Témoignage Exclusif #2 : Eric Bourdon dénonce les effets de la glycoprotéine spike sur ses patients

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Dans le premier épisode de cette interview, disponible juste ici, Éric Bourdon, en qualité d’Ostéopathe, ancien infirmier, féru de sciences et de médecines, abordait le danger des vaccins et l’élimination du graphène mais aussi de la glycoprotéine spike. 

Aujourd’hui il va vous parler plus particulièrement de la protéine spike ainsi que de son danger pour le foie, le cerveau et les autres organes, tout en confrontant avec nous le résultat des solutions trouvées pour ses patients. 

Éric Bourdon : Le problème avec la protéine spike, que ce soit dans les vaccins ou le SARS-CoV-2, c’est qu’elle ne touche pas uniquement les poumons, elle peut se loger partout dans l’organisme, le foie, le cerveau, le cœur, etc. 

Ce qui veut dire que vous n’aurez pas un symptôme avec un diagnostic, mais plusieurs symptômes n’ayant rien à voir les uns avec les autres. 

Maintenant il est important de savoir que la glycoprotéine spike est hépatotoxique et toxique pour les reins. 

Mais le premier organe touché, c’est le foie. 

Au début de la vague de vaccination, je ne me posais pas encore ces questions, mais j’observais une intoxication généralisée du foie. 

J’ai donc pensé au Desmodium, un puissant détoxiquant du foie que tous les spécialistes sérieux préconisent pour le nettoyer, y compris les cancérologues et tous les médecins reconnaissant que les médicaments sont toxiques pour le foie. 

Et pour revenir aux cas rencontrés dans mon cabinet, le temps de la prise de Desmodium les gens étaient soulagés, mais dès qu’ils arrêtaient les symptômes revenaient. 

C’est là que j’en suis arrivé au charbon actif, en cherchant mes antidotes dans la nature, « à chaque poison existe un antidote ». 

Donc par le truchement des recherches je suis tombé sur Réponses Bio, et votre charbon actif a fait des miracles. 

Les gens étaient très rapidement soulagés et les consultations largement plus espacées qu’avec le Desmodium. 

Sachant qu’il était particulièrement efficace juste après l’injection ou la contraction du virus. 

Toujours est-il que tout le monde n’est pas égal face à la glycoprotéine spike, certaines personnes vont la secréter de manière régulière, d’autres peu, et d’autres beaucoup. 

Ensuite il est facile de se rendre compte que les patients en sécrétant normalement ou peu, sont généralement ceux ayant le moins de symptômes. 

Et si le Moso 3000 s’est avéré efficace dans tous les cas de figure, les personnes sécrétant une grande quantité de protéines spike risquent quand même de ressentir des symptômes lorsqu’elles arrêtent le charbon actif. 

Le problème étant que l’organisme se retrouve programmé pour fabriquer cette glycoprotéine spike. 

Si on ouvre une petite parenthèse au sujet du vaccin, au début il ne devait y avoir qu’une seule injection. 

Mais on s’est aperçu qu’au bout de six mois beaucoup ne fabriquaient plus la glycoprotéine spike. 

Pourquoi ? 

Parce que dans le cerveau, vous avez ce que l’on appelle l’axe hypothalamo-hypophysaire, avec la glande pinéale qui est la grande chef d’orchestre de tout ce qui est sécrétions organiques. 

Donc quand vous avez des cellules qui sécrètent quelque chose c’est sous le commandement du cerveau. 

Tout ce qui se passe dans le corps étant analysé en permanence par le cerveau sur le plan hormonal et neuro-hormonal. 

Ce mécanisme fonctionne depuis des centaines de milliers d’années, tant chez l’homme que l’animal. 

Maintenant, l’importation d’un programme appelé ARN messager va court-circuiter le fonctionnement naturel du corps, passant le message « je me fous de ce que tu penses toi là-haut, on va obliger les cellules à fabriquer quelque chose ». 

Si ce n’est que, comme je le disais, le cerveau, lui, analyse tout. 

Le but de la glycoprotéine spike étant de stimuler les anti-corps, de faire que les anti-corps réagissent par rapport à cette protéine. 

Cependant normalement les anticorps ne doivent pas attaquer la protéine spike, mais le virus. 

