La taxifoline, ses vertus et son efficacité contre les variants du SARS-CoV-2 

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Taxifoline extraite du mélèze de Sibérie : propriétés. Réponses Bio

Issue du mélèze, et plus spécifiquement du mélèze de Sibérie, également connue sous le nom de dihydroquercétine, la taxifoline, dont la composition bio-chimique est relativement proche de la quercétine, est le principe actif de l’extraction de son écorce. 

Ayant une résistance au froid pouvant aller jusqu’à moins soixante-dix degrés, c’est d’ailleurs l’un des rares arbres ayant survécu à la période de glaciation ayant pris fin il y a une dizaine de milliers d’années, faisant de lui l’une des plus anciennes espèces peuplant aujourd’hui encore la Terre. 

Si d’autres arbres de la famille des Pinnaceae peuvent se trouver au Japon ou dans des contrées froides, le Larix Gmelinii est endémique de Sibérie, où il forme de vastes forêts sauvages. 

Très largement étudié par les scientifiques russes depuis 1950, ces dernières années ce sont les chercheurs occidentaux qui ont jeté leur dévolu sur ses nombreuses vertus. 

Plus antioxydante que la quercétine ou la vitamine C et E, avec un potentiel prophylactique encore plus vaste que le Pycnogénol, la taxifoline est un des remèdes les plus prometteurs pour lutter contre un impressionnant panel de troubles modernes. 

Bien que j’en aie déjà fait une présentation non exhaustive à l’occasion d’un article paru en 2015 que vous retrouverez derrière ce lien, depuis 2020 une série de recherches surprenantes permet tant d’approfondir les mécanismes des interactions de la taxifoline sur l’organisme, que de déterminer de nouveaux bénéfices pour la santé humaine. 

En plus de ses fonctions protectrices et réparatrices des sphères cardiaque, cérébrale et hépatique, la taxifoline est désormais candidate à une action reconnue scientifiquement contre le cancer, le VIH, ainsi que tous les variants du SARS-CoV-2. 

Actions que les Kazakhs connaissent pourtant depuis des millénaires, et que nous allons immédiatement voir en détails. 

Les vertus de la taxifoline constatées par les scientifiques depuis les années cinquante jusqu’à nos jours

Elles sont si vastes, se complétant les unes les autres, que je vous propose dans un premier temps de lister ci-dessous le potentiel de la taxifoline dans un glossaire cliquable, vous permettant d’approfondir rapidement chacune de ses vertus, tout en consultant les sources scientifiques détaillant ses mécanismes biologiques. 

D’après des recherches allant parfois jusqu’aux observations cliniques, la taxifoline est : 

Voyons à présent plus en détails comment et pourquoi ces divers bénéfices pour la santé sont possibles. 

Les interactions de la taxifoline 

Il est intéressant de se pencher sur les vertus de la taxifoline, mais comment s’assurer de son efficacité dans de si nombreux domaines ? 

Et bien tout simplement en reliant les bénéfices listés ci-dessus aux études scientifiques détaillant les processus permettant ces interactions. 

Anti-oxydante : 

Si le pouvoir anti-oxydant des flavonoïdes, dont la taxifoline regorge, est bien connu, dans son cas c’est l’ensemble de ses vertus anti-inflammatoires, gastro comme hépato-protectrices, restaurant les facultés cérébrales, et sauvant littéralement les capillaires, qui fait d’elle un atout de taille contre le vieillissement. (1)  

Une foule d’études in-vivo sur le rat tendent à montrer qu’en cas de troubles aussi variés que l’hépatite (2), la dégénérescence cérébrale (3)  ou le stress oxydatif générateur d’apoptose, soit l’autodestruction des cellules (4), le pouvoir anti-oxydant de la taxifoline est tant préventif que curatif. Assurant à l’organisme une véritable cure de jouvence. 

