
Bien que les véritables conséquences du Covid-19, sur le long terme, laissent encore le monde perplexe, j’ai décidé d’aborder une nouvelle stratégie préventive.
Faute d’avoir davantage d’informations sur la nature du virus, mixte, mutant, fabriqué en laboratoire… pour le moment le mieux n’est peut-être pas tant d’agir sur la vitalité du système immunitaire, que sur sa souplesse, le ré-informant intégralement sur le plan moléculaire.
Puisqu’il est difficile de connaitre la formule complète du remède malgache à base d’Artemisia annua, dont les trente derniers pourcents de la composition demeurent un mystère.
Puisque les huiles essentielles, bien qu’en mesure de sauver des vies selon les aromathérapeutes de terrain les ayant employées, n’ont pas encore prouvé être suffisantes pour lutter contre le virus.
Et, qu’à moins d’une urgence, il serait contre-productif de passer des mois à utiliser des huiles antivirales relativement fortes par voies internes.
Puisque beaucoup affirment que l’on ne sait pas encore avec précision à quel type de virus nous sommes confrontés, malgré les mois qui s’écoulent…
Certains souhaiteraient que vous baissiez les bras et attendiez bien sagement sans réagir, en vous persuadant que les anti-inflammatoires naturels sont aussi dangereux que les chimiques.
En vous expliquant que les huiles essentielles sont à la fois inutiles, très risquées et politiquement incorrectes.
En vous assurant qu’il n’y a rien d’autre à faire que de rester les bras croisés à espérer.
A vous alimenter avec des denrées issues de l’industrie agroalimentaire ayant désormais le droit de vous empoisonner sans crier gare.
Peut-être même en escomptant qu’en l’absence de solution, vous finissiez par réclamer éperdument un vaccin.
Cependant, pour ma part, être en mesure de comprendre et d’agir selon mes convictions est une liberté que j’affectionne tout particulièrement.
Une liberté inscrite à la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, incluant le droit inaliénable au bonheur de tout citoyen.
Et mon bonheur, notre bonheur, réside indiscutablement dans la nature.
La réinformation de la réponse immunitaire
Nous reviendrons ultérieurement sur le rôle précis de certaines plantes adaptogènes et leurs qualités, en particulier à propos de l’Artemisia annua.
Mais pour le moment j’ai focalisé mes recherches sur des nutriments que l’on puisse facilement trouver en France, comme ailleurs.
Et j’ai finalement opté pour une molécule susceptible de préparer au mieux mon système immunitaire contre la venue d’organismes inconnus.
Si le corps médical, confronté aux conséquences des cas les plus graves, s’accorde à penser qu’une attaque cytokinique est la cause de la plupart des décès, pourquoi ne pas commencer par l’éviter ?
Mais avant cela, il peut être utile de comprendre le rôle des cytokines.
Les cytokines se subdivisent en différentes formes dont le but commun est de réguler les fonctions immunitaires, envoyant, par exemple, des signaux permettant aux cellules d’agir à distance.
Un système immunitaire sain sera ainsi en mesure d’assurer aisément la défense de l’organisme contre pratiquement n’importe quel virus.
Pour ce faire, il met à sa disposition différents groupes de cytokines que l’on classe ainsi :
- les interférons, destinés à l’inhibition de la réplication virale ;
- les interleukines, stimulant la production de cellules du système sanguin et l’échange d’information des globules blancs ;
- les cytosines à facteurs de croissance, contrôlant la formation et l’entretien du tissu conjonctif ;
- et les chimiokines, participant aux phénomènes de migration des leucocytes, souvent produites en réponse à un processus inflammatoire.
Activant et régulant les cellules immunitaires adéquates afin qu’elles jouent leurs rôles respectifs.
Cependant lorsque, pour une raison inconnue, elles s’avèrent incapables d’y parvenir, l’envoi d’une quantité trop importante de cytokines peut déclencher les fameux orages cytokiniques qu’observent les médecins devant la pandémie.
