Une immunité de fer sans complément alimentaire 

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Durant les périodes de pandémies tous les moyens sont bons pour activer, voire réactiver son système immunitaire. 

Et rien ne devrait pouvoir vous induire en erreur sur ce point, votre immunité naturelle est la clé à tous vos problèmes de santé. 

À dire vrai, avec l’aide de son plein potentiel, vous ne devriez même pas expérimenter la maladie. 

Cependant, même les plus prudents ne sont pas en mesure d’échapper totalement aux pollutions diverses et variées, tout comme aux modes de vie dénaturant le bon fonctionnement du vivant. 

À cela on a immédiatement le réflexe d’opposer une armada de remèdes et compléments alimentaires, visant à renforcer l’immunité. 

Mais est-ce vraiment l’unique stratégie ? 

Un naturothérapeute compétent vous dirait que non, voici pourquoi…

Comprendre le système immunitaire et son fonctionnement

Le système immunitaire est un réseau complexe de cellules, de tissus et d’organes travaillant ensemble pour défendre le corps contre les envahisseurs étrangers tels que les bactéries, virus, champignons, parasites, mais aussi face aux agressions extérieures, polluants et accidents nécessitant une capacité d’auto-réparation.

Toutefois les scientifiques modernes reconnaissent deux différences fondamentales dans la gestion des processus immunitaires : 

L’immunité inné :

Désignant une fonction du système immunitaire constituant la première ligne de défense contre les envahisseurs, présente dès la naissance et réagissant rapidement à travers des mécanismes comme le microbiome.

Elle inclut des barrières physiques comme la peau et les muqueuses, mais aussi les macrophages, les neutrophiles, et les cellules NK ou natural killer, ainsi que des protéines antimicrobiennes.

Un véritable « space opera » consistant à envoyer les cellules du système immunitaire inné reconnaître et attaquer immédiatement ce qui est étranger au corps.

L’immunité adaptative ou acquise :

Cette capacité spéciale de l’immunité se développe au cours de l’existence à mesure que l’organisme se voit exposé à différents pathogènes, offrant une réponse spécifique et ciblée contre les invasions.

Concernant tout particulièrement les lymphocytes B et T, responsables de la production d’anticorps et de la reconnaissance des antigènes spécifiques, bien qu’apparemment simple, son fonctionnement peut s’avérer bien plus subtil qu’il n’y paraît.

Les lymphocytes B produisent des anticorps se liant aux antigènes des envahisseurs pour les neutraliser, tandis que les lymphocytes T détruisent les cellules infectées.

Cette forme d’immunité déroute les scientifiques par le principe de « cognition » qu’expriment des cellules dans la mesure où elles possèdent une mémoire immunologique rendant possible une réponse rapide et précise lors de futures expositions aux mêmes pathogènes.

Le fonctionnement du système immunitaire

Le système immunitaire différencie les cellules organiques et les substances étrangères.

Les cellules du corps contiennent des protéines appelées auto-antigènes, tandis que celles venant de l’extérieur ont des antigènes étrangers.

Les premières « étiquetant » les secondes pour pouvoir les cibler et les détruire.

Menant principalement les globules blancs ou leucocytes, tout comme les macrophages et les neutrophiles, à circuler à travers le sang et les tissus pour repérer et éliminer les dangers.

Les lymphocytes B et T permettent quant à eux, lorsqu’ils fonctionnent de manière optimale, une réponse plus spécifique et adaptative.

Or, comme nous venons de le voir, l’immunité adaptative se souvient des pathogènes déjà rencontrés, « immunisant » son hôte contre toutes les formes de vie croisées au cours de son existence.

Lui conférant un répertoire de connaissances immunitaires afin de vivre, par exemple, plus facilement dans les mêmes conditions climatiques, géographiques et physiques auxquelles l’organisme est habitué. 

Conditions affectant le système immunitaire

Cet ensemble de systèmes inhérents à la survie de l’être humain et son adaptation à son environnement, ne pouvaient originellement s’altérer que très momentanément, principalement par l’ingestion d’aliments et plantes mal choisis, la malnutrition et la détérioration organique naturelle. 

Malheureusement, depuis l’ère moderne et sa surabondance de pollutions de synthèse, votre système immunitaire n’est plus « déstabilisé » par une consommation sporadique ou l’abus de tel ou tel aliment, il est confronté à des polluants s’installant de manière permanente. 