Anti-inflammatoire : 

Agissant comme anti-inflammatoire par de nombreux biais, la taxifoline inhibe l’infiltration des leukocytes mais aussi l’expression de la cyclooxygénase 2 au niveau du cerveau. (5) 

Puis régule l’activation de la protéine kinase, lui permettant de combattre l’ostéoporose et de favoriser la santé des os. (6) 

Tout en bloquant les molécules responsables de réponses inflammatoires allergiques. (7) 

Ou encore en protégeant le cerveau et le système nerveux central de neurotoxiques, comme par exemple les pesticides engendrant des mécanismes inflammatoires cancérigènes. (8) 

Hépato-protectrice : 

Par le biais de ses qualités antioxydantes, anti-inflammatoires et immunomodulatrices, la taxifoline protège non seulement le foie des lésions, mais aussi d’invasions virales comme les différentes formes d’hépatites A, B, C, D ou E, montrant un effet plus puissant que l’extrait de silymarine issu du chardon-marie. (9) 

Tout en ayant fait preuve d’une importante faculté à protéger le foie d’agents perturbateurs provoquant des traumas de la sphère hépatique. (10)  

Anti-Alzheimer : 

En régulant la production endogène de différentes enzymes comme la bêta-secrétase 1, en protégeant le cerveau des mécanismes inflammatoires, ou encore en permettant d’inverser les processus de dégénérescence cognitive, la taxifoline lutte activement contre la maldie d’Alzheimer. (11) 

Maintenant l’intégrité cérébro-vasculaire et préservant complètement du déclin cognitif chez la souris. (12) 

Les scientifiques ont d’ailleurs pu observer un effet protecteur des cellules cérébrales, permettant d’éviter en particulier le déclin ou la disparition de celles situées dans l’hippocampe et le cortex. (13)  

Allant jusqu’à montrer au cours des expériences in-vivo une surprenante capacité à mettre le cerveau à l’abri de l’angiopathie amyloïde cérébrale à l’origine de la maladie d’Alzheimer, ainsi que de la plupart des phénomènes de démence dus à l’âge. (14)  

Faisant d’elle un agent neuroprotecteur et anti-neuroinflammatoire, soutenant la mémoire à court terme ainsi que la cognition spatio-temporelle. (15) 

Indiquant des facultés protectrices et réparatrices contre les maladies neurodégénératives de tout type. (16)  

Anti-angiogénique : 

Au fil des ans les chercheurs ont mis en évidence les capacités connexes de la taxifoline à lutter contre plusieurs formes de cancer. 

Parmi elles, on peut noter son potentiel anti-angiogénique, évitant la formation de nouveaux vaisseaux sanguins utiles à la prolifération des tumeurs. (17)

Anti-hyperglycémique : 

La taxifoline prévient l’hyperglycémie postprandiale en régulant l’activité de l’α-amylase, une enzyme contenue dans le suc pancréatique et la salive, dont le rôle est de dégrader les glucides à longue chaine en unités plus petites pour permettre leur assimilation. (18)

Mais aussi en agissant sur l’α-glucosidase et la lipase pancréatique, garantissant une meilleure digestion des sucres et des graisses. (19)

Homéostasie du glucose : 

Une étude in-vivo sur le rat a montré qu’après avoir nourri pendant sept semaines une partie du groupe au fructose, le poids des animaux avait significativement augmenté par rapport au groupe témoin n’ayant pas eu de régime particulier. La pression artérielle systolique de ceux nourris au fructose était significativement élevée par rapport aux autres. 

Cependant après l’administration de taxifoline au groupe test, les chercheurs ont pu constater une diminution significative de l’hypertension systolique. 

Réduisant l’indice de résistance à l’insuline induit par le fructose chez ceux atteints d’hypertension tout en mitigeant les désordres métaboliques connexes. 

Sachant que parmi ces désordres on retrouve : 

  • la gestion du poids
  • la pression sanguine
  • l’index de résistance à l’insuline
  • mais également les triglycérides
  • et le cholestérol. (20)  

Anti-rétinopathie : 

Le rétinopathie diabétique étant une des premières causes de cécité, le rôle de la taxifoline dans la gestion des sucres et son action sur la sphère veineuse de l’œil ont été étudiés plus en détails. 

