
Oxyde de graphite, graphène, nanoparticules, vous vous souciez peut-être de ces molécules que l’on prétend déjà présentes dans certaines « thérapies » injectables ?
Dans ce cas, il vous faut tout d’abord vous intéresser à un phénomène à l’étude depuis au moins aussi longtemps que les artefacts viraux : Les applications des nanoparticules dans les domaines techno-médicaux.
Puisque le graphène, pour sa part, n’est que le support final ayant permis aux rêves les plus fous des apprentis sorciers gouvernant la science moderne, de prendre, tant bien que mal, des vies.
Mais commençons par le commencement si vous le voulez bien, et revoyons, avant d’identifier très spécifiquement les dangers des nanoparticules de graphène, le problème que posent les nanoparticules manufacturées en général.
Ces deux points de réflexion, intimement liés, sont développés ici.
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Nous avions conçu un long dossier comprenant articles et interview en 2015, puis averti le marché des aliments et compléments alimentaires en 2016, avant d’avoir été, déjà, victimes de censure.
Qu’à cela ne tienne, en voici un court résumé pratique :
Entre 2010 et 2015, des chercheurs européens, notamment italiens et espagnols, parfaitement indépendants, émirent suite à une série d’observations fort préoccupantes concernant l’accumulation de nanoparticules métalliques dans les organes vitaux, des conclusions relativement dramatiques, demandant eux-mêmes une expertise par les autorités sanitaires compétentes.
Or, en réponse à cette demande, les autorités compétentes, ou, peut-être, l’incompétence des autorités, fit ni plus ni moins disparaitre les publications en question, mais aussi museler les scientifiques ayant travaillé sur le sujet.
Pourquoi vouloir empêcher des chercheurs de faire leur travail ?
Parce que la recherche de l’époque travaillait justement en grande pompe sur de potentielles nanoparticules métalliques : or, argent, titane, cuivre, et j’en passe, pour tenter de trouver des débouchés miraculeux contre le cancer ainsi qu’un certain nombre de pathologies.
En effet, pour des esprits immatures, il est tentant de chercher des solutions promettant tout pouvoir sur leurs congénères.
Une industrie susceptible de vaincre le cancer par l’induction de nanoparticules d’or chargées de micro doses de chimiothérapies, ou éléments rayonnants, pouvant s’attaquer directement aux cellules cancéreuses, y œuvre à renfort de profits colossaux.
Pour parvenir à leurs fins les laboratoires ne cherchaient plus qu’une petite « télécommande ».
Et déjà, des magazines comme Science et Vie en vantaient largement les « miraculeuses » promesses.
Promesses qui, fort heureusement, se soldèrent à l’époque par un fiasco.
Fiasco tout à fait comparable aux campagnes vaccinales contre le H1N1 ainsi que les campagnes grippales suivantes.
Pourtant l’élan négatif, censurant l’information en y opposant une propagande gouvernementale de plus en plus totalitaire, était lancé.
La volonté d’uniformiser le monde n’allait bientôt plus passer par les rêveries du cinéma hollywoodien, mais par l’œil vigilant du médecin robotisé, lui-même contrôlé par un ordre comparable à une guilde marchande pour laquelle les medias conventionnels sont les chiens de garde de la bonne parole.
Instaurant un dictat de la pensée scientifique à avoir, de la pratique sanitaire à appliquer, ainsi que de la molécule à s’inoculer.
Et c’est donc à travers un conducteur tout à fait anodin, qui, une fois transformé à l’échelle nanoparticulaire ne l’est plus du tout, que la fameuse télécommande manquante est apparue devant les yeux ébahis des techniciens.
Le graphène, ou, plus exactement, le carbone, à savoir un dérivé industriel du charbon végétal.
Les différences et la similitude entre le graphène et le charbon activé
Du charbon activé, le graphène n’a qu’une forme moléculaire relativement proche, leur comparaison s’arrêtant là.
Une simple émulsion chimique à partir de pratiquement n’importe quel matériau suffirait à fournir une base pour la manipulation nécessaire à l’obtention d’une nanoparticule de graphène, ou d’un oxyde graphitique.
Une composition qui, au regard de certains chercheurs prétendant avoir travaillé sur ce type de projets, pourrait être polymorphique, c’est à dire revêtant à la fois l’échelle nanométrique dans sa première dimension et l’échelle micrométrique dans sa seconde.
