
Tout commença lorsque le gouvernement indien, disposant de brillants chercheurs indépendants des lobbies occidentaux, distribua aux citoyens infectés par le Covid-19 des compléments alimentaires de spiruline.
Peu de temps après, une étude paraît dans une publication scientifique officielle, le Journal International de Recherches en Sciences Pharmaceutiques, mettant en évidence la capacité de la Phycocyanine à inhiber la protéine nsp12, donc à éviter la réplication virale.
Or, c’est précisément ce processus naturel qui sert actuellement de base aux recherches vaccinales à ARN « du second millénaire ».
Depuis que les hommes politiques ont mis sur un piédestal la venue d’un futur et hypothétique vaccin censé mettre un terme à l’épidémie de coronavirus, il est à noter un fait troublant.
Bien que :
- leurs fabrications, transports et conservations coûtent une fortune colossale à l’environnement et à l’humain,
- la compréhension du réel danger que représentent leurs effets secondaires sera probablement encore incomplète pendant plusieurs années…
Ces nouveaux vaccins, ou plus exactement ces thérapies géniques à ARN, semblent toutes avoir un point en commun :
En empruntant des voies légèrement différentes, elles tentent d’inhiber une des protéines utilisées par le virus pour se dupliquer, la nsp12.
Et ce que l’International Journal Of Pharmaceutical Sciences And Research a officialisé avec cette publication (1), représente en soi la preuve que des millions de personnes et des centaines de billiards d’Euros ont, et vont encore, être inutilement sacrifiés et gaspillés.
Notons également que la division de Biotechnologies et Bioinformatique de l’école des Sciences Humaines du Tamil Nadu, en Inde, semble proche des chercheurs ayant fait la découverte d’un artefact de HIV-1 à l’intérieur de l’enveloppe du virus.
Bien que les premiers aient dû se rétracter sous la pression de la mafia médicamenteuse, avant la publication officielle dans le JPSAR de cette nouvelle étude, le gouvernement indien soutenait déjà « l’investigation de sources naturelles pour lutter contre le Sars-CoV-2 ou Covid-19 » tout en invitant ses citoyens, sans perdre de temps, à consommer d’énormes quantités de spiruline.
Etant donné la clarté et l’accessibilité volontaire de cette étude, je vous en propose ici une simple traduction guidée.
Menée in silico, c’est à dire à l’aide de complexes calculs et modèles informatiques, l’ingénierie biomédicale indienne était probablement la seule au monde à pouvoir fournir des données aussi précises, simples et détaillées.
Les dizaines d’autres études, réalisées à partir de 1976 et prouvant les bienfaits répertoriés de la Phycocyanine, y sont présentées en complément du raisonnement logique ayant motivé la mise en œuvre de cet étonnant rapport.
Vous les retrouverez partiellement dans les sources de mon premier article sur le sujet.
« La Phycocyanine inhibe la protéine nécessaire à la réplication du SARS-CoV-2
Afin de concevoir un traitement contre le virus, il est important de comprendre le mécanisme d’action du pathogène.
SARS-CoV-2 a montré avoir la capacité de se répliquer dans les cellules hôtes en utilisant des ARN dépendants de polymérases d’ARN – ou RdRp -.
Par la suite, les protéines non structurelles comme les nsp7, nsp8 et nsp12, dont la dernière est un RdRp, forment un ensemble complexe dépendant de l’ATP*. »
* Notons ici que l’ATP, qui est connu pour être LE nucléotide organique fournissant de l’énergie aux mécanismes cellulaires et organiques, est un des principaux apports de la Phycocyanine.
« … De récentes études ont montré que la protéine nsp12 joue un rôle majeur dans la réplication du virus.
Tandis que le monde attend un vaccin officiel, qui n’est toujours pas disponible, un traitement contre la pandémie est loin d’être trouvé.
… En l’absence de traitements contre la pandémie, la recherche de différentes stratégies et d’alternatives thérapeutiques est inévitable.
Le renforcement du système immunitaire pourrait être l’une des stratégies qui éviterait une infection virale des personnes saines.
Une telle stratégie a été initiée par le CSIR-CFTRI ou Central Food Technological Research Institute, avec le soutien du gouvernement d’Inde, en distribuant des compléments alimentaires contenant de la spiruline aux personnes infectées.
Bien que ce ne soit pas une procédure officielle de traitement, nous croyons que les algues possèdent des fonctions immunomodulaires qui pourraient être utiles à la régénération individuelle du système immunitaire.
Spirulina plantensis est initialement connue pour être une algue bleue-verte poussant dans un environnement hautement alcalin et spécialement utilisée pour sa forte valeur nutritionnelle, incluant acides aminés, vitamines, protéines, polysaccharides, ainsi que d’autres pigments.
Par la suite, des essais in vitro et des études sur les animaux menés avec des extraits de spiruline à l’eau froide – ou phycocyanine – sur la viabilité et la pathogénicité de différentes souches du virus influenza A, – ou grippe A – ont montré que l’extrait inhibait la formation de plaques virales et réduisait la réplication virale en culture cellulaire.
Et, très important, ces publications ont montré que la Phycocyanine est sans danger et bien tolérée, à très haute dose, par l’humain …
Des études in vivo en double aveugle menées sur des souris infectées par la grippe A auxquelles a été donné de l’extrait de spiruline, ont montré un bien meilleur taux de survie que le groupe témoin.
