
Que l’on soit pour ou contre les masques et la vaccination, que l’on pense qu’ils soient salvateurs ou dangereux, personne ne peut plus ignorer les dommages collatéraux que l’une ou l’autre de ces méthodes entraine.
Tout comme personne ne peut plus nier que certains principes naturopathiques fondamentaux sont plus que jamais indispensables pour combler les carences de notre époque.
Quelles que soient nos convictions il nous faut bien reconnaître qu’en l’absence des vertus d’une profonde régénération organique, l’empoisonnement nous guette.
Pour les plus de quarante-cinq ans le choix de se vacciner ou non, que ce soit pour faciliter son quotidien ou répondre aux exigences d’un système de santé ne respectant plus la volonté individuelle de chacun(e), n’est pas chose aisée.

Qui, aujourd’hui, sait comment passer au travers des mailles de ce filet sanitaire semblant s’organiser autour des lieux publics et transports, dans le cœur des activités professionnelles et physiques, certaines crèches, restaurants, théâtres et cinémas ?
Il existe pourtant une protection universelle, la plus puissante que notre époque ultra technologique soit en mesure de vous apporter.
« La précieuse égide, inaltérable et pure », vous aidera à rester aussi bien à l’abri des molécules de synthèse que d’une surabondance de nanoparticules aussi peu étudiées qu’improbables, tout en veillant au bon déroulement de vos fonctions organiques.
Une capacité d’adsorption à la variété sans pareille
La grande majorité des spécialistes l’ayant sérieusement étudié sont unanimes.
Depuis les études anticipées du chimiste Bertrand en 1813, la science dispose de preuves plus que tangibles.
Par exemple, contre des intoxications graves comme une overdose de barbituriques, il a été démontré que 25 à 50 grammes de charbon activé pouvaient être utilisés pour adsorber rapidement jusqu’à 93% du poison. (1)
À partir de 2016, il a été recommandé dans près de 5% des cas d’urgences hospitalières allemandes.
Bien qu’encore timides, ces prescriptions ont été suivies par des recherches dans les hôpitaux ayant eu le grand avantage de préciser les seuils d’utilisation pour adultes et enfants. (2)
Montrant que pour un enfant le dosage approprié en fonction de son âge, est de 1 gramme par kg.
Et pour un adulte l’équivalent en charbon actif de dix à quarante fois la dose de substance intoxicante, est requis contre une ingestion mortelle.
D’une manière plus générale, il a été noté que pour les cas les plus graves une dose de 50 grammes, pouvant aller jusqu’à 100 grammes divisés en deux doses journalières, était un seuil à ne pas dépasser afin d’éviter des risques d’occlusion intestinale.
Risques que l’on observera d’ailleurs plus volontiers avec les formes chimiques que les formes activées naturellement.
Des études plus précises du centre toxicologique de Philadelphie montrent qu’un empoisonnement à la colchicine a pu être endigué à plus de 90% en moins de vingt minutes, avec seulement 5g de charbon végétal activé pour une tablette de vingt comprimés de colchicine ingérée. (3)
Après une expérience libre menée à l’hôpital en se basant sur l’intoxication mineure d’un groupe de volontaires à un mélange d’aspirine, de mexiletine et d’acide tolfenamique :
Il a été observé qu’une dose de 25 grammes de charbon activé, donnée cinq minutes après l’ingestion, adsorbait 75% à 98% des substances, contre seulement 10% à 60% si elle était prise une heure après l’empoisonnement. (4)
D’autres encore montrent que contrairement à la croyance populaire, le charbon végétal activé participe significativement à la protection des reins ainsi qu’à l’atténuation de pathologies rénales. (5)(6)
Bien que les scientifiques ne comprennent pas comment une adsorption se déroulant dans le tractus intestinal, supposée ne capturer que les molécules toxiques en présence, puisse détoxiquer des zones extérieures à la sphère gastro-intestinale comme les reins, le foie, le cœur, et même le cerveau et les poumons.
Les résultats sont bien là.
