La Bromélaïne, ses vertus et ses interactions

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Lorsque l’on parle de Bromélaïne, il est important de faire la différence entre une poudre blanche, sans odeur ni couleur, et une poudre de couleur jaune à orange clair, la seule réellement végétale. 

La première étant, bien que vendue par de nombreux labos soi-disant naturels, un médicament, ou plus exactement un supplément de synthèse, tandis que la seconde, bien plus rare, un véritable extrait végétal de Bromélaïne. 

Une fois cette nuance bien comprise, il est question de deux produits différents. 

Et c’est bien évidemment sa forme végétale, son totum lui assurant un large spectre préventif, qui nous intéresse aujourd’hui.  

Sur cette base nous allons pouvoir considérer son application contre différentes formes de cancers et tumeurs, sa capacité anti-coagulante et son rôle bien précis pour la « digestion » de protéines et glycoprotéines indésirables. 

Le rôle enzymatique de la Bromélaïne 

Enzyme digestive que l’on trouve en forte concentration dans le cœur et la tige de l’ananas, mais aussi dans certaines formes végétales comme les jeunes pousses, la Bromélaïne a montré, en l’occurrence après plusieurs milliers d’études cliniques et expérimentales réalisées au fil des ans, être potentiellement capable d’agir comme bouclier réparateur de nombreux troubles. 

Or, si elle démultiplie l’effet des médicaments, elle peut, à l’inverse, être renforcée et complétée par d’autres molécules naturelles. 

Si bien qu’en fonction de ses interactions avec tel ou tel complément nutritionnel, l’enzyme divisant protéines complexes et glycoprotéines pour leur assimilation et leur évacuation, l’agent antiviral et anti-inflammatoire ou encore le dévoreur de tumeurs et cancers tel que vous le connaissez peut-être déjà, se transforme en véritable couteau suisse dépassant largement le cadre de l’amélioration digestive. 

Les vertus de la Bromélaïne 

Ayant fait l’objet d’une multitude d’études cliniques, in vivo, in vitro et in silico depuis les années 70, ses vertus, leur mode d’action, mais aussi leur implication dans le fonctionnement d’autres molécules, remèdes et médicaments, ont permis au monde scientifique de mieux comprendre le potentiel de la Bromélaïne. 

Cette nouvelle compréhension arrivant à la conclusion qu’elle offre bien plus de possibilités que ce qu’il n’y parait. 

Sachant qu’elle a montré exercer à la fois : 

-> Un large spectre préventif et curatif de maladies cardio-vasculaires, incluant les maladies cardiaques de la sphère coronaire et les désordres des vaisseaux sanguins (1), les attaques cérébrales (2), l’équilibre de la pression sanguine (3), les angines de poitrine et la régulation de la coagulation sanguine. (4) 

-> Une activité anti-microbienne agissant sur les diarrhées causées par les souches d’Escherichia coli (5) notamment en opérant une modification enzymatique des sites de liaison de la glycoprotéine se combinant à E. coli (6), ainsi que par sa capacité à augmenter l’effet des molécules de synthèse, mais aussi des molécules naturelles appropriées. (7)  

-> Une puissante action anti-parasitaire pouvant se combiner au Neem et décupler son action, notamment face à Haemonchus contortus. (8)  

-> Des propriétés anti-fongiques montrant de surprenants résultats sur la population interne de Candida albicans, pouvant l’équilibrer au niveau tant stomacal qu’intestinal. (9)  

Notez à cette fin que pour traiter la sphère stomacale il conviendra d’employer une gélule simple de Bromélaïne, mais pour traiter la sphère intestinale une gélule gastro-résistante est nécessaire. 

-> Des propriétés anti-bactériennes ayant été étudiées sur de nombreuses espèces, y compris celles montrant d’importants signes d’antibiorésistance comme Pseudomonas Aeruginosa. (10)  

Cette dernière étude étant fascinante dans la mesure où elle montre exactement comment une enzyme protéolytique comme la Bromélaïne induit une division à la surface de la membrane des protéines, affaiblissant le mur de cellules protégeant la membrane des bactéries, devenant directement vulnérables aux principes actifs de la Bromélaïne. 

