Du Candida à la candidose, mise à jour d’une maladie de civilisation

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du candida à la candidose : les remèdes naturels

Touchant près de 80% de la population mondiale, il y a de fortes chances pour que l’infection chronique du Candida, également appelé candidose, soit déjà présente dans votre organisme à l’état latent, voire même qu’elle se soit activée sans que vous ayez pu faire le rapprochement.

Que ce soit à titre préventif ou curatif, seule une cure naturothérapique adaptée permettra à la fois d’éviter les dégénérescences liées à la candidose et de rééquilibrer l’organisme en profondeur. 

Pathologie sournoise par excellence, le grand problème de la candidose est son aspect souterrain.

Participant au bon fonctionnement de la flore intestinale, à la première occasion le Candida en profitera néanmoins pour se propager et générer une quantité inquiétante de symptômes souvent difficiles à relier à la cause.

Non traitée, cette maladie de civilisation apparue avec l’ère moderne, a la capacité de se répandre dans tout l’organisme, détériorant gravement la santé et affaiblissement significativement le système immunitaire.

Mais ces symptômes, quels sont-ils plus exactement ?

Des Candida à la candidose

Bien qu’il y ait de nombreuses formes de candidoses apportant leur propre part de symptômes, voyons tout d’abord les plus fréquents, pouvant justement brouiller les pistes de l’origine réelle du problème.

On compte parmi eux :

  douleurs articulaires et musculaires,

  certains troubles de la thyroïde ou amplification de ces troubles,

  insomnies et troubles du sommeil,

  dépression,

  fatigue chronique,

  maux de tête,

  asthme et problèmes respiratoires,

  eczéma ainsi que de nombreuses maladies de peau comme l’acné ou les mycoses,

  champignons vaginaux chroniques provoquant pertes blanches et démangeaisons,

  cystites,

  infections rénales,

  boulimie, fringales de sucre et alcoolisme,

  développement d’allergies aggravées, qu’elles soient cutanées, respiratoires ou alimentaires,

  hyperfolliculinie, formation d’auto-anticorps contre les hormones et les ovaires,

  colites, ballonnements, diarrhées, constipations chroniques et démangeaisons anales,

  spasmophilie,

  mais surtout, surtout, une fatigue générale se manifestant par un épuisement disproportionné.

Bien entendu, toutes ces manifestations peuvent varier, se présenter séparément ou simultanément, non seulement en fonction du degré de développement et du type de Candida, mais également des zones infestées.

Comme l’explique le Dr Philippe-Gaston Besson, le type de Candida le plus couramment contracté est l’Albicans, qui concerne 60% à 80% des cas, cependant il existe aussi le Candida tropicalis pour près de 25% des malades.

Et, dans une moindre mesure, les Candida :

  parapsilosis,

  krusei,

  pseudotropicalis,

  glabrata,

  dublensis,

  lusitaniae.

Constituant les huit formes principales passant devant une dizaine d’autres, bien plus rares.

Or, toutes ces candidoses sont d’autant plus problématiques qu’elles sont résistantes aux antibiotiques et antifongiques de synthèse.

On a assisté à l’apparition d’épidémies au sein d’unités à haut risque, en milieu hospitalier, où dans certains cas de rechute après un traitement antifongique, des levures de type Candida ont pu se propager par transmission exogène entre les patients, via les professionnels de santé.

C’est à dire se transformer en maladie nosocomiale.

Se multipliant et migrant, elles prennent tout d’abord la place des lactobacilles, ces bonnes bactéries équilibrant la flore intestinale, puis détruisent les bifidobactéries, provoquant :

  indigestion,

  mauvaise haleine,

  gaz,

  spasmes intestinaux…

Avant d’atteindre les muqueuses où elles créent :

  irritations,

  et inflammations.

C’est à ce stade que le Candida prend sa forme agressive, dite mycélienne, traversant les parois des muqueuses gastro intestinales jusqu’au système lymphatique.

Mais finalement, le Candida, qu’est-ce que c’est ?

Structure et activation du Candida Albicans

Peuplant les muqueuses intestinales, de la bouche aux intestins en passant par l’œsophage, à l’état de saprophyte c’est à dire sous forme de levure, le Candida Albicans peut rester inactif tant qu’il n’est pas présent en trop grande proportion.

Les différents types de Candida participant au nettoyage des déchets organiques comme d’autres bactéries utiles, leur présence n’est pas nécessairement néfaste.

