La vérité sur l’affaire Beljanski – Interview exclusive de Sylvie Beljanski

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Affaire mirko beljanski

Peu après les découvertes du Dr Gernez, un biologiste moléculaire serbe est arrivé en France pour révolutionner l’approche tant thérapeutique que préventive du cancer.

Diplômé à la Sorbonne, longtemps soutenu par le CNRS et l’Institut Pasteur pour ses recherches « prometteuses », le Professeur Mirko Beljanski fut néanmoins violemment écarté par ses pairs dans des circonstances particulièrement troublantes.

sylvie beljanski
  Sylvie Beljanski

Lassée d’assister à des « déformations » de la vérité sur son père ou sur le résultat de ses recherches par « des médias avides de sensationnel » ou contrôlés par les détracteurs d’un des plus importants scandales à propos de la recherche sur le cancer, Sylvie Beljanski, présidente de la Fondation Beljanski, restitue dans cette interview exclusive la vérité sur « l’affaire Beljanski ».

Qui était Mirko Beljanski ?

Mon père, Mirko Beljanski, était un chercheur serbe passionné de biologie moléculaire.

Il est arrivé à Paris juste après la guerre pour obtenir une licence et un doctorat à la Sorbonne.

Par la suite il a rejoint l’Institut Pasteur et le CNRS, où il est devenu maître de recherche et a fait sa carrière.

Après l’Institut Pasteur, où il est resté jusqu’en 1978, il est allé à l’Université de Pharmacodynamie jusqu’en 1988, l’âge de sa retraite.

Entre temps il a été invité par l’association CIRIS, qui existe toujours, à diriger un laboratoire privé du nom de Cerbiol, installé en Isère, jusqu’en 1987.

Comment s’est-il intéressé plus particulièrement à la question du cancer ?

Tandis qu’il était jeune chercheur à l’Institut Pasteur, il a eu l’opportunité de faire un partenariat de près de deux ans avec un prix Nobel, Severo Ochoa, ici à New York, qui l’a mis sur une piste de travail en l’intéressant à l’ADN.

Une fois rentré à l’Institut Pasteur de Paris, il a continué à se pencher sur la déstabilisation de l’ADN en raison de facteurs environnementaux.

Il faut savoir qu’à l’époque, la pensée officielle de la recherche sur la question du cancer, en France comme partout dans le monde, était de relier le phénomène aux mutations génétiques, dans la foulée de la découverte du génome.

Et le monde scientifique s’imaginait formuler des médicaments qui altéreraient les modifications génétiques, en espérant déposer des brevets sur les gènes qu’ils auraient pu contrôler… c’était la nouvelle manne de la médecine.

Mais à l’Institut Pasteur, dans le service de Macheboeuf, il y avait un chercheur nommé Mirko Beljanski, disant non à ces affirmations.

Il prétendait qu’en l’absence de mutation génétique il pouvait y avoir un phénomène de cancer lié aux facteurs environnementaux, puisqu’il avait démontré par le biais de l’Oncotest que ces facteurs environnementaux peuvent déstabiliser cumulativement et progressivement l’ADN.

C’était donc offrir une autre vision du cancer, et en même temps retirer le tapis sous le pied de toute cette recherche dans laquelle il y avait énormément d’argent investi, pour le développement de la recherche génétique.

Pourquoi ce fameux Oncotest, qui semble fiable à près de 100%, n’a-t-il pas été retenu par la recherche sur le cancer ?

Je peux vous donner deux raisons à cela.

La première étant que c’est un test sensible avec une marge d’erreur extrêmement faible, qui permet effectivement de montrer très facilement si un produit a un potentiel cancérogène.

Donc vous imaginez bien que la plupart des sociétés qui ont des produits douteux sur le marché n’ont absolument aucune envie d’utiliser un test qui mettrait en avant leurs défauts.

Ce qui n’a pas empêché Mirko Beljanski de breveté cet Oncotest qu’aucun laboratoire n’a souhaité acheter.