Mais ce n’est pas tout puisqu’elle affiche également d’excellents résultats contre Enterococcus faecalis, (11), Streptococcus mutans (12), Streptococcus sanguis (13), et Staphylococcus aureus. (14) 

-> Un effet immunomodulateur pouvant réguler les réactions auto-immunes tant par une une augmentation qu’une diminution de l’activité/expression des molécules impliquées dans la réponse immunitaire. (15)  

Effet principalement dû à son action sur les lipopolysaccharides, inhibant l’activité de cytokines et molécules clés du processus de réponse immunitaire. 

Évitant ainsi les débordements d’attaques cytokiniques et troubles auto-immuns. (16) (17)  

Mais peut-être aussi grâce à sa capacité à protéger et réparer des inflammations chroniques de l’intestin, y compris les formes auto-immunes et celles menant au cancer du côlon. (18)  

Ou encore grâce à sa capacité modulatoire des leucocytes

Agissant autant sur les marqueurs CD4+, CD8α, que les CD14, 16, 21, 41, 42α, 44, 45RA, 48, 57, 62L, 128α et 128b. (19)  

Tout en montrant une capacité aussi efficace à inhiber, réduire, qu’à stimuler, en fonction du terrain rencontré, l’arsenal naturel des défenses immunitaires. (20) (21)  

-> De vastes propriétés anti-cancer, en agissant sur une dizaine de facteurs présentés dans le schéma suivant. 

Lui permettant ainsi d’être candidate à la prévention mais aussi au traitement de différentes formes, dont, notamment : 

-> Le cancer du sein, en provoquant l’apoptose des cellules cancéreuses (22), inhibant leur formation (23) et induisant l’autophagie des cellules indésirables. (24)  

-> Le cancer de la peau, en bloquant l’activation des marqueurs favorisant la tumeur et déclenchant la mort mitochondriale (25) ainsi qu’en provoquant l’apoptose des cellules cancéreuses. (26)  

-> La leucémie, en inhibant sa propagation (27), modulant l’expression des protéines apoptotiques (28), et provoquant l’apoptose des cellules cancéreuses. (29)

-> Les cancers du côlon et du système gastro-intestinal, en engendrant une cytotoxicité pour les cellules cancéreuses (30), inhibant leur prolifération ainsi que leurs chances de survie (31), et en provoquant leur apoptose. (32)  

-> Les cancers de la zone hépatique et pancréatique, avec cette étude montrant que prise conjointement avec la NAC, la Bromélaïne permet aux chimiothérapies de vaincre ce type de cancers fulgurants en réduisant significativement les doses de produits chimiques, toutefois elle manque cruellement de données sur la Bromélaïne et la NAC seules. (33)  

Un ensemble de vertus sur des pathologies pouvant être lourdes et complexes, qu’il convient de considérer en corrélation avec ses applications cliniques. 

Les applications cliniques de la Bromélaïne 

Employée dans le traitement de nombreuses maladies depuis près de soixante ans, la Bromélaïne a pu être testée dans une large variété de cas cliniques. 

-> Contre les sensibilisations allergiques et asthmatiques, bien évidemment par le biais de ses fonctions immunomodulatrices. (34)  

-> Contre la rhinosinusite chronique. (35)  

-> Pour les activités de débridement enzymatique et de cicatrisation des plaies liées à son activité anti-inflammatoire. (36)  

-> Pour lutter activement contre l’arthrite, l’ostéoarthrite (37), et contre les douleurs provoquées par ces troubles. (38)  

-> Pour récupérer plus facilement après une opération chirurgicale en optimisant la réparation de la fonction musculaire. (39) (40) 

-> Comme anti-diabétique, agissant sur l’homéostasie du glucose mais aussi sur le niveau de résistance à l’insuline. (41)  

Ainsi qu’une quantité d’autres applications, que nous n’aurons pas le loisir d’énumérer dans cet article. 

