrer pour les réutiliser en cosmétique ou les envoyer au compost.

Cette huile ou cette teinture, vous sera très utile pour soulager les douleurs, migraines et inflammations cutanées, par voie externe pour l’huile et par voie interne pour la teinture.

En cas de troubles psychiques, psychologiques et inflammatoires, on pourra employer la teinture par voie interne, à raison d’un maximum de 10 à 15 gouttes 3 fois par jour.

Ou encore en prise sublinguale pour traiter le glaucome, les troubles dépressifs, nerveux, les douleurs, ou tout simplement contre le stress.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

Sources et références :

  1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8778347/
  2. https://www.sciencedaily.com/releases/2013/10/131014094105.htm
  3. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25269802/
  4. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23415610/
  5. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26197538/
  6. https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0094733
  7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6021502/
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4322067/
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5576607/

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Josiane Dawans
Josiane Dawans
2 années il y a

Je suis toujours très intéressée par vos articles qui sont pour moi une référence.
Merci
Josiane