Ensuite il a eu l’idée d’utiliser son test pour voir s’il y avait des molécules qui pouvaient faire le contraire des cancérogènes, c’est à dire de contrer la déstabilisation ADN des cellules cancéreuses.

Finalement il a trouvé non pas une mais deux plantes capables de faire cela, à savoir le Pao Pereira et le Rauwolfia Vomitoria. 

Comment et pourquoi sa collaboration avec l’Institut Pasteur a-t-elle pris fin ?

Mirko Beljanski et son équipe étaient hébergés à l’Institut Pasteur et soutenus par le CNRS, et comme la direction de ses recherches n’allait pas du tout dans le sens du consensus officiel des bien-pensants de la recherche, il a été traité comme un mouton noir à 5 pattes avec le minimum de crédit que l’on pouvait lui accorder.

Et lorsqu’ils ont voulu le mettre à la porte, c’est à dire en 1978, ils ont pris n’importe quel prétexte pour l’exclure.

Nous avons d’abord reçu une lettre nous informant qu’il n’aurait plus accès à la librairie. 

Puis ils lui ont rendu la vie impossible jusqu’au jour où ma mère s’est faite bousculée par quelqu’un dans un ascenseur, exaspérée elle ne s’est pas laissée faire.

Mais c’est tout de même elle qui a été accusée.

Vous savez à l’époque ce n’était pas comme aujourd’hui, elle ne pouvait pas porter plainte.

Son patron a eu gain de cause et mes parents se sont faits expulsés.

Pourquoi avez-vous continué ses recherches depuis le sol américain ?

Mon père a décidé de rester en France, pays qu’il avait choisi en 1945, et il est décédé en France, malgré tout ce qui s’y était passé.

Moi je suis née à New-York au cours de de son partenariat international, dans les années 50, et en 1996 j’étais avocate travaillant dans un cabinet de droit à New-York.

Je téléphonais régulièrement à ma famille, le matin à cause du décalage horaire et un jour, le téléphone sonne, sonne, sonne, mais personne ne répond.

Je trouve cela bizarre parce que mon père était toujours au laboratoire, il adorait y être.

J’appelle ma mère, et là, j’entends une voix d’homme qui m’interdit de parler à ma mère, m’informant qu’elle est en état d’arrestation.

Je réagis immédiatement en disant « Je suis avocate, passez-moi mon client », et c’est comme ça que j’ai appris que ma mère était arrêtée.

Elle ne savait pas ce qui se passait, mais seulement qu’il y avait 6 gendarmes qui étaient arrivés à 6h du matin, et qu’ils avaient mis l’appartement sens dessus dessous.

A partir de là j’ai donné pour mission à une consœur de savoir ce qui se passait avec mon père, et j’ai appris que tout le monde avait été arrêté à son laboratoire, y compris lui et le personnel.

A la suite de quoi j’ai appris que les gendarmes étaient arrivés à son laboratoire avec des mitraillettes et des chiens, qu’un hélicoptère avait tourné au-dessus toute la journée, et qu’ils étaient venus avec des camions de déménageurs pour emmener le résultat de ses recherches.

Et mon père, au lieu d’être reçu le jour même par le juge d’instruction, comme la procédure le demande… a été contraint de passer la nuit dans une cellule, qu’ils avaient pris soin de « fouiller » au préalable, avant qu’on l’emmène, le lendemain seulement, paraître devant le juge d’instruction.

Deux mois après il est tombé gravement malade et nous avons des raisons de penser, ma mère et moi, qu’il a été irradié cette nuit-là.

Il a été reçu à l’hôpital Necker à Paris deux mois plus tard, avec une myéloïde chronique aiguë, qui en principe met des années à évoluer, surtout que mon père était un solide gaillard.

Et quand il est décédé finalement, on a réalisé que toute la peau de son dos était brûlée.

Ce qui n’est pas le résultat d’une myéloïde chronique aiguë, mais d’une irradiation profonde.

Nous pensons donc qu’il a été irradié cette nuit-là, après son arrestation.

Mais je n’ai pas d’autres preuves qu’une suspicion étayée par différentes choses.

Par exemple le juge d’instruction qui était en charge de l’affaire ne se pressait vraiment pas pour donner une date au jugement, bien au contraire.