Mais en trop grand nombre, ils vont polluer les parois intestinales tout en les irritant, et devenir pathogènes après s’être transformés en champignons, passant de la forme d’un microscopique flocon à celle d’un filament sécrétant au moins 35 toxines connues, dont la Candidine, dangereux neurotoxique, qu’il répandra dans le sang et le système lymphatique en traversant la muqueuse intestinale.

Il convient donc de comprendre que quelle que soit sa forme, la candidose trouve toujours son origine dans une prolifération au niveau des intestins.

Par la suite, les toxines sécrétées par les Candida peuvent entrer dans le flux circulatoire, devenant responsables d’une auto-intoxication atteignant des centres vitaux où elles pourront provoquer des troubles lourds de conséquences.

En dehors des 35 toxines que nous venons d’évoquer, bouleversant à elles seules :

  le fonctionnement cérébral,

  le système immunitaire,

  le système nerveux,

  le système énergétique…

Le Candida Albicans est aussi un grand perturbateur hormonal et endocrinien :

  Possèdant des récepteurs membranaires fixant la progestérone, il peut provoquer des symptômes liés à un excès de folliculine.

  Ses récepteurs antigéniques simulent et déséquilibrent la configuration des hormones sexuelles.

  Il imite les processus auto-immuns, suscitant la formation d’auto anticorps contre les hormones et les ovaires.

  Il dérange la synthèse des prostaglandines à partir des acides gras.

Tout cela par la faute d’une petit morceau de sucre vivant et versatile, dont l’excès de Mannane peut rompre l’équilibre à chaque instant.

Les facteurs aggravant et favorisant la prolifération du Candida

Le Candida trouve les ressources de sa prolifération dans :

  les aliments oxydants comme le pain blanc, les sucres rapides, les viandes, les fromages gras, l’alcool, la pomme de terre, les produits laitiers, le gluten…

  les antibiotiques, corticoïdes, pilules contraceptives, vaccins…

  les chimiothérapies, ruinant littéralement la flore intestinale,

  le stress oxydatif, qu’il soit d’origine physique, affective ou énergétique,

  les pollutions électromagnétiques favorisant l’oxydation par radicaux libres en neutralisant les électrons,

  le diabète et la gestion des sucres en général,

  les produits chimiques et additifs issus de l’alimentation industrielle,

  le mercure provenant des amalgames dentaires et d’aliments saturés,

  les carences liées à un manque de nutriments et de vitamines,

  la plupart des longues maladies chroniques,

  les grossesses difficiles ou rapprochées,

  les chocs psychoaffectifs sources de somatisations,

  mais aussi, et pourrait-on dire surtout, les variations de pH dans l’organisme.

Un équilibre acido-basique auquel on devra donc être particulièrement attentif, pour limiter, voire stopper complètement la prolifération du Candida.

La candidose provenant dans la quasi totalité des cas de la consommation de produits issus de l’industrialisation, certains iront jusqu’à parler de pandémie industrielle.

Mais dans tous les cas, les statistiques ayant leurs limites, il est conseillé de recourir à une prise de sang orientée vers la détection des Candida pour être sûr de leur présence comme de leur nature.

Quelques conseils diététiques pour rétablir et maintenir l’équilibre acido-basique

Puisqu’une incompréhension relative des principes naturopathiques et phytothérapiques puisse encore être chose courante, pour traiter efficacement la candidose, il est important de bien assimiler la différence entre un médicament agissant à « masquer » le symptôme, et un protocole visant à rééquilibrer ou soigner la cause.

Dans le premier cas, un unique remède suffit sans effort particulier, dans le second il est question d’un ensemble synergique de divers remèdes, diétothérapies et méthodes.

Bien que je suggère plus bas une complémentation permettant de diminuer la prise parfois complexe de multiples huiles essentielles et nutriments, cela n’ôte rien au fait que, comme toujours, la base absolument indispensable à une guérison durable réside dans l’équilibre alimentaire.

Or, le Candida étant à la fois potentiellement un sucre, un champignon et une levure, il conviendra avant toute chose d’éliminer tous les sucres rapides et les milieux riches en sucre de votre alimentation, à savoir :

  le sucre blanc,

  le sucre roux,

  le miel,

  le sirop d’érable,

  le fructose,

  le glucose,

  le lactose,

  le maltose,

  les jus de fruits,

  les fruits et surtout les agrumes,

  le melon,

  et la tomate. 

Tout comme les produits laitiers dans la mesure où il sont riches en sucre de lait et en phosphoprotéïnes.

Il conviendra, à l’inverse, de favoriser une alimentation aussi crue et vivante que possible, avec des jus et des salades.