Arrivant non seulement à la conclusion que son potentiel thérapeutique dans cette maladie se déployait tant sur les niveaux sanguins de l’hyperglycémie, mais aussi à des observations histopathologiques témoignant d’une action directe sur les vaisseaux sanguins restaurant la vision. (21)

Anti-cataracte : 

Bien au-delà des conséquences du diabète ou des problèmes de rétinopathie, la taxifoline protège et améliore globalement la vue en réduisant le stress oxydatif et l’opacité du cristallin. Inhibant en outre l’aldose réductase, une enzyme impliquée dans la plupart des complications du diabète par sa conversion du glucose en fructose. (22)

Protectrice de la sphère cardiovasculaire : 

Une impressionnante quantité de recherches a été menée concernant l’utilité de la taxifoline pour la protection du système cardiovasculaire. 

Montrant d’une part son utilité pour équilibrer le niveau de cholestérol (23), ou encore son effet sur la régulation des lipoprotéines. (24)

Et d’autre part, sa capacité à inhiber la voie apoptotique, menant à la destruction des cellules saines, conjointement aux protéines pro-apoptotiques, tout en protégeant le cœur des lésions. (25)

Anti-microbienne : 

Une série d’analyses a été menée tant sur les qualités anti-microbiennes de la taxifoline en général (26), que sur son potentiel à éviter la carie dentaire (27), ou encore son rôle inhibiteur d’enzymes bactériennes impliquées dans la réplication et la transcription de l’ADN, indiquant, par exemple, une capacité préventive et curative de la tuberculose. (28)  

Anti-psoriasique : 

Le psoriasis étant considéré comme une maladie cutanée induite par les lymphocytes T, les stratégies thérapeutiques ciblant les lymphocytes T et cytokines se sont avérées efficaces et largement utilisées pour les patients atteints de psoriasis. 

La taxifoline étant un inhibiteur actif des lymphocytes T cytotoxiques (29), de récentes études ont apporté la preuve que bien qu’elle agisse sur les ratios de lymphocytes T, des CD4 et des lymphocytes T CD elle agit aussi sur les ganglions lymphatiques drainant la peau. 

Et cela en opérant une différenciation magistrale des sous-ensembles de CD4 et des lymphocytes Th les plus connus. 

Son action a notamment permis de diminuer les ratios des lymphocytes Th pro-inflammatoires et Th 7 dans les ganglions lymphatiques drainants, ainsi que les lésions cutanées, tout en augmentant de manière significative le ratio de lymphocytes Th anti-inflammatoires impliqués dans les lésions cutanées et internes. (30)  

Anti-hyperuricémique : 

L’hyperuricémie, pouvant être entraînée par la consommation de produits puriniques comme les aliments industriels ainsi qu’une quantité trop importante de viandes et poissons, représente un risque majeur de goutte en provoquant l’apparition de microcristaux d’acide urique dans les articulations. 

Or, il a été démontré que la taxifoline réduit les niveaux trop importants d’acide urique présents dans le foie tout en supprimant l’activité hépatique de la xanthine oxydase, catalysant l’oxydation de la xanthine en acide urique. (31)  

Protectrice de la sphère pulmonaire : 

Indiquée pour éviter les lésions pulmonaires (32), une batterie d’études a montré son efficacité contre celles provoquées par les chimiothérapies utilisant la cisplatine, une molécule de synthèse employée en chimiothérapie et bien connue pour les dommages qu’elle provoque sur les poumons et l’ADN. (33)  

Antivirale : 

Une des études les plus récentes sur l’extrait de mélèze de Sibérie, datant de 2023, concerne les facultés immuno-protectrices de la taxifoline et son potentiel particulier à prévenir autant que traiter une infection au SARS-CoV-2 ainsi que tous ses variants.

Son action indiquant qu’elle peut agir sur le système immunitaire indirectement, par la production d’acides gras à chaine courte modulant la réponse inflammatoire des leucocytes ainsi que la production de cytokines. 