Réagissant anarchiquement, comme lors de l’apparition d’un processus allergique ou d’un trouble auto-immun, les organes censés être défendus sont soudainement attaqués par le système immunitaire.
Il m’est donc venu une idée qui, je le rappelle, n’engage que moi :
Et si, en plus de s’attaquer directement à l’enveloppe du virus et sa capacité de fixation sur les récepteurs, comme le font très bien les huiles essentielles, nous donnions les clés nécessaires à notre système immunitaire afin de l’aider à organiser une défense magistrale ?
Pour y parvenir il existe une algue devenue presque commune en Occident, combinant des vertus exceptionnelles à un apport nutritionnel tout à fait remarquable.
Plus particulièrement encore, une extraction naturelle de son composé actif majeur lui confère une telle puissance thérapeutique, soutenue par les promesses de nombreuses analyses et recherches, qu’elle semble en mesure de contrer un virus aussi complexe que le sida.
Je veux parler de la Phycocyanine.
Plus puissante que les vitamines C et E réunies
Considérée comme l’or bleu de la santé naturelle, la diversité des promesses de la Phycocyanine, extraite de la spiruline, semble particulièrement adaptée aux situations les plus incertaines puisqu’elle :
- offre un apport protéique permettant de diminuer la consommation de viande et d’aliments carnés, contenant plus de protéines que les céréales complètes et plus de vitamine B12 que le bœuf,
- garantit les ressources nécessaires à l’effort physique ainsi qu’au tonus général, transformant les acides lactiques et ATP,
- préserve du stress oxydatif, et par ce biais évite de nombreux phénomènes de dégénérescence cellulaire, d’AVC, etc.
- agit sur les processus de régulation et de création des cytokines, des globules rouges, blancs, et de la moelle osseuse, garantissant une réponse immunitaire des plus complètes,
- inhibe la réplication des virus, microbes et bactéries,
- participe à la protection et à la détoxication du foie,
- réinforme le système immunitaire en lui permettant de se moduler face à des agressions inconnues,
- prévient les crises allergiques et semble parfaitement indiquée contre les rhinites allergiques,
- a de surprenantes vertus anti-inflammatoires naturelles, accompagnant l’inflammation tout en diminuant les risques et la douleur,
- aide à réguler l’humeur, gommer la fatigue et réduire l’insomnie,
- et, plus particulièrement encore, elle donne au système immunitaire les outils pour se défendre de virus complexes comme le sida, en boostant le taux de CD-4 dans l’organisme.
A lire, mon article : « Lutter contre le sida en remontant les CD-4 ».
C’est en tout cas l’avis du Dr Bertrand Canavy, auteur de l’ouvrage intitulé « Les pouvoirs insoupçonnés de la Phycocyanine ». (1)
Selon lui l’extrait de spiruline est :
- 20 fois plus puissant que la vitamine C,
- 16 fois plus antioxydant que la vitamine E,
- et 7000 fois plus actif que la spiruline.
Il apporte aussi d’importantes quantités de minéraux particulièrement utiles aux végétariens :
- fer,
- calcium,
- phosphore,
- magnésium,
- manganèse,
- sélénium,
- zinc,
- et cuivre.
Le tout sous forme de phytonutriments parfaitement assimilables, sans aucun risque de saturation.
Mais c’est surtout son interaction sous-estimée avec les cellules souches qui semble passionner l’auteur, et qui nous en dit davantage sur ses propriétés de réinformation de la réponse immunitaire.
Les principaux facteurs favorisant le bon fonctionnement des cellules souches, l’usine cellulaire de l’organisme, étant :
- l’érythropoïétine, ou EPO, participant à l’augmentation des globules rouges,
- la thrombopoïétine, ou TPO, stimulant la fabrication de plaquettes sanguines et de leurs précurseurs,
- et les fameux cytokines que nous avons détaillés plus haut.
