Le « Yan Report » : La thèse chinoise de la manipulation génétique du SARS-CoV-2

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comparaison sequencage SARS-CoV-2

Depuis plusieurs mois, le Dr Li-Meng Yan, ancienne référente de l’OMS à l’Université de Hong Kong en Chine, prétend avoir été mandatée par son gouvernement pour une investigation « secrète » sur le SARS-CoV-2 dès décembre 2019.

Censurée alors qu’elle tentait de prévenir la communauté scientifique internationale, à partir de fin décembre, elle assure que Hong Kong a volontairement dissimulé la vérité au monde.

Puis, après avoir migré aux États-Unis, elle livre son histoire à Fox News et à un talk show anglais, affirmant, étude à l’appui, que le virus est issu d’un laboratoire militaire chinois et formulé sur la base d’armes biologiques connues sous le nom de ZC45 et ZXC21.

Bien que relayée par la chaîne américaine favorite du Président Trump, le témoignage de Li-Meng Yan enregistré avant la publication de son étude, a également été retransmis sur les télévisions anglaises et espagnoles, et traduit par des internautes français.

Talk show, news people, petits blogueurs et Youtubers, relayent depuis quelques mois une information semblant avoir du mal à passer dans la presse spécialisée, ou parmi les publications officielles.

Or, si le gouvernement chinois et l’ONU démentent le bien-fondé du témoignage de Li-Meng Yan, que certaines chaînes chinoises diffusées en anglais se sont spécialisées dans la démonstration de ses « mensonges », il est néanmoins difficile de ne pas considérer les tentatives d’étouffement dont la thèse de la manipulation du virus est victime, en Chine, en France, ainsi que dans les moindres commentaires Youtube.

La dernière vidéo de Réponses Bio intitulée « Bas les masques », a elle-même vu un commentaire évoquant le fait que le brevet déposé par l’Institut Pasteur sur le SARS-CoV, devait nécessairement être basé sur un virus fabriqué en laboratoire, ou illégal, supprimé en quelques heures. (1)

Donnant davantage de raisons aux médias et journalistes indépendants de considérer une tentative d’étouffement de cette hypothèse.

Toutefois, afin d’y voir plus clair concernant la thèse du Dr Li-Meng Yan, commençons par analyser les faits.

D’où vient Li-Meng Yan ?

Jeune virologue chinoise travaillant pour l’Université de Hong Kong au moment des évènements de Wuhan, elle obtint son diplôme de Doctoresse à la Souhthern Medical University, où elle intégra rapidement le département d’ophtalmologie du Zhujiang Hospital, lui-même rattaché à l’Université.

Voici deux des études auxquelles elle participe à l’époque :

  • 2012 – État des lieux du -FDG-PET/CT dans la toxicité hémopoïétique des radiations : sur un mini porc du Tibet. (2)
  • 2013 – Les blessures réduisant l’énergie du métabolisme induit par l’irradiation dans le petit intestin du mini porc du Tibet. (3)

Puis, à partir de 2018 elle intègre l’équipe de Leo L.M. Poon à l’Université de Hong Kong, où elle participe à de nouvelles recherches pour tenter de trouver un vaccin contre la grippe ou « influenza » virus. (4)

Tentatives de recherches que l’on sait presque aussi anciennes que l’industrie pharmaceutique, n’ayant jamais été abandonnées malgré plus de cinquante années d’échecs.

Depuis 2006, considéré comme un expert par ses pairs, L.M. Poon travaille sur la recherche vaccinale contre le SARS-CoV en collaboration avec une entreprise de biotechnologies hollandaise et l’Université de Francfort, toutes deux présentées dans la section « conflits d’intérêts » des dites études. (5)

Tout comme l’Institut Pasteur en 2004 et probablement plusieurs pays, Crucell Holland BV a effectivement breveté une version génétiquement modifiée du SARS-CoV et financé les recherches appliquées de l’Université de Hong Kong et Francfort. (6)

L’exemple 8 de ce brevet suggère étrangement la préparation d’un SARS-CoV-3 issu d’une modification du génome SARS-CoV.

