Le Desmodium et votre foie

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Desmodium pour soigner troubles hépatiques

C’est au cours du siècle dernier que les Docteurs Pierre et Anne-Marie Tubéry ont présenté à la communauté scientifique européenne le Desmodium, plante du foie par excellence.

De la simple crise de foie jusqu’au cancer, scientifiques, allopathes et naturothérapeutes sont unanimement tombés d’accord sur le fait qu’il est exceptionnel tant pour protéger que pour réparer les fonctions hépatiques.

Cependant ses bienfaits semblent ne pas s’arrêter là.

En effet les Africains l’emploient empiriquement contre bien d’autres affections.

Parmi elles les allergies, les infections ORL, les ulcères, l’épilepsie, ou encore la constipation…

Le foie est un organe complexe jouant un rôle clé dans le processus naturel de détoxification de l’organisme.

Mais lorsqu’il est saturé de substances iatrogènes, ses différents processus de filtration et de chélation perdent alors progressivement leur efficacité.

Or ces pollutions iatrogènes, c’est-à-dire provenant de substances synthétiques perturbant le bon fonctionnement de la santé humaine, sont nombreuses.

Elles s’insinuent dans l’organisme par le biais :

  • de la pollution atmosphérique,
  • des aliments industriels,
  • des additifs alimentaires,
  • de certains emballages alimentaires et cosmétiques, même bio,
  • des traitements médicamenteux et antibiotiques,
  • des chimiothérapies,
  • du tabagisme,
  • des amalgames dentaires,
  • de l’eau du robinet non filtrée,
  • du port de vêtements synthétiques,
  • etc.

Cela implique alors que vous et moi soyons certainement touchés.

Et cela peut tout à fait être à notre insu, ou bien modérément.

Il est en tout cas difficile de rester parfaitement à l’abri de l’invasion pétrochimique.

Plus pernicieux qu’une simple crise, un dérèglement hépatique est susceptible de s’insinuer au fil du temps.

Dans ce cas, la plupart des organes risquent par la suite de s’affaiblir.

Le foie est par conséquent exposé à des maladies graves.

Il convient donc de le drainer, patiemment mais fermement. Et cela jusqu’à ce qu’il retrouve l’intégralité de ses capacités.

Pour ce faire, si une saine diététique mettant à l’écart les viandes, l’alcool, le café et les sucres industriels demeure indispensable, une cure de Desmodium agira ici comme une pompe relançant le mécanisme hépatique, accélérant le drainage des impuretés et assurant son bon fonctionnement.

Traitement de l’hépatite

Le Desmodium adscendens est d’abord apparu dans des zones équatoriales en Afrique et en Amérique latine.

De la famille des Fabacées, il pousse spontanément près des palmiers, des cacaoyers ou dans les potagers.  

Traditionnellement il est utilisé par les Camerounais et les Ivoiriens pour lutter contre l’hépatite, dont l’hépatite virale.

Mais le Desmodium est également employé dans d’autres pays d’Afrique pour soigner l’asthme, ou encore au Venezuela pour traiter l’épilepsie.

Les Docteurs Pierre et Anne-Marie Tubéry ont pu observer l’efficacité du Desmodium aussi bien sur les Africains que sur leurs patients.

Ils ont par la suite rédigé une précieuse étude pharmacologique détaillée.

Par ailleurs, que ce soit au Ghana avec le Pr. Addy, dans le laboratoire ethno-botanique de l’Université de Metz, ou encore avec la thèse d’Olivier Heard de la Faculté de Pharmacie de Tours, les études réalisées montrent très clairement l’effet hépato-protecteur et anti-allergique du Desmodium.

Aussi en 2009 l’INSERM et le CNRS de Montpellier ont réalisé une étude basée sur son utilisation traditionnelle contre l’épilepsie.

Cette étude, prometteuse, met alors en lumière une possible action neuro-protectrice de cette plante.

Selon les analyses de Pierre et Anne-Marie Tubéry :

-> En cas d’hépatite virale, le Desmodium va utiliser sa fonction immuno-modulatrice pour activer indirectement le système anti-viral.

Il aura alors des résultats spectaculaires dès l’apparition des troubles.

Il s’avérera tout aussi efficace dans la phase d’invasion, à l’apparition de la jaunisse.

Une disparition des hépatites A et B avec une élimination des symptômes en une semaine a été constaté.

Ainsi qu’un total rétablissement après quarante jours de cure. 

-> En cas d’hépatite C, le Desmodium jouera un rôle non négligeable dans la normalisation des transaminases. Il est à noter que cette maladie est bien plus sournoise dans la mesure où elle peut longtemps se faire passer pour une simple petite grippe, et par conséquent ne pas être diagnostiquée correctement, avant de devenir chronique.

Les risques de cirrhose ou de cancer augmentent nettement lorsque le virus a détruit les cellules du foie et que l’on observe une fibrose hépatique.

C’est-à-dire un tissu cicatriciel fibreux généré par les lésions dues à la maladie, ainsi que des attaques auto-immunes, signes que les lymphocytes se retournent contre le foie.

À la suite d’une hépatite C, bien que le Desmodium soit parfaitement en mesure de réguler le taux de transminases tout en régénérant les cellules hépatiques, le malade restera malgré tout un porteur sain.

Dépollution des médicaments de synthèse

Ensuite, en tant que pharmacologue, Anne-Marie Tubéry a plus volontiers exploré l’utilité d’une telle plante pour la prévention des atteintes toxiques du foie dues à l’alcoolisme et aux traitements médicamenteux.