Sauf que dans le cas de figure de l’ARN messager, ce n’est pas le virus qui fabrique la glycoprotéine spike, ce sont vos cellules. 

Donc en suivant le raisonnement du cerveau, que vont faire les anti-corps, sachant qu’il n’y a pas de virus dans l’organisme ? 

Il vont s’en prendre aux cellules qui fabriquent la glycoprotéine spike. 

Et c’est ce qu’on appelle une maladie auto-immune. 

Donc au bout de six mois, après avoir compris que le problème venait directement de la glycoprotéine spike, l’organisme arrête d’en fabriquer. 

C’est pour cette raison qu’une seconde, puis une troisième et une quatrième doses de vaccin ont été planifiées par la suite. 

Autre exemple, par rapport à la versatilité de votre charbon activé cette fois, un patient de plus de soixante-dix ans qui avait décidé de continuer sa cure de charbon au-delà du protocole pour se nettoyer de la vaccination, est tombé de son escabeau et s’est fracturé un important nombre de côtes. 

Ayant constaté les fractures, à sa seconde visite le médecin n’en croyait pas ses yeux. 

Malgré son âge et la gravité de la situation, il avait récupéré comme un jeune homme de vingt ans. 

Son docteur lui a donc demandé s’il prenait des remèdes pour rajeunir, il n’en revenait pas, et le vieil homme lui répondit qu’il ne prenait rien, mais il savait que tout ce qu’il prenait c’était le Moso 3000. 

Jean-Baptiste Loin : Avez-vous trouvé des solutions, en dehors du Moso 3000, pour libérer l’organisme de l’emprise de la glycoprotéine spike dans le laps de temps où le système immunitaire la fabrique ? 

Éric Bourdon : J’ai suivi les recherches du Dr McCullough ayant bâti un protocole à base de Bromélaïne, Curcumine et Nattokinase. 

Il semblerait que la combinaison de ces trois produits puisse détruire la protéine spike et aider à restaurer un terrain favorable. (1)  

C’est ce que je commence aussi à expérimenter, que ce soit sur les complications dues aux injections ou les Covid longs. 

D’ailleurs j’ouvre une parenthèse concernant les groupes sanguins risquant le plus de développer des complications lors d’une invasion de protéine spike. 

Les patients les plus réactifs viennent  souvent des donneurs universels, avec les O+ et les O-. Je m’attendais à voir des A+, et bien je n’en vois pas beaucoup dans mon cabinet. 

Je pose systématiquement la question et j’ai plus souvent à faire à des groupes O, voire même AB, et beaucoup moins de A+. 

Je trouve ça extrêmement curieux, après ça fait deux ans que j’observe ce phénomène, on ne peut pas établir de statistiques uniquement sur cette base. 

Toujours est-il que dans tous les cas de figure, la Bromélaïne et la Nattokinase me semblent une approche complémentaire au charbon actif pour se débarrasser de la glycoprotéine spike. 

Jusqu’à quand elle pourra se reproduire en fonction des individus, cela, seul l’avenir nous le dira. 

Jean-Baptiste Loin : Voyez-vous des précautions à prendre, ou un mode d’emploi particulier pour y parvenir ? 

Éric Bourdon : Un point me semblant important, et qui facilitera le travail d’enzymes comme la Bromélaïne par exemple, c’est d’organiser une bonne monodiète pendant au moins 24h complète tous les 10 jours. 

Elle pourrait se penser en ne consommant que certains fruits et légumes de la même famille par exemple. Mais en la pratiquant bien jusqu’au bout, du matin jusqu’au soir puis jusqu’au matin suivant. 

Pour moi c’est bien mieux que le jeûne, et cela permet de simplifier considérablement la digestion. 

Parce qu’au bout de douze heures vos cellules vont consommer le glucose stocké dans le foie. 

Et comme le fructose, lui, ne va pas se transformer en glucose utilisable par l’organisme, cela va permettre aux cellules de se concentrer sur les réserves du foie. 

Au-delà de douze heures elles n’auront plus de combustible, donc elles vont pomper dans les graisses et les toxines. 

Jean-Baptiste Loin : Éric Bourdon, merci d’avoir répondu à mes questions. 