L’équilibre acido-basique étant par définition un équilibre, il dépendra du terrain de chacun.

Néanmoins, étant donné qu’à notre époque il pèche bien plus souvent par un excès d’acidité, voici avant tout les aliments alcalinisants à favoriser, avec en tête : 

  Sarriette en poudre : – 51 (51 d’acidité en moins)

  Origan en poudre : – 49

  Curcuma en poudre : – 46

  Sauge en poudre : – 46

  Paprika : – 36

  Fenouil (graines) : – 35

  Céleri (graines) : – 34

  Aneth (graines) : – 33

  Cumin (graines) : – 31

  Cœur de palmier cru : – 31

  Clou de girofle en poudre : – 31

  Piment de cayenne : – 31

  Piment rouge séché : – 31

  Safran : – 29

  Piment en poudre : – 26

  Poivre noir : – 25

  Gingembre en poudre : – 24

  Cannelle en poudre : – 23

  Coriandre (graines) : – 23

  Cardamome en poudre : – 22

  Shiitake séché : – 20

  Anis (graines) : – 18

  Laurier (feuille) : – 17

  Romarin frais : -16

  Thym frais : – 15

  Aneth frais : – 15

Selon les naturothérapeutes, il conviendra d’équilibrer ses repas à plus de 70% avec des aliments alcalins et ne pas dépasser 30% d’aliments acidifiants, voire de s’en passer totalement.

Un protocole thérapeutique de fond

Une fois les aliments puriniques et les sucres mis de coté, et l’alcanisation de l’organisme ré-enclenchée, vous pourrez ensuite consommer les remèdes naturels appropriés.

La nutrithérapie

  L’acide caprylique, découvert au XIXème siècle par Jules Buis, extrait à partir d’huile de noix de coco ou de palmier, est largement utilisé pour enrayer la prolifération de levures saprophytes du système intestinal, tel que Candida Albicans.

  Les vitamines B6, C, E et A seront également très bénéfiques par leur action antioxydante et leur capacité à maintenir un bon équilibre intestinal.

  Les minéraux tels que le calcium, le zinc, le fer, le magnésium et le sélénium joueront également un rôle non négligeable dans le combat contre les infections. 

  Les huiles essentielles de la famille des citrals sont à favoriser, comme celles de lemongrass, de listée citronnée ou de verveine citronnée.

Cependant, en usage interne à raison d’une goutte de chaque maximum, soigneusement mélangées à une bonne dose d’huile végétale comme l’huile d’olive par exemple, on pourra ajouter le thym à thymol, l’origan compact et le clou de girofle.

Toutefois attention, ces huiles souveraines contre les troubles intestinaux, notamment le thym et l’origan, sont aussi parmi les plus dangereuses puisqu’elles brûlent la peau et sont particulièrement irritantes pour les muqueuses.

  Les probiotiques joueront eux aussi un rôle prépondérant en matière d’équilibre de la flore intestinale.

Tous utiles, exceptés ceux étant inhibés par la forme active du Candida, le plus efficace d’entre eux restera sans conteste l’acidophilus.

Vous trouverez ici un savant mélange de probiotiques, dont l’acidophilus.

  Les extraits de pépin de pamplemousse et de feuille d’olivier auront additionnellement de très bons résultats dans la mesure où ce sont des antibiotiques naturels, ne permettant pas au champignon ou à la levure de muter. 

Un protocole autothérapeuthique pas à pas

Si j’avais déjà donné certains de ces conseils dans un précédent article, et que le Candida n’est pas un sujet nouveau… suite aux différentes questions et remarques que je reçois quotidiennement, je constate que pour beaucoup c’est aussi une question de compréhension globale de l’approche naturopathique, de moyens, et de temps.

Indépendamment des indications générales prodiguées dans cet article, je tiens à insister sur le fait qu’à tout problème il existe une solution adaptée.

Cependant attention, si vous n’êtes pas intimement animé par le besoin de comprendre et d’appliquer la solution choisie, il est préférable de passer votre chemin et de prendre votre mal en patience, même les conseils du thérapeute le plus avisé seront alors inutiles.

Tandis qu’un traitement antibiotique ne doit jamais être arrêté en plein milieu, dans une certaine mesure, il en va de même pour les changements d’alimentation, les détox, l’activation de processus énergétiques et les réactivations du système immunitaire.

Cela étant dit, voici un protocole de trois mois pour réguler les troubles de la candidose, que le Candida soit à l’état de levure ou de champignon.