Mais aussi directement, à travers sa capacité à transférer l’arabinogalactane, issue de la fibre du mélèze de Sibérie, intacte. Lui permettant de jouer le rôle de prébiotique sur la santé intestinale et de soutien pour le système immunitaire, tout en ayant un effet bénéfique sur les cellules Natural Killer. (34)

S’étant déjà penchés plus particulièrement sur la capacité des flavonoïdes présents dans la taxifoline à combattre le Covid (35), les scientifiques confirment aujourd’hui les mécanismes immunomodulants de la taxifoline, ainsi que son rôle antiviral sur les variants du Covid connus jusque-là. (36) 

Antifongique : 

Observée contre cinq souches fongiques, dont :

  • Alternaria alternata Keissler
  • Aspergillus fumigatus Fresenius
  • Aspergillus niger van Tieghem
  • Macrophomina phaseolina (Tassi) Goid
  • et Penicillium citrii 

La taxifoline a montré pouvoir réduire leur croissance jusqu’à 99% dans des proportions appropriées, luttant efficacement contre l’aspergillose broncho-pulmonaire allergique. (37)  

Anti-cancer : 

En plus de la fabuleuse versatilité de ses vertus, la taxifoline semble être aussi une molécule fort utile pour lutter contre non pas une, mais plusieurs formes de cancer. 

Elle a en tout cas montré un effet prometteur contre : 

  • Le cancer du sein, en inhibant la prolifération incontrôlée des cellules (38), évitant la migration, le développement et l’invasion des cellules cancéreuses (39), mais aussi en restaurant le terrain permettant à l’organisme d’inverser le processus des tumeurs malignes. (40)  
  • Le cancer du poumon, par un ensemble de mécanismes allant de la non prolifération des cellules cancéreuses à leur intoxication pure et simple. (41) 
  • Le cancer colorectal, en provoquant la régression des tumeurs. (42) 
  • Le cancer du foie, où la taxifoline a pu démontrer « sa meilleure efficacité » ainsi que sa non toxicité en comparaison de la quercétine, tout en modulant les cellules responsables de la cancérogenèse. (43)  
  • Le cancer de la prostate, en stoppant l’autodestruction des cellules saines et la duplication des cellules cancéreuses. (44) Mais aussi en inhibant l’activité de certaines hormones et enzymes stéroïdiennes l’aggravant. (45)
  • Le cancer des os, en inhibant la croissance, la migration et l’invasion des cellules d’ostéosarcome chez l’humain. (46)
  • Et le cancer de la peau, en ciblant les récepteurs du facteur de croissance épidermique favorisant le développement des tumeurs (47), puis en détruisant les cellules cancéreuses. (48)

Protectrice des fonctions reproductrices : 

La taxifoline protège les testicules des lésions pouvant mener à l’infertilité (49), et atténue la toxicité induite par les phtalates. (50)

Cependant les hommes ne sont pas les seuls à pouvoir en profiter puisqu’elle protège également les ovaires. (51)

Protectrice et régulatrice des réactions allergiques : 

Préservant, comme nous l’avons vu, des conséquences de certaines réactions allergiques, la taxifoline agit dans le même temps sur l’expression des cytokines pro-inflammatoires, bloquant l’apparition des allergies. (52)

Évite la chute des cheveux et favorise la repousse : 

Montrant une activité antioxydante plus importante que la vitamine C, évitant l’apoptose des cellules saines et modulant directement différents facteurs liés à la croissance des cheveux, la taxifoline a été largement étudiée pour son puissant rôle contre la chute des cheveux, et leur repousse. (53)

Protège le cerveau : 

Non seulement la taxifoline protège le cœur et le cerveau en général, mais elle pourrait également soulager les maux de tête, réduire la sensation de vertige et la fatigue cérébrale. (54)

Restaurant l’intégrité vasculaire et la mémoire (55), elle est efficace contre tout type de dysfonctionnement cérébral, qu’il soit d’origine organique ou inorganique. (56) 

Cette étude en double aveugle réalisée sur de jeunes adultes, montre par ailleurs que ses vertus sur la sphère cérébrale ne sont pas uniquement réservées aux plus âgés. (57)

Combat le VIH : 

Enfin, la taxifoline lutterait contre le Sida ou VIH, en bloquant les connexions entrantes de l’infection virale. (58)  

Semblant s’opposer systématiquement tant à ses points d’entrée, qu’à son action dans l’organisme. (59)  

Taxifoline et vitamine C 

Potentialisant les effets bénéfiques de la vitamine C, l’association des deux actifs est tout aussi étudiée que conseillée

Renforçant les vertus de l’une au bénéfice de l’autre, avec la vitamine C la taxifoline est plus antioxydante, cardio-protectrice, et facilite davantage les rémissions d’attaques cérébrales qu’elle ne le fait seule, par le biais de liaisons encore peu comprises par la science. 