Si les études de Zhang Cheng Wu montraient, dès 1994, l’importance de l’apport de la Phycocyanine pour améliorer la production de moelle osseuse et l’immunité cellulaire, c’est en particulier son rôle sur les leucocytes, ou globules blancs, qui attire notre attention. (2)
Parmi les leucocytes se trouvent les lymphocytes B et T, ceux destinés à la réponse adaptative du système immunitaire.
Les lymphocytes B produisent des anticorps pour neutraliser les agents pathogènes, et les lymphocytes T, après maturation dans la moelle osseuse, vont se transformer en CD-4, ou T4, et CD-8, ou T8, et ainsi pouvoir s’attaquer directement aux microbes, bactéries et virus.
C’est là où la Phycocyanine est la plus surprenante, elle active intelligemment la production de lymphocytes B et T, optimisant en permanence le niveau de CD-4 et CD-8 dans le corps.
Assumant en quelque sorte le rôle de médiatrice des globules blancs.
Des études scientifiques internationales s’étalant sur plusieurs décennies
Parmi les études scientifiques, in vitro, in vivo et cliniques, au fil des décennies, on remarque l’action prodigieuse de la Phycocyanine dans des champs étonnamment variés, puisqu’elle :
Est anti-virale :
A partir de 1990 une série d’études internationales met la Phycocyanine en évidence comme inhibitrice de la réplication de la plupart des virus :
- les coronavirus classiques,
- les oreillons,
- la rougeole,
- l’herpès,
- et le cytomégalovirus.
Dans sa thèse universitaire de 2008 sur les intérêts nutritionnels et activités thérapeutiques, Sébastien Sguera note :
« Hayashi T. et Hayashi K. ont découvert que le Ca-SP – de la phycocyanine – permet d’inhiber la réplication de plusieurs virus à enveloppe, dont le virus herpès simplex du type 1, lecytomégalovirus humain, le virus de la rougeole et des oreillons, le virus de la grippe A et le VIH-1 ». (3)
Lutte contre le sida :
En 1996, la faculté de médecine de l’Université de Harvard, ainsi que le Dana Farl Cancer Institute, à Boston, démontrent que la Phycocyanine inhibe la réplication du virus du sida, ou VIH, avec les leucocytes T et les cellules sanguines mononucléaires périphériques. (4)
L’étude conclut qu’en dépassant le taux de 10ug/ml, la Phycocyanine aurait probablement pu stopper définitivement la réplication du rétrovirus.
Limite le développement de la leucémie :
En 2000, une équipe de chercheurs de l’Université de Nanjing a démontré, in vitro, que la prolifération des cellules K562 atteintes de leucémie diminuait de 49% grâce à la présence de Phycocyanine. (5)
Protège des inflammations, mieux et par d’autres biais que les médicaments de synthèse :
En 2003, Romay décrit les puissants mécanismes anti-inflammatoires de la Phycocyanine par l’inhibition de la cyclooxygénase-2 ou COX-2.
Travaux poursuivis en 2018 dans des recherches contre le cancer. (6)
L’étude relève avec intérêt qu’en comparaison de deux médicaments anti-inflammatoires comme le Vioxx ou le Celebrex, le comportement de la Phycocyanine n’est pas du tout le même.
Au lieu d’inhiber totalement la réponse inflammatoire comme le font les médicaments, entraînant les nombreux risques que tout le monde connait, la Phycocyanine va apporter une dose-réponse adaptée au terrain.
Ce qui signifie qu’elle ne va jamais bloquer l’inflammation, même lorsqu’elle est prise en grande quantité, mais simplement diminuer l’intensité de la douleur inflammatoire, éviter l’hyper-inflammation, tout en soutenant son mécanisme protecteur. (7)
Répare l’ADN :
Inhibant la peroxynitrite, ou ONOO-, à la base des dommages connus sous le nom de suicide cellulaire, la Phycocyanine protège l’ADN humain, lui donnant les moyens de s’auto-restaurer tout en améliorant l’activité enzymatique des noyaux cellulaires. (8)
Protège contre l’asthme :
Elle protège les asthmatiques en prévenant la formation de deux composés inflammatoires impliqués dans la genèse de l’asthme, le LTB4 et le PGE2. (9)
Diminue les allergies :
En 2011 une étude sur le potentiel de la Phycocyanine contre l’inflammation des voies respiratoires montre qu’elle « peut potentiellement permettre de réguler les réponses immunitaires et d’appliquer la réduction de l’asthme allergique ».