Il semble de plus en plus évident qu’une coopération, ou une compétition internationale et multilatérale, ait, dès le début du second millénaire, commandité des recherches menant à la manipulation génétique d’une souche SARS-CoV.

La déclaration du Dr Yan, assurant que ses supérieurs l’aient avertie de ne pas dépasser une certaine « ligne rouge » en dévoilant le résultat de ses recherches sur le SARS-CoV-2 montrant sa dangereuse contagiosité, va dans le sens de la censure et de la disparition tragique du Dr Li Wenliang.

Comme vous le savez, Li Wenliang fut le premier à annoncer au monde, par le biais d’un message envoyé à ses amis, qu’une nouvelle épidémie de SARS-CoV était probablement en cours.

Li-Meng Yan prétend que son analyse montrant que le SARS-CoV est volatil aurait été censurée par ses supérieurs, indiquant que le gouvernement chinois en avait connaissance, au moins depuis la fin du mois de décembre 2019.

Elle aurait été la référente direct de l’OMS à Hong Kong par le biais d’un de ses directeurs, le Dr Malik Peiris, lui-même affilié au groupe stratégique d’experts sur l’immunisation, et aurait assisté à une volonté d’étouffement de la situation entre Leo Poon et des membres de l’Organisation Mondiale de la Santé. (7)

Puis, ses découvertes ayant été rangées dans un tiroir, elle décide de trouver l’appui d’un Youtuber chinois vivant aux États-Unis qui l’aide à quitter la Chine pour sa sécurité.

Son mari, convaincu que la position de sa femme met leurs vies et celle de leurs proches en péril, exprime un profond désaccord.

Malgré le fait qu’elle ait conscience que « les lanceurs d’alertes chinois disparaissent » inexplicablement, elle refuse d’abandonner ses démarches.

Le lendemain, se rendant à l’aéroport international sous prétexte de vacances à l’étranger, ayant dissimulé ses bagages dans de simples sacs pour éviter les soupçons de ses collègues, elle est interceptée par la douane américaine et conduite à des agents du FBI et de la sécurité intérieure américaine.

Étalant sa version des faits, sa demande d’asile politique semble rapidement acceptée et Fox News, la chaîne préférée du Président américain, fervent défenseur de la thèse d’une manipulation chinoise du virus, tend son micro à la jeune virologue.

Elle y explique ne pas faire confiance à des instances gouvernementales comme l’OMS, la CDC, qu’elle soit chinoise ou américaine, les géants pharmaceutiques ou la communauté scientifique payée par ces derniers.

Et le 14 septembre 2020, elle publie une thèse démontrant la manipulation du SARS-Cov 2. (8)

Une nouvelle thèse de la manipulation du virus mais également de la volonté d’étouffement des détenteurs de brevets

Conduite par les Dr Li-Meng Yan, Kang Shu, Guan Jie et Hu Shanchang, une étude intitulée « Composants inhabituels dans le génome du SARS-CoV-2 suggérant une modification sophistiquée issue d’un laboratoire plutôt qu’une évolution naturelle, et délimitation des routes synthétiques probables » a été publiée hier.

Les chercheurs signant cette étude sont respectivement experts en virologie, biologie moléculaire, biologie structurelle et bio informatique, indépendants, et apparemment exempts de conflits d’intérêts.

Cette théorie assume son aspect « pre-print », expliquant que toutes les études traitant d’une modification du virus ayant été présentées à la communauté scientifique pour validation par leurs pairs, se sont rapidement vues censurées et bannies des publications officielles. (9 à 19)

Démontrant également que la thèse de l’apparition naturelle du virus publiée dans la revue Nature, présentée dans mon article sur les révélations du Professeur Montagnier comme contre-argument, semble inconsistante et controversée par de nombreux spécialistes.