Il tentait délibérément de faire traîner le procès, en refusant les audiences, etc.

C’est comme ça qu’on a pu prendre le pas devant la Cour Européenne des Droits de l’Homme, pour non-respect du droit qu’a le défendant d’avoir un procès dans des délais normaux.

Dans le cas de mon père, ils ont étiré ce temps au maximum, et il est finalement mort sans avoir jamais été entendu, ni avoir jamais eu l’occasion de se défendre ou de se justifier.

Le procès était donc encore en cours après sa mort ?

Mon père n’a jamais comparu devant une Cour française dans cette affaire, ils ont attendu qu’il meurt. 

Et à mon avis ils ont attendu qu’il meurt parce qu’ils savaient qu’il allait mourir, puisqu’ils avaient fait ce qu’il fallait pour cela.

Quel est votre sentiment d’avocate sur cette affaire, avec le recul ?

Quand on n’a rien dans un dossier, c’est une façon de se débarrasser du dossier que d’empoisonner le défendant.

Qu’est-ce qui a motivé votre vocation pour le droit ?

J’ai toujours été sensible à l’injustice, et quand j’ai vu ce qui se passait avec mon père, les gens, les malades qui n’en finissaient pas défiler devant lui pour être soignés, et finalement l’injustice qu’il a subie…

Quand j’ai vu dans le dossier juridique de mon père, un ordre de détruire les témoignages, je me suis dit « Non mais attendez, qu’est-ce qui se passe ? »

La justice est faite pour conserver les preuves, pas pour ordonner leur destruction !

C’est ce qui m’a fait réagir et trouver un moyen de dire que l’on ne peut pas laisser faire ça, c’est honteux, scandaleux !

C’est ce qui m’a donné la conviction qu’il faillait aller à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, et c’est aussi ce qui m’a amenée à réaliser que l’on ne pouvait pas laisser ce savoir-faire et ces découvertes disparaître.

Il fallait continuer, c’est pourquoi ses produits continuent à être disponibles, il faut que cette recherche continue, elle est trop importante pour l’humanité.

Comment sont perçus les travaux de votre père aux Etats-Unis ?

Maintenant, très bien !

J’ai écrit un livre qui est sorti au mois de juin dernier, il est devenu best-seller sur Amazon, là il est présent jusqu’à fin janvier dans plus d’une centaine de points qui sont l’équivalent des relais en France dans les aéroports et les gares.

Il est donc très bien reçu. 

Les Américains n’ont rien contre, bien au contraire.

Comment expliquez-vous que la France, pays dans lequel Mirko Beljanski a le plus travaillé, auquel il a dédié son œuvre, sa vie, récuse ses travaux, tandis que les Etats-Unis les acceptent ?

Je pense que dans le cas de mon père, il y a plusieurs choses qui se sont accumulées.

D’abord, il y a eu les ennemis qu’ils s’est faits à l’Institut Pasteur, ensuite il s’est intéressé au virus du SIDA à l’époque où le laboratoire GlaxoSmithKline voulait absolument imposer l’AZT.

Et comme l’AZT n’était pas bien, il fallait l’imposer avec force, en empêchant toute compétition d’éclore, donc les laboratoires Glaxo Wellcome se sont mis en cheville avec une autre famille, qui était à la fois à la présidence d’un autre laboratoire et à la direction de Glaxo Wellcome France.

C’est ainsi qu’ils ont commencé à saborder un peu partout les conférences où mon père parlait, ce qui me semble être le résultat d’une seconde couche d’animosité.

Ensuite, il y a eu l’affaire Mitterrand, quand le chirurgien qui a opéré le Président a dit qu’il ne finirait pas son deuxième mandat, et que Mitterrand a décidé de prendre les produits « Beljanski », puis qu’il a fini son deuxième mandat… cela a créé une nouvelle famille de gens très puissants et bien placés, ayant eu l’impression de perdre la face et d’être ridiculisés à cause de quelques molécules naturelles…

Sans le vouloir, mon père a fait tout ce qu’il fallait pour se mettre tout le monde à dos.