Il a également été souligné qu’il protège de trop hauts taux de p-crésyl sulfate et d’indoxyl sulfate, évitant efficacement par ce biais les perturbations intestinales induites par les maladies rénales chroniques. (7)
Et, outre sa capacité à évacuer les toxines dérivées du microbiome, le charbon actif a aussi des propriétés non spécifiques lui permettant de contourner la réponse inflammatoire en adsorbant les ribooligonucleotides. (8)
Conjointement à sa capacité directe à inactiver les virus. (9)
Toujours est-il que la plus passionnante et la plus récente des recherches qu’il m’ait été donné d’étudier dans l’actualité médicale, nous allons le voir, implique la capacité du charbon végétal activé à libérer le tractus gastro-intestinal des conséquences du Covid-19.
Le charbon ultra activé et le Covid-19
Se basant en partie sur les résultats que nous venons d’observer, une hypothèse fort intéressante éclairant les suspicions d’interactions entre l’infection au virus et sa propension à parasiter la sphère gastro-intestinale, analyse en détail le rôle du charbon activé sur le Covid.
Soutenue par une investigation réalisée sur la caractérisation d’organoïdes intestinaux extensibles dérivés de chauves-souris fer à cheval de l’espèce Rhinolophus sinicus, récapitulant le processus de l’épithélium intestinal de chauve-souris.
Qui montre, entre autre, que ces entéroïdes de chauve-souris sont sensibles à l’infection par le SARS-CoV-2, provoquant une importante réplication virale.
Les chercheurs ont constaté que le développement de symptômes gastro-intestinaux chez certains patients atteints du Covid-19 et la détection de l’ARN viral dans les échantillons fécaux, suggèrent que le SARS-CoV-2 pourrait provoquer une infection entérique susceptible de se cumuler à l’infection respiratoire. (10)(11)
Ils démontrent qu’il y a une réplication active du SARS-CoV-2 dans les organoïdes intestinaux humains, en procédant à l’isolement du virus infectieux à partir d’échantillons de selles d’un patient atteint de Covid-19 diarrhéique.
Établissant un système de culture extensible pour les organoïdes de l’épithélium intestinal de chauve-souris, ils prouvent que le SARS-CoV-2 peut infecter les cellules intestinales de chauves-souris.
Puis, établissent un parallèle avec une « robuste » réplication du SARS-CoV-2 dans les organoïdes intestinaux humains, suggérant que le tractus intestinal puisse également être une voie de transmission du SRAS-CoV-2. (12)
La figure suivante illustre schématiquement le processus en question. (13-Fig1)
On y voit l’activation induite par le microbiome intestinal de la boucle d’amplification de l’oxydant Na / K-ATPase dans les adipocytes, exacerbant l’inflammation des infections au Covid-19.
Un surprenant parallèle est ensuite fait entre le microbiome, provoquant l’augmentation de l’absorption du sulfate d’indoxyle ou IS, et du sulfate de p-crésyle ou PCS, qui, à leur tour, viennent activer la signalisation Na / K-ATPase.
Ce qui entrainerait, tenez-vous bien, une amplification par anticipation de la production de ROS et de cytokines.
Bien que ce ne soit pour le moment qu’une hypothèse, ces analogies pourraient expliquer un des chemins de l’attaque cytokinique ainsi que des processus inflammatoires aigus du SARS-CoV-2.
Les chercheurs montrent ainsi que le ROS augmentant également l’expression d’ACE2, l’infection adipocytaire liée au Covid-19 se trouve à la fois facilitée et exacerbée par ce processus.
Puis l’étude conclut sur le principe que les formes graves du Covid pourraient être largement atténuées grâce au charbon végétal activé, tout simplement en assurant une diminution de l’absorption d’IS et de PCS dérivés du microbiome. (14)
Tout en réduisant l’impact des processus inflammatoires, il semble à même d’endiguer les orages cytokiniques et réactions immunitaires ayant montré s’attaquer indifféremment aux poumons, au cerveau ou au cœur.
Non seulement en améliorant rapidement la condition des personnes âgées, obèses, des défaillants rénaux, et de ceux souffrant d’hypercholestérolémie (15), mais aussi en stabilisant la capacité organique à évacuer les toxines et pathogènes susceptibles d’aggraver l’invasion virale.
Toutefois c’est peut-être aussi sa faculté à diminuer le stress oxydatif par une synergie de moyens aussi évidents que subtils, que le charbon végétal activé brille tout particulièrement.
