Malgré une composition relativement proche de sa cousine l’aloe vera, à laquelle on prête déjà de nombreuses vertus, l’aloe arborescens est un arbuste tout à fait à part.
A part, parce que les cultures d’aloe vera ont tendance à s’industrialiser dangereusement, mais aussi parce que les feuilles de cet arbuste, préparées selon une recette bien particulière, sont à l’origine d’un phénoménal taux de rémissions de toutes sortes de cancer, dont le père franciscain Romano Zago, est un des grands instigateurs.
Depuis la plus haute antiquité, que ce soit en Amérique du sud ou en Egypte, mais aussi en Afrique, l’aloe arborescens, consciencieusement choisi entre plus de deux cents espèces similaires par les herboristes, est un outil thérapeutique semblant être du pain béni pour le monde moderne.
Pourtant, plusieurs millénaires après, c’est l’aloe vera qui gagnera indiscutablement les habitudes des Occidentaux en écrasant l’aloe arborescens jusqu’à le faire disparaître dans l’ombre, ou presque.
Sans doute parce que l’aloe vera est plus facile à faire pousser et plus productive, aujourd’hui elle souffre de l’industrialisation sans scrupules proposant des jus d’aloe pratiquement inactifs.
Et même si on sait que ces végétaux ont des vertus relativement similaires, c’est tellement dommage lorsque l’on comprend que c’est le totum de la plante, sève et écorce comprises, qui en fait un remède ayant vaincu de nombreux cas de cancers condamnés par la médecine moderne.
Un totum incomparable
Si l’aloe vera est une plante, l’aloe arborescens, lui, est un arbuste.
Tandis que l’aloe vera atteint sa maturité après deux ans d’âge, sa cousine prend près de cinq ans pour révéler tout son potentiel.
Mais la grande différence entre ces deux espèces malgré tout très proches, réside surtout dans le fait que l’écorce de l’arborescens ne contient presque pas d’aloïne.
L’aloïne, bien que présentant des vertus anti-cancer, est un laxatif pouvant être irritant à haute dose que l’aloe vera renferme en telle quantité dans l’écorce de ses feuilles qu’il serait contre-productif d’en faire des cures.
Par conséquent, des tests comparatifs montrent que la variété « arborescens », dont on utilise sève et écorce, est 80% plus antioxydante que l’aloe vera.
Pour cette raison et tant d’autres, le test ORAC, permettant de mesurer l’indice du pouvoir antioxydant, présente un résultat d’environ 35500 pour l’aloe arborescens contre 19800 pour l’aloe vera.
Or ceux prétendant que l’écorce de l’aloe vera est elle aussi utilisable, se réfèrent à des préparations où si la peau est bel et bien broyée avec la sève, la mixture est ensuite filtrée à l’aide d’une membrane de charbon actif absorbant de nombreuses vitamines et minéraux.
La seule forme d’aloe permettant de profiter de l’intégralité de la composition dont la nature l’a doté est donc, sans conteste, l’aloe arborescens.
Une composition remarquable
Avant d’aborder les résultats obtenus par les ouailles du père Zago à l’issue de son fameux traitement anti-cancer, je vous propose de regarder au microscope la composition détaillée de l’aloe arborescens.
Non pas pour en extraire les parties les plus intéressantes, comme le ferait un laboratoire de médicaments de synthèse, mais au contraire, pour mieux en apprécier la complétude.
→ De la vitamine A, qui est utile aux mécanismes de la croissance.
→ De la vitamine B1, propice au bon fonctionnement du système nerveux et des muscles.
→ Des vitamines B2 et B6, aidant à la réparation des muscles et à la synthèse de l’hémoglobine.
→ De la vitamine B12, assimilable via le facteur intrinsèque b sécrété par les cellules de la muqueuse de l’estomac.
→ De la vitamine C, dont l’activité antioxydante fondamentale n’a plus besoin d’être présentée.
→ De la vitamine E, un autre antioxydant participant entre autres au mécanisme de la fécondité.