Par ailleurs l’équipe de chercheurs mentionne de probables conflits d’intérêts invitant la revue à défendre la thèse de la zoonose. (20, 21)

Le Dr Yan et son équipe affirment que les publications assumant l’origine naturelle du virus se basent sur sa ressemblance avec le coronavirus issu de chauves-souris chinoises répertorié comme étant le RaTG13, et sont non seulement incomplètes mais également volontairement dissimulées.

Citant à l’appui des publications remettant en cause l’éventualité même que le RaTG13 soit d’origine naturelle. (22 à 25)

Insistant sur le fait que partout dans le monde, ceux ayant suggéré une manipulation du virus sont systématiquement victimes de pressions et censures. (26)

Une longue étude du séquençage et des structures codantes du SARS-CoV-2 se focalise sur l’hypothèse qu’il soit formulé à partir du modèle de virus de chauve-souris ZC45 et ZXC21, brevetés par le gouvernement chinois.

La « spike protein », permettant la liaison au récepteur ACE2, aurait pu y être sélectionnée par un procédé de bio informatique permettant de trouver la combinaison offrant le plus haut taux d’affinité avec le métabolisme humain.

En d’autres termes, le moyen d’imiter une zoonose en recréant une enveloppe, ou protéine spike, adaptée.

Moyen que le Dr Yan et son équipe montrent avoir été appliqué avec succès par de nombreux chercheurs depuis des années.

Moyen que d’autres publications scientifiques suspectent de pouvoir aller jusqu’à se passer du récepteur humain AC2, permettant à l’enveloppe du virus de se lier à différents organes et cellules, dont les lymphocytes T ou CD4. (27)

Ce qui pourrait expliquer, d’une part, les réactions auto-immunes face à un virus totalement absent de la mémoire génétique du système immunitaire, et d’autre part la mortalité accrue en cas de faible taux de CD4 ou lymphocytes T, pouvant s’avérer rapidement débordés par la réplication du virus.

Toujours dans la publication de Birger Sørensen, Angus Dalgleish et Andres SusrudImmunor de la St Georges University of London, page 5 point 2, ils expliquent qu’en 2010 des scientifiques de la section « spéciale virus » de l’Institut de Virologie de Wuhan s’attelaient à travers une collaboration internationale, à augmenter la capacité d’infection du SARS-CoV pour les humains.

L’équipe de chercheurs anglaise prétend qu’ils auraient utilisé un artefact HIV afin de mettre au point sept récepteurs ACE2 de chauve-souris, avant de comparer leur capacité de fixation aux récepteurs ACE2 humain.

Ils y révèlent que les Dr Xu L et al, auraient conduit des travaux jusqu’en 2016, relatifs à l’études des chauves-souris chinoises les plus enclines à contaminer l’humain.

À partir de 2015, le même Institut de Virologie de Wuhan aurait travaillé en collaboration avec une équipe de l’Université Chapel Hill de Caroline du Nord.

D’autres informations, françaises cette fois, tendent à indiquer qu’à la même époque l’Institut Pasteur s’était impliqué dans l’Institut de Virologie de Wuhan.

Ils y auraient manipulé des virus de chauves-souris afin de créer un virus synthétique, le SHC014-MA15, pouvant à la fois contaminer la souris mais aussi l’homme, considéré comme le premier virus volatil de ce type.

Suite à quoi l’Institut National de Santé américain s’est publiquement retiré de ces expériences.

Il publia alors une annonce afin de se dédouaner d’éventuelles fuites, suggérant qu’un virus modifié génétiquement avec une telle capacité de propagation représentait un danger.

Danger nécessitant une pause dans les investissements concernant les expériences menées sur Influenza, SARS et MERS. (28)

Malgré tout, les auteurs anglais présument que les Américains aient en réalité poursuivi les recherches conjointement avec Wuhan, abandonnant le principe de précaution évoqué.

Le « Yan Report », au-delà de la publication tendant à démontrer la manipulation du virus, est un recueil des scientifiques et journalistes indépendants s’étant interrogés sur les étrangetés du Covid-19.

Ainsi que le recensement d’actes notant une volonté internationale d’étouffement de l’information.