Par ailleurs, d’autres observations ont mis en évidence son potentiel à réduire les symptômes de nez bouché et de démangeaisons oculaires et cutanées.
Soutenant l’organisme dans la reconnaissance et l’élimination des corps étrangers, elle organise une véritable chasse aux molécules synthétiques résiduelles. (10)
Prévient le diabète de type 2
En 2012 il a été montré sur des souris que la Phycocyanine offre d’importantes perspectives cliniques dans la prévention du diabète. (11)
Réduit le cholestérol LDL :
Une étude de 2013 a montré qu’une consommation régulière de Phycocyanine réduit le « mauvais cholestérol », ou LDL, le cholestérol sérique et les triglycérides, tout en protégeant efficacement les artères des dépôts de déchets. (12)
Régule la thyroïde :
Si l’on en croit certains spécialistes de la spiruline, elle aiderait à la régulation globale de la thyroïde.
Particulièrement indiquée en cas d’hypothyroïdies pour sa capacité à favoriser la synthèse hormonale, elle s’avère également souveraine contre les troubles auto-immuns.
Elle lutte par exemple contre la maladie d’Hashimoto avec ses propriétés anti-inflammatoires et immunomodulantes, et présente le grand avantage de ne risquer d’entraver aucun traitement en cours, ni de provoquer de brutales variations hormonales.
Lutte contre le cancer :
En 2017, le Journal du cancer a publié un bilan sur les effets de la Phycocyanine contre le cancer.
On y apprend qu’elle aide à éviter la prolifération des cellules cancéreuses, qu’elle est pro-apoptotique, c’est à dire qu’elle favorise la régénération des cellules saines atteintes, et qu’elle participe à la stabilité de la mitochondrie.
C’est donc une triple action anti-cancéreuse qu’offre la perspective thérapeutique de la Phycocyanine. (13)
Si bien que les laboratoires envisagent évidemment de l’utiliser en traitement nano-moléculaire, essayant de la synthétiser dans un médicament. (14)
Toujours est-il que ses bienfaits ont été observés dans des types de cancers aussi variés que :
- le cancer du sein, (15)
- le cancer du foie,
- le cancer du poumon, (16)
- le cancer du côlon, (17)
- la leucémie,
- le cancer de la moelle osseuse.
Est hépatoprotectrice :
Grande amie du foie, la Phycocyanine est naturellement détoxifiante et hépatoprotectrice.
En mesure d’activer le rôle immunitaire des cellules de Kupffer, diminuant l’hépatoxicité des produits chimiques comme les médicaments, les chimiothérapies, les métaux lourds et les corps étrangers. (18)
Protège le système rénal :
D’une part, on sait que la Phycocyanine diminue la toxicité de médicaments anti-cancéreux néphrotoxiques comme la Cisplatine, prouvant partiellement son effet protecteur de la sphère rénale.
D’autre part, au cours d’études en laboratoire, elle a permis de protéger les cellules rénales canines contre le stress oxydatif. (19)
Est neuroprotectrice :
La synthèse de plusieurs années de travaux, publiée en 2016, prouve que la Phycocyanine traite les lésions neuronales causées par le stress oxydatif dans des maladies neurodégénératives comme l’AVC ischémique, la maladie d’Alzheimer, ou la maladie de Parkinson. (20)
Mais elle montre également ses bienfaits dans la prévention des accidents vasculaires, qu’ils soient cérébraux ou cardiaques. (21)
Et, tandis que le moindre médicament s’attaquant à un seul de ces troubles vous contraindrait à une cohorte d’effets secondaires, la Phycocyanine, elle, ne vous fera jamais que du bien.