Cependant, mentionnons tout de même un essai clinique en double aveugle montrant le potentiel protecteur de la Bromélaïne sur la sphère cardiovasculaire, en cas de diabètes. (42)  

Les plus passionnés retrouveront ici une étude analytique regroupant la plupart des recherches et essais cliniques cités plus haut, une publication apportant, en plus de travaux similaires réalisés auparavant, une synthèse assez complète des vertus de la Bromélaïne contre le SARS-CoV-2. (43)  

La Bromélaïne et la protéine spike

Avant d’entrer dans le vif du sujet concernant l’action de la Bromélaïne seule sur la protéine spike, j’aimerais en profiter pour éclaircir un point. 

En début de pandémie d’un virus de synthèse mal compris, et d’une campagne de vaccination ravageuse mettant globalement des milliards d’individus en danger immédiat, je vous ai suggéré deux boucliers principaux : 

  • La Phycocyanine à haute dose
  • Et le charbon végétal ultra activé, ou Moso 3000. 

Je pensais alors, et après plusieurs années de recul j’en suis d’autant plus convaincu, que ce sont là les solutions naturelles majeures à une crise que, il faut se rendre à l’évidence, nous n’avons pas encore fini de traverser. 

Les étranges symptômes survenant lors de grippes hivernales montrent bien, malgré le soulagement que procure l’absentéisme des medias et services de santé en la matière, que les variants et réactions atypiques liés à ce nouveau colonisateur grippal ne se sont pas totalement intégrés à l’humanité. C’est à dire qu’ils représentent encore une menace à laquelle l’immunité naturelle ne s’est pas entièrement accoutumée. 

Par conséquent le témoignage de thérapeutes comme Éric Bourdon, directement confrontés à une variété de cas et de symptômes se recoupant empiriquement avec les études théoriques des chercheurs les plus impartiaux, montre qu’une différence est à considérer en fonction des terrains, des traitements reçus, ainsi que des remèdes et cures consommés au préalable. 

Par exemple quelqu’un ayant découvert mes conseils en 2020 et suivi une longue cure de Phycocyanine, puis s’étant protégé en évacuant les résidus nocifs avec le Moso 3000, ayant troqué son café du matin pour un savoureux Matcha, ayant profité de lait d’or à profusion, etc. ne sera pas dans le même état que qu’une personne commençant sa cure de Phycocyanine depuis deux jours. 

Qui plus est, le facteur de terrain naturel implique que certains vaccinés produiront immédiatement ou non, en petite ou grande quantité, pendant un bref laps de temps ou sur le très long terme, la protéine spike programmée par l’action du virus et du vaccin. 

Pour savoir si une prolifération de la spike est en cours dans votre organisme, il est probable qu’en dehors d’une prise de sang spécifique, l’apparition de symptômes pro-inflammatoires, la résurgence de vieilles maladies, l’oxydation prématurée du terrain, ou encore une forme de débilisation immunitaire menant à attraper le premier virus vaillant, soient pratiquement les seules pistes permettant d’en avoir conscience. 

Symptômes que vous avez très peu de chance d’expérimenter ou d’avoir expérimentés pendant une cure de Phycocyanine et de charbon Moso. 

Ce qui implique que pour savoir si le protocole que j’ai proposé en début de pandémie a porté ses fruits pour vous, il suffit d’estimer l’amplification ou l’absence des symptômes décrits ci-dessus. 

Tout en considérant que, si après avoir fait une cure de ces remèdes de légers symptômes apparaissent tout de même, il est probable que vous fabriquiez la glycoprotéine en abondance et que les cures n’aient pas été assez longues ou bien organisées entre l’alimentation et l’hygiène de vie. 

Dans d’autres cas il est probable, même si vous en fabriquez beaucoup, que vos remèdes vous auront aidé(e) à rester asymptomatique. 

Dans tous les cas il est possible de remédier à une colonisation de la spike avec la Bromélaïne, jumelée au Curcuma, NAC et Moso/Phycocyanine. 