Volonté issue d’un consortium de lobbies créant une chape de plomb sur l’évolution naturelle de la science, nous le savons, depuis plus d’un siècle.

Plus la science s’est persuadée qu’elle était exacte, plus ses administrations et commerçants se sont montrés incapables d’accepter les points sur lesquels elle se trompe.

Ces informations se recoupant avec celles glanées dans mon premier article sur la manipulation génétique du Covid-19 paru le 3 mai dernier, il est aujourd’hui difficile de croire que le SARS-CoV-2 ne soit pas, au mieux une expérience échappée d’un laboratoire, au pire, le prétexte idéal d’un vaccin intéressant les plus grandes puissances mondiales depuis le tout début de l’industrialisation pharmaceutique.

Bien qu’aucune de ces études ne constitue une preuve formelle de la manipulation génétique du SARS, il est révélateur de noter que cette divergence de points de vue oppose systématiquement les scientifiques indépendants des scientifiques officiels, la presse indépendante de la presse gouvernementale.

Une chose est certaine, les grandes puissances mondiales, les lobbies pharmaceutiques et finalement les systèmes officiels de santé ont trop manqué de transparence pour que l’on puisse encore leur faire confiance.

Manipulera bien qui manipulera le dernier

Toujours est-il que, dans ce jeu de dupes, où tous les mensonges et coups bas internationaux sont possibles, rien ni personne ne peut se payer le luxe d’être totalement blanc ou noir.

Une vision ancienne du Tao qui nous enseigne encore aujourd’hui que dans la nature humaine, inconsciente de l’illusion de ses chimères, il y a le mauvais des bons ainsi que le bon des mauvais.

Le pire, chez les bons, étant souvent qu’ils sont ceux chez qui l’on s’attend le moins à voir du mauvais.

Rien n’exclut qu’ils puissent être parfaits, cependant force est de constater qu’ils ne le sont pas.

Aussi, même si le Dr Yan qui semble suffisamment proche du développement du virus génétiquement modifié de Wuhan pour que ses hypothèses suggérant le mode d’emploi de la fabrication du SARS-CoV-2 soient plausibles, rien n’indique qu’elle n’ait pas passé un marché avec les États-Unis.

Ce qui expliquerait aussi pourquoi, Fox News, dont les choix éditoriaux semblent largement influencés par le Président américain, est la seule chaîne d’envergure ayant couvert l’information.

Bien qu’ils aient apparemment recoupé les informations du Dr Yan, un passage de l’interview semble téléguidé.

La certitude que l’hydroxychloroquine est un médicament inoffensif, même pour les enfants, dans le cadre d’un suivi quotidien des fonctions cardiaques et oculaires, semble être une approche un peu légère pour un médecin censé en connaitre les effets secondaires.

Un médicament aussi lourd préconisé à des enfants en prévention pendant des mois, voire des années ?

Je ne pense pas, non.

Puisque la piste d’un virus déclenchant une réaction auto-immune pouvant s’attaquer au système nerveux, au cerveau, au cœur, ainsi qu’aux poumons, semble se confirmer, la Phycocyanine ainsi que certains acides aminés et huiles essentielles ciblés semblent, surtout pour les plus fragiles, une piste bien plus honnête.

Quant au vaccin, après été témoin de l’insoutenable légèreté avec laquelle les lobbies, les gouvernements, et finalement le système de santé tout entier, joue avec la vie des gens, qui serait assez fou pour l’accepter ?

