
Une récente étude américaine publiée par une dizaine d’épidémiologistes montre clairement que les CD4 et CD8, ou lymphocytes T, sont efficaces pour éviter les formes graves de Covid-19, y compris concernant les variants du virus. (1)
Si vous avez eu la bonne idée d’entreprendre une cure de Phycocyanine ces derniers mois, selon les plus récentes recherches scientifiques en la matière cela n’aura pas été inutile pour vous protéger du Covid.
En effet, l’Oxford Academic Journal a publié une étude rédigée par des épidémiologistes et diffusée dans le domaine public, prouvant l’efficacité des CD4 et CD8 en cas d’infection au Covid-19.
Selon ces chercheurs la faculté des lymphocytes T à reconnaître les variants du virus s’attachant à la protéine spike, serait la même en cas de mutation.
Mieux encore, l’étude montre que les orages cytokiniques redoutés en cas de contamination, sont endigués dans la quasi totalité des cas.
À partir d’un échantillon sanguin de quatre cent huit candidats dont les tests PCR étaient positifs au coronavirus, les chercheurs ont tenté une approche complexe des tétramères du peptide-MHC afin de dépister les épitopes potentiels des candidats infectés par le SARS-CoV-2 pour déterminer si les cellules CD8+ T étaient en mesure de détecter certains variants. (2-4)
Les observations menées concernent uniquement les variants anglais ou B.1.1.7, africain ou B.1.351 et brésilien ou B.1.1.248 et montrent par exemple qu’ils possèdent tous une mutation dans le domaine de liaison récepteur de la protéine de pointe ou « spike protein », du SARS-CoV-2.
Le travail des lymphocytes T, se disposant à l’extrémité de la protéine pour cibler le virus avant qu’il ne prolifère, garantirait donc une gestion efficace et en douceur de la réponse immunitaire.
Tandis que les vaccins distribués en toute hâte nous renvoient à d’inquiétants témoignages de victimes (5) qui, bien qu’ils n’aient pas été quantifiés avec précision par les instances sanitaires, montrent déjà des réactions provoquant des orages cytokiniques chez de jeunes gens bien portants (6).
Par exemple, la mort d’étudiants en médecine fraîchement vaccinés, connaissant les rudiments des mécanismes organiques, n’est pas une « coïncidence » à prendre à la légère.
Parallèle d’autant plus troublant que les mutations du virus semblent gagner en férocité.
Sur plus de deux millions de cas positifs au Covid-19 et 17 452 décès survenus en Angleterre entre le 1er septembre 2020 et le 14 février 2021, les analyses ont déterminé que l’infection par le variant était associée à une hausse d’environ 60 % du risque de mortalité (7).
Que l’on parle de virus manufacturés ou non, depuis plus de soixante ans les spécialistes ont pu observer très clairement la faculté d’adaptation d’un virus à une médication chimique, ainsi que son incapacité à évoluer face à un remède naturel.
L’approche chimique ne pouvant qu’inviter le virus à s’adapter à la brutalité du médicament ou du vaccin qui lui est opposé, donc à devenir quelque chose d’infiniment plus violent et dévastateur qu’il ne l’était initialement.
Et, naturellement, lorsqu’une thérapie génique tente d’imiter le rôle d’une protéine comme la Phycocyanine dans l’espoir de préparer le système immunitaire à une stratégie défensive, elle ne peut que faire fausse route.
La faiblesse ontologique de la molécule de synthèse en cas d’infection virale
Ce que je m’apprête à vous dire, si vous n’y voyez pas d’inconvénient, je ne vais pas le documenter scientifiquement.
Tout simplement parce qu’après m’être spécialisé dans la presse de santé naturelle pendant plusieurs décennies, après avoir moi-même vécu ces observations, je peux me permettre d’en parler.
Comme n’importe quel naturothérapeute ou journaliste partageant la même expérience, le pourrait.
Le médicament de synthèse, ou le vaccin, s’attaquent avec une certaine logique à un virus qui par nature a le potentiel pour muter plus ou moins vite.
Cette mutation coïncidant avec sa proportion à pouvoir se dupliquer et envahir les défenses de son hôte est comparable à la capacité des animaux, végétaux et tout être vivant, à véhiculer un mécanisme d’auto défense se traduisant volontiers en attaque contre un milieu hostile à sa survie.
Ne dit-on pas que le bois est « attaqué » par des termites ?
Pourtant les termites qui prolifèrent ne font que se nourrir pour survivre.
À son état naturel, lorsque sa sève circule, l’arbre, tout comme n’importe quelle plante, sait se défendre de ce genre d’attaques sans que les termites ou d’autres formes de nuisibles n’aient de sérieuses chances de s’installer.
Il faut le transformer en bûche et le couper de sa sève, pour qu’il puisse devenir une proie facile pour les termites.
Tout est donc question de stratégie.
Cependant les stratégies employées par les laques industrielles, pour le bois, ou la médicalisation de la santé, pour le système immunitaire humain, même si elles semblent plus tangibles que l’ordre naturel des choses et que leur sophistication excite les neurones, sont en réalité aussi prévisibles et inoffensives pour un virus comme le Covid, qu’une cavalerie d’infanterie l’est contre une armée de tanks.
Sur le court terme un médicament de synthèse semble plus efficace, il coupe par exemple l’inflammation ou l’infection virale.