Puisque, comme nous allons le voir immédiatement, juste après la Phycocyanine, la Bromélaïne apporte une des alternatives les plus sûres, avec la Taxifoline et quelques autres, pour éviter les formes graves du Covid. 

Mais pour dégrader tant l’enveloppe que l’intérieur de la glycoprotéine spike, seules la Bromélaine et la Nattokinase ont ce pouvoir. 

Le Moso 3000 lui, se concentrant sur l’importante tâche d’adsorber la protéine entière, ou ses résidus. 

L’action de la Bromélaïne sur la glycoprotéine spike

Considérée comme une enzyme complexe ciblant spécifiquement la dégradation des protéines, il aurait été surprenant que seule la Nattokinase puisse attaquer l’enveloppe de la spike. 

Cette étude de Tallei et coll. révèle par exemple que que la Bromélaïne interagit avec plusieurs résidus critiques de liaison au domaine du récepteur de la glycoprotéine spike des SARS-CoV-, et que lorsqu’elle est associée à la NAC une action synergique contre les glycoprotéines des SARS-CoV- s’opère en cassant les liaisons glycosidiques et disulfuriques. (44)  

Exerçant ensuite un phénomène de division par hydrolyse propre à l’action de la Bromélaïne sur les protéines, en éliminant celles étant néfastes pour la santé. 

Une fois désactivées et partiellement digérées, soulageant le foie qui n’est plus en mesure de traiter la glycoprotéine, le charbon ultra activé interviendra pour l’acheminer hors des sphères dans lesquelles elle finira sa course, à savoir sanguines et intestinales. 

Ce qui, bien que l’action de la Nattokinase puisse apporter un plus indéniable en ce sens s’il vous est possible d’en trouver une forme saine et efficace en Europe, participe à simplifier le protocole visant spécifiquement la protéine spike. 

Soit : 

  • NAC le matin à jeun, en tout cas pour celles et ceux n’ayant pu profiter de Gluthation et Vitamine C liposomaux pendant de longues périodes. 
  • Phycocyanine, si une large cure n’a pas été réalisée récemment, 20 minutes avant le petit déjeuner.
  • Bromélaïne et Curcuma en poudre ou gélules, 30 minutes avant le repas du midi. 
  • et charbon ultra activé Moso 3000 après la digestion du soir. 

Une alternative étant, pour celles et ceux ayant ressenti de lourds symptômes, d’entamer une cure intensive de deux semaines avec le Moso 3000 à la suite d’un mois et demi de cure du protocole décrit ci-dessus. 

Sachant que la Curcumine optimise les effets de la Bromélaïne et que la Bromélaïne améliore l’absorption de la Curcumine, cette dernière n’est pas indispensable mais conseillée. 

Sachant que la NAC est un important précurseur du Glutathion et qu’il représente parfois le meilleur moyen pour l’assimiler correctement, il n’est pas indispensable, mais participe à mieux cibler la spike. 

Concernant spécifiquement le ciblage de la protéine spike, sachant que la Phycocyanine va renforcer considérablement les vertus immunomodulatrices de la Bromélaïne, tout en favorisant une protection organique optimale contre les attaques, elle n’est pas indispensable, mais fortement conseillée. 

Les autres remèdes formant une base indispensable au protocole anti-spike. 

Petite précaution d’emploi au cas où vous optez pour le protocole intégral, la Phycocyanine étant une protéine, sa prise doit être éloignée d’au moins trois heures de celle de Bromélaïne. 