Un des plus puissants antioxydants au monde
Pour produire de l’énergie une cellule a besoin d’oxygène, cependant cette consommation, comme toute consommation dans la nature, émet des résidus toxiques pour l’organisme : les radicaux libres.
Comme vous le savez sans doute déjà, l’accumulation des radicaux libres déclenchée par les mécanismes de stress oxydatif, d’inflammation, ou tout simplement par le vieillissement, sont la porte ouverte à de nombreux maux allant de la cataracte jusqu’au cancer, en passant par l’infarctus.
C’est alors que des antioxydants endogènes comme le glutathion ou la Co-enzyme Q10 interviennent, protégeant le cœur ou des organes spécifiques par leur rôle anti-radicalaire.
Mais selon Romay, la Phycocyanine regroupe tellement de vertus anti-radicalaires qu’elle pourrait remplacer, à elle seule, des piégeurs spécifiques comme la Co-enzyme Q10 et le glutathion.
Et, dans la mesure où elle génère plus d’oxygène que la chlorophylle et s’assimile extrêmement bien, elle restitue l’énergie solaire dont elle est gorgée en nourrissant directement les cellules, optimisant instantanément leur fonctionnement.
Sa vaste action contre le stress oxydatif offre davantage de souplesse au système immunitaire, faisant de la Phycocyanine un atout considérable contre le vieillissement prématuré et les agressions exogènes. (22) (23)
Les bonnes pratiques de la Phycocyanine
Afin de s’assurer de la biodisponibilité d’un produit, donc de son efficacité, il est nécessaire de considérer quelques points qui permettront de consommer la meilleure forme possible :
1/ Non OGM
Le choix d’un aquaculteur, local si possible, sélectionnant avec soin l’origine de la souche de spiruline.
2/ L’extrait liquide
L’extraction et la conservation sous forme d’extrait liquide, cent fois plus puissant que l’extrait sec, et qui garantit la préservation de la totalité des nutriments.
3/ De la spiruline fraîche comme base d’extraction
Le choix d’un procédé d’extraction mécanique, utilisant la spiruline fraichement cultivée sans dépasser la température de 45°C.
4/ Des analyses de métaux lourds transparentes et fiables
Une transparence vis à vis de la présence infinitésimale de métaux lourds, garantissant la non toxicité du produit.
5/ L’absence de conservateurs
La garantie que le fabricant n’utilise aucun conservateur synthétique ni produit industriel entrant dans la formulation du produit.
Une fois toutes ces conditions réunies, vous pouvez y aller les yeux fermés.
Personnellement j’ai choisi une des formule les plus concentrées – 10g/l – et les plus pures que l’on puisse trouver.
Mélangée à du sirop d’agave et une petite quantité d’alcool bio, permettant sa conservation naturelle, garantissant fraîcheur et efficacité dans le temps, son petit goût sucré plaira aux enfants, et son apport énergétique quasi immédiat, aux sportifs.
Sans même parler de ses promesses thérapeutiques, elle est considérée par les sportifs de haut niveau comme un « dopant » naturel de tout premier ordre, favorisant la croissance musculaire et nourrissant l’effort.
Un adulte pourra en prendre une cuillère à café pure, ou la mélanger à un peu d’eau ou de jus frais, le matin à jeun, et jusqu’à trois fois par jour, avant les repas.
Tandis qu’un enfant se contentera généralement d’une cuillère à café journalière.
Faute d’études plus poussées en la matière, bien que sa non toxicité soit prouvée, les femmes enceintes et allaitantes ainsi que les enfants en très bas âge, s’abstiendront.
Très peu ont été signalés, surtout dans la mesure où elle semble participer à leur guérison, cependant de rares cas d’allergie à la Phycocyanine ont été relevés.
Prudence donc, commencez par une dose test, et assurez-vous qu’aucune réaction allergique ne survient.