Mais sur le long terme il offre une piètre ligne de défense, face à un organisme vivant, lui-même doté de mécanismes d’adaptation spontanés absents des médicaments et vaccins.
Tout comme un être humain, un virus a la capacité de faire le mort avant de renaître de ses cendres.
Il est donc ici question d’une bataille impossible à gagner chimiquement.
Quand bien même l’on s’appuierait sur un nombre de paramètres suffisants pour dérouter une intelligence artificielle à processeur quantique.
En injectant un vaccin, aussi novateur et dangereusement efficace soit-il, ce qui n’est absolument pas le cas de ceux mis à la disposition du public, vous perdez instantanément.
Pourquoi ?
Parce que même si dans le meilleur des cas vous avez l’impression de repousser la première vague virale, en réalité, surtout si le virus est complexe, vous lui donnez une occasion en or de muter, tant en contournant aisément la stratégie chimique qu’en leurrant des défenses immunitaires affaiblies.
C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles à chaque fois qu’une nouvelle grippe arrive, la vaccination fait chou blanc.
La logique d’augmenter les doses ou de tenter des approches plus risquées, ne conviendra à personne, sauf au virus.
L’inimitable intelligence de la nature
Là où la nature excelle, lorsque l’on sait la mettre à profit au bon moment, c’est dans sa capacité à combattre le virus indirectement.
En faisant appel à une machinerie au moins tout aussi complexe qu’elle, à savoir le corps humain, elle va créer des lignes de défenses suffisamment efficaces pour venir à bout de pratiquement n’importe quelle pathologie, qu’elle soit virale ou non.
Si une jambe cassée ne se répare pas par l’opération du Saint Esprit, une fois l’os repositionné correctement, ce sont les processus organiques naturels qui donneront les meilleures chances de régénération au cartilage, aux muscles et tissus, tout en évitant l’apparition de rhumatismes prématurés.
Lorsqu’une molécule naturelle ne coupe pas un mécanisme inflammatoire bénéfique à la protection de la zone concernée, elle respecte le processus en cours, le renforce, et module l’équilibre idéal nécessaire.
Cela étant fait si discrètement, en comparaison des importantes perturbations qu’engendre une thérapie chimique, que pour certains, ne voyant aucune différence avec leur état habituel, les produits naturels préventifs semblent presque inefficaces.
Pourtant comment apprécier avec certitude le nombre de fois où la prévention employée aura pu éviter le pire sans qu’il n’y paraisse ?
L’équilibre naturel étant le but à atteindre, c’est déjà un bénéfice en soi.
Si bien que je suis depuis longtemps convaincu, comme d’autres avant moi, que la meilleure stratégie envisageable par l’humanité contre les virus… est de ne surtout pas leur donner la chance de muter.
Pour ce faire, une intelligence collective est nécessaire.
Le premier pas vers cette intelligence étant d’éliminer les produits de synthèse de sa consommation médicale, tout en misant sur les remèdes issus de la nature.
L’intelligence de la Phycocyanine
Depuis plus d’un an mes articles mettent en évidence des études montrant la capacité particulière de la Phycocyanine à équilibrer la présence de CD4 et CD8 dans l’organisme, tout en offrant un arsenal nutritionnel susceptible de moduler les défenses immunitaires.
Par moduler, j’entends non seulement réinformer les systèmes immunitaires les plus démunis en cas d’attaque virale, mais également mesurer l’intensité de leur réponse, permettant d’éviter orages cytokiniques et autres réactions auto-immunes.
Une stratégie simple et pratiquement imparable, même pour les virus les plus complexes lancés… sur le marché.
Une stratégie qui, dans le cas d’une pandémie planétaire, aurait eu le grand avantage de limiter les mutations à des formes bénignes au lieu d’ouvrir la porte à des virus mutants, dont nous n’avons probablement pas fini d’entendre parler.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Phycocyanine Saphir BIO 10g/L – 100ml ou 200ml
Sources :
- Les réponses des lymphocytes T CD8 + chez les convalescents COVID-19 face à plusieurs variants du SRAS-CoV-2
- Faria NR, Claro IM, Candido D, et al. Genomic characterisation of an emergent SARS-CoV-2 lineage in Manaus: preliminary findings. virological.org [Internet]. 2021[cited 2021 Feb 5]; :1–9
- England PH. Investigation of novel SARS-COV-2 variant: Variant of Concern 202012/01 -GOV.UK [Internet]. gov.uk. 2020 [cited 2021 Feb 5]. p. 1–11. Available from: https://www.gov.uk/government/publications/investigation-of-novel-sars-cov-2-variant-variant-of-concern-20201201
- Cele S, Gazy I, Jackson L, et al. Escape of SARS-CoV-2 501Y.V2 variants from neutralization by convalescent plasma. medRxiv [Internet]. Cold Spring Harbor Laboratory Press; 2021[cited 2021 Feb 5]; :2021.01.26.21250224. Available from: https://doi.org/10.1101/2021.01.26.21250224
- Les vaccins et la marchandisation de l’être humain
- Mort d’un étudiant en médecine mort suite à la vaccination
- Davies NG et coll. Increased mortality in community-tested cases of SARS-CoV-2 lineage B.1.1.7. Nature, publié le 15 mars 2021.
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