Le plus puissant des thés verts efficace contre le Covid 19

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Bien que certains spécialistes s’accordent à constater que les masques et les confinements furent une nuisance démultipliant les effets délétères du Covid, pendant que la thèse normalisante de la zoonose tente de refaire son chemin dans les esprits, n’oublions pas que ce mal est accompagné d’un cortège de symptômes atypiques le différenciant d’une bonne vieille grippe naturelle. 

Provoquant chez certains de longues gênes respiratoires, des pertes d’odorat, de goût, des troubles intestinaux, indiquant non seulement les dégâts possibles, mais aussi la capacité tout à fait inhabituelle pour un coronavirus à infester son hôte de longues années. 

Les autopsies de David Chertow ainsi que de dizaines d’épidémiologistes, prouvent clairement sa capacité à coloniser les poumons, mais aussi le cerveau et les intestins… plus de deux cent trente jours après l’apparition des premiers symptômes. (1)   

Ayant permis de recenser soixante-dix-neuf zones qu’il est susceptible d’envahir, prouvant qu’il est en mesure « d’infecter les cellules à travers tout l’organisme ». 

Toutefois il existe un geste quotidien fort simple et prenant tout son sens dans nos besoins de résilience actuels, permettant de tirer parti d’un des remèdes naturels les plus étudiés par les scientifiques contre les formes de Covid long. 

Tandis qu’un léger recul sur les conséquences de la prolifération du COVID-19 commence à permettre leur étude, il semblerait qu’une personne sur trois ayant souffert de symptômes importants, ait contracté un Covid long. 

Or, une dizaine d’études internationales se focalise sur une plante capable de décoloniser le SARS-CoV-2 par le biais du microbiome intestinal, mais pas uniquement…

Les polyphénols du thé vert au secours des Covid longs

Comme vous allez pouvoir le constater à travers les études suivantes, le thé vert recèle bel et bien les molécules parmi les plus prometteuses analysées. 

Néanmoins, avant d’entrer dans le vif du sujet et de vous dévoiler le contenu de ces études, j’aimerais en profiter pour clarifier un point que certain(e)s ont pu me reprocher au fil de mes publications ces dernières années. 

En matière de science, que l’on parle de sciences du vivant, d’astronomie, de physique quantique, de médecines allopathique ou traditionnelles, je suis adapte de logique. 

La logique voulant qu’une molécule naturelle contenue dans une plante, étudiée, puis concentrée dans une forme galénique quelconque, est nettement plus active que la forme synthétisée. 

Ce qui n’empêche pas les naturopathes comme les allopathes, les laboratoires pharmaceutiques comme les laboratoires naturels, d’étudier de nouvelles solutions quotidiennement. 

Que ce soit pour le bien de l’humanité ou leur propre profit n’est pas tant la question. 

La question étant de savoir utiliser leurs travaux, en toute logique, sans pour autant se laisser entrainer sur les pentes sinueuses de certains débouchés technologiques expérimentaux. 

Si, par exemple, cette étude sur le thé vert contre le Covid long s’applique à chercher un débouché sur l’utilisation de « biomolécules utilisant un système de jonction nanoparticulaire du médicament » (2) c’est bien la molécule naturelle qui y est initialement étudiée. 

Recoupant cette information avec des dizaines d’autres études, la logique, encore elle, nous pousse effectivement à penser qu’un geste simple que connaissent bien les Japonais, pourrait faire partie des préventions de crise les plus faciles et intéressantes à mettre en œuvre. 

Le matcha, roi du thé vert 

Avant de nous jeter sur le premier sachet de thé venu, réfléchissons bien. 

Ici, le point est fait sur des études récentes révélant les sites de liaison possibles présents sur le SRAS-CoV-2 en étudiant leurs interactions avec les polyphénols du thé. 