Mes premières impressions
En moins d’une semaine d’utilisation je peux témoigner :
- d’un regain d’énergie à la fois rapide et durable,
- d’une peau régénérée, signe de la bonne détoxication du foie,
- d’un appétit se régulant plus aisément,
- d’une meilleure endurance au travail, qu’il soit intellectuel ou physique,
- d’une clarté mentale favorisant la concentration.
Un moyen que je compte bien utiliser en cure de fond, sur le long terme, associé à l’utilisation préventive et curative des huiles essentielles.
Jean-Baptiste Loin
Phycocyanine Saphir BIO 10g/L
Sources et références scientifiques :
- https://www.lulu.com/fr/ca/shop/bertrand-canavy/les-pouvoirs-insoupconnes-de-la-phycocyanine/paperback/product-24104825.html
- Effect of c – phycocyanin on granulopoiesis and monocytopoiesis in mice : http://wprim.whocc.org.cn/admin/article/articleDetail?WPRIMID=581761&articleId=581761
- Spirulina platensis et ses constituants interets nutritionnels et activites therapeutiques (P.124) : https://www.technap-spiruline.fr/images/pdf/TECHNAP-These-S-SGUERA2008-la-spiruline-aspects-nutritionnels-therapeutiques.pdf
- http://www.sp100.com/news_art06.html
- Inhibitory effect of phycocyanin from Spirulina platensis on the growth of human leukemia K562 cells : https://link.springer.com/article/10.1023/A:1008132210772
- https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29331790
- Anti-inflammatory activity of phycocyanin extract in acetic acid-induced colitis in rats : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10366332
- Scavenging of peroxynitrite by phycocyanin and phycocyanobilin from Spirulina platensis : protection against oxidative damage to DNA : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11444835
- A novel phycobiliprotein alleviates allergic airway inflammation by modulating immune responses : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20709826
- Phycocyanin: A Biliprotein with Antioxidant, Anti-Inflammatory and Neuroprotective Effects : https://www.ingentaconnect.com/content/ben/cpps/2003/00000004/00000003/art00004
- Preventive effect of phycocyanin from Spirulina platensis on alloxan-injured mice : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23121873
- A novel phycobiliprotein alleviates allergic airway inflammation by modulating immune responses : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20709826
- C-Phycocyanin exerts anti-cancer effects via the MAPK signaling pathway in MDA-MB-231 cells : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29416441
- Gaoyong Liao, Jun Ying, Chunyan Wang « Phycocyanin: A Potential Drug for Cancer Treatment » : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5687155/
- https://bmccancer.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12885-015-1784-x
- https://scanr.enseignementsup-recherche.gouv.fr/publication/these2017CLFAS005
- https://www.researchgate.net/publication/265352612_Anti-cancer_effects_of_polysaccharide_and_phycocyanin_from_porphyra_yezoensis
- Influence of C-phycocyanin on hepatocellular parameters related to liver oxidative stress and Kupffer cell functioning : https://www.researchgate.net/publication/11235426_Influence_of_C-phycocyanin_on_hepatocellular_parameters_related_to_liver_oxidative_stress_and_Kupffer_cell_functioning
- phycocyanin prevents cisplatin-induced nephrotoxicity through inhibition of oxidative stress : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24503583
- Protective effects of C-phycocyanin against kainic acid-induced neuronal damage in rat hippocampus : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10624795
- C-Phycocyanin and Phycocyanobilin as Remyelination Therapies for Enhancing Recovery in Multiple Sclerosis and Ischemic Stroke: A Preclinical Perspective : https://www.mdpi.com/2076-328X/8/1/15
- Antioxidant and anti-inflammatory properties of C-phycocyanin from blue-green algae : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9495584
- Kinetics of phycocyanine bilin groups destruction by peroxyl radicals : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10832066
Pour soutenir Réponses Bio et nous permettre de rester un media indépendant, RDV sur notre page Tipeee en cliquant sur ce lien.
merci carpe diem