L’industrie pharmaceutique et la vaccination systématique sont à votre immunité ce que le lobby de la dentisterie est à vos dents :
Des « usines à fabriquer des malades » ainsi que l’avait si justement formulé Sylvie Simon.
C’est très probablement la raison pour laquelle, en plus de vous abreuver de médecins bien pensants, et bien payés, assénant des contre-vérités destinées à augmenter votre consommation potentielle de prothèses dentaires, d’antibiotiques et de vaccins, certains miracles offerts par la nature vous sont soigneusement cachés.
Or, mon rôle, ainsi que celui de toute l’équipe de Réponses Bio, est précisément de vous montrer les alternatives dissimulées en vous aidant à redécouvrir les remèdes de sagesses ancestrales, éparpillées dans les méandres du temps.
Cette expérience d’une consommatrice japonaise, publiée dans le second quotidien le plus lu au monde, à savoir le Asahi Shimbun -朝日新聞-, illustre parfaitement comment un ingrédient millénaire de la pharmacopée asiatique peut devenir l’ennemi numéro un des labos du monde entier.
En voici le déroulement…
La parodontite ou les dents ?
Une femme dont l’identité est tenue secrète par les journalistes, déclare s’être rendue dans une célèbre Université de médecine dentaire de Tokyo pour le traitement d’une parodontite, et être ressortie choquée par le traitement proposé.
Immédiatement après avoir examiné l’état des gencives de sa patiente, le dentiste, radical, propose d’extraire toutes les dents pour les remplacer par des implants.
Bien qu’issue d’un milieu modeste la malade eut la présence d’esprit, au lieu de se laisser convaincre par la prestigieuse enseigne où exerçait le spécialiste dentaire, de rencontrer une journaliste d’un des quotidiens les plus appréciés du pays.
Un media lui ayant non seulement donné l’opportunité d’alerter la population à propos des pratiques de l’Université de médecine dentaire, mais aussi de rappeler aux Japonais, connaissant un taux de parodontites exceptionnellement bas, le remède les ayant réellement mis à l’abri, et ce depuis des milliers d’années, d’une telle maladie.
Suite à cette désagréable aventure notre mystérieuse lectrice demanda conseil aux anciens de sa famille, qui ne tardèrent à lui suggérer une approche très répandue au Japon et en Chine, et pourtant inconnue des jeunes générations :
Le distillat d’activation de charbon de Bambou.
Mais, bien évidemment, dans les institutions médicales japonaises comme ailleurs le mot d’ordre reste le même, à savoir amputez d’abord et diagnostiquez après.
La théorie de la dentisterie
Le problème du monde de la « mécanique dentaire », ainsi qu’il se nommait encore il y a quelques générations, réside dans le fait qu’elle se focalise sur le fonctionnement physico-mécanique d’une zone donnée.
Ainsi, la théorie de la dentisterie moderne est aussi bête que méchante.
Selon elle, les parodontites seraient uniquement le résultat d’une infection causée par la plaque dentaire, favorisée par l’accumulation de certaines bactéries.
Les seules solutions existant pour la plupart des praticiens sont donc le brossage des dents, le détartrage et, au bout d’un certain temps, l’extraction pure et simple.
Aux yeux de ces « spécialistes », ni le foie, garantissant l’équilibre microbiologique de la bouche, ni la bonne tenue des différents organes assurant la santé buccale dans sa globalité, ni même l’alimentation quotidienne ou les soins de la sphère ORL, ne sont considérés un instant.
Et puisque la logique de base de cette dentisterie est fondée sur une vision tronquée de la santé, les technologies mises à son service s’avèrent tout aussi inconscientes que dangereuses.
Certains dentistes fan de la série Star Trek utilisant bien volontiers des rayons laser pour « contrôler » l’équilibre bactérien dû au tartre, devraient réaliser que cette technique s’attaque directement à la santé des gencives tout en risquant de provoquer la parodontite par aseptisation du terrain, au lieu de la prévenir.
Le Dr Tadashi Kawakita, responsable d’une petite clinique publique de la préfecture de Kanagawa ayant autorisé l’interview de son responsable du service dentaire, dont le franc-parler inquiète les laboratoires japonais en se permettant des déclarations peu communes, explique de but en blanc que :
« La dentisterie moderne n’est pas un remède, c’est un massacre ».
Selon le Dr Hebei, la cause de la maladie parodontale ne serait pas une bactérie, mais le candida, un champignon capable d’envahir et de dégrader la sphère buccale.
