Contrainte, la FDA oblige Pfizer à publier des documents montrant l’utilisation de graphène dans les injections Covid 19

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Tandis que la FDA, ou agence du médicament américaine, vient de contraindre Pfizer à divulguer les procédés de fabrication de ses technologies ARNm, après y avoir été elle-même obligée par un juge fédéral répondant aux plaintes d’un collectif de scientifiques, la question de la présence ou non d’oxyde de graphène dans les injections refait surface.

Et pour cause, si la FDA a tout d’abord tenté d’accorder un délai de soixante-quinze ans à Pfizer pour la publication des documents en question, et que les médias main stream, les réseaux sociaux et les agences de sécurité s’empressent de couvrir l’affaire en jurant que cela ne prouve rien… le fait est, bien que la formulation chimique l’accompagnant soit indéchiffrable pour le commun des mortels, que la mention « oxyde de graphène » figure bel et bien dans la liste des composants nécessaires à la fabrication des injections Pfizer. (1) p7

Or, même si les institutions ont peut-être raison d’insister sur le fait que l’oxyde de graphène ne figure pas dans la composition des injections ARNm Pfizer et Moderna, il intervient effectivement dans leur fabrication

Et, lorsque l’on parle du devenir de nanoparticules entrant en contact avec un matériau, quel qu’il soit, personne ne peut dire avec certitude quelle quantité aura ou non transité dans le produit final sans réaliser une analyse au microscope moléculaire. 

Si bien qu’une loi datant d’une quinzaine d’années permet à n’importe quel industriel de cacher la présence de nanoparticules entrant dans la composition de son produit, dans la mesure où ces dernières représentent moins de 50% de sa structure physicochimique. 

Autant dire que, et ce depuis plus d’une décennie, nous ne devrions pas uniquement nous soucier du problème des nanoparticules de graphène dans les vaccins et injections ARNm, mais de celui des nanoparticules dans l’intégralité des produits de consommation, tant industriels que biologiques. 

Autre exemple montrant que ce type de procédé est fort courant : 

Les innocentes pastilles d’acérola bio que l’on trouve dans toute pharmacie et Biocoop promettant un apport naturel en vitamine C… sont farcies de stéarate de magnésium, un additif nanoparticulaire dont la dangerosité pour la consommation humaine est largement sous-évaluée, sans qu’il soit nécessaire de l’indiquer dans la composition. 

Pourquoi ? 

Parce que le stéarate de magnésium ne fait pas partie des ingrédients du produit, mais facilite sa fabrication. 

Permettant de faire glisser plus aisément la poudre collante d’acérola dans les tuyaux des machines automatiques des façonniers, il est probable que certains producteurs ne soient même pas au courant que leurs produits en contiennent une dose non négligeable.

Tout comme dans cet exemple, le graphène est employé dans de si nombreux produits destinés à la consommation humaine, puis s’est si largement répandu dans l’air et les nappes phréatiques, qu’il n’est pas impossible que nous soyons tous touchés plus ou moins abondamment par ce toxique. 

Les expériences in vitro et in vivo sur la toxicité des nanoparticules de graphène

Bien que l’on ait peu de recul et que, finalement, d’importantes franges de la population aient décidé de se faire vacciner sans connaître intégralement le contenu des injections, il semblerait que l’humain ait remplacé la souris dans une expérience à échelle planétaire. 

Néanmoins, et fort heureusement, quelques scientifiques ont tout de même pris les devants en analysant la toxicité de différentes formes de graphène sur le vivant. 

Notamment sur : 

  • des cellules épithéliales pulmonaires, 
  • des ribroblastes, 
  • des cellules neuronales, 
  • ainsi que différents modèles animaux.

Les résultats de ces examens allant directement dans le sens des inquiétudes et observations d’un nombre croissant de chercheurs, journalistes et lanceurs d’alertes concernant les effets toxiques des nanoparticules d’oxyde de graphène sur l’être humain.

En voici quelques rapides exemples. 

Sur les macrophages péritonéaux : 

  • Une exposition à du graphène vierge pendant 24h aboutit à une transcription et sécrétion anormalement élevées de cytokines et de chimiokines déclenchées par l’activation de la voie de signalisation NF-bB.
  • Une exposition à du graphène vierge pendant 48h aboutit à une induction de la cytotoxicité par appauvrissement du potentiel membranaire mitochondrial et augmentation des espèces d’oxygène réactif intracellulaire, déclenchant l’apoptose des cellules par activation de la voie mitochondriale.
  • Une exposition à du graphène vierge et du graphène fonctionnalisé pendant 48h, aboutit à une forte absorption intracellulaire du graphène hydrophile fonctionnalisé comparé au graphène vierge hydrophobe.