Quels types de critiques ont tenté de discréditer votre père ?

Les critiques qui ont été faites à mon père n’étaient pas des critiques de fond, sur sa recherche.

Quand on entend l’émission qu’il y a eu récemment sur France Inter, il y a un invité qui dit qu’il n’y croit pas du tout, que pour lui c’est de la poudre de Perlimpinpin, mais une telle remarque n’est absolument pas issue d’une approche scientifique !

Scientifiquement, il n’y a jamais eu d’étude cherchant à démontrer que les produits de mon père ne fonctionnaient pas, à part celle de l’ANRS sur le virus du SIDA, à la suite de laquelle ils ont fait un rapport bidon, non signé, décrivant un produit gluant qui ne correspondait absolument pas au produit de mon père.

Et ensuite ils ont utilisé ce rapport bidon pour dire qu’il avait été étudié.

Mais ces études ne valent rien.

Ne pensez-vous pas qu’en soi, le principe de l’Oncotest pouvait inquiéter des personnes bien au-delà des frontières de la France ?

Oui, peut-être.

Mais personne ne l’a acheté, mon père n’était pas un industriel, et il ne s’est rien passé.

Il n’a jamais insisté sur ce développement ?

Comment ? Il aurait fallu avoir des clients qui veulent prendre le risque de tester leurs produits !

Pour revenir à ses recherches, quand est-ce que le Pao Pereira a-t-il été suspecté d’avoir des résultats positifs sur le cancer ?

Cela date de l’époque de mon père, de ses premières publications.

Si vous allez sur le site de la fondation Beljanski, https://www.beljanski.info/, vous trouverez la liste de toutes les publications de mon père.

Il y a beaucoup de choses sur ce site, que l’on a retravaillé récemment.

Dès les années 80, il a commencé à travailler sur le Pao Pereira et à mettre en évidence son efficacité sur différents types de cellules cancéreuses.

Depuis lors les recherches n’ont pas cessé sur les vertus de cette plante, d’ailleurs les dernières études sont très récentes…

Oui, ça n’arrête pas, les dernières études datent de cette année 2018, sur l’inhibition des cellules-souches du cancer du pancréas, par le Pao Pereira et le Rauwolfia Vomitoria, faisant l’objet de deux publications différentes, in vitro et in vivo.

Ce travail a été poursuivi par le Kansas University National Center.

Pourriez-vous nous résumer rapidement ce que les nouveaux éléments de ces études apportent, par rapport aux précédentes ?

Ces études confirment les découvertes de mon père et vont au-delà.

Le travail fait par la fondation a montré systématiquement que le Pao Pereira et le Rauwolfia Vomitoria étaient efficaces seuls, ou avec différents types de chimiothérapies.

Mon père avait déjà étudié et démontré la synergie d’action avec 5FU et Endoxan.

Nous avons pu le confirmer et faire des tests avec d’autres substances.

C’est très intéressant parce que bien que toutes les chimiothérapies soient basées sur des molécules différentes, quelle que soit la molécule de départ on observe toujours une belle action synergique grâce à la plante.

C’est à dire que le résultat positif de la chimiothérapie est renforcé par les produits naturels.

Y a-t-il des résultats positifs sur les effets secondaires par exemple ?

Ces deux plantes peuvent diminuer le nombre de chimiothérapies en améliorant les résultats, ce qui équivaut à diminuer la toxicité du traitement.

Sachant que nous parlons aujourd’hui de compléments nutritionnels ne pouvant pas être testés cliniquement sur l’humain, peut-on observer des rémissions totales ou partielles grâce à ce traitement ?

Effectivement, nous n’avons pas la possibilité de faire des études cliniques sur les humains, mais on a de nombreux témoignages, concordants et très encourageants, allant dans ce sens.

Certains laboratoires, services de santé américains ou internationaux se sont-ils penchés sur les travaux de votre père et leur continuité, afin de vous aider à répandre ces solutions ?

Nous avons fait des études sur les cellules cancéreuses de 3 types de cancer : pancréas, prostate et ovaires, sur lesquels ces produits fonctionnent aussi bien.