« Il n’y a pas un seul spécimen histopathologique montrant que ce sont les bactéries qui infectent les gencives. »
Un des plus vieux remèdes du Japon retrouvé
Imparable contre absolument toute forme de champignons, de bactéries, de virus, mais aussi pour traiter efficacement les inflammations et assainir le terrain, le distillat d’activation de bambou purifié, connu en francophonie sous le nom de Bambou Spray, est le remède que le Dr Hebei a choisi pour soigner ses patients et remettre en cause l’intégralité des institutions de soins dentaires.
Et, pour ne rien vous cacher, voici le mode d’emploi qu’il recommande en cas de parodontite :
Avant d’aller au lit, se rincer la bouche avec l’équivalent de 5 cuillères à café de distillat de bambou Moso pendant environ 30 secondes avant de recracher le tout.
Bien que considérée comme inoffensive par les Japonais, l’ingestion du distillat d’activation de bambou peut irriter la sphère gastrique, au même titre et sensiblement de la même manière que le bicarbonate de soude.
Je recommanderais donc de ne pas dépasser une utilisation d’une à trois fois par semaine pour les cas les plus aigus.
Par ailleurs, étant donné qu’il se marie parfaitement bien avec les huiles essentielles, pour optimiser le pouvoir du Bambou Spray ou prolonger son utilisation en cas de troubles importants, deux solutions complémentaires s’offrent à vous :
1/ L’ajout d’une à deux gouttes d’huile essentielle de Manuka sauvage à votre préparation.
2/ Le mélange d’une demi à une cuillère à café de Bambou Spray dans un peu de poudre de Moso 3000 pour le brossage des dents, en plus des conseils du Dr Hebei, une à trois fois par semaine.
Les patchs et faux distillats d’activation de bambou Moso
Si vous entendez bien que les conseils prodigués ci-dessus sont valables uniquement dans la mesure où vous utilisez un vrai distillat de Moso, n’étant ni le résultat d’une poudre de bambou mélangée à de l’eau, ni celui d’une simple récupération de la condensation de fumée de bois, je suis disposé à vous en dire plus sur ses surprenantes applications.
Depuis fort longtemps, de mère en fille et de grand-père en petits-enfants, le distillat d’activation de Moso 3000 est utilisé pour :
- réguler les bactéries dans la sphère buccale, mais aussi sur la peau
- éviter les mauvaises odeurs et lutter contre la transpiration en application sous les aisselles, ainsi que sous les pieds pour les mêmes raisons tout en prévenant les mycoses de toute sorte
- régénérer directement l’épiderme en tant qu’anti-oxydant
- lutter contre les caries, mais aussi le tartre ou la mauvaise haleine, en brossage des dents et gargarisme
- calmer la sensation de fatigue, les épaules raides et les raideurs musculaires, en massage tel quel ou en mélange avec de l’huile essentielle de Lavande, Manuka, Chanvre…
- traiter la sècheresse cutanée, la perte de vitalité de la peau, les ecchymoses, en massage
- apaiser les douleurs musculaires et rhumatismes, en massage sur les zones souhaitées
- éviter la sécheresse cutanée sur tout le corps, toujours en massage après le bain
- assainir les dermatites atopiques, en massage et avec un régime approprié
- éviter l’assèchement de la peau lors du démaquillage
- conserver les aliments et ralentir leur dégradation, ou prévenir l’apparition de salmonelle avant même qu’elle ne soit officiellement découverte, en pulvérisation légère sur les aliments à conserver
- repousser naturellement les insectes du potager, en pulvérisation
- soulager rapidement les démangeaisons
- traiter le pied d’athlète, en compresse sous les pieds et la zone douloureuse
- améliorer la circulation sanguine et favoriser l’expulsion naturelle des déchets organiques, en compresse sous les pieds et en massage sous les poignets
- calmer les inflammations, en massage sur les zones douloureuses
- neutraliser les odeurs d’une zone donnée de la maison ou couper l’envie à un chien ou un chat d’y établir son territoire olfactif, en pulvérisation sur la zone
- favoriser la digestion, lorsqu’il est employé dans le cadre d’un brossage de dent
- ou encore éviter les problèmes circulatoires en général et ceux liés aux ulcères diabétiques en particulier, en compresse sous les pieds et les poignets.
Toutefois, je le répète, il est impératif de considérer tout emploi de Bambou Spray dans la sphère buccale avec parcimonie.
Bien qu’il soit absolument sans risque, la forte acidité qu’il apporte peut, au fil du temps, attaquer l’émail dentaire.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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Bon Jour 🙏
Merci beaucoup pour vos emails très interessants et conscients. Etant rescapée de la mafia medicale, je lis avec interêt ce que vous ecrivez.
Belle Jour Née de Lumière à vous 🌞
Véronique 🌺