Renforçant solidement un processus de protection spontané, face auquel les vaccins du monde entier se posent en ennemis naturels.
Le charbon végétal ultra activé et la vaccination
Lorsqu’il est question du transport lipidique de nanoparticules non identifiées apportant des micro charges virales, rien ni personne ne peut garantir à l’heure actuelle une totale immunité.
Néanmoins, en lisant attentivement ces conseils, il vous sera très probablement possible d’en éviter la majorité des troubles les plus immédiats.
Bien que l’on ne puisse apprécier d’étude mentionnant directement l’adsorption des molécules vaccinales par le charbon activé, en plus des médicaments et substances synthétiques listés plus haut, de nombreuses recherches recensent un peu plus chaque jour les particules qu’il est susceptible de désactiver et d’évacuer.
C’est notamment le cas de la thyroxine et de l’insuline synthétique, mais aussi du cortisol, mettant en évidence sa capacité à capturer des hormones, qu’elles soient libres de protéines ou non. (16)
Au-delà de la vaccination et du Covid, c’est donc un agent détoxiquant hors pair pour se débarrasser des surplus hormonaux dus aux thérapies chimiques destinées, par exemple, aux troubles de la thyroïde.
Et ce qu’il est intéressant de noter pour mieux comprendre pourquoi et comment le charbon végétal activé est sans l’ombre d’un doute le meilleur antidote au vaccin, c’est sa capacité inégalable à aimanter les métaux lourds.
Mis à part le lithium et le fer, et respectant parfaitement la présence de magnésium en évitant purement et simplement toute interaction avec lui, les formes métalliques susceptibles de tomber dans le tractus intestinal seront aspirées, capturées, puis évacuées dans les selles. (17)
Une faculté pour laquelle il excelle particulièrement dans le milieu sanguin. (18)
Nettoyant assidûment une si vaste quantité de toxiques et toxines, qu’ils soient naturels ou chimiques, nanoparticulaires ou non, que depuis la nuit des temps le charbon activé est au bon fonctionnement de l’organisme ce que l’argile est à la terre.
Plus précisément, il a récemment été fait mention de sa capacité inattendue à capter les nanoparticules d’argent (19) et nanocristalines. (20)
Cependant pour apprécier totalement cette interaction alchimique des éléments, il faut d’abord redécouvrir tout le potentiel du charbon activé.
Charbon activé synthétiquement et charbon végétal naturellement activé
Pour produire un bon charbon activé, qu’il soit à base de noix de coco, d’eucalyptus, de bambou ou d’autres bois n’aura strictement aucune importance, s’il n’est pas activé naturellement et préparé avec soin.
Bien que la grande majorité des charbons activés disponibles à la vente se prétendent d’origine végétale, c’est généralement un abus marketing.
Plus de 97% du charbon activé produit dans le monde subit un traitement industriel censé économiser le temps normalement nécessaire, soit une longue semaine de préparation artisanale, qui consiste à mélanger du bois de mauvaise qualité ou des résidus de cultures industrielles à un acide tentant de simuler le processus naturel.
Il est probable que les études et expériences évoquées dans cet article aient été réalisées avec une forme de charbon activé synthétiquement, expliquant une évacuation seulement partielle dans certains cas.
Pour donner un aperçu de la structure d’adsorption du bambou, cette photo au microscope d’un charbon correctement activé et micronisé vous donnera une idée précise de la géométrie variable de mailles inextricables, permettant une porosité capturant définitivement les polluants. (21-Fig2)
Mais après activation il doit impérativement être réduit dans une dimension allant de 5 à 8 microns maximum, afin de piéger correctement les nanoparticules. (22)
C’est uniquement dans ces conditions que le charbon végétal activé sera réellement naturel, c’est à dire :
- qu’il conservera une importante partie de ses minéraux et de ses fibres,
- qu’il évitera de vous intoxiquer en véhiculant des résidus chimiques vers l’organisme,
- et surtout, qu’il vous offrira un taux d’adsorption dépassant de plus d’un tiers la capacité des formules les plus puissantes actuellement disponibles.
Après avoir moi-même été dupé par des charbons se faisant passer pour ce qu’ils ne sont pas, m’étant personnellement impliqué dans une recherche allant de la source jusqu’aux questions éthiques, dont nous reparlerons bientôt, j’ai réalisé qu’il n’y a qu’une toute petite poignée d’artisans dans le monde capables de prétendre à la production d’un véritable charbon activé naturellement dans les règles de l’art.