Les études ont porté sur 3 stades de cancer : avancé, métastatique qui ne répond plus aux chimiothérapies, ainsi que sur les cellules-souches du cancer. 

Différents stades de cancers, différents types de cancers, différentes synergies avec différentes chimiothérapies, et maintenant nous intéressons un certain nombre de gens qui veulent s’investir dans la fondation, donner, participer à la recherche, etc.

Donc nous commençons à recevoir des dons de généreuses personnes qui croient en cette recherche et en ces programmes de recherche.

Puisque vous avez un recul et un certain regard sur ces dernières décennies, que pensez-vous de l’évolution des cancers dans le monde ?

A ce jour, nous avons 1 personne sur 2 ou 3 suivant le sexe, qui aura un diagnostic de cancer dans sa vie globalement dans le monde, et il paraît que le nombre de cancers va doubler d’ici 2030, donc si on fait le calcul, tout le monde sera concerné par le cancer d’ici 2030.

En même temps, qu’est-ce qu’est devenue la recherche sur le cancer depuis des années, à la lumière des milliards qui ont été investis ?

On ne peut pas dire que le résultat soit bien brillant…

Donc si on continue à rechercher de la même façon, on aura toujours le même résultat.

On est loin d’avoir gagné la guerre contre le cancer avec ces résultats officiels.

C’est pourquoi il est temps de rechercher d’autres méthodes, et ce n’est pas parce que les sociétés pharmaceutiques n’ont pas d’intérêt financier à rechercher des solutions naturelles, que les solutions naturelles n’ont pas de valeur thérapeutique.

Toujours est-il qu’elles sont infiniment moins accessibles pour le commun des mortels.

Elles sont moins accessibles parce que les sociétés pharmaceutiques n’ont aucun avantage à investir dans les remèdes naturels, puisqu’elles ne peuvent pas les breveter.

Si les propriétaires d’actions de firmes pharmaceutiques veulent voir un retour sur leur investissement, les sociétés pharmaceutiques ne développent que des molécules qu’elles peuvent breveter, évidemment.

Et les gouvernements ?

Ce n’est pas tellement leur travail de faire de la médecine ou de la recherche scientifique.

Peuvent-ils favoriser un aspect ou un autre de ces recherches ?

Les gouvernements bénéficient de campagnes financées, les laboratoires pharmaceutiques ont un rôle à jouer là-dedans.

Que pensez-vous de l’évolution probable de ces solutions naturelles, et notamment de celles contre le cancer ?

Vu ce que je vois aux Etats-Unis, il y a de plus en plus d’intérêt pour cela, il y a de plus en plus de gens qui n’ont pas envie de recevoir un protocole type, anonyme, à l’hôpital, et qui grâce à Internet font des recherches par eux-mêmes et s’éduquent.

Il y a de plus en plus de salons où on trouve des docteurs qui parlent de médecine intégrative, c’est à dire d’allier aussi bien le naturel que le synthétique pour le meilleur résultat possible, et qui ont de bien meilleurs résultats de cette manière.sylvie beljanski

Et maintenant on parle de plus en plus de nourriture, de son influence sur la santé, etc.

Je pense que le cancer est quelque chose de multiforme qu’il faut attaquer de différentes façons.

La nourriture est très importante, la détoxification de l’environnement, de la maison, des émotions, des relations…

Si vous vivez dans le conflit tout le temps, c’est pas étonnant de tomber malade.

Vous n’allez pas, même en prenant quelques gélules de ceci ou de cela, vous en sortir.

Il y a un travail de fond qui doit être fait.

Il y a une raison pour laquelle les gens tombent malades, ça n’arrive pas comme ça du jour au lendemain, c’est une maladie évolutive.

Souvent, si vous recherchez pourquoi les gens sont tombés malades, vous vous rendez compte qu’il y a eu un conflit, un drame, un choc émotionnel, ainsi que de mauvaises habitudes alimentaires, un mode de vie abusif, et tout cela fait que petit à petit il y a une déstabilisation de notre organisme, de nos cellules.

