
On n’en parle jamais, on le consomme encore moins… Pourtant, il existe et compte même parmi les oligo-éléments les plus bénéfiques !
Quarante neuvième dans le tableau périodique des éléments, l’indium ne figure pourtant pas parmi les oligo-éléments que nous avons l’habitude de consommer.
Pourquoi ?
Tout simplement parce que, dans la nature, il n’existe pas sous forme hydrosoluble. Il n’est donc présent ni dans les aliments ni dans l’organisme.
De plus, sa carence n’est pas censée entraîner de maladies.
Pourtant…
Des chercheurs ont observé que, parmi les consommateurs d’indium, il y avait 26 % de moins de cas de cancers et 46 % de moins de tumeurs malignes.
Mieux encore, il semblerait qu’il :
→ ralentisse le vieillissement prématuré,
→ stimule le fonctionnement du système immunitaire,
→ réduise la durée et l’intensité des coups de froid, des contusions et des convalescences,
→ favorise la mémoire,
→ diminue les besoins en sommeil,
→ efface la déprime,
→ assure un bon état général et même une relative euphorie.
Bref, l’indium aurait été, jusqu’à présent, le grand oublié parmi les oligo-éléments, en quelque sorte le « chaînon manquant » !
Un homéopathique devenu complément nutritionnel
L’indium était jusqu’à présent surtout connu en homéopathie ou « Indium metallicum » est prescrit en cas de maux de tête, migraines, mal de dos, éternuements, acné, maux de gorge, toux, raideur du cou et des épaules, et douleurs musculaires.
Mais, depuis 1980, l’indium, breveté sous forme de sulfate, est devenu un complément nutritionnel à part entière, essentiellement prescrit dans les pays anglo-saxons.
Sans danger puisqu’il ne devient toxique qu’à partir d’une dose vingt mille fois supérieure à la norme, il est aussi efficace… que méconnu.
Bien que le mode d’action de cet oligo-élément demeure encore en grande partie mystérieux, il est possible que les bienfaits de l’indium soient en rapport avec le contrôle des glandes et des hormones par la thyroïde.
Or, ce contrôle, parce qu’il est continu, s’avère infiniment plus efficace qu’une complémentation hormonale conventionnelle.
Une autre hypothèse se fonde sur la propension de l’indium à faciliter l’assimilation des oligo-éléments dans le gros-intestin.
On ne sait que trop que l’organisme regorge de nutriments mal exploités, et que toute substance capable de rendre ces ressources opérantes peut, à juste titre, faire figure de panacée.
Or, l’indium a ce pouvoir, et, par exemple, réussit à augmenter l’absorption du chrome de 90% dans la rate, de 112% dans les poumons, de 232% dans le foie et de 694% dans les reins. Rien que cette propriété peut expliquer bien des guérisons.
À ce jour, treize études sur l’indium ont été publiées dans différents périodiques scientifiques, et de nombreux témoignages de médecins ou de patients viennent corroborer le rôle primordial que joue cet oligo-élément dans le cadre de la santé.
Ses principales applications connues sont :
→ la performance sportive,
→ l’équilibre hormonal,
→ la longévité,
→ la surcharge pondérale,
→ le cancer.
Mais on lui connaît également bien d’autres applications…
Les grandes indications
Avant tout, l’indium installe une sensation de bien-être et de bonne humeur, généralement au bout de quelques jours seulement.
Une première indication sera donc la dépression, l’anxiété ou le stress, ou encore le sevrage de la drogue ou de l’alcool, dans lesquels l’indium s’est avéré aussi performant que les drogues psychiatriques les plus dures… sans les inconvénients, bien sûr !
La deuxième grande indication touche à ce qui semble passionner l’opinion : la longévité… mais bien sûr la longévité en bonne santé !
Car l’indium n’arrête pas vraiment le vieillissement, mais, en optimisant l’assimilation des oligo-éléments, il améliore indiscutablement la vie, et assurerait, si l’on en croit ses plus ardents défenseurs, une existence dynamique et, selon la formule consacrée, une mort… en bonne santé.
Autre indication très populaire : la perte de poids.