Pour le dire plus simplement, c’est en quelque sorte la simulation d’un objet en deux dimensions dont l’une des dimensions diffère de l’autre.
Un peu comme une feuille de papier au format A4 : la différence entre la totalité de la surface et la tranche est telle, que la première dimension ne répond pas du tout au même comportement moléculaire.
Vous ne pourriez par exemple pas dessiner sur la tranche, mais facilement la faire passer sous une porte tandis que ce que vous avez dessiné sur sa surface n’aurait ainsi plus besoin de trouver la clé pour franchir le seuil.
Le message du dessin est bien là, cependant il n’aurait pas pu arriver de l’autre côté en conservant ne serait-ce que deux dimensions équivalentes à sa surface.
En d’autres termes, les molécules réduites à l’échelle nanométrique ont un comportement physico-chimique différent de leur état habituel, une molécule d’or, parmi les plus stables que nous connaissons actuellement, s’est par exemple avérée être extrêmement instable à l’échelle nanométrique.
Il semble donc évident que ces fameuses nanoparticules de graphène inquiétant tellement l’opinion publique et sur lesquelles nous entendons à peu près tout et son contraire, ont été conçues comme une sorte de cheval de Troie.
Quelles pourraient en être les conséquences et dans quel domaine les applications du graphènes sont-elles employées ?
C’est ce que nous allons voir tout de suite.
La vision féérique des techno-sciences en action
Pour reprendre la définition confirmant très directement ce que nous venons de voir plus haut, publiée par le NIH (1) :
« Le graphène présente une structure unique en 2-D et des propriétés physico chimiques exceptionnelles qui conduisent à de nombreuses applications potentielles. Parmi ces différentes applications, des applications biomédicales avec le graphène ont attiré des intérêts toujours croissants au cours des trois dernières années.
Dans cette revue, nous présentons un aperçu des progrès actuels dans les applications du graphène en biomédecine, en mettant l’accent sur la prestation de médicaments, la thérapie du cancer et d’imageries biologiques, ainsi qu’une brève discussion sur les défis et les perspectives de la recherche future dans ce domaine. »

Et, comme le montre clairement le schéma du document tiré de cette même source (2), le graphène pourrait très bien représenter non seulement un cheval de Troie dont la structure ne peut pas facilement être éliminée d’un organisme vivant, mais aussi une sorte de « plug » informatique, à traduire par base pour une extension numérique, utilisable pour de nombreuses applications étant déjà plus ou moins officiellement lancées.
On y dénombre notamment :
- La capacité à cibler des cellules grâce à la faculté ionisante du carbone, ou à véhiculer des armes biologiques mortelles pour les uns et inoffensives pour les autres.
- La capacité à se fixer près des globes oculaires pour servir de support trans oculaire, résoudre numériquement les problèmes de vue, ou augmenter l’acuité naturelle.
- Son potentiel à se montrer absolument indestructible et impossible à digérer, ni par des sécrétions naturelles, ni par des molécules comme le glutathion, souvent préconisé ces derniers temps. L’enveloppe de graphène semble impénétrable sans une activation bien particulière de sa charge ionisante.
- Sa capacité, liée aux technologies adéquates, à auto-réparer les tissus.
- Son effrayante proportion à servir de conducteur à une panoplie d’appareils nano-bio-électroniques, que seules les applications pour téléphone mobile pourraient égaler en nombre.
- Et, enfin, bien évidemment, sa capacité à délivrer des thérapies géniques ciblant directement « l’ennemi ».
Le véritable danger des nanoparticules de graphène
Que vous en croisiez une ou deux sur votre route n’est pas tant le problème.
Que la nature y soit confrontée dans une certaine mesure ne l’empêchera pas de prolonger ses majestueux cycles.
Cependant une accumulation non contrôlée dans l’un ou l’autre de ces écosystèmes pourrait lui être fatal.
Une fois de plus ce support, lui-même conçu pour enfermer des nanoparticules de différents types, n’aura souffert d’aucun questionnement éthique avant de voir les industries les plus puissantes au monde en faire de nouvelles applications commerciales.
Il existe par conséquent très peu de recul officiel sur les dangers du graphène.
Les plus alarmistes diront que ces formules sont des « vaisseaux » entraînant la mort à plus ou moins long terme, et les plus rassurants que ce ne sont que de nouvelles applications de la science qui serviront, cela va sans dire, à guérir tous les maux par le biais des biotechnologies.