C’est exactement ce que mon père démontrait.

La solution est globale, les compléments alimentaires ont un rôle à jouer, mais ils ne sont pas la solution à 100% pour tout.

On parle beaucoup de substances iatrogènes, en évoquant des produits chimiques ou cancérigènes, ou problématiques à d’autres niveaux, or ces substances semblent s’accumuler de plus en plus dans l’environnement.

Selon vous, quel rôle votre fondation, et les gouvernements, auraient-ils à jouer dans cette prévention ?

L’Oncotest est dans le domaine public depuis des années, n’importe quel gouvernement pourrait prendre le mécanisme qui est décrit dans le brevet et l’utiliser.

Ce n’est pas cher et ça peut faire une grosse différence au niveau des populations.

Mais il n’y a pas de volonté pour cela, pas plus aujourd’hui qu’il y a 40 ans.

Est-ce qu’un particulier, avec peu de moyens, pourrait profiter de cet Oncotest d’une manière ou d’une autre ?

Non, parce que ce n’est pas un test pour tester les cellules du corps, mais des molécules environnementales, et que l’Oncotest nécessite d’avoir une banque d’ADN sains et une autre d’ADN transformés par la maladie.professeur Mirko Beljanski

Mes parents avaient mis des années à obtenir, grâce à des médecins, des chirurgiens, des morceaux prélevés au cours des opérations de foies, de seins, et d’autres organes cancéreux, et d’autres sains, pour avoir cette banque de données ADN et pouvoir tester les molécules.

Mais quand le GIGN français est arrivé au laboratoire de mon père, ils ont débranché le freezer…

Cette opération a-t-elle été menée avec un mandat en bonne et due forme ?

Pour moi, ce sont les Barbares qui ont mis le feu à la bibliothèque d’Alexandrie…

Je ne pense pas qu’ils pouvaient vraiment apprécier ce qu’ils faisaient.

Ils avaient reçu un ordre de destruction, et puis c’est tout.

Cet ordre de destruction venait-il de l’entourage de Mitterrand ?

Je pense que les résultats positifs des produits de mon père sur Mitterrand étaient la goutte d’eau qui a fait déborder le vase.

Pensez-vous que François Mitterrand ait personnellement pris conscience des travaux de votre père et cherché à rendre cela public ?

Mitterrand était vieux, malade et égoïste, donc il a pris les produits, il a pu ainsi finir son deuxième mandat, ce qui était le principal pour lui, et puis ensuite il s’est retiré et est décédé quelques mois plus tard.

Il ne s’est pas véritablement penché sur la survie de ceux qui l’avait aidé, non.

Ce n’était pas son problème.

« Après moi le déluge »

Les dernières années, il était malade et entouré de médecins qui se battaient entre eux pour avoir l’oreille du Président, il vivait dans un monde difficile.

Mon père n’était pas médecin, mais Mitterrand avait consulté un médecin, le Dr de Kuyper qui était un ami de mon père et lui a recommandé les produits Beljanski.

Cela est raconté dans le livre « Le Grand Secret », c’est d’ailleurs pour cela que je me permets d’en parler, parce que ça a été mis dans le domaine public par le médecin officiel.

Quel genre d’homme était Mirko Beljanski, sur le plan personnel ?

C’était un rat de laboratoire, il adorait son laboratoire, il vivait pour la recherche.

Tout le reste ne l’intéressait que médiocrement.

Il était un père et un mari physiquement présent, mais sa tête était constamment ailleurs.

Cependant il était extrêmement touché par les malades, il devenait d’une patience infinie pour les écouter, pour leur poser des questions et chercher à comprendre, s’intéresser à toutes leurs analyses, voir s’il n’y avait pas une déficience vitaminique ou un déséquilibre hormonal qui aurait pu justifier la cause de leurs malaises…

Il demandait de leurs nouvelles et était extrêmement présent pour les gens malades qu’il rencontrait.

Par contre, nous, les gens en bonne santé, ne l’intéressions pas trop… Rires…

 Propos recueillis par Jean-Baptiste Loin 

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