Par ailleurs n’oubliez pas que la Bromélaïne améliore l’absorption des médicaments comme des remèdes, si vous suivez un traitement sensible veillez à adapter le dosage en fonction de votre consommation de Bromélaïne

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin 

Sources et références :

  1. https://journals.physiology.org/doi/full/10.1152/ajpheart.01005.2007
  2. https://www.hindawi.com/journals/btri/2012/976203/
  3. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/4885019/
  4. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/14293138/
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5156508/
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC258942/
  7. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/12164403/
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7020136/
  9. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11410400/
  10. https://e-journal.unair.ac.id/IJTID/article/view/4159
  11. https://scholar.google.com/scholar_lookup?journal=Sci.+Dent.+J.&title=Enzymatic+activity+of+bromelain+isolated+pineapple+(Ananas+comosus)+hump+and+its+antibacterial+effect+on+Enterococcus+faecalis&author=A.S.+Widyarman&author=D.+Liliany&author=E.+Erfan&author=J.+Sudiono&author=M.S.+Djamil&volume=2&publication_year=2018&pages=39-52&doi=10.26912/sdj.v2i2.2540&
  12. https://scholar.google.com/scholar_lookup?journal=J.+Pharm.+Sci.+Res.&title=Evaluation+of+Anti+Microbial+Activity+of+Pineapple+Extract+against+Selected+Oral+Pathogen&author=T.S.+Ahamed&author=V.V.+Priya&author=R.+Gayathri&author=R.V.+Geetha&volume=8&publication_year=2016&pages=491-492&
  13. https://enterpathog.abzums.ac.ir/Article/ijep-4279
  14. https://scholar.google.com/scholar_lookup?journal=Padjadjaran+J.+Dent.&title=Antibacterial+effect+of+pineapple+(Ananas+comosus)+extract+towards+Staphylococcus+aureus&author=Y.K.+Loon&author=M.H.+Satari&author=W.+Dewi&volume=30&publication_year=2018&pages=16099&doi=10.24198/pjd.vol30no1.16099&
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4998156/
  16. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/26459398/
  17. https://scholar.google.com/scholar_lookup?journal=Chiang+Mai+J.+Sci.&title=Anti-inflammatory+Effects+of+Bromelain+in+Lps-induced+Human+U937+Macrophages&author=T.+Kasemsuk&author=P.+Vivithanaporn&author=S.+Unchern&volume=45&publication_year=2018&pages=299-307&
  18. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15936249/
  19. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/1281188/
  20. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/7694216/
  21. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16131473/
  22. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22191568/
  23. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6839443/
  24. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20848558/
  25. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19339108/
  26. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21432909/
  27. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30453006/
  28. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31591915/
  29. https://scholar.google.com/scholar_lookup?journal=Int.+J.+Pharm.+Sci.+Res.&title=Bromelain+Plus+Peroxidase+from+Pineapple+induces+apoptosis+Via+mitochondrial+dependent+apoptosis+pathway+in+lymphoma+cells&author=R.+Debnath&author=D.+Majumder&author=A.K.+Singha&author=D.+Ghosh&author=D.+Maiti&volume=9&publication_year=2018&pages=4610-4618&
  30. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3633552/
  31. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4245783/
  32. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24123777/
  33. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7724355/
  34. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3870104/
  35. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6036946/
  36. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29901807/
  37. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5535474/
  38. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24473984/
  39. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/15161110/
  40. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19727022/
  41. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37650738/
  42. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27412590/
  43. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8709142/#B23-nutrients-13-04313
  44. https://www.mdpi.com/2075-1729/11/4/317
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Menard
Menard
10 mois il y a

Bonjour,
A quoi correspond une haute dose de phycocyanine?

Menard
Menard
10 mois il y a
Répondre à  Réponses Bio

Merci pour votre réponse.

ADRY Gaëtane
ADRY Gaëtane
10 mois il y a

Toujours très intéressant, merci

Lootvoet
Lootvoet
10 mois il y a

Une amie, fidèle lectrice de vos publications, m’a permis de vous connaitre. Et au vue de l’étendu et de la précision de vos connaissances, j’ai pensé à vous poser une question qui est hors sujet du Covid, mais qui est sans réponse du coté des médecins. Pensez vous cela possible ? C’est au sujet du taux de ferritinémie. Merci pour votre retour, cordialement

Irigaray
Irigaray
10 mois il y a

La bromelaine n’est-elle pas déconseillée si prise d’anticoagulants ?
Merci pour votre réponse et vos articles