L’extrait de spiruline perturbe l’accumulation sanguine de particules virales dans les globules rouge, inhibant ainsi le processus d’infection. (2)
Certains composants de la spiruline comme le calcium spirulan, composé de sucres et de Phycocyanine, ont montré posséder des propriétés antivirales.
Il y a quelques temps des études in vitro ont révélé que le calcium spirulan était en mesure de traiter chez l’humain les virus de l’herpès et du sida. (3)…
Encore avant cela, il avait été démontré que la Phycocyanine présentait des caractéristiques apoptopiques typiques, comme la condensation nucléaire, la fragmentation ADN, le blanchiment de membranes et le rétrécissement des cellules.
Les applications de la Phycocyanine sur les tumeurs humaines ont permis de constater qu’elle stoppe le cycle cellulaire à la phase G0/G1 bloquant la synthèse de l’ADN, ce qui indique une inhibition de la prolifération des cellules tumorales. (4)
Puisque la Phycocyanine a prouvé qu’elle possède plusieurs bénéfices pour la santé, la présente étude vise à comprendre si la Phycocyanine a des propriétés antivirales contre le SARS-CoV-2 par le biais d’une approche in silico. »
Les suites de l’étude l’expliquent en détail, les banques de données utilisées ainsi que les logiciels informatiques motorisés par des ordinateurs à la pointe permettant des modélisations 3D d’une précision subatomique.
Différents schémas et analyses y montrent comment la duplication du SARS-CoV-2 est inter-dépendante de la protéine nsp12, que la Phycocyanine inhibe rapidement en automodulant le processus viral ciblant le système immunitaire.
Il est crucial de noter ici que malgré le fait que ces recherches soient validées scientifiquement depuis le mois de septembre 2020 et soutenues par le gouvernement d’Inde, les pays occidentaux tout comme la Chine continuent leurs mesures liberticides et ruinent l’économie mondiale.
Tout cela pour un vaccin reconnu publiquement comme un « cheval de Troie » contenant des nanoparticules de synthèse, farci d’artefacts viraux et de fragments d’ADN transgéniques.
Le bilan de l’étude suggérant l’efficacité de la Phycocyanine contre le Covid-19 est le suivant :
« Étant donné que le monde cherche des solutions immédiates, que ce soit avec les médicaments ou des vaccins, nous avons pris en compte l’algue bleue-verte Spirulina plantesis…
Plus précisément, nous avons ciblé un de ses ingrédients les plus importants, la Phycocyanine, pour ses propriétés anti-virales contre le SARS-CoV-2…
Les premiers résultats ont clairement montré que la Phycocyanine interagit avec le RdRp nsp12 – ou système protéique nsp12 – du SARS-CoV-2, qui est également la cible des recherches de plusieurs médicaments.
Au meilleur de nos connaissances, c’est le tout premier rapport montrant que la Phycocyanine cible particulièrement le site actif de la protéine principalement responsable de la duplication du virus. »
Même en l’absence d’études en double aveugle comme ce fut le cas pour les souris infectées par la grippe A, les chercheurs pensent que ce rapport est largement assez solide pour réclamer une comparaison dynamique immédiate et une approche quantique de la phase in vitro des expériences.
En conclusion de cette analyse magistrale l’équipe ayant conduit les recherches déclare sans ambiguïté :
« Consommer des compléments alimentaires concentrés en spiruline peut être une des stratégies pour combattre cette pandémie mortelle. »
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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Sources et références :
- La C-Phycocyanine de la spiruline inhibe la nsp12 requise pour la réplication du SARS-CoV-2 : une nouvelle constatation in silico : Raj TK, Ranjithkumar R, Kanthesh BM and Gopenath TS: C-phycocyanin of Spirulina plantesis inhibits NSP12 required for replication of SARS-COV-2: a novel finding in-silico. Int J Pharm Sci & Res 2020; 11(9): 4271-78. doi: 10.13040/IJPSR.0975-8232.11(9).4271-78
- L’extrait de spiruline bien toléré inhibe la réplication du virus de la grippe et réduit la mortalité induite par le virus : Yi-Hsiang C, Gi-Kung C, Shu-Ming K, Sheng-Yu H, I-Chen H, Yu-Lun L and Shin-Ru S: Well-tolerated Spirulina extract inhibits influenza virus replication and reduces virus-induced mortality. Scientific Reports 2016; 6: 24253
- Un polysaccharide sulfaté naturel, le spirulane de calcium, isolé de Spirulina platensis: évaluation in vitro et ex vivo des activités du virus anti-herpès simplex et du virus de l’immunodéficience humaine : Kyoko H, Hayashi T and Kojima I: A Natural Sulfated Polysaccharide, Calcium Spirulan, isolated from Spirulina platensis: In-vitro and ex-vivo evaluation of anti-herpes simplex virus and anti-human immunodeficiency virus activities. Aids Research and Human Retroviruses 1996; 12 (15): 1463-71
- La C-Phycocyanine d’Oscillatoria tenuis a présenté une activité antioxydante et antiproliférative in vitro par induction de l’apoptose et arrêt du cycle cellulaire G0 / G1 : Thangam R, Suresh V and Princy WA: C-Phycocyanin from Oscillatoria tenuis exhibited an antioxidant and in-vitro antiproliferative activity through induction of apoptosis and G0/G1 cell cycle arrest, Food Chemistry 2013; 140(2): 262-72
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Il y a également une production de spiruline dans la Drôme à Cléon d’Andran qui est aussi très bonne