Et plus la cadence, la nocivité, l’intensité des substances inhalées, avalées, injectées, s’amplifient, plus sa capacité adaptative est biaisée, ne pouvant plus discerner la réelle nature du danger. 

Ainsi, les recherches ayant mené à la production d’aliments, bactéries, virus, ou tout organisme vivant manipulé génétiquement, mais également la surabondance de substances chimiques dans les produits de consommation, favorisent exponentiellement l’apparition de nouvelles formes d’affections traduisant les conséquences d’une immunité déroutée voire débilisée. 

À savoir :   

Les allergies : Consistant en un ensemble de réactions d’intensité variable, pouvant occasionnellement être mortelles, où le système immunitaire réagit plus ou moins violemment à des substances normalement inoffensives.

Les maladies auto-immunes : Consistant en une mésinterprétation du danger par l’immunité acquise, menant le système immunitaire à attaquer les cellules et organes de son propre corps.

L’immunodéficience : Conditions héréditaires de dégénérescence, où l’immunité acquise ne fonctionne pas de manière optimale.

Et les maladies infectieuses : Batailles organiques causées par des germes, virus, ou tout autre forme de micro-organismes colonisateurs, qui ne devraient se produire, en présence d’un système immunitaire parfaitement fonctionnel, que très rarement. 

Si l’immunité joue un rôle essentiel, selon les naturopathes elle ne serait rien sans le terrain. 

Origines de la notion de terrain

La notion de « terrain » remonte à l’Antiquité, où des médecins grecs comme Hippocrate considéraient la santé comme l’équilibre des quatre humeurs : sang, phlegme, bile jaune et bile noire.

Cette théorie des humeurs mettait l’accent sur l’individu et son environnement interne en tant que facteurs déterminants de la santé et de la maladie.

Évolution au Moyen-Âge et à la Renaissance

Au Moyen-Âge, les médecines arabe et européenne ont continué à s’appuyer sur la théorie des humeurs, en y ajoutant des éléments astrologiques et alchimiques.

Par exemple, Avicenne et Paracelse ont contribué à enrichir cette approche en intégrant des concepts plus larges de l’influence de l’environnement et des forces naturelles sur la santé.

Approches modernes

Avec l’avènement de la médecine moderne, la théorie des germes de Louis Pasteur et le lobby naissant de l’industrie pharmaceutique, ont mis l’accent sur les agents pathogènes comme principales causes de maladie. 

Cependant, Antoine Béchamp, contemporain de Pasteur, a soutenu une théorie du terrain, affirmant que la susceptibilité d’un individu à une maladie dépendait de son état interne ou terrain.

Béchamp soutenait notamment que les microzymas, de petites particules vivantes présentes dans les cellules, étaient influencées par le terrain, et que les maladies se développaient en raison de déséquilibres dans le terrain plutôt que de la simple présence de germes.

Recherches récentes et applications actuelles

De nos jours, la notion de terrain trouve des applications dans diverses approches holistiques et naturopathiques.

Par exemple, la médecine fonctionnelle examine les déséquilibres biochimiques et métaboliques individuels pour prévenir et traiter les maladies chroniques.

Les recherches modernes sur le microbiome intestinal montrent également l’importance de l’équilibre interne pour la santé globale et le système immunitaire.

Les thérapies naturopathiques et les régimes alimentaires personnalisés visent à améliorer le terrain pour prévenir les maladies.

À présent si vous voulez mon avis, mais seulement si vous le voulez, Béchamp et Pasteur avaient tous les deux partiellement raison.

Si ce n’est que l’approche thérapeutique de Béchamp est bien plus subtile et intelligente que celle de Pasteur, mais impossible à transformer en profit pharmaceutique. 

Il existe des micro-organismes colonisateurs tant intra-cellulaires qu’extra-cellulaires, et ni les uns, ni les autres, ne devraient pouvoir venir à bout des barrières immunitaires d’un terrain soigneusement entretenu, quelle que soit leur dangerosité présumée.

Leur nom, ou le rôle que l’on puisse leur donner, ne dépend ensuite que de questions de point de vue et terminologies. 