L’EGCG et la théaflavine ont montré une interaction significative avec les récepteurs examinés… (3)  

Tandis que certaines études d’amarrage soulignent l’activité des mêmes polyphénols contre le COVID-19. 

Accompagné de cette autre analyse s’appliquant cette fois à compiler les publications faisant mention de la capacité de L’EGCG, via l’activation de Nrf2, à supprimer ACE2, soit le récepteur cellulaire nécessaire à l’activation du SRAS-CoV-2, ou le TMPRSS2, à l’entrée cellulaire du virus. (4) 

Ils démontrent que par inhibition de la protéase principale du SRAS-CoV-2, l’EGCG du thé vert peut stopper la reproduction virale. 

Or, de par son activité antioxydante majeure, l’EGCG du thé vert protège contre le SRAS-CoV-2 ainsi que sa réplication, et contre l’éclatement du ROS, ou mécanisme inflammatoire infligé par les pièges extracellulaires neutrophiles. 

Point crucial, L’EGCG peut aussi potentiellement inhiber le cycle de vie du SRAS-CoV-2, tout en montrant des effets protecteurs contre : 

1) les lésions pulmonaires aiguës associées à l’orage cytokinique, ou syndrome de détresse respiratoire aiguë 

2) la thrombose, par suppression des facteurs tissulaires et activation des plaquettes 

3) la septicémie, par inactivation du HMGB1 sensible à la redox  

4) mais aussi la fibrose pulmonaire en augmentant Nrf2 et en supprimant NF-kB. 

Voyez-vous cela ? 

Sachant que le thé vert est produit à partir de bourgeons Camellia sinensis (L.) et de feuilles qui n’ont pas traversé les processus d’oxydation et de dessèchement nécessaires pour produire d’autre sortes de thés. 

Que plusieurs composés polyphénoliques, y compris les flavandiols, les flavonols, les flavonoïdes et les acides phénoliques, se trouvant dans le thé vert représentent plus de 30% du poids sec.

Et qu’il vous est possible, grâce au matcha, une poudre de feuilles de thé vert à boire, d’en consommer savamment une dose quotidienne appréciable. 

Dans cet article, les effets antiviraux de l’EGCG sur divers virus, y compris les virus à ADN, à ARN, les coronavirus, l’entérovirus et l’arbovirus, ont été examinés. 

Montrant une fois de plus sa capacité à éviter la réplication virale. (5) 

Les schémas ci-dessous se référant au pouvoir antiviral, non seulement contre le COVID-19, mais aussi contre un certain nombre d’autres virus, de l’EGCG issu du thé vert : molecules-26-03962-g001

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Cependant le point d’orgue, force est de le reconnaître, est attribué à ce document. (6) 

Il y est clairement fait mention « d’une déficience immunitaire innée ayant entraîné une perturbation en cascade de voies de signalisation qui régularisent les cytokines pro-inflammatoires, diminuent les interférons, épuisent les cellules tueuses naturelles et activent la production d’oxygène. » 

Expliquant que ces conditions ont gravement affecté la capacité du corps humain à lutter contre les maladies infectieuses en général, tout en jouant un rôle central dans la progression de la maladie. 

Ou encore cette étude, échappant presque miraculeusement aux aberrations nanoparticulaires et messagers de synthèse, mettant l’accent sur l’immunité nutritionnelle afin de réguler la réponse immunitaire innée efficace pour lutter contre les maladies infectieuses comme le COVID-19. 

S’appuyant tour à tour sur des découvertes et des expériences in vitro, des modèles animaux et des essais humains, non seulement avec les polyphénols du thé, mais aussi des micronutriments et des vitamines ayant le potentiel de moduler et d’améliorer la réponse immunitaire innée.

Faut-il continuer ? 

Toujours plus complémentaire, cette étude recense un panel de polyphénols contenus dans certaines plantes comme le thé vert, mais aussi l’ail, le curcuma, ainsi que certaines vitamines et minéraux dont nous reparlerons bientôt, potentiellement efficaces contre le Covid. (7) 

Suggérant même d’avoir recours à la micronutrition permise par la complémentation de certaines habitudes alimentaires. 

