Courrier des lecteurs #3 : Aloe arborescens, miel, alcool…

9
courrier des lecteurs réponses bio

En réponse aux questions tout à fait légitimes des lecteurs de mon article sur l’aloe arborescens, portant essentiellement sur la recette originelle du père Zago, nous avons décidé de publier la suite de ses passionnantes découvertes.

J’en profite également pour vous proposer la lecture d’un document fort intéressant, que je n’ai malheureusement pas eu le temps de publier dimanche et qui pourra compléter l’approche philosophique ou spirituelle, en fonction des interprétations, de communion avec le remède.

La question du long travail du père Romano Zago sur les guérisons de cancers par l’aloe arborescens étant si vaste, que je n’ai bien entendu pu qu’en aborder les grands points et brosser un portrait du protocole.

Voici sans attendre quelques éléments supplémentaires de réponses concernant l’alchimie de cette cure. 

Eric :

« Peut-on utiliser la cure sans alcool ? »

Jean-Baptiste Loin :

Bien que je comprenne parfaitement que les diabétiques, personnes suivant un régime sans sucre, enfants ou allergiques à l’alcool préféreraient s’en passer, j’ai bien peur que la réponse soit non.

La raison principale étant qu’après s’être sérieusement documenté sur la question en étudiant les revues scientifiques, le père Zago explique l’importance de l’association du jus d’aloe avec un alcool non fermenté, type eau de vie, whisky, cognac, tequila, bols, araq… ou autre.

Tout simplement parce que le faible taux d’aloïne contenu dans l’aloe arborescens reste légèrement toxique pour l’organisme, celui-ci ne pouvant pas la digérer ni en synthétiser les éléments.

Or ce type d’alcool a la capacité de dissoudre l’aloïne, la rendant pleinement assimilable et non toxique, dans la mesure où cela reste en faible quantité.

Par ailleurs l’alcool a également la faculté de dilater les vaisseaux sanguins, ce qui permettrait une action plus étendue et rapide des principes actifs.

Et enfin, c’est bien évidemment pour conserver les substances actives sans que leurs qualités thérapeutiques ne s’altèrent, que l’alcool se montre indispensable.

Toujours est-il que ce point est malgré tout quelque peu résolu par l’adjonction d’huile essentielle d’orange douce et de jus de citron dans les préparations buvables.

Mais les deux premières raisons sembleront sans doute suffisantes à la plupart pour opter pour ce minime apport d’alcool dans l’alimentation, un peu comme lorsque l’on prend une teinture mère en somme.

Fabienne :

« Bonjour monsieur,

Votre info m’intéresse bcp mais suivant un régime cétogène, le sucre m’écœure, je n’aime pas le gout sucré du miel.

Ma question est : peut-on diviser par 2 la quantité de miel dans la préparation, voir ne pas en mettre ?

Merci pour toutes vos lettres très intéressantes depuis 6 ans abonnée et de votre réponse. »

Ou encore :

Michel :

« Peut-on se passer de miel si on est diabétique ? »

Jean-Baptiste Loin :

Une fois de plus la recette du père Zago n’est pas le fruit du hasard, il a très largement dépassé ses attributions de bon Père de province pour devenir un naturothérapeute accompli.

Le vrai miel bio ou sauvage a des facultés pouvant aller bien au-delà du pouvoir adoucissant, s’avérant de toute façon bienvenu pour contrer l’amertume des feuilles d’aloe.

Et en plus de ses vertus intrinsèques, la ressemblance physico-chimique entre certains polyphénols contenus aussi bien dans le miel que dans l’aloe arborescens, permet une synergie étonnante dont les mécanismes n’ont pas encore été étudiés en détail.

Mais le père Zago insiste sur la qualité et la pureté du miel, prétendant que les rares cas n’ayant pu être sauvés par cette cure auraient employé un miel industriel en pensant faire des économies, qui leur auront été fatales.

Ce n’est pas tout, puisque le fait que le miel a, tout comme l’alcool, des facultés préservantes qui viendront envelopper les vitamines extrêmement volatiles du remède.

Et ce n’est toujours pas tout, car le véritable miel bio ou sauvage véhicule une des formes de glucides, avec l’aloe, faisant partie des plus assimilables et thérapeutiques.

Toutefois, si ce n’est pas pour réaliser une cure contre le cancer, j’imagine qu’une préparation au sirop d’agave bio peut en limiter considérablement l’apport glucidique.

Antoine :

« Y a-t-il des réactions particulières comme des crises détox par exemple en faisant une cure contre le cancer ? »

Jean-Baptiste Loin :

Oui, un cancer étant une maladie lourde l’organisme va fournir de nombreux efforts pour aider le remède à éliminer la tumeur, et ce généralement par le biais d’une crise détox.

En fonction de la taille ainsi que de la gravité de la tumeur, le corps va bien évidemment devoir pleinement en exprimer la masse.

Le père Zago recense d’ailleurs un certain nombre de réactions qu’il a pu observer au cours de rémissions de cancers avec cette cure.

Il explique aussi que « la nature est sage, elle peut réagir de la façon la plus surprenante et la plus inimaginable ».

Voilà en tout cas les symptômes dont il a pu témoigner lors de rémission :

  prurit,

  boutons, abcès, furoncles,

  éruptions cutanées, varicelle,

et dans le même temps :

  diarrhées,

  flatulences très odorantes,

  urines sombres à marron,

  urines teintées de sang,

  vomissements,

  pus sortant par les extrémités des mains et des pieds,

  douleurs abdominales…

En somme, l’activation de toutes les voies et mécanismes d’évacuation possibles.

La communion entre la plante et l’homme

Aussi respectueux des traditions et rites incas que faire se peut, le père Zago allait jusqu’à bénir chaque préparation en communiant avec la plante.

Ce rituel peut paraître étrange, pourtant au vu de certaines études montrant que les plantes communiquent non seulement entre elles mais aussi avec leur environnement, allant jusqu’à libérer des phéromones ou des poisons toxiques lorsqu’elles se sentent menacées, une fois de plus la science redécouvre que la tradition chamanique de communion avec le remède lors des cérémonies tribales, n’était en aucun cas une fantaisie.

Par conséquent il est sans doute sage de respecter le remède en ayant foi en lui, comme le suggère le père Zago.

Le témoignage qui va suivre est à mon sens bien plus qu’un rituel bénéfique, c’est une approche philosophique que nous pourrions considérer pour l’ingestion de tout aliment :

« A chaque fois que je prépare le remède… Tout doucement, avec le même respect que l’on a devant une pièce rare, un animal en voie d’extinction ou une œuvre d’art.

Je m’accoste à la plante avec un couteau aiguisé… non pas comme un être supérieur… mais comme une créature égale à elle, de même condition et de même niveau.

Je me présente à la plante comme un être limité et impuissant, dans l’espoir et la certitude qu’elle puisse résoudre mon problème. »

Puis je la salue en ces termes :

« Ciao bella ! – Bonjour, ma belle – Je ne suis pas là pour te faire du mal.

Au contraire, comme je sais que tu es bénéfique, je te demande la permission de prendre ce que notre Créateur à mis en toi.

J’en ai besoin.

Tout ce que Dieu a créé est bon.

Tu es l’essence de Dieu, parfaite, belle, harmonieuse.

Dieu a placé en toi de riches substances.

Je viens en profiter.

Si je ne les recueille pas, elles ne seront jamais utilisées pour leurs fins… si je te cueille tu donneras tous les dons que tu renfermes en toi, activant tout ce que tu sais faire de bon.

Permets moi de te cueillir comme je le ferais pour une belle rose.

Toi seule connais les merveilles que tu portes intérieurement et éprouves l’extase de la fécondité. »

Puis il participe à une chirurgie méthodique des épines, allant de haut en bas, essayant d’épargner la souffrance de la plante en continuant ses mots doux ressemblant à une déclaration d’amour :

«  Maintenant va et fais ce que tu sais.

Dans un corps créé par Dieu, il ne peut y avoir ni maladie, ni douleur, ni désaccord et discordance.

Libère du mal le corps qui t’es confié, en mettant en pratique ce que tu sais faire.

Je t’aime.

Oui, c’est vrai que je t’ai choisie entre toutes tes semblables.

Profite de l’occasion et accomplis la mission que le Seigneur a programmée en te créant.

Maintenant le moment de l’extase est arrivé, je sais qu’à peine ta mission sera accomplie, tu me remercieras pour l’occasion qui t’a été donnée.

Moi aussi je te suis infiniment reconnaissant pour l’aide que tu donneras à ce corps malade.

Excuse-moi, et merci pour ce service que tu as été appelée à fournir, avec grand amour.

Va et mets en pratique ce que tu sais. »

Une telle précision, à la fois scientifique et spirituelle, basée sur des centaines de témoignages de guérisons que vous trouverez dans l’ouvrage du père Romano Zago, m’invite personnellement à penser qu’en cas de cancer il puisse être opportun de changer temporairement ses habitudes, pour profiter pleinement de la synergie cette préparation de plantes fraîches.

Jean Baptiste Loin

Pour vous procurer le jus d’aloe arborescens au sirop d’agave sans alcool, cliquez ici

Pour vous procurer le kit de préparation de feuilles fraîches d’aloe arborescens, cliquez ici

Pour soutenir Réponses Bio et nous permettre de rester un media indépendant, RDV sur notre page Tipeee en cliquant sur ce lien.

S’abonner
Notification pour
WordPress » Erreur

Il y a eu une erreur critique sur ce site.

En apprendre plus sur le débogage de WordPress.