En plus des vitamines, des oligoéléments et minéraux interagissent aussi admirablement :
→ le manganèse, pour le système nerveux et les muscles,
→ le fer, pour le transport de l’oxygène et la formation des globules rouges dans le sang,
→ le cuivre, pour la formation de l’hémoglobine et un effet antibactérien,
→ le zinc, pour lutter contre les infections et renforcer l’immunité,
→ le chrome, décuplant l’effet des enzymes,
→ le cobalt, également utile aux globules rouges,
→ le sodium, régulant tension artérielle et liquides corporels tout en participant aussi au bon fonctionnement des muscles et des nerfs,
→ le potassium, favorisant l’équilibre acido-basique et assurant l’activité rénale,
→ le calcium, aidant les reins, la coagulation sanguine, l’activation de certaines enzymes et le métabolisme des cellules,
→ et le magnésium, à la fois tranquillisant et antidépresseur.
Du côté des enzymes on appréciera tant la présence de bradykinase, un calmant et cicatrisant aux vertus anti-douleurs que de catalase, évitant l’accumulation de l’eau oxygénée dans les tissus.
Avec de surcroît une bonne dose de glucides simples et complexes, qui en font un véritable aliment énergétique nourrissant l’organisme en favorisant tout spécialement le cerveau.
Et même si nous avons déjà là ce que pourrait apporter un super aliment sans rougir, vous n’avez encore rien vu.
La liste qui va suivre énumère les polysaccharides complexes présents dans l’intégralité de la feuille, ainsi que leur interaction sur l’organisme :
→ le silicium, à l’action spectaculaire sur les os et les tissus,
→ l’acide cinnamique, un polyphénol antioxydant également présent dans certains produits de la ruche et reconnu comme anti-cancer avéré,
→ l’acide uronique, une surprenante molécule capable de se combiner aux molécules toxiques pour l’organisme afin d’en permettre l’élimination, opérant tout particulièrement dans le foie,
→ l’acide aloétique et des arabinogallatini, antibiotiques naturels,
→ l’aloe emodine, ayant été mis en évidence par une équipe de chercheurs italiens dont les professeurs Tabolacci, Lentini, Mattioli, Provenzano, Oliverio, Carlomosti, et Beninati comme anti-cancer prometteur,
→ l’acémannane, ni plus ni moins qu’un régénérant cellulaire,
→ l’arabinose, un macronutriment que l’on retrouve dans le thé et qui aide à absorber l’excès de sucre, luttant en cela contre le diabète,
→ des fibres de cellulose et d’emicellulosa, participant au bon déroulement du transit,
→ et, en suffisamment faible proportion pour ne pas être agressive tout en étant à même de jouer son rôle, de l’aloïne, assurant un transit régulier.
Un équilibre apparemment parfait, non seulement pour soigner le cancer ou dans les cas les plus avancés lutter contre sa prolifération, mais aussi pour régénérer l’organisme et renforcer le système immunitaire lors de chimiothérapies.
Sans oublier son incidence extrêmement positive, voire curative, sur un nombre impressionnant de maladies et troubles dont, entre autres :
→ la cholestérolémie,
→ le diabète,
→ les affections inflammatoires,
→ les maladies respiratoires bénignes,
→ les troubles gastriques,
→ les problèmes de peau,
→ les maladies et troubles hépatiques,
→ etc.
Et ce ne sont là que des exemples, puisque de nombreuses autres molécules présentes dans l’aloe arborescens ont été étudiées en laboratoire.
C’est le cas de l’Aloctin A, qui fut reconnu au collège médical de Tokyo comme un immuno-modulateur empêchant la prolifération des cellules cancéreuses.
Mais on peut aussi citer ces études italiennes menées en 2009 à Lecco, sur des patients en traitement chimiothérapique avec et sans complémentation d’aloe arborescens.
Vous étonnerais-je si je vous disais que les malades cumulant la chimiothérapie et la médecine naturelle montraient rapidement des signes de régression de la tumeur tandis que l’état des autres empirait ?
D’autres études ont été faites en 2013, et ainsi de suite un peu partout dans le monde.
Il y aurait encore beaucoup à dire à propos des autres expérimentations mettant irréfutablement en évidence le fait que l’aloe arborescens est une panacée, mais au lieu de continuer à les énumérer, ce qui monopoliserait le point de vue de la science sur la question, je souhaiterais vous parler de ce que les Incas avaient sans doute vu avant nous, à savoir son réel pouvoir de régénération de l’organisme.
La rémission du cancer et l’aloe arborescens
Bien avant que les études que nous venons de voir ne soient réalisées, dans une petite bourgade du Brésil, le père Romano Zago rencontrait un de ses pairs, donnant l’office dans une des paroisses de banlieue.