Observations globales : Les nanoparticules de graphène pénètrent à l’intérieur des cellules par la membrane, dans les aspérités de bord et les sites d’angle.

Les réponses cellulaires, dépendant du type de cellule ou de la composition de la protéine de couronne, ou protéine spike, sont perçues par le système immunitaire comme une attaque pouvant mener à des orages citokyniques et apoptose des cellules.

Sur des cellules pulmonaires : 

  • Une exposition à des points quantiques graphène ou DQG répétée à 24h, 48h et 72h induit une réponse inflammatoire, puis une apoptose et autophagie dans les macrophages par voies de signalisation p38 MAPK et NF-bB.
  • Une exposition à du pluronique dispersé de graphène et de l’oxyde de graphène, administrés directement dans les poumons d’une souris, aboutit à une augmentation de la respiration mitochondriale et production d’espèces d’oxygène réactives, activant les voies inflammatoires et apoptotiques, conduisant à l’autodestruction des cellules.

Sur des cellules HepG2 : 

  • Une exposition au graphène pur pendant 24h aboutit à la cytotoxicité des cellules HepG2 avec dommages à la membrane plasmique et induction de stress oxydatif.
  • Une exposition à l’oxyde graphène pendant 24h aboutit à la formation de ROS dépendante de la NADPH oxydase; puis une déréglementation des gènes liés à la réparation d’antioxydants et de l’ADN, menant à l’apoptose des cellules.

Sur la souris : 

  • Une exposition à l’oxyde de graphène nanométrique administré à 24h, 48h, 72h et 1 semaine d’intervalle, aboutit à des blessures pulmonaires aiguës et une fibrose pulmonaire chronique
  • Une exposition à du graphène à faible couche ou FLG par gavage oral ou instillation intratrachéale, à 3 et 28 jours, aboutit à un oedème pulmonaire aigu et oedème pulmonaire intratrachéal sans absorption détectable dans le tractus gastro-intestinal.
  • Une exposition à des plaquettes de graphène ou GP par inhalation, à 1 jour et 6 semaines, aboutit à une inflammation aiguë du poumon à 1 jour, et inflammation généralisée du poumon à 6 semaines.
  • Une exposition à de l’oxyde de graphène par injection intraveineuse aboutit à une forte accumulation, rétention prolongée, et formation d’oedème pulmonaire et de granulome.
  • Une exposition à de l’oxyde de graphène et des points quantiques de graphène ou GQD par injection intraveineuse aboutissent à une toxicité extrême causant rapidement la mort de l’animal.

Ces observations témoignent de la nocivité de la plupart des formes de nanoparticules de graphène, qu’elles soient utilisées comme vecteur ou non. 

Amenant les auteurs de cette étude à déplorer que la majorité des recherches touchant à la toxicité du graphène se concentrent uniquement sur l’aspect cellulaire, et non sur ses interactions génétiques et celles avec le système nerveux central… (2)

Après plusieurs années de recul, quel est le meilleur moyen connu pour éliminer l’oxyde de graphène et les nanomatériaux en général ? 

Bien que naturopathes, nutritionnistes et scientifiques aient proposé mille et une techniques censées chélater, capturer, ou réparer les dégâts causés par l’oxyde de graphène dans le corps humain, force est de constater qu’il n’y en a qu’une que l’on peut retenir pour avoir prouvé son efficacité en débarrassant l’organisme de suffisamment de molécules nocives pour être digne d’intérêt. 

Aucune autre forme de charbon actif, aucune argile ou zéolite ne peut égaler le pouvoir de captation des nanoparticules du Moso 3000. Opérant une action puissante d’autant plus adaptée à piéger une autre forme carbonée, qu’il est lui-même essentiellement constitué de carbone et que le carbone s’attire. 

Mais pas uniquement, puisque son triple pouvoir vient à la fois : 

1/ Du bois de bambou Moso dont il est issu, produisant le plus fibreux et le plus adsorbant des charbons activés jamais produits par l’humanité. 

2/ De son activation artisanale, assurant la conservation de la structure moléculaire de ses fibres intacte, permettant d’enfermer dans un vaste réseau de micropores les nanoparticules rencontrées sur sa route.

3/ Et enfin, sa fine micronisation, décuplant encore son pouvoir d’adsorption des molécules les plus fines. 

Je le répète, puisque c’est pour tenter d’éviter un carnage que j’ai longuement travaillé sur ce sujet, le Charbon végétal ultra activé Moso 3000 est le seul remède à pleinement garantir votre sécurité en la matière. 

Le Gluthation et la Vitamine C ainsi que tous les antioxydants présents dans la nature « répareront » le terrain autant que possible. 

L’argile verte Montmorillonite ultra ventilée calmera les voies intestinales et participera à adoucir l’effet détox du Moso 3000. 

Et de nombreuses autres solutions peuvent être utilisées en complément ; toutefois il est impératif de commencer par le commencement en expulsant au plus vite les envahisseurs. 

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin 

Charbon végétal ultra activé Moso 3000 – Poudre

Gélules – NOUVEAU DOSAGE – Charbon végétal ultra activé Moso 3000

Sources et références :

  1. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2023/02/125742_S1_M4_4.2.1-vr-vtr-10741.pdf
  2. https://europepmc.org/article/PMC/6075845

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Bonnard
Bonnard
1 mois il y a

Bonjour professeur Loin je n’ai pas d’opinion sur le graphème mais je profite de cette lettre pour avoir un complément d’information sur la Phycocyanine. C’est mon troisième flacon que je prends depuis 2 mois (Powers 20) en raison d’une petite cuillerée tous les matins à jeun. J’ai 82 ans un cancer de la vessie traité en chimio m’a fragilisé je garde toutefois l’espoir de récupérer mes forces avec ce complément d’extrait de spiruline Mes questions : Me faut il davantage de prises ou une cuillerée reste suffisante dans mon cas présent. Me faut il faire une pause et tous les… Lire la suite »

ottaviani sante
ottaviani sante
1 mois il y a

Toujours un plaisir de lire vos lettres, que de recherches ! Un grand MERCI

Emmanuelle Créminon
Emmanuelle Créminon
1 mois il y a

Bonjour
Un grand merci pour tous vos articles hyper intéressants !
Une question: une cure de charbon peut-elle contrecarrer les objectifs d’une séance d’acupuncture ?
Merci pour votre réponse.

Simone
Simone
1 mois il y a

Merci

Muriel
Muriel
1 mois il y a

Merci

Eve Line
Eve Line
1 mois il y a

Merci pour toutes ces informations précieuses

Sylvie Jouy
Sylvie Jouy
1 mois il y a

Merci beaucoup pour toutes ces informations très intéressantes.

Louise
Louise
1 mois il y a

Bonjour Un grand Merci pour la lettre et les recherches de Réponses bio. Pour compléter toutes les recherches et pour une médecine plus personnalisée, je vous invite à consulter. https://www.proteomis.com/fr Des adresses de médecins sont données sur demande par le laboratoire ou le plateau technique du laboratoire peut apporter son aide au diagnostic auprès d’un médecin.Pas besoin d’ordonnance pour faire faire le prélèvement sanguin( et centrifugé) par un laboratoire d’analyses . Demander le kit dans un des labos indiqués sur le site. et https://www.medprevent-systems.net/en/products/prognos/ Le prognos, appareil d’origine russe, assisté par ordinateur, mesure l’énergie des méridiens et teste  » les… Lire la suite »

Mimy
Mimy
1 mois il y a

MERCI

Vayssettes
Vayssettes
1 mois il y a

Bonjour Monsieur, Étant abonné au blog de l’historien Patrice Gibertie. J’ ai su dès octobre 2021 que le vaccin Pfizer n’avait pas franchi la deuxième phase de validation ( non respect des règles, réduction du temps d’observation des effets secondaires). La responsable américaine des tests a été licencié. J’ai connu les tractations entre ce labo et la représentante européenne, afin que celle-ci ne se retourne pas contre le labo, en cas d’effets dangereux. En conclusion la justice américaine a condamné Pfizer à une amende de plus de 2 milliards de dollars, pour mensonge et mise en danger des personnes. Concernant… Lire la suite »

Vayssettes
Vayssettes
1 mois il y a

Bonjour Monsieur,
Le port des masques de protection contre le virus, renfermaient des nanoparticules d’oxyde de graphè ne, qui était suspecté de favoriser les maladies cardiovasculaires. Utilisation dans les vaccins, en prime la molécule nike, suspectée de favoriser le cancer.
Cordialement.

Servane
Servane
1 mois il y a

Merci pour tous vos articles.
Cordialement 

Cécile-Grâce
Cécile-Grâce
1 mois il y a

Merci

MacGyver
MacGyver
1 mois il y a

MERCI !

DENOLLE
DENOLLE
1 mois il y a

MERRCI

callot
1 mois il y a

sinon le site xochi pelli propose des solutions…ou la quinta columna…

Foucaud
Foucaud
1 mois il y a

Merci pour vos informations intéressantes,un plaisir de vous lire.Merci d’exister.

Ruffier Guy
Ruffier Guy
1 mois il y a

Bonjour ,
Merci beaucoup pour toutes ces informations.
Je croyais que BIOCOOP était plus vigilant sur la fabrication de leurs produits en vente dans leurs magasins et me charge de leur parler du stéarate de magnésium dans l’acérola bio.
Merci encore de nous éclairer .
Bien cordialement.
Guy Ruffier