Elle a par exemple montré pouvoir rétablir une activité normale des synapses nerveuses privées de transmission d’informations. (60)  

Assurant à elles deux une meilleure circulation du flux sanguin vers le cerveau, selon ces études cliniques russes menées auprès de cinquante-deux patients ayant présenté un affaiblissement du flux sanguin vers le cerveau. (61)  

Ce qui améliore très globalement les vertus de la taxifoline, grâce aux atouts propres à la vitamine C. 

Mode d’emploi 

Ayant cherché pour vous ce qui me semble être la meilleure forme de taxifoline disponible en francophonie, le mode d’emploi suivant s’adapte bien évidemment uniquement à la formule référencée par Réponses Bio

Elle est d’ailleurs fort simple et efficace, chaque gélule contient : 

  • de la fibre d’acacia non OGM pour enrober le remède, renforçant les vertus prébiotiques de la taxifoline
  • 30mg d’extrait de mélèze de Sibérie provenant d’une forêt sauvage de Dahurie, non OGM, non ionisé et non irradié
  • 30mg de vitamine C sous forme d’acide ascorbique simple. 

Et c’est strictement tout. 

Cette formule donc, et cette formule seulement, sera indiquée, à moins d’un avis contraire de votre thérapeute, en cas de : 

Maux de tête :

Prendre une gélule par jour avant l’un des repas de la journée, si possible avant le moment habituel des douleurs. 

Sinon, une prise le matin à jeun au moins trente minutes avant le petit déjeuner.   

Poursuivre la cure pendant un à trois mois en fonction de la fréquence des maux. 

Si les maux ne disparaissent pas au bout d’une semaine, vous pouvez augmenter le dosage à deux gélules par jour avec une prise avant le déjeuner. 

Invasion virale : 

Prendre deux gélules par jour le matin à jeun. 

Poursuivre en cure de trois mois afin d’éviter les rechutes et de favoriser la prévention d’autres infections. 

Protection cardiaque et cérébrale : 

Prendre une gélule par jour le matin à jeun une demi-heure avant le repas, et une autre le soir après la digestion. 

Poursuivre en cure de trois mois, et considérer une pause d’au moins deux semaines avant une éventuelle reconduction de la cure. 

Fonctions régénérantes et rajeunissantes : 

Deux gélules le matin à jeun au moins trente minutes avant le repas. 

Poursuivre en cure de trois mois, et considérer une pause d’au moins deux semaines avant une éventuelle reconduction de la cure. 

Vue et protection de l’œil : 

Prendre une gélule par jour le matin à jeun une demi-heure avant le repas, et une autre le soir après la digestion. 

Protection du foie : 

Deux gélules le matin à jeun au moins trente minutes avant de manger. 

Poursuivre en cure d’un à trois mois, et, en cas d’hépatite, considérer une pause d’une à deux semaines avant une reconduction de la cure. 

Lutte contre la chute des cheveux et favoriser leur repousse : 

Prendre deux gélules le matin à jeun au moins trente minutes avant le petit déjeuner. 

En complément, vider le contenu de deux gélules dans une coupelle et ajouter une cuillère à soupe d’huile de ricin, ou simplement d’olive. Bien mélanger et appliquer en masque sur le cuir chevelu pendant une demi-heure, avant de laver les cheveux. 

Dans la plupart des autres cas, le mode d’emploi pourra être d’une à deux gélules par jour le matin à jeun, une demi-heure avant le repas. 

Néanmoins, les études présentées dans cet article et les recommandations de l’EFSA (62) semblent montrer une innocuité telle de la taxifoline, largement supérieure à celle de la quercétine, que pour les pathologies les plus lourdes et chroniques, une dose pouvant aller jusqu’à trois ou quatre gélules par jour, réparties jusqu’à deux le matin avant le repas et deux le soir, après la digestion, pourrait parfaitement s’entendre. 

