
À une époque où l’industrie emploie des composants nanométriques à une échelle macrométrique, personne ne saurait dire où et quand elles sont les plus abondantes et dangereuses.
On a beau s’en protéger, s’en insurger, prendre toutes les précautions nécessaires pour échapper à une consommation directe des produits et emballages en contenant, avoir la capacité d’en détoxiquer l’organisme est une bénédiction pour l’entretien des fonctions organiques.
Or, les preuves qui montrent que l’unique forme de charbon activé le permettant actuellement à près de 100% doit être activé artisanalement, issu du bois de bambou Moso et bénéficier d’une micronisation ultra fine, ont tout bonnement disparu du web.
Entraînant une carence d’information que je vais m’appliquer à combler immédiatement.
Grâce à son réseau de micropores extrêmement fin et dense développé lors d’un processus d’activation artisanal, suivi d’une micronisation effectuée par un organisme certifié biologique, lorsqu’il est consommé en cure le Moso 3000 offre des propriétés lui permettant de piéger efficacement les nanoparticules fraîchement véhiculées dans l’organisme.
Longtemps controversé, comme tout sujet touchant aux dangers des pollutions nanofacturées, il a été difficile de prouver officiellement ce que nous savions officieusement.
Et puisque certaines de nos sources ont été censurées par des instances invisibles, limitant par la même occasion une partie des preuves apportées dans nos publications, en voici une nouvelle.
E.McGillicuddy, L.Morrison, M.Cormican, P.Dockery et D.Morris, une équipe de chercheurs irlandaise, a observé que lorsque le charbon activé est réduit en grains suffisamment fins, il est apte à adsorber efficacement les nanoparticules d’argent.
Montrant que son pouvoir d’adsorption varie en efficacité selon la porosité de sa surface, déterminée par la finesse de sa poudre, mais aussi en fonction du temps de contact avec les nano.
La conclusion de l’étude irlandaise
« Les nanoparticules d’argent (AgNP), en raison de leur activité antibactérienne, ont été incorporées dans de nombreux produits de consommation.
Leur impact environnemental n’est toutefois pas clair.
Des incertitudes entourent la concentration, le devenir et les effets des AgNP dans les milieux aquatiques.
Cette étude a examiné l’aptitude du charbon actif comme matériau de capture pour les AgNP de l’eau.
Des échantillons de 100 ppb AgNP ont été initialement générés et exposés au charbon actif pendant 24 h pour examiner la capacité du charbon à capturer les AgNP.
La diminution de la concentration en Ag a été mesurée à l’aide du PIC-MS.
Après les premières investigations, la surface du charbon activé a été augmentée d’une part avec un pilon et un mortier, d’autre part en réduisant en poudre fine le charbon à l’aide d’un moulin à billes.
La surface accrue du charbon activé et moulu a augmenté la capture des AgNP de 11,9 % à 63,6 % pour les échantillons de 100 ppb.
Des études plus poussées ont été menées pour examiner l’effet sur la capture de la concentration d’AgNP (avec une concentration allant de 10 à 100 ppb), l’enrobage des particules et l’effet du temps d’exposition au charbon actif.
La capture de l’AgNP a augmenté avec la diminution de la concentration.
Une procédure de lixiviation de l’acide chlorhydrique (HCl) a également été développée, qui a permis de retirer avec succès l’argent capturé, permettant de quantifier la fraction captée par le charbon avec une moyenne de 94,8% de récupération.
Les résultats montrent que le charbon actif broyé peut capturer avec succès des AgNP à partir d’échantillons d’eau, et que, par conséquent, le charbon actif peut s’avérer être un matériau rentable pour la restauration des eaux touchées par AgNP ou d’autres nano-déchets. » (1)
Les études censurées de l’adsorption des nanoparticules par le Moso 3000
Bien que ces observations montrent que « le charbon actif micronisé a capté 63,6% de l’argent dans des échantillons AgNP de 100 ppb 25 nm », celles que j’avais consultées concernant la particularité du charbon activé de bambou Moso à capturer sans délai les 40% restants, semblent tombées dans les limbes du web.
On y constatait notamment que dans un milieu sanguin donné, l’adsorption de différents types de nanoparticules métalliques était suffisamment efficace pour remplacer une dialyse.
La particularité extrêmement fibreuse du bambou Moso tentant actuellement d’être remplacée par des technologies de nanofibres… ceci pourrait expliquer cela.
Puisque sa surface, liée à la finesse des grains du charbon activé moulu, offre une capacité de capture supplémentaire d’un tiers par rapport au plus fibreux des bois.
Capacité faisant toute la différence dans l’obtention d’un réseau de micropores suffisamment serré pour capter tout type de nanoparticules.
Fort heureusement, tant que les technologies ignorant l’humain tenteront de la faire taire, la nature reviendra toujours au galop.
Pour information les nanoparticules d’argent, utilisées dans d’innombrables industries modernes, ne sont pas encore reconnues pour ce qu’elles sont, à savoir un danger grave pour la santé humaine et l’environnement.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Le seul véritable piège à nanoparticules dans l’organisme est ici. Pour profiter d’une cure destinée à purifier le système sanguin des nano, 4 à 8 grammes par jour pendant deux semaines, le soir avant le coucher :
Charbon végétal ultra activé Moso 3000 – Poudre
Source et référence :
- Le charbon actif comme matériau de capture des nanoparticules d’argent dans les échantillons d’eau environnementale : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0048969718326305
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Article trés interéssant! Cependant, le charbon n’est pas recommendé si l’on prend un traitement allophatique car il en annule les effets…Je l’ai apris sur un site homéopatique,confirmé par mon homéo….Donc il est préfèrable de se renseigner avant d’en prendre!