Après l’avoir testé pendant une assez longue période, j’ai pu constater pourquoi, en plus des points que nous venons d’évoquer, le charbon végétal moso activé au feu de bois est incomparablement supérieur à tout autre forme mise sur le marché.
Ce n’est plus le charbon industriel irritant la muqueuse intestinale, constipant et provoquant des diarrhées… grâce à un long conditionnement issu d’une connaissance ancestrale, en plus de jouer son rôle drainant le charbon activé devient ce qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être : Un considérable apport de fibres et d’oligo éléments stabilisant et renforçant les processus d’évacuation tout en douceur.
À mes yeux c’est une révolution intestinale incomparable avec les autres formes que j’ai pu tester, y compris celle dont j’ai récemment parlé.
Étant donné que c’est un savoir aussi précieux qu’ancien, malgré mon expérience en la matière, il m’a fallu un certain temps avant de pouvoir faire la différence entre un charbon de bambou moso et un charbon de bambou tigre.
D’ailleurs des entrepreneur(ses) peu scrupuleux(ses) n’hésiteront pas à aller jusqu’à produire de fausses analyses pour faire passer le bambou tigre pour du bambou moso, à un public non averti.
Bien que ce soit un moindre mal, les deux étant vraiment activés naturellement et répondant aux critères principaux du charbon de bambou activé, seul le moso est correctement micronisé.
Le bambou tigre, lui, cultivé industriellement bien plus au nord de la province où pousse le moso depuis des millénaires, est micronisé à 10 microns ou plus.
Un minuscule écart de 2 µm qui, selon les scientifiques, explique la différence entre une activation à 2000m2 et une autre à 3000m2.
À savoir le fameux tiers d’adsorption supplémentaire évoqué précédemment.
Le charbon ultra activé moso 3000 et son inégalable apport de fibres et d’oligo éléments
Contrairement au bambou tigre, le charbon végétal ultra activé moso vient d’une bambouseraie sauvage, intouchable par l’agriculture japonaise et les intrants chimiques, enclavée au sud-est du pays dans un lieu se tenant à l’abri des accidents survenus à l’autre bout de l’île.
Sur cette base, sa qualité de fabrication est telle que les fibres et nutriments résistent dans une proportion que je n’avais jamais observée dans un charbon végétal activé.
Chose impensable avec du charbon activé chimiquement, celui-ci semble être encore vivant.
Pour preuve j’en tiens l’analyse nutritionnelle m’ayant été directement fournie par le producteur :
- Fibres alimentaires 95,6%, plus absorbantes que le psyllium, adoucissant notablement les réactions dues aux éléments toxiques drainés par le charbon activé.
- Potassium 1260 mg pour 100g, un minéral prépondérant pour le bon déroulement des contractions cardiaques et musculaires, qui est aussi utile à la transmission des messages nerveux, la sécrétion d’acide gastrique, ou encore la régulation rénale des ions de sodium.
- Phosphore 152 mg pour 100g, renforçant la solidité de la structure osseuse et des dents.
- Magnésium 97,8 mg pour 100g, fondamental pour lutter contre le stress oxydatif, mais aussi les tensions nerveuses et musculaires.
- Calcium 53,5 mg pour 100g, représentant un précieux apport biodisponible et adapté aux carences humaines.
- Fer 8,84 mg pour 100g, un minéral indispensable pour lutter contre les infections et renforcer les défenses organiques.
- Manganèse 5,38 mg pour 100g, en quantité raisonnable.
Et, bien que ce soit dans des proportions presque négligeables, on pourra y noter la présence colloïdale de zinc, de sodium, et de cuivre.
Une cure de charbon végétal activée réussie
Même en l’absence de troubles particuliers, comme nous l’avons vu, il est tout à fait souhaitable et même conseillé d’entreprendre une cure interne de charbon une à plusieurs fois par an, tant pour se purifier que pour se détoxiquer.
Voici comment il convient de procéder :
→ Pour un adulte la cure de drainage se fait avec deux cuillères à soupe, en évitant soigneusement de choisir une matière métallique risquant de désactiver la capacité d’adsorption du charbon, au moins 15 minutes avant chaque repas, diluées dans un verre d’eau.