Dans ce dernier cas, il sera tout de même plus prudent de prolonger jusqu’à amélioration.

Pendant toute la durée de la cure : 

1/ Détox et changements alimentaires

  Une cure d’argile verte montmorillonite ultraventilée à raison d’un grand verre d’eau faiblement minéralisée et si possible dynamisée, pour une grosse cuillère (en bois) d’argile, ayant passé douze heures au repos dans le liquide.

  Un arrêt progressif des sucres pouvant éventuellement être remplacés par de la vraie stevia en poudre.

  Un arrêt progressif des antibiotiques, du tabac, de l’alcool, et de toute consommation chimique.

  Une absence totale d’aliments puriniques et acidifiants au bénéfice d’aliments plus alcalins, favorisant fruits et légumes frais tout en évitant le gluten.

  Une première cure de deux mois de probiotiques, éventuellement accompagnée de lavements du côlon.

2/ Soutenir la sphère hépato-biliaire à l’aide de :

  différents légumes spécifiques : artichaut, céleri, chicorée, pissenlit, radis noir, poireau…

  phytothérapiques : romarin, chicorée sauvage, boldo, artichaut, pissenlit,

  gemmothérapiques : Corylus avellana bourgeons, en alternance un jour sur deux avec Alnus incana bourgeons. 

A partir de la 2ème semaine, jusqu’à la fin de la cure :

Reminéralisation et complémentation

  Une cure de deux mois d’herbe de blé ou d’herbe d’orge pour reminéraliser, apporter les vitamines nécessaires et purger l’organisme.

  Les vitamines et nutriments présentés plus haut, ainsi que les huiles essentielles, par voie orale.

  Une cure additionnelle de vitamine C dans la forme la plus concentrée et la plus assimilable possible, pour son apport indispensable en antioxydants.

A la fin de la cure, on pourra faire de nouvelles prises de sang pour s’assurer de la régression de la prolifération du Candida, et prolonger avec une nouvelle cure, après deux semaines de pause, jusqu’au parfait équilibre.

Par la suite, sans une alimentation suffisamment alcaline et prudente, excluant les éléments favorisant l’invasion du Candida présentés plus haut, aucune garantie contre les rechutes n’est assurée.

Néanmoins, dans la mesure où le régime alimentaire reste sain et équilibré, toute complémentation pourra se limiter aux vitamines indispensables, avec de temps à autre une petite cure de probiotiques pour régénérer la flore intestinale.

Pour les enfants ?

Hormis l’utilisation d’huiles essentielles et de lavements, qui leur sont strictement interdits avant sept ans, la plupart de ces conseils sont également vrais pour les enfants.

Toutefois il sera préférable d’ajuster une éventuelle complémentation en vitamines et minéraux proportionnellement à leur poids, c’est à dire de diviser les dosages par deux ou par trois.

Pour les enfants n’étant pas en âge de marcher, limiter toute complémentation à des micro doses d’EPP.

En matière de santé infantile, l’EPP (extrait de pépin de pamplemousse) remporte sans conteste toutes les palmes.

Ce puissant antibiotique naturel est sans effet secondaire et sans danger, mis à part peut-être pour les terrains allergiques au pamplemousse.

Votre budget est limité et vos troubles sont bénins ?

Si votre budget est limité, contentez-vous d’appliquer les conseils diététiques en tout premier ordre en y apportant une rigueur toute particulière, et ajoutez-y éventuellement une semaine de jeûne si vous le pouvez.

L’EPP est également un bon investissement dans la mesure où il servira aussi à de nombreuses occasions pour toute la famille.

En l’absence d’une complémetation en vitamine C, buvez autant que possible des jus de légumes frais en contenant significativement.

 Jean-Baptiste Loin 

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Martine
Martine
6 années il y a

Merci pour cet article.

Bon dimanche à vous.

Armande
Armande
6 années il y a

merci, c très interessant … belle journée à vous….

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[…] Du Candida à la candidose, mise à jour d’une maladie de civilisation: Touchant près de 80% de la population mondiale, il y a de fortes chances pour que l’infection chronique du Candida, également appelé candidose, s…Source […]

patricia
patricia
6 années il y a

merci pour ces precieuses informations.

FAURE
FAURE
6 années il y a

Lactobacillus acidophilus (de « phile » qui aime ) et n’a rien à voir avec la chlorophylle (de « phillo » la feuille) !
Candida à l’état de levure ou à l’état de filament mycélien : mais c’est toujours un « champignon » au sens populaire du terme ! C’est sans doute ceci que vous vouliez dire…
Cordialement

Jasel
6 années il y a

Merci pour toutes ces informations

Sarah
Sarah
6 années il y a

Bonjour,

Merci pour cette article sur le candida qui est très instructif , or j’ai une question sur la cure argile comment la consommer après 12h de repos? .
J’espère que vous nous ferai à l’occasion un article sur la gale car cette infection touche maleureusement beaucoup de personnes.