Parmi elles nous avons particulièrement retenu le matcha, le lait d’or et l’ail noir. 

Que l’on pourra compléter par une autre approche en cas de covid long, favorisant l’énergie ainsi que la souplesse immunitaire : la Phycocyanine. 

Vous l’aurez compris, à moins que cette dernière étude ne vous aide tout de même à mieux comprendre mon propos, c’est bien l’emploi d’un matcha de haute qualité, prenant soin de conserver vivants ses nombreux composants actifs et vitamines, qui permettra la base d’une bonne complémentation quotidienne. 

Intitulée Green Tea Liquid Consumption Alters the Human Intestinal and Oral Microbiome, soit « La consommation de thé vert liquide modifie le système intestinal et oral du microbiome » (8)il est ici question de séquençages et d’investigations phylogénétiques par reconstruction d’états non observés ou PICRUSt, résultant d’analyses des échantillons fécaux et salivaires de volontaires sains montrant des changements dans la diversité microbienne et le microbiote central.

Montrant qu’en plus du potentiel antiviral majeur du thé vert, y compris contre le Covid, il est également en mesure de protéger votre microbiome de proliférations non désirées. 

Sachant que le SARS-CoV-2 colonise souvent le microbiome. (9)  

Que cette interaction néfaste parcourt le nez, communique avec les poumons, puis les intestins et le microbiome. (10) 

Avant de coloniser ce dernier lieu pour un temps s’avérant tout à fait considérable et non naturel pour toute forme de coronavirus. 

Sans oublier, comme tout le monde le sait, que le microbiome joue un rôle prépondérant pour l’efficacité du système immunitaire. 

Un geste quotidien plaisant et salvateur

Pour ses propriétés antivirales, mais aussi parce qu’il est riche de nouvelles saveurs agréables, légèrement astringent et fortement tonique, les Japonais consomment le matcha en boisson chaude ou froide, voire glacée, remplaçant bien souvent les sodas, depuis plus de mille ans jusqu’à aujourd’hui. 

Facile à reconnaitre par sa finesse et sa couleur, il en existe pourtant de nombreuses qualités allant jusqu’à une vente aux enchères spécialisée pratiquant des prix exorbitants pour des qualités d’une pureté sans pareille. 

La différence majeure entre ces différentes qualités résidant dans l’âge auquel les bourgeons de thé vert auront été cueillis, permettant une concentration plus ou moins importante en actifs bénéfiques ainsi qu’une absence d’amertume plus ou moins marquée. 

Il vous faudra néanmoins impérativement faire appel à un objet extrêmement simple, ressemblant à un petit fouet en bambou, appelé « Chasen » afin d’éviter l’apparition de grumeaux qui gâcheraient la saveur de votre thé. 

Il convient de verser quelques gouttes d’eau sur le matcha, chaude ou froide mais non bouillante, puis de remuer à l’aide du chasen jusqu’à l’obtention d’une pâte légèrement liquide, avant d’ajouter la quantité d’eau finale désirée. 

En fonction des goûts, vous pourrez utiliser de quelques pincées à une demi cuillère à café de matcha par tasse. 

Pouvant s’employer avec toutes sortes de lait végétaux, préparations culinaires ou boissons glacées en été, il remplacera judicieusement la mauvaise habitude du café tout en protégeant votre microbiome, renforçant votre immunité et évitant la duplication virale. 

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin 

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Sources et références : 

  1. https://assets.researchsquare.com/files/rs-1139035/v1_covered.pdf?c=1640020576
  2. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34899956/
  3. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32741697/
  4. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34054222/
  5. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34209485/
  6. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33193427/
  7. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33450678/
  8. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29750437/
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7411080/
  10. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33610778/

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