Toujours est-il que ni le charbon, ni le graphène ne sont faits pour se balader dans le système sanguin, lymphatique ou musculaire.
Une accumulation de nanoparticules de graphène, en fonction des métabolismes, et jusqu’à un certain stade, peut très certainement avoir des conséquences dramatiques sur la zone touchée et, par voies de conséquences, celles qui en dépendent.
Cela, en tout cas, a ouvertement été montré en ce qui concerne les nanotubes de carbone.
Leur accumulation dans les sphères cardiaque et cérébrale a été mortelle dans de nombreux test in-vivo.
Il en va de même pour les nanoparticules d’argent, très largement utilisées dans le domaine médical et paramédical, les produits d’hygiène, l’électroménager, la beauté, etc.
Toutefois comme nous le disions précédemment, et depuis bien avant la crise que nous traversons ces dernières années, une chape de plomb scientifique pèse sur l’information concernant le danger des nanoparticules.
Malgré les interpellations de chercheurs britanniques les comparant aux nanotubes de carbone, ou pointant le danger des nouvelles batteries au graphène se préparant à voir le jour.
Finalement c’est entre Mars et Mai 2021 qu’une commission européenne commença, indirectement, à prouver les conséquences nocives des nanoparticules de graphène contenues dans les masques sur les poumons, en retirant ces derniers du marché. (3)
Si l’information a légèrement percé ces dix dernières années, pointant du doigt les nano additifs alimentaires et les produits de consommation massive comme les masques, elle n’en demeure pas moins volontairement obscure sur la grande majorité d’entre elles.
Et, parmi la majorité, l’oxyde de graphène trône en roi.
Les solutions naturelles aux détournements biomoléculaires
Après pratiquement sept ans de recherches, m’étant initialement penché sur des solutions complexes pour les chélater, il apparaît en définitive qu’il n’existe en première instance qu’une prévention fort simple, mais furieusement efficace.
Cette prévention c’est, encore et toujours, le charbon ultra activé Moso 3000.
Pourquoi ?
Pour deux raisons elles aussi simples et logiques.
1- Les nanoparticules ne peuvent, ainsi que je l’ai démontré dans mes précédents articles sur le sujet, être adsorbées que par cette forme bien particulière de charbon activé.
Ni l’argile, dont les merveilleuses vertus restent néanmoins fort complémentaires, ni aucun type de molécule chélatrice, n’a un tel pouvoir.
L’argile n’adsorbe pas, elle absorbe, comme une éponge, elle n’est donc pas en mesure de piéger les nanoparticules.
Quant aux chélateurs, en fonction des zones qu’ils sont susceptibles d’atteindre, ils ne pourront venir à bout d’une grande quantité de particules sans recourir à un régime drastique et en ciblant des périmètres potentiellement inconnus.
2 – Traditionnellement, en cas d’accumulation de charbon au niveau des poumons ou des globes oculaires suite à une inhalation excessive… il est conseillé de consommer du charbon activé en boisson.
Le charbon attirant naturellement à lui les molécules de carbone ainsi que les nanoparticules métalliques.
Si les preuves scientifiques concernant l’adsorption des nanoparticules vous ont été délivrées en temps et en heure au fil de mes lettres, il y a bien longtemps que l’élimination du charbon par le charbon est préconisée empiriquement, depuis et par Hippocrate lui-même.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Pour vous procurer le fameux Charbon végétal ultra activé Moso 3000, rendez-vous sur cette page :
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Sources et références :
- Une étude des nanomatériaux à base de graphène dans les applications biomédicales et des risques pour l’environnement et la santé : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30079344/
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Schematic overview of medical and non-medical applications of GBNs [118]. Copyright © Elsevier 2014 - http://veillenanos.fr/wakka.php?wiki=NanoGraphene
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La Zéolite a un pouvoir absorbant/encapsulant il me semble supérieur au charbon actif …j’ai fait +3 ans de chélation ML et j’ai largement constaté sa supériorité par rapport au Ch-PréAct… car la Zeolite a une microstructure tres complexe en éponge qui lui permet d’absorber les nanoparticlules grace a sa charge électrique négative qui va attirer comme un aimant les particules métalliques (ou autres contaminants en circulation dans les fluides) chargées positivement …surtout le Graphene qui réagit aux rayonnements EM environnants puissament en multipliant leur fréquence initiale par mille (je crois!) transformant des ondes téléphoniques « classiques » (4/5G) dans le spectre du… Lire la suite »