Étant donné que la science moderne et tout son arsenal technologique ne peut que spéculer sur ce point, voire contraindre à un compromis scientifique quelque peu brutal et impartial, je vous invite à développer votre point de vue sur le sujet dans les commentaires, et si vous le souhaitez un article plus complet pourra y être consacré à l’avenir. 

Cependant la question demeurant en suspens étant, quelle est la meilleure stratégie pour rendre à l’immunité tout son potentiel dans le contexte de la vie moderne ? 

Un seul remède pour la détox cellulaire, l’équilibre sérique, la dépollution organique et les fonctions immunitaires  

Avant de penser à cumuler ou accumuler une panoplie de « boosters » immunitaires, pouvant par ailleurs s’avérer fort utiles, il convient de remettre les pendules à l’heure. 

Et par là j’entends, restituer à l’immunité un terrain sain. 

Pour ce faire de nombreuses méthodes existent, c’est par exemple le pouvoir majeur du jeûne. 

Un bon jeûne permet au système digestif, au foie, aux intestins, aux reins, donc au système sanguin dans son intégralité, de se régénérer totalement et ainsi de se rendre à 100% disponible à ses défenses naturelles. 

C’est pourquoi il n’est pas rare d’observer la rémission de maladies aussi lourdes que le cancer, avec un simple jeûne. 

Toutefois étant donné que le jeûne n’est pas, ou en tout cas pas encore, à la portée de tous, il existe une solution similaire, tout en étant largement moins drastique. 

La cure de charbon ultra activé Moso 3000

Qui devra néanmoins, en tout cas pour parvenir à des résultats similaires au jeûne, se concevoir à l’aide d’une diétothérapie choisie en fonction de vos habitudes. 

En quelques jours de cure thérapeutique, les micropores du Moso vont vous permettre d’éliminer les excédents de : 

  • Nanoparticules
  • Métaux lourds
  • Virus
  • Bactéries
  • Micro-organismes non endogènes
  • Résidus chimiques et synthétiques
  • Cholestérol
  • Minéraux dans le sang

Tout en favorisant l’excrétion des matières fécales emprisonnées dans la sphère intestinale, grâce à la présence d’un réseau de micro-fibres exceptionnellement dense. 

Toutefois, en prolongeant votre cure de plusieurs semaines, une fois les excédents éliminés, c’est un travail bien plus discret, mais proportionnellement infiniment plus puissant, que votre cure de Moso va vous permettre. 

Elle va tout simplement, si vous êtes en mesure d’observer une certaine abstinence de produits industriels et médicaments de synthèse, restituer à votre organisme son terrain originel, permettant à votre immunité de se reconstruire et d’agir de manière optimale dans les situations les plus imprévisibles. 

Et, au cas où vous souhaiteriez faire une pause avec de longues listes de remèdes, ce qui est toujours souhaitable étant donné que, comme disait Paracelse, « rien n’est poison, tout est poison, c’est la dose qui fait le poison », en dehors d’un léger apport minéral, le Moso 3000 ne laisse aucune molécule supplémentaire dans votre organisme, mais, au contraire, évacue celles risquant de le corrompre. 

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin 

Rendez-vous sur Réponses Bio pour vous procurer le charbon végétal ultra activé Moso 3000

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Rivaud
Rivaud
5 mois il y a

Le gros inconvénient du charbon n ‘est il pas d ‘être très constipant?

Florentin
Florentin
5 mois il y a

Bonjour, Oui, un grand « merci’ pour cet article permettant de prendre conscience, de devenir un peu plus responsable de notre vie dans ce domaine-là : réfléchir pour comprendre les fondamentaux de la santé, afin d’en éviter ce consumérisme médical auquel nous sommes soumis depuis Pasteur, dont nous avons tendance à répéter le mécanisme dans les pratiques alternatives développées, entre autres, par toutes celles et tous ceux dont vous portez la voix, à travers l’infatigable tâche de RéponesBio ! J’en profite aussi pour vous exprimer toute ma gratitude à propos de l’affaire Fuellmich que je suis depuis le début, avec un… Lire la suite »

Monique
Monique
5 mois il y a

Merci beaucoup

Patricia
Patricia
5 mois il y a

Merci ! Bonne semaine à vous

Christian
Christian
5 mois il y a

Dans la ka actuel, je pense que cela pourrait aider beaucoup de mondes ! merci pour eux