De quoi, en tout cas je vous le souhaite, passer un hiver à l’abri des nouveaux virus. 

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin 

Pour trouver la Taxifoline sélectionnée par le comité de Réponses Bio, pure et titrée, rendez-vous ici :

Taxifoline – Veines et capillaires

Sources et références :

  1. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/(SICI)1099-1573(199609)10:6%3C478::AID-PTR883%3E3.0.CO;2-S
  2. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/(SICI)1099-1573(200005)14:3%3C160::AID-PTR555%3E3.0.CO;2-Y
  3. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0006899302041501?via%3Dihub
  4. https://www.scopus.com/record/display.uri?eid=2-s2.0-85026914848&origin=inward&txGid=47cf7de11c3de727ce0a9ebceb2f9fba
  5. https://link.springer.com/article/10.1007/s11373-005-9031-0
  6. https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fphar.2018.01286/full
  7. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1567576918309664?via%3Dihub
  8. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0161813X19300506?via%3Dihub/
  9. https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.0914009107
  10. https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2018/FO/C7FO01073G
  11. https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0168286
  12. https://actaneurocomms.biomedcentral.com/articles/10.1186/s40478-017-0429-5
  13. https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.1901659116
  14. https://www.pnas.org/doi/full/10.1073/pnas.1901659116
  15. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S2213231719311371?via%3Dihub
  16. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36740800/
  17. https://www.semanticscholar.org/paper/EVALUATION-OF-TAXIFOLIN-AND-PHLORETIN-AS-AN-IN-IN-Haque-Pattanayak/0f56620a0bdfd506e48457994b05d125b4080af2
  18. https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/jcb.27398
  19. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0141813019403796?via%3Dihub
  20. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0024320520314661?via%3Dihub
  21. https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/15569527.2019.1588289
  22. https://www.eurekaselect.com/article/101610
  23. https://academic.oup.com/bbb/article-abstract/56/9/1492/5964266?redirectedFrom=fulltext
  24. https://www.jlr.org/article/S0022-2275(20)32358-0/fulltext
  25. https://pubs.rsc.org/en/content/articlelanding/2019/FO/C8FO01256C
  26. http://www.agrobiology.ru/4-2015artemeva-eng.html
  27. https://link.springer.com/article/10.1007/s10086-009-1026-4
  28. https://link.springer.com/article/10.1007/s40203-018-0045-5
  29. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/0162310984900614
  30. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0753332219353697?via%3Dihub#bib0185
  31. https://link.springer.com/article/10.1007/s10616-016-0061-4
  32. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32805387/
  33. https://www.hindawi.com/journals/mi/2019/3740867/
  34. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4828828/
  35. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8587465/
  36. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10410074/
  37. https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/14786419.2010.488628
  38. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0753332218308461?via%3Dihub
  39. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0024320519305430?via%3Dihub
  40. https://scholar.google.com/scholar_lookup?title=Taxifolin%20inhibits%207%2C12-dimethylbenzanthracene-induced%20breast%20carcinogenesis%20by%20regulating%20AhRCYP1A1%20signaling%20pathway&publication_year=2018&author=M.W.%20Haque&author=S.P.%20Pattanayak?
  41. https://atm.amegroups.org/article/view/42202/html
  42. https://bmccancer.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12885-018-4959-4
  43. https://www.mdpi.com/1420-3049/26/5/1476
  44. https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0054577
  45. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0367326X17318476
  46. https://www.spandidos-publications.com/10.3892/mmr.2017.8271
  47. https://aacrjournals.org/cancerpreventionresearch/article/5/9/1103/32029/Taxifolin-Suppresses-UV-Induced-Skin
  48. https://www.scopus.com/record/display.uri?eid=2-s2.0-85064877703&origin=inward&txGid=e7bfbf0c1a61f79a31d300a4ad535be3?
  49. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33531214/
  50. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32525071/
  51. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33754437/
  52. https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S175646461630322X
  53. https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fbioe.2022.995238/full
  54. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15847324/
  55. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15847324/
  56. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15847324/
  57. https://pubs.rsc.org/en/content/articlehtml/2023/fo/d2fo03151e
  58. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8126241/
  59. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33922460/
  60. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11782809/
  61. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15258384/
  62. https://www.efsa.europa.eu/en/efsajournal/pub/5059