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

Sources et références :

  1. « Bas les masques » : https://youtu.be/UcNBg-EDnL4
  2. La valeur diagnostique du (18F) -FDG-PET / CT dans la toxicité des radiations hématopoïétiques : un modèle minipig au Tibet : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3393352/
  3. Les blessures induites par l’irradiation réduisent le métabolisme énergétique dans l’intestin grêle des mini-porcs du Tibet : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3602586/
  4. Les obstacles du laboratoire au chevet du patient dans la réalisation et la mise en œuvre d’un vaccin antigrippal universel : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30013557/
  5. Association d’anticorps monoclonaux humains contre le coronavirus du SARS-CoV : synergie et enrobement des organismes mutants : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16796401/
  6. Recombinaison du SARS-CoV nsp12 et sa méthode de production : https://patents.justia.com/patent/20110097730
  7. Malik Peiris : https://en.wikipedia.org/wiki/Malik_Peiris
  8. Caractéristiques inhabituelles du génome du SARS-CoV-2 suggérant une modification de laboratoire sophistiquée plutôt qu’une évolution naturelle et une délimitation de sa route synthétique probable : https://zenodo.org/record/4028830
  9. Maiti, A.K. On The Origin of SARS-CoV-2 Virus. Preprint (authorea.com), DOI:10.22541/au.159355977.76503625 (2020).
  10. Lin, X. & Chen, S. Major Concerns on the Identification of Bat Coronavirus Strain RaTG13 and Quality of Related Nature Paper. Preprints, 2020060044 (2020).
  11. Bengston, D. All journal articles evaluating the origin or epidemiology of SARS-CoV-2 that utilize the RaTG13 bat strain genomics are potentially flawed and should be retracted. OSFPreprints, DOI:
    10.31219/osf.io/wy89d (2020).
  12. Segreto, R. & Deigin, Y. Is considering a genetic-manipulation origin for SARS-CoV-2 a conspiracy theory that must be censored? Preprint (Researchgate) DOI: 10.13140/RG.2.2.31358.13129/1 (2020).
  13. Rahalkar, M.C. & Bahulikar, R.A. Understanding the Origin of ‘BatCoVRaTG13’, a Virus Closest to SARS-CoV-2. Preprints, 2020050322 (2020).
  14. Robinson, C. Was the COVID-19 virus genetically engineered? (https://gmwatch.org/en/news/latestnews/19383, 2020).
  15. Robinson, C. Another expert challenges assertions that SARS-CoV-2 was not genetically engineered.
    (https://gmwatch.org/en/news/latest-news/19383, 2020).
  16. Sørensen, B., Dalgleish, A. & Susrud, A. The Evidence which Suggests that This Is No Naturally Evolved Virus. Preprint, https://www.minervanett.no/files/2020/07/13/TheEvidenceNoNaturalEvol.pdf (2020).
  17. Zhang, B. SARS-CoV-2 Could Come from a Lab – A Critique of “The Proximal Origin of SARS-CoV-2” Published in Nature Medicine.
  18. Sirotkin, K. & Sirotkin, D. Might SARS‐CoV‐2 Have Arisen via Serial Passage through an Animal Host or Cell Culture? BioEssays, https://doi.org/10.1002/bies.202000091 (2020).
  19. Seyran, M. et al. Questions concerning the proximal origin of SARS-CoV-2. J Med Virol (2020).
  20. China Honors Ian Lipkin. (https://www.publichealth.columbia.edu/public-health-now/news/china-honorsian-lipkin, 2020).
  21. Holmes, E. Academic CV.
    (https://www.sydney.edu.au/AcademicProfiles/profile/resource?urlid=edward.holmes&type=cv, 2020).
  22. Lin, X. & Chen, S. Major Concerns on the Identification of Bat Coronavirus Strain RaTG13 and Quality of Related Nature Paper. Preprints, 2020060044 (2020).
  23. Bengston, D. All journal articles evaluating the origin or epidemiology of SARS-CoV-2 that utilize the RaTG13 bat strain genomics are potentially flawed and should be retracted. OSFPreprints, DOI: 10.31219/osf.io/wy89d (2020).
  24. Segreto, R. & Deigin, Y. Is considering a genetic-manipulation origin for SARS-CoV-2 a conspiracy theory that must be censored? Preprint (Researchgate) DOI: 10.13140/RG.2.2.31358.13129/1 (2020).
  25. Rahalkar, M.C. & Bahulikar, R.A. Understanding the Origin of ‘BatCoVRaTG13’, a Virus Closest to SARS-CoV-2. Preprints, 2020050322 (2020).
  26. https://www.researchgate.net/publication/340924249_Is_considering_a_genetic-manipulation_origin_for_SARS-CoV-2_a_conspiracy_theory_that_must_be_censored
  27. https://www.minervanett.no/files/2020/07/13TheEvidenceNoNaturalEvol.pdf 
28) https://www.nih.gov/about-nih/who-we-are/nih-director/statements/nih-lifts-funding-pause-gain-function-research
  28. https://www.nih.gov/about-nih/who-we-are/nih-director/statements/nih-lifts-funding-pause-gain-function-research