La cure se déroule pendant quinze jours minimum, mais peut aller jusqu’à deux mois pour une décontamination totale.
Et pourra même se poursuivre avec une cuillère à soupe par jour le mois suivant, pour finir de drainer l’organisme encore plus en profondeur.
→ Pour un enfant, on divisera les cuillères à soupe par deux en les remplaçant par des cuillères à café, toujours non métalliques.
À moins d’une intoxication très grave, quinze jours suffiront au processus de nettoyage complet, éliminant l’ensemble des molécules iatrogènes cycles digestifs après cycles digestifs.
Si l’on veut éviter d’avoir les lèvres et les dents noircies par le charbon, il suffira d’utiliser une paille en bambou pour contourner cet inconvénient.
Par ailleurs, notez qu’il est totalement inutile de consommer du charbon et de l’argile en même temps, l’un annulant l’action de l’autre.
En revanche, prendre de l’argile le matin et du charbon le soir est tout à fait possible et recommandé pour optimiser une cure intestinale.
La pureté de l’essentiel
Au regard de ce que nous venons de voir la solution que je vous conseille pour entamer une cure est la seule, la dernière et l’unique que je vous suggèrerai en la matière.
Garantissant tant une efficacité optimale que des analyses particulièrement poussées montrant l’absence de métaux lourds, de désactivation malencontreuse, ou de traces de radiations inhabituelles.
Une jeune entreprise bordelaise, qui a eu la gentillesse de nous faire profiter de sa trouvaille avant tout le monde, m’a ainsi communiqué l’intégralité des résultats d’analyses dont j’ai pu directement vérifier l’authenticité, pour mettre à votre disposition en exclusivité les premiers pots de charbon moso 3000 Jundo.
Et, chose rare, en plus de la qualité du remède, j’ai aussi pu m’assurer de l’absence d’éléments nocifs ou compromettants qui auraient pu se glisser dans l’emballage.
Optant pour un plastique propre facilement recyclable, économisant les déchets en utilisant 98% de la surface du pot, certifié exempt de nanoparticules, métaux lourds, phtalates et bishpénols, le conditionnement est garanti par la sécurité alimentaire et réalisé en France.
Par ailleurs, la dimension du pot et le choix de sa forme en font le premier « facile à doser » dans sa catégorie.
La poudre étant d’une finesse remarquable grâce à sa micronisation certifiée JAS, le standard bio très exigeant de l’alimentation nippone, il vous suffira d’incliner le flacon en tapotant à peine dessus pour disposer d’une dose équivalente à une cuillère, directement dans le fond de votre verre.
Attention cependant, je rappelle à toutes fins utiles qu’une dose de charbon doit être prise au moins deux heures avant tout autre médication ou remède naturel, sous peine d’annihiler purement et simplement les effets du médicament.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Pour trouver le seul véritable charbon végétal ultra activé moso 3000, trois fois plus adsorbant qu’un charbon classique, certifié sans polluants extérieurs et préparé traditionnellement dans le plus pur art de la carbonisation du bambou moso japonais, avant d’être conditionné à la main, rendez-vous ici :
Charbon végétal ultra activé Moso 3000
Sources et références :
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/3659250/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31219028/
- https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5942148/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/6508975/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7436164/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7566302/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23689670/
- https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/0003269766901898
- https://pubs.acs.org/doi/abs/10.1021/es991097w
- Fei Xiao, Tang M., Zheng X., Liu Ye, Li X., Hong S. Evidence for gastrointestinal infection of SARS-CoV-2. Gastroenterology 158, 1831–1833 (2020).
- Wang, D. et al. Clinical characteristics of 138 hospitalized patients with 2019 novel
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32405028/
- Figure 1 :
- https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7416710/#b0100
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/2874369/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/6396457/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26462072/
- https://link.springer.com/chapter/10.1007%2F978-3-540-36841-0_844
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30029114/
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19435087/
- Figure 2 :
- https://link.springer.com/chapter/10.1007%2F978-3-540-36841-0_844
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Se qui serait bien, ce serait de faire de la prévention. Beaucoup de possibilités existent à ce jour. Bonne journée max.