À la suite de ces études, elle conseille alors des cures régulières à tous ceux suivant un traitement médicamenteux au long court, notamment de :

  • contraceptifs
  • hormones de synthèses
  • antiviraux
  • somnifères
  • produits anti-hormonaux
  • neuroleptiques
  • psychotropes
  • antibiothérapies longues…

Après avoir été métabolisées, les molécules de synthèse prises quotidiennement seront toujours, nécessairement et invariablement, détoxiquées par le foie.

Mais cet organe n’est pas fait pour reconnaitre des substances qui ne sont pas naturelles.

Celles-ci provoqueront alors rapidement une surcharge hépatique.

Surcharge hépatique face à laquelle la meilleure solution est bien naturellement le Desmodium. 

Autres cas d’utilisation du Desmodium

-> En cas de chimiothérapie il a été constaté que la prise de Desmodium apporte une diminution, voire une suppression totale des nausées et vomissements, ainsi que le retour à un appétit normal.

On conseille de commencer une cure de Desmoforte la veille de la chimiothérapie.

Et de la prolonger plus de huit jours après.

-> En cas d’alcoolisme, ou bien plus simplement en cas d’abus d’alcool, il conviendra d’entamer une cure qui non seulement s’avérera réparatrice, mais soutiendra également le sevrage.

-> En cas d’allergies, mais aussi d’hypersensibilité, qu’elles soient d’origine digestive, pulmonaire ou asthmatique, le Desmodium sera encore une fois un allié très précieux.

On comptera trois à quatre semaines de traitement pour un résultat qui selon Anne-Marie Tubéry pourrait être définitif.

Traditionnellement, il est aussi utilisé dans certains pays d’Afrique :

  • en cas d’infection ORL
  • comme anti-venin
  • contre les cicatrices, en appliquant localement un mélange de feuilles de Desmodium et d’huile végétale
  • pour lutter contre la constipation
  • et contre l’eczéma et le psoriasis, mais cette fois en utilisant de la poudre de racines.

Mises à part ces affections, ainsi que je l’évoquai en préambule, il peut être judicieux d’en faire une cure simplement parce que comme beaucoup, vous êtes aussi sans doute une victime passive des nombreuses pollutions iatrogènes véhiculées par notre époque.

Mode d’emploi du Desmodium

Le Desmodium peut s’utiliser sous différentes formes, comme par exemple les infusions, ou bien les teintures-mères.

Néanmoins le mode d’emploi suivant est destiné à son usage sous forme de complément nutritionnel.

Cela pour deux raisons :

1/ Ils sont faciles d’emploi et accessibles en fonction des troubles.

2/ Il est essentiel de s’assurer que les plantes ne soient pas irradiées au cours de leur transport. Car cela arrive bien souvent aux plantes et aux épices. 

Il existe toutefois dans le commerce de nombreuses solutions galéniques et des feuilles en vrac.

Libre à vous de les tester.

Aussi je ne saurais parler seulement de ce que je connais.

C’est pourquoi cette posologie concerne un extrait de plantes sauvages, encapsulé dans des gélules en pullulane issues de la fermentation du tapioca, et donc garantissant une absence de toxiques, ainsi que de nanoparticules.

Chaque gélule est dosée à 374mg d’extrait de feuilles de Desmodium sauvage, à partir desquelles est réalisé un nébulisât issu d’un concentré de décoction, 2 gélules permettant d’atteindre alors un ratio plante/extrait de 13/1, soit une prise équivalente à 5 grammes de plante sèche par gélule. 

Il est à noter que Pierre et Anne-Marie Tubéry préconisent la prise quotidienne de 10 grammes de plante sèche.

Un dépassement de cette dose est susceptible d’entraîner des diarrhées, ainsi qu’un état légèrement nauséeux.

Néanmoins un naturothérapeute peut conseiller d’augmenter la posologie, notamment en cas d’hépatites sévères.

Pour un adulte il sera donc préconisé de prendre 2 à 4 gélules par jour de Desmoforte, de préférence à jeun, après le verre d’eau du matin.

La cure peut durer jusqu’à 3 mois.

Mais en cas de troubles plus sérieux il est malgré tout possible d’augmenter la dose jusqu’à 6 gélules.

Pour un enfant de plus de 7 ans on divisera tout simplement la dose par deux en se contentant d’une à deux gélules par jour.

Résultat des analyses toxicologiques du Desmodium

Le centre international de toxicologie d’Evreux, ainsi que l’INSERM de Montpellier montrent sans équivoque que le Desmodium n’est ni cancérogène, ni létal, même à très fortes doses.

Il est sans effet secondaire, bien que le rétablissement des fonctions hépatiques puisse quand même donner lieu à une mini dépression passagère.

Il reste cependant essentiel de ne pas dépasser la dose quotidienne de 10 grammes pour éviter tout inconfort intestinal dû à l’hyperactivité du processus de détoxication.

 Jean-Baptiste Loin 

desmoforte 1500 microgranules

Le remède cité dans cet article :

Cette formule est réputée pour être la plus concentrée, la plus efficace et la plus saine actuellement disponible.

Formulé à base de plantes sauvages concentrées, titré à 290mg par gélule.

Source : Le blog de Pierre et Anne-Marie Tubéry, seule référence totalement fiable en la matière

 

 

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