Bien à vous

Mohamed
6 années il y a

Merci

Aguida
Aguida
6 années il y a

merci

bouchelouche
bouchelouche
6 années il y a

Encore une fois merci, article très intéressant pour pour nous que la prévention est mère de sûreté; pensant inconsciemment que ça n’arrive qu’aux autres.
Cordiales salutations.

Irma
Irma
6 années il y a

Un grand MERCI

Valmana
Valmana
6 années il y a

Merci pour toutes ces infos

Ghuislaine
Ghuislaine
6 années il y a

toujours aussi pertinent pour nous apporter des solutions simples et couvrant largement toutes les aides, soit alimentaires, soit par les compléments et pour tous les tempéraments qui veulent bien ouvrir leurs « fenêtres » de connaissance au Monde qui les entoure. UN GRAND MERCI

Martine
Martine
6 années il y a

Merci pour tout vos précieux conseils.

Bonne journée à vous

Patricia
6 années il y a

Merci pour cet excellent article. Qui arrive trop tard pour moi je viens de passer 3 ans un véritable parcours du combattant pour me sortir de cette candidose. Elle devait être là depuis très longtemps elle a éclaté comme une bombe, j’avais énormément de symptômes et ce sont d’autres sites qui m’ont aidé à découvrir ce que j’avais et a demandé à mon médecin l’analyse qui a confirmé. A suivi un parcours très difficile car avec une hypoglycémie réactionnelle et un syndrome de sensibilisation chimique mon alimentation c’est limitée à si peu de chose que j’avais perdu énormément de poids.… Lire la suite »

Sab
Sab
4 mois il y a
Répondre à  Patricia

Bonjour ,
Quels remèdes avez vous utilisez ?
Merci

Dominique
6 années il y a

Merci pour ces informations très claires et très précieuses

Bien cordialement

Gérard
Gérard
4 années il y a

Bonjour,
Est-ce que la première chose à faire pour traiter ce problème, n’est pas un jeûne d’au moins 5 jours pour reconstituer la flore intestinale, puis de partir sur de bonnes bases alimentaires.

Beau dimanche

Brigitte
Brigitte
4 années il y a

Merci beaucoup !

C’est hyper intéressant !

Cordialement

Jacqudeline
Jacqudeline
4 années il y a

Merci

Edwige
Edwige
3 années il y a

Bonjour, Je suis à la recherche d’un(e) naturopathe à Bruxelles, quelqu’un qui vous prend en charge et en qui vous pouvez avoir confiance, ce genre là 🙂 , sait-on jamais,par chance en connaissez-vous un(e)? j’aurais vraiment besoin de conseil, la médecine « traditionnelle’’ occidentale ne me convient pas. Je ne sais plus trop à qui me fier, et ce mal me fatigue. Pensez-vous qu’il pourrait y avoir un lien entre la candidose chronique et l’herpès génitale? Je suis un peu perdue, je ne sais plus trop. (Je n’ai pas trouvé comment vous contacter autrement que par commentaire) Merci d’avance, et merci… Lire la suite »

Mathieu Danielle
Mathieu Danielle
3 années il y a

Question. Étant donné qu’il faut retirer le gluten de l’alimentation pour le candida, pourquoi les jus de germe de blé et d’orge sont-ils recommandés dans le traitement du candida. Lorsque je prends du café de céréale à base d’orge, je gonfle comme une montgolfière. j’hésite à intégrer cette recommandation à cause de ce fait.
Pourriez-vous m’informer et m’aider à résoudre cette énigme?
Merci et bien à vous,
Danielle

Réponses Bio
Administrateur
3 années il y a
Répondre à  Mathieu Danielle

Danielle Bonjour,

Naturellement, je comprends votre désarroi, cependant il ne faut pas confondre l’herbe de blé et le blé. Pas plus qu’il ne faut confondre le jus d’herbe d’orge avec le café d’orge.

Les uns contiennent du gluten, les autres pas.

Comme vous l’aurez compris, l’herbe d’orge ou de blé est sans gluten et parfaitement indiqué pour purger l’organisme.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

ROSSI Liliane
ROSSI Liliane
10 mois il y a

Super ! Merci.