L’indium, par sa régulation de l’hypothalamus et de l’hypophyse, et son effet bénéfique sur la thyroïde, entraîne, surtout chez les femmes, un amincissement lorsque cela est nécessaire et, dans les autres cas, évite de prendre du poids.
Des chercheurs ont remarqué que les femmes qui prenaient de l’indium depuis leur jeunesse ne subissaient jamais l’augmentation de 20% de masse graisseuse qui marquait l’entrée dans la maturité des autres femmes.
Quant aux hommes ayant, eux aussi, eu la chance d’expérimenter très tôt ce nouvel oligo-élément, à défaut de perdre du poids, ils ont maintenu la musculature que la plupart de leurs semblables perdent en vieillissant.
Les autres indications
On conseille aussi l’indium en cas d’hypertension, notamment au-dessus de 16, éventuellement associé à la prise de chrome.
On considère qu’une goutte d’indium au réveil et un complément nutritionnel à base de chrome au petit déjeuner permettent de réduire la tension de 1,5 points par mois.
A noter que cet oligo-élément est tout aussi capable de réguler l’hypotension, et même de faire remonter la tension au-dessus de 10 lorsqu’elle était très basse.
La pression dans le globe oculaire est, elle aussi, susceptible d’être améliorée par l’indium jusqu’à diminuer de 35% au bout de quelques mois.
Armé du pouvoir de potentialiser le chrome et de celui de réguler les hormones, l’indium modifie de manière spectaculaire le taux d’insuline des diabétiques, au point que certains malades ont même pu arrêter les injections après quelques semaines de traitement à l’indium.
Bien entendu, la plupart doivent continuer l’insuline, même si c’est en quantité réduite, mais conservent sur eux leur flacon d’indium comme une alternative extrêmement agréable.
Dans le traitement de la douleur, des processus inflammatoires et de l’arthrose, également, l’indium fait partie des compléments nutritionnels à consommer impérativement, au même titre que la glucosamine ou la chondroïtine, puisque cet oligo-élément présente la particularité de pouvoir se transporter dans les parties du corps enflammées.
Enfin, une expérience a été menée sur vingt quatre malades atteints des maladies d’Alzheimer et de Parkinson.
Divisés en deux groupes soignés par des méthodes naturelles et de la relaxation, les uns, n’ayant pas consommé d’indium, ont montré une amélioration de 8%, et les autres, traités à l’indium, de 37%, cette amélioration portant sur l’endurance, la mémoire et le comportement.
Quelques témoignages
Ces témoignages de médecins et de malades, reçus au laboratoire East park Research et rapportés par le Dr Robert Lyons, ne constituent évidemment pas des preuves scientifiques, mais donnent un aperçu des domaines d’application possibles de l’indium :
→ Accroissement de l’endurance physique et de la force.
→ Accroissement de l’énergie mentale et de la concentration.
→ Amélioration de la marche et de l’élocution chez des personnes atteintes de la maladie de Parkinson.
→ Amélioration de la mémoire.
→ Amélioration de l’état général des dents.
→ Amélioration du fonctionnement de la prostate.
→ Atténuation de troubles de la ménopause.
→ Atténuation des migraines récidivantes.
→ Diminution de 80% de la prise d’insuline chez des diabétiques.
→ Diminution de la tension interne des yeux.
→ Diminution des troubles menstruels.
→ Diminution du besoin de sommeil de une à deux heures par nuit avec énergie accrue.
→ Diminution du risque cardio-vasculaire de 60%.
→ Facilitation des accouchements.
→ Facilitation du contrôle de l’alcoolisme et du tabagisme.
→ Fluidification du sang.
→ Guérison plus rapide des blessures et des hématomes.
→ Normalisation du fonctionnement de la thyroïde.
→ Normalisation du taux de glycémie.
→ Optimisation de l’apport nutritionnel.
→ Prolongation de la durée de vie des globules rouges.
→ Retour à la normale des déséquilibres hormonaux.
→ Stimulation de la pousse des cheveux et restauration de leur couleur.
→ Stimulation du système immunitaire contre les rhumes.
Jean-Baptiste Loin
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