 

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Alain
7 mois il y a

« une action reconnue scientifiquement contre le cancer, le VIH, ainsi que tous les variants du SARS-CoV-2. » AUCUN Organisme scientifique officiel ou non officiel au MONDE n’a pu prouver avoir isolé selon le protocole de Koch (soit le Gold Standard ou Standard Or) un « virus » pathogène. Si vous voulez conserver votre crédibilité, ce que je souhaite, il serait temps de mettre un point d’interrogation et/ou une alerte sur l’existence du VIH, SARS COV2 ou autres. Je vous rappelle qu’un nombre de plus en plus important de scientifiques honnêtes dénoncent l’escroquerie de la « virologie » : Stefan Lanka, Tom Cowan, Andrew Kaufman, Sam… Lire la suite »

Dufresne
Dufresne
7 mois il y a
Répondre à  Alain

L’existence des virus ? Ce fut l’une de mes premières réflexions en lisant cet article de JBL, fort intéressant au demeurant.
L’existence des virus n’a jamais pu être démontrée, en effet. Et la question scientifique reste posée.
Pour ma part Béchamp répond à mes questionnements de façon appropriée et scientifique, sans algorithmes ni images de synthèse, qui n’existaient pas encore.

Alain
Alain
7 mois il y a
Répondre à  Dufresne

En effet il semble que la destruction du mythe Pasteurien soit longue et difficile. Beaucoup trop sont encore subjugués par cet escroc, faisant ainsi le jeu de Big Pharma.
Pour cette raison, la réhabilitation d’Antoine Béchamp est un travail salutaire pour l’humanité (je pèse mes mots).
Bonne journée.
Alain

Julius_K
Julius_K
7 mois il y a

donc quels réels avantages par rapport a de la Quercetine anhydre associée a de Bromaléine et de la Vit.C bien dosée en 500mg ?

odile
odile
7 mois il y a
Répondre à  Réponses Bio

Et puis restons donc «  »TRANSPARENT » », vos recherches que je salue, donne ouverture à une forte EVOLUTION ! J’ai ris en recevant ce mot d’un ami à qui je vantais le «  »Le charbon activé, une piste contre les formes longues de Covid «  » » » qui m’a dit : <<Ah bon c’est la «  » »Taxifoline«  » » qu’on doit prendre maintenant !!! >>>>Cependant, votre rôle est aussi de VENDRE et de «  »GAGNER VOTRE VIE » » » donc d’attirer des personnes sensibles à vos écrits, pour qu’ils achètent ! …. Etrange ce monde actuel, ou tout le monde se met à DOUTER de tout!!! Et OU les «  »serviteurs » », deviennent… Lire la suite »

Tanlow
Tanlow
7 mois il y a

Bonjour, pouvez vous permettre le partage sur telegram ou permettre de partager le lien, s’il vous plaît ? cordialement
Nathalie

Martine
Martine
7 mois il y a

Bonjour

Votre poste m’interpellé, je connais la taxifoline et j’en prenais jusqu’à ce que je sois mise sous eliquis à cause d’une arythmie. Pensez vous que je puisse la reprendre ? Bien cordialement 

Embarek
Embarek
7 mois il y a

Merci

DUMAS Josette
DUMAS Josette
7 mois il y a

Merveilleux cette taxifoline, merci beaucoup de tous ces précieux conseils sur la santé- toujours un plaisir de recevoir vos mails que je partage bien sûr pour vous faire connaître-

Michael
Michael
5 mois il y a

J’utilise la taxifoline depuis des années pour la circulation dans les jambes
et j’en suis très content. Avant j’avais essayé autres produits sans avoir ce résultat.

Christophe
Christophe
5 mois il y a

Merci pour tout ce que vous faites pour nous assurer la bonne santé à travers le bio.

j-m
j-m
5 mois il y a

merci

BRUNIER FIGARI
BRUNIER FIGARI
5 mois il y a

MERCI

Mohamed
5 mois il y a

Merci

L.N
L.N
5 mois il y a

Merci pour toutes vos informations très utiles.