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abdelkaderderamchi
3 années il y a

c’est un article interessant qu’on aimerai lire et comprendre de bout en bout.

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3 années il y a

[…] plusieurs mois, le Dr Li-Meng Yan, ancienne référente de l’OMS à l’Université de Hong Kong en Chine, prétend avoir été […]

Catherine
Catherine
3 années il y a

J’avais vu la vidéo de son interview sur youtube. Quand on creuse un peu et qu’on découvre tout ce qu’on nous cache, c’est terrifiant! Je vous conseille à tous d’aller visionner un EXCELLENT « résumé » de la « situation » sur une chaîne qui s’appelle Neurosatis. La vidéo s’appelle : »journal de la pilule rouge ». Ceux qui ont vu Matrix comprendront… Et de suivre le GENIALISSIME Silvano Trotta. Le n’est of des lanceurs d’alerte made in France.

Marie
Marie
3 années il y a

MERCI POUR CES INFORMATIONS ESSENTIELLES..

Boualem
Boualem
3 années il y a

Merci pour toutes ces infos qui sont très utiles et que j’apprécie

Pierre
Pierre
3 années il y a

Bonjour,
C’est dommage que les propos de cette personne relatant les faits de cette arme biologique ne soient pas repris et répétés en boucle par les médias.

Catherine
Catherine
3 années il y a
Répondre à  Pierre

Silvano Trotta en a parlé sur sa chaîne Youtube !!

Monique
Monique
3 années il y a

Merci

Fabienne
Fabienne
3 années il y a

Merci

Anne-Marie
Anne-Marie
3 années il y a

Article trés informatif. Merci!

Thérèse
Thérèse
3 années il y a

Merci

Morenville Liliane
Morenville Liliane
3 années il y a

Merci pour les infos. Cette femme est un exemple.

ROLLIN Jacqueline
ROLLIN Jacqueline
3 années il y a

Je ne comprends pas ! Comment une telle révélation est-elle diffusée de façon intime sur votre lettre à vos lecteurs ( ce dont ils vous remercient !) et sur une chaîne YouTube ????
Alors qu’elle devrait être en première page du Monde et de tous les journaux et sur toutes les chaînes de télé… C’est donc forcément qu’elle fait partie n’étant pas vérifiée et accréditée des thèses complotistes diffusées sous le manteau ! Dommage !

Marithe Duroy
Marithe Duroy
3 années il y a

C’est honteux heureusement que certains soient courageux pour dénoncer pareils actes il faut absolument boycotter tous les produits chinois même s ils sont moins chers

Christine
Christine
3 années il y a

merci.

Suzanne
Suzanne
3 années il y a

merci

Josiane
Josiane
3 années il y a

merci

soleil
soleil
3 années il y a

Merci!

Sylvie
Sylvie
3 années il y a

Merci beaucoup pour votre courriers très important et très intéressant

Christophe
Christophe
3 années il y a

Bonjour et merci bien.
Une arme biologique qui n’épargne pas les concepteurs. DIEU est Très Grand

Jane
Jane
3 années il y a

MERCI

Yves
Yves
2 années il y a

merci

trackback
2 années il y a

[…] plusieurs mois, le Dr Li-Meng Yan, ancienne référente de l’OMS à l’Université de Hong Kong en Chine, prétend avoir été […]

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[…] plusieurs mois, le Dr Li-Meng Yan, ancienne référente de l’OMS à l’Université de Hong Kong en Chine, prétend avoir été […]