Éric Bourdon : Merci de m’avoir donné la parole. 

*****

Sur la base de cette interview je me suis permis d’articuler les conseils prodigués par Éric Bourdon, documentés tant par ses recherches que par l’observation de ses patients, en un protocole anti-glycoprotéine spike vous permettant d’intégrer efficacement le Moso 3000 à ce dernier. 

Même si vous êtes légèrement sceptique quant aux conséquences de la généralisation de la protéine spike, il ne vous est pas interdit de considérer les conseils suivants comme une excellente détox d’après fêtes. 

Des études réalisées sur le sujet montrent que la Bromélaïne et la Nattokinase sont toutes deux capables de digérer la protéine spike, mais que seule la Bromélaïne renforce l’action de la Curcumine, qui elle-même optimise le travail de cette dernière en bloquant l’infection virale. (2)

Par ailleurs, ces tests ont conclu que la bonne dose de Bromélaïne et de Curcumine à ingérer quotidiennement était de 500mg chacune. 

On peut donc préconiser une cure de trois mois, en fonction des habitudes et de l’âge de chacun, avec : 

  • Le matin à jeun : 1 cuillère à café de Curcuma en poudre, préalablement mélangé à un peu de Poivre noir, dans une cuillère à soupe d’huile d’olive, ou sous forme de en lait d’or, ou 2 gélules de Curcumine et Poivre noir saines et correctement dosées. 
  • En fin de matinée : au moins 30 minutes avant le repas, 1 gélule de Bromélaïne naturelle dosée à 500mg par gélule. 
  • En milieu d’après-midi : au moins 30 minutes avant une collation, 400mg à 1g de NAC ou N-Acétylcystéine
  • Le soir au coucher, et au moins 2 heures après la digestion : un grand verre d’eau mélangé à une cuillère à café de charbon ultra activé Moso 3000
  • Toutes les semaines à tous les quinze jours, il vous appartiendra également d’organiser une monodiète de fruits, légumes, ou fruits et légumes. Elle devra durer au moins 24h, mais pourra éventuellement se poursuivre pendant plusieurs jours. 

Précautions d’emploi et contre-indication 

Les uniques précautions de ce protocole concernent la Bromélaïne, soit le remède le plus important, que vous devrez éviter si : 

  • vous êtes allergique à l’ananas  
  • vous suivez un traitement médicamenteux chimique nécessitant un dosage précis ou entrainant une toxicité rapide, sachant que la Bromélaïne augmente l’absorption des médicaments, antibiotiques et chimiothérapies.  

Dans le second cas il sera préférable de demander l’avis de votre médecin avant de commencer la cure de Bromélaïne. 

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin 

Sources et références :

  1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10663976/
  2. https://jpands.org/vol28no3/mccullough.pdf

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Kazan
Kazan
3 mois il y a

Merci pour vos articles,
May Kazan

meunier annie
meunier annie
3 mois il y a

merci de ces explications complètes et très compréhensibles. je pense que vous êtes les seuls à communiquer librement sur ce dossier…..

THIVAT
THIVAT
3 mois il y a

Namasté ! Grand merci pour votre partage. Vos articles sont toujours aussi pertinents et pointus . J’en prends connaissance toujours avec intérêt.Je n’ai encore jamais vu un site aussi « professionnel » et sérieux que le vôtre. J’accorde beaucoup d’importance à vos avis et je me sens en total confiance avec les produits que vous proposez. Encore merci pour votre travail.
Christiane THIVAT

GERARD
GERARD
3 mois il y a

Merci encore pour ce travail toujours aussi précis, documenté et illustré ; quel bonheur nous avons de vous connaitre !
Encore MERCI .

Regine
Regine
3 mois il y a

Super

Violette
Violette
3 mois il y a

bien reçu, merci !

Ghislain
Ghislain
3 mois il y a

Bonjour,

N’oubliez pas la Zéolite
voir : La Pierre de la Vie-Livre-Docteur Ilse Triebnig Cancérologue et
Zeolite- Nature’s Heavy Metal Detoxifier » du Dr Howard Peiper

ADRY Gaëtane
ADRY Gaëtane
3 mois il y a

Très intéressant, merci

Annie
Annie
3 mois il y a

Merci beaucoup pour tous ce que vous.