Alors qu’ils partageaient le maté avec des amis, ce dernier explique au père Zago les fantastiques rémissions de cancer qu’il avait pu observer en donnant à ses paroissiens ce remède, qu’il semblait tirer des médecines ancestrales de son pays.
Il affirma avec tant de sincérité qu’il avait vu de ses yeux plusieurs guérisons, lui racontant chaque détail, que le père Zago n’en crut pas ses oreilles.
C’est en tout cas ce qu’il raconte dans son livre, Du cancer on peut guérir, traduit du brésilien en français.
Bien que ce ne soit pas de la grande littérature, n’ayant pas été rédigé pour cela, il dévoile une suite de témoignages d’authentiques rémissions de cancer.
Ainsi le père Romano Zago est devenu en quelque sorte un spécialiste au langage simple et à l’humilité entière, luttant tranquillement contre de gigantesques lobbies ayant étouffé cette information dans l’œuf, comme de nombreuses autres solutions naturelles contre le cancer, depuis ces dernières décennies.
Pourquoi ?
Eh bien parce qu’il est ici question d’un flux monétaire dépassant sans doute les billiards d’euros en faveur des laboratoires pharmaceutiques.
Parce que l’aloe ne coûte presque rien, et que sa vente développe l’économie de pays pauvres.
Mais peut-être aussi un peu par manque de communication sur les particularités si précises de son mode d’emploi.
En tout cas, pour le père Zago ce remède est sans équivoque possible l’expression de ce qu’il appelle « la longue main de la providence ».
Ce qui ne l’empêche pas non plus d’insister sur le fait qu’il lui semble essentiel de ne pas négliger pour autant l’importance de l’hygiène de vie, ou de ce que les naturopathes appelleraient le terrain.
Si selon lui le cancer existe depuis toujours, c’est la multiplication des intoxications et pollutions de toutes sortes qui le rend si fréquent à notre époque.
Cette plante utilisée par les ancêtres de sa terre natale était d’ailleurs certainement employée, entre autres choses, pour les guérir de cancer.
Un remède qui d’après le père Zago convient aux riches comme aux pauvres, sans distinction de niveau social ou de religion, mais avec lequel la foi en la guérison, il le reconnait, n’est pas négligeable.
Tout en ayant pu observer l’importance fondamentale de commencer à se soigner avant la prolifération du mal, aussi bien pour la réussite du traitement que la rapidité de rémission.
Détoxiquante et régénérante, c’est une cure qui est de toute façon conseillée à tout le monde, pour entretenir la santé comme prévenir l’apparition du cancer.
Guérir pour vivre, vivre pour voir
Le cancer, pour ceux l’ayant vécu et dépassé, est sans aucun doute un moment où l’on pense, que ce soit secrètement ou ouvertement, à la mort.
Même fugacement, la gravité de cette maladie nous invite à penser à la mesure de cette échéance.
Or la première étape dans la guérison du cancer, la flèche perçant les ténèbres, se trouve sûrement dans cette certitude que la rémission est possible, prônée pacifiquement, dans l’allégresse et la charité, par le père Romano Zago.
Un pouvoir d’intention, il le fait comprendre très clairement, qui n’est pas l’apanage de l’Eglise ou même celui des Incas puisqu’il voyage dans le cœur de chacun.
Ensuite, le choix de soigner un cancer uniquement avec des moyens naturels, ou celui de recourir à des chimiothérapies accompagnées ou non par ces mêmes moyens, appartient à chacun, intimement, en son âme et conscience.
Ce qui n’empêche cette foi dont nous parle le père Zago citant volontiers le Christ, de pouvoir « déplacer des montagnes avec un grain de moutarde ».
Mais au-delà de cette approche métaphysique qui est, n’en déplaise à certains, de mise, il est vraiment question d’une automédication à la précision chirurgicale, ou presque.
Cependant avant de vous en dévoiler les détails, je vous laisse apprécier la présentation du père Zago dont la pauvreté de la qualité du document vidéo, n’enlève rien à l’entièreté du remède et du personnage :
Après cette présentation en image, voici la recette anti-cancer du père Romano Zago :
Mode d’emploi
Si vous avez la chance de vivre aux Îles Canaries par exemple, vous pourrez faire pousser de