
Le numéro Un mondial de tennis Novak Djokovic remporte son dixième tournois de l’Open d’Australie 2022, mais cette fois, sans poser un pied sur le terrain.
Unique détenteur de l’histoire du « Master d’or », sept fois recordman du grand Chelem, sept fois champion du monde de tennis…
Puisque les politiques sanitaires internationales devenues propriétés d’enfers pharmaceutiques accouchant quotidiennement de nouvelles aberrations scientifiques, tentent de se substituer au témoin naturel de l’histoire, Réponses Bio la réécrira.
Vous ne rêvez pas, le grand vainqueur de l’Open d’Australie 2022 est aussi le premier joueur à ne pas avoir eu besoin de sortir sa raquette de son étui pour gagner.
Refusant de se soumettre à l’obligation vaccinale depuis le tout début de la pandémie, Novak n’en est pas moins prudent, avisé et quelque peu philanthrope.
Après avoir milité de longues années pour la défense de l’environnement, puis avoir mûri un sentiment de dégoût vis-à-vis de la cruauté envers le règne animal le menant à expérimenter le véganisme, il ouvre l’Eqvita, un restaurant vegan monégasque.
Plus récemment encore, échappant au lot de la majorité des célébrités ayant volontiers dilapidé leur fortune en distractions futiles, il co-fonde une Biotech motivant une équipe de chercheurs travaillant sur la découverte de médicaments contre les maladies contagieuses dont, en priorité, le Covid.
Si la voie médicamenteuse n’est certes pas la meilleure, il est infiniment plus avisé de libérer les populations grâce à un ensemble de choix libres, plutôt que de généraliser la consommation de molécules suspectes.
Que certains soient d’avis que c’est « un placement judicieux » visant à gagner plus ou que d’autres y reconnaissent une forme d’empathie pour l’humanité, n’est pas tant la question.
Dans tous les cas c’est la preuve d’un comportement diamétralement opposé à l’image que les autorités sanitaires, mais aussi les medias « mainstream » et les organisations sportives officielles, tentent de donner du joueur.
La victoire de Novak Djokovic contre un Rafael Nadal vacciné n’ayant pas tenu deux sets par match, est hautement symbolique pour le monde libre.
À l’heure où je rédige ces lignes les algorithmes modérant la censure des réseaux sociaux européens sont débordés et, malgré le gigantisme des méthodes employées, la couche de vernis s’effrite et la faille finit par fuiter.
Les uns comme les autres dénonçant « l’épuisement de Nadal par des mesures sanitaires liberticides et dangereuses ».
Certains sociologues sportifs, soucieux de rester dans les bonnes grâces de leurs gouvernements, démontreront statistiquement la baisse des capacités des joueurs vaccinés en comparaison des années précédentes, ayant mené Djokovic à une série de victoires courues d’avance.
Concluant par un passage repris sur Youtube et totalisant plus de quatorze millions de vues, dont le double d’avis négatifs :
« Ne pas se faire vacciner avant un tournoi devrait être considéré par l’institut anti-dopage comme une inégalité gravissime qui aurait dû mener à l’exclusion pure et simple de Djokovic. »
Poursuivant par, tenez-vous bien :
« Comment un joueur ayant reçu une dose de vaccin dans chaque bras avant d’héroïquement consentir à tendre la seconde fesse, aurait pu espérer vaincre une brute épaisse, intolérante au gluten, ne se nourrissant que de légumes, survivant à la morsure du froid en vivant nu dans une grotte isolée de sa contrée barbare, et, de surcroît, refusant de livrer ses parties intimes à la science ? »
Quand la politique se substitue à la connaissance et aux performances sportives, rien ne va plus
Vous l’aurez compris, ce qui vient de se produire en Australie est un évènement historique démontrant la gravité ainsi que l’ampleur de la propagande dont le monde libre est victime.
C’est pourtant un fait ayant, au moins, un précédent historique non négligeable.
Il n’y a pas si longtemps, en 1936, un certain Adolf Hitler, dictateur le mieux financé de son état, détourna les Jeux Olympiques pour façonner l’empreinte visuelle du nazisme sur le monde.
Profitant de cette occasion pour masquer l’image du petit brun impuissant et bedonnant qu’il était, pour la remplacer par celle de puissants athlètes blonds aux yeux bleus.
Or, qu’il soit question de la surimpression du mythe aryen et sa consanguinité légendaire ou de molécules de synthèse censées être inoculées à tous pour le « bien commun » tout en ostracisant ceux refusant de se soumettre, la mécanique demeure la même.
Les athlètes juifs et afro-américains ayant remporté de nombreuses médailles d’or par la suite, qu’ils soient Israéliens, natifs du continent africain, ou non, en ont apporté la preuve irréfutable.
Je vous pose donc la question, pourquoi, près de quatre-vingt-six ans après que ces événements ont honteusement maquillé la propagande nazie en esprit sportif, le seul joueur au monde susceptible de réaliser un exploit personnel au-dessus du commun aurait-il pu se voir refuser l’accès à la compétition ?
Alors même que des hommes politiques contaminés par le Covid et ses nombreux variants s’offrent des vacances au soleil des quatre coins du monde, prenant soin de serrer toutes les mains et d’embrasser tous les partisans.
Pourquoi empêcher un athlète au sommet de sa gloire comme Novak Djokovic de concrétiser son rêve en remportant le grand Chelem doré ?
Parce que la Serbie est un modeste pays sans ressources n’ayant pas les moyens financiers de s’afficher en tant que patrie natale d’un tel joueur ?
Parce que ses habitants défendent en ce moment même leur indépendance face à l’invasion chinoise et l’exploitation minière de terres vierges par un Rio Tinto salivant devant l’opportunité de massacrer l’environnement pour extraire du Lithium et du Borat ? (1)
Ces raisons, dans un monde méga libéral giga connecté à pensée unique, ne plaident peut-être pas en sa faveur.
Mais chacun sait que le véritable motif est bien évidemment son insoumission aux politiques vaccinales, faisant de lui une des rares stars internationales, avec Brigitte Bardot et Elon Musk, à avoir déclaré publiquement leur volonté de rester libre de ne pas se faire vacciner dès le début de la pandémie.
Malgré l’importance que ce tournoi revêtait pour la concrétisation du grand Chelem calendaire que Novak Djokovic s’était juré d’atteindre, il a préféré rester fidèle à ses convictions.
Il fallait être sûr de ses capacités pour ne pas hésiter.
Il fallait accepter de ne pas avoir l’opportunité de vaincre pour la seconde fois un Rafael Nadal le tenant au coude à coude sur de nombreux tableaux.
Bien que, pour le moment, ni lui ni personne ne puisse apprécier le juste retour d’une telle attitude, son intégrité vient de le placer au-dessus de la compétition.
Champion de tennis il était, champion de la liberté il est devenu.
S’il entend parvenir à ses fins tout en assumant ce rôle, cette liberté il lui faut la défendre jusqu’aux Jeux Olympiques et la médaille d’or.
Jeux qui devront, de par leur nature internationale et leurs liens étroits avec les Droits de l’Homme, faire appliquer la Convention de Genève en permettant une participation impartiale à tous les joueurs, y compris « les prisonniers de guerre » non vaccinés, et quel que soit le statut sanitaire du pays les accueillant.
Si une telle chose arrive, ce jour marquera peut-être le début de la réunification lucide entre deux frères ennemis que tout semble encore opposer, au sein d’une Europe défendant des valeurs ayant fait douté les Français ainsi que le reste des États membres, du bien-fondé d’une si étroite complémentarité.
Il devrait être clair, pour les Serbes comme pour les Croates, ainsi que les membres de l’Union sortant ou entrant, que malgré nos divergences et incommunicabilités diverses et variées, culturellement parlant, il nous sera bien plus facile de comprendre le cœur d’un Européen que celui d’un Chinois, et, par conséquent, de vivre selon des règles que nous comprenons tous.
Néanmoins si c’est, une fois de plus, par l’industrialisation et la militarisation que les grandes puissances de ce monde s’affrontent, l’humanité aura joué sa dernière carte.
Tandis que par le prisme d’une compétition des connaissances, de la culture, des sciences et des arts… les vieilles nations ne pourront que se compléter dans une course créative permettant aux esprits d’évoluer infiniment plus sereinement vers leur fonction naturelle, à savoir vivre librement les uns pour les autres.
Pensez-vous qu’une telle chose soit possible ?
Êtes-vous convaincu(e) que la liberté vaccinale approche un peu partout dans le monde ?
Êtes-vous conscient(e) que la décision de justice australienne représente une victoire à retardement contre les politiques vaccinales ?
Je vous invite à utiliser l’espace dédié aux commentaires, ci-dessous, pour me faire part de vos pensées.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Source et référence :
- Rio Tinto suspend son projet de mine en Serbie face à la révolte populaire : https://www.franceculture.fr/emissions/la-revue-de-presse-internationale/la-revue-de-presse-internationale-par-camille-magnard-du-vendredi-24-decembre-2021
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Bonjour, Merci d’être là, je suis entièrement d’accord avec vous. Ce grand joueur de tennis est un héros à mes yeux et mériterait le prix Nobel de la liberté. Nous sommes sous liberté conditionnelle. Ils nous prennent pour des mendiants, nous jettent en pâture des miettes de plaisirs et ils attendent que nous leur disions merci ? Ce semblant de liberté ne m’attire nullement, par contre à chaque seconde je savoure ma joie de ne pas être leur esclave..