La Phycocyanine est-elle conseillée lors d’une suractivité des globules rouges ?
Sa prise convient-elle aux hypothyroïdies et maladie d’Hashimoto ?
Sa consommation sublinguale est-elle préconisée ?
Vos questions à propos des subtilités de la Phycocyanine ont été nombreuses.
Tout comme le sont les recherches scientifiques et appréciations médicales, bien que de plus en plus censurées, faisant d’elle la protéine actuellement la plus étudiée au monde.
Il y a 3,5 milliard d’années, la première cyanobactérie bleue verte apparaissait sur Terre.
Étant similaire en tout point à la spiruline que nous consommons aujourd’hui cet aliment fait par conséquent partie des plus vieux de l’humanité. Bien que connu, ce point n’est pas un simple détail poétique ou rhétorique. Il est extrêmement rare, pour l’espèce humaine, de pouvoir profiter de nutriments issus des origines de la création terrestre.
Les végétaux les plus anciens, dont le neem ou certains autres arbres présents dans la Genèse, sont loin d’être aussi vieux que la spiruline.
Celle-ci présente en effet une capacité à récolter un spectre solaire particulièrement vaste, dont elle transforme les rayons en énergie et principes actifs dans une mesure incomparable avec les autres végétaux.
Pour toutes ces raisons et bien d’autres, le monde scientifique considère la spiruline et la Phycocyanine comme le pont ayant permis l’évolution entre les bactéries et les plantes vertes. (1)
Si les gouvernements, comme c’est le cas en Inde, avait l’honnêteté d’écouter les scientifiques indépendants se penchant tant sur l’aspect physico-chimique que quantique de la Phycocyanine, qu’elle ait tant de vertus ne surprendrait plus personne.
Est-il intéressant de consommer de la Phycocyanine en prise sublinguale ?
Contrairement à la plupart des remèdes la prise de Phycocyanine par voie sublinguale, c’est à dire en laissant infuser le message sous la langue, favorisant une dilution lente ainsi qu’une information plus vibratoire que nutritive, n’est pas conseillée.
Pourquoi cela ?
Parce que la Phycocyanine est une protéine, par conséquent la majorité de ses bienfaits sont absorbables par la sphère gastrique.
C’est seulement après avoir atteint le niveau duodénal, à la sortie de l’estomac, que l’ensemble de la protéine pourra être assimilé.
Or, étant donné la fragilité de la Phycocyanine, l’augmentation du temps entre son ingestion et sa digestion lors d’une prise sublinguale est susceptible d’en détruire l’intégrité avant qu’elle n’atteigne ce stade.
Raison pour laquelle, en l’absence d’études plus poussées en la matière, certains spécialistes pensent que la consommation de spiruline seule est insuffisante pour permettre un apport significatif de Phycocyanine.
Cependant il est indéniable que tout principe actif naturel induise une capacité plus ou moins importante à vibrer avec la sphère ORL, dans une mesure que nous ne pouvons pas pleinement identifier à l’heure actuelle.
Dans tous les cas, la consommation de Phycocyanine sur un estomac à jeun, fera la différence entre une prise thérapeutique et gastronomique.
À partir de ces principes, la cure de Phycocyanine apporte des perspectives rééquilibrantes et stimulantes dans une quantité de domaines défiant l’entendement… de la science.
Les plus ouverts d’entre les scientifiques laissent spontanément l’émerveillement déborder du cadre de leur discipline.
Les autres, cramponnés au déni caractéristique de la peur et du profit, tentent d’en isoler et d’en synthétiser chaque molécule, demeurant aveugles aux interactions de l’ensemble de la forme naturelle.
La Phycocyanine, le rééquilibrage des globules rouges et son innocuité à hautes doses
Dans la mesure où elle optimise la formation ainsi que le transport et l’oxygénation des globules blancs et rouges, il est légitime de se demander si, par exemple, la Phycocyanine peut saturer le taux de globules rouges ou blancs.
Pour bien comprendre ses mécanismes et son rôle dans la production endogène de globules blancs et rouges, je vous invite tout d’abord à lire mon article sur la Phycocyanine pour booster les CD4 et CD8.
Ce faisant vous remarquerez probablement que :
- D’une part, la Phycocyanine, dans sa forme naturelle, soutient le schéma organique de production de moelle osseuse sans jamais l’imiter ni le remplacer.
- D’autre part, même un fort dosage n’entraine aucune surproduction, qu’elle soit hormonale, des plaquettes sanguines, ou issue d’un processus qu’elle favorise.
Un autre exemple, bien qu’elle augmente la production d’ATP ainsi que les processus liés à la production d’énergie cellulaire, au lieu de le contrarier, elle aide à réguler le sommeil.
De récentes études randomisées en double aveugle avec un groupe placebo montrent très clairement, qu’après deux semaines de cure de Phycocyanine dosée à 1g par jour elle pourrait :
- prévenir une vaste gamme de troubles neurodégénératifs,
- participer à résoudre l’artériosclérose et ses conséquences,
- accélérer la résolution des troubles inflammatoires liés à l’exercice ou non,
- tout en n’entrainant aucune toxicité particulière jusqu’à 2,5g par jour, l’excédent de nutriments consommés se purgeant par les urines et le système digestif, et prévenant l’apparition de calculs rénaux.
L’ensemble des observations mettant rigoureusement en évidence qu’une importante consommation de Phycocyanine n’aggrave :
- ni les saignements,
- ni la formation de plaquettes sanguines,
- ni la pression sanguine,
- ni les troubles prémenstruels.
Par ailleurs cette étude note qu’une consommation entre 0.25g et 1g par jour, peut soulager efficacement les douleurs chroniques. (1)
Les chercheurs invitent à compléter ces études, qui montreront probablement que même un dosage dépassant les 2,5g n’est pas toxique.
D’une manière générale, il semblerait donc que la Phycocyanine favorise non pas tant la population des globules rouges et blancs, que leur régulation.
Ce qui n’a rien d’étonnant dans la mesure où elle est également conseillée contre les troubles auto-immuns.
Par ailleurs, si un effet fluidifiant sanguin similaire à celui de l’aspirine a pu être observé, la Phycocyanine ne présente pas pour autant les mêmes inconvénients.
Toutefois l’étude en question ne prend pas en compte l’utilisation de médicaments pour la pression sanguine.
Et, comme avec toute cure, il convient de faire une pause d’une à deux semaines, tous les deux ou trois mois d’utilisation.
Sans oublier qu’une assiduité dans la fréquence des prises de sang permettant d’évaluer l’évolution de la situation, demeure une précaution indispensable.
La Phycocyanine et l’hypothyroïdie
Tant pour l’hypo, que pour l’hyperthyroidie, ou les formes auto-immunes dites d’Hashimoto, la Phycocyanine est plus que conseillée contre les troubles thyroïdiens.
Si ce n’est déjà fait je vous invite à lire mon dernier article sur le sujet.
Favorisant la sécrétion ainsi que la synthèse endogène hormonales, régulant tant les processus inflammatoires que les réactions immunitaires, elle s’adaptera à tous les troubles de la thyroïde sans aucun inconvénient.
Il est également à noter qu’elle ne risque en rien de déréguler le taux d’iode présent dans l’organisme puisque, bien que ce soit une micro-algue, elle pousse dans des lacs et bassins à salinité extrêmement réduite.
Des études très poussées datant de Janvier 2020, signées par le Professeur R.M. Ebrahim, du NCRRT ou Centre National de Recherche sur les Radiations et les Technologies du Caire, département santé, montrent sans équivoque que les troubles thyroïdiens liés aux radiations sont largement améliorés par la prise de Phycocyanine. (2)
Or, il est établi depuis longtemps qu’un lien de causalité existe entre l’augmentation du taux de radiations lié à la présence humaine et un affaissement des fonctions thyroïdiennes, concernant une part toujours plus importante de la population mondiale.
Par ailleurs, bien que ce ne soit pas encore un fait prouvé par la science, comme avait commencé à le démontrer le Professeur Beljanski, les résidus iatrogènes issus de la consommation de produits de synthèse favorisent le cancer tout en augmentant l’intensité comme la fréquence des troubles de la thyroïde.
Au regard de l’ensemble des études et recherches faites au sujet de la Phycocyanine, il semblerait que le point commun apparaissant dans chacune d’entre elles est l’observation de sa capacité à guider l’être humain vers une faculté de résilience concernant de nombreux processus de santé.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Sources et références :
- Sécurité clinique d’une dose élevée d’extrait aqueux enrichi en Phycocyanine d’Arthrospira (Spirulina) platensis: résultats d’une étude randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, axée sur l’activité anticoagulante et l’activation des plaquettes : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4948198/
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Effet prophylactique de Spirulina platensis sur les troubles thyroïdiens liés aux rayonnements induits et sur l’altération des hormones reproductrices chez les rats albinos femelles : http://ijrr.com/article-1-2779-en.pdf
Merci
merci.TRES INTERESSANT
Bonjour Monsieur
Merci pour votre éclairage, sur la phycocyanine, que j’ai lu avec beaucoup d’intérêt et vous m’avez convaincu.
Je voulais savoir ce qu’il faut penser de la vente de phycocyanine très dosée 37 g/litre que l’on trouve sur certains sites de compléments alimentaires sur internet ***. Est-ce nécessaire un si gros dosage ? Est-ce bénéfique ?
Bien cordialement
Jean-Paul Bonjour,
Le problème est généralement moins le dosage que la vitalité du produit. En toute logique un fort dosage dévitalisé a moins d’intérêt qu’un faible dosage vital.
Cependant pour répondre plus directement à votre question, oui, les études les plus poussées en la matière semblent s’accorder à dire qu’un haut dosage quotidien serait intéressant en cas de pathologies lourdes comme la leucémie ou le sida.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
vous préconisez une dose journalère de 1g de phycyanine, ce qui correspond à 100ml/jour de votre préparation soit un flacon de 100ml par jour !!!!!!!!!!!!!! C’est totalement aberrant !!!!!!!
Bonjour,
La dose que vous mentionnez n’est pas ce que je préconise, d’ailleurs je ne préconise rien, dans cet article je ne fais que mettre en relief et vulgariser des études et observations de spécialistes et scientifiques l’ayant rigoureusement testée à ce dosage et à d’autres, sans noter de réels effets secondaires.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
merci
Merci pour ces infos intéressantes et objectives .
Merci
Merci
Merci m’intéresse car suis drepanositàire hétérozygote
Merci!
Merci .
Merci,,,!
Article très intéressant. Merci
Merci
Merci
Merci, je viens de réceptionner mes trois flacons. Nous allons faire une cure avec mon mari pour détox totale et notament de la spike que nous captons, car bien que n’ayant pas été piqués, nous avons bcp de symptomes qui ressemblent bizarrement aux effets indésirables et secondaires de la pik. Evidement en compléments d’autres produits,je pense au charbon 3000. Je reviendrais donner des nouvelles.
Merci Jean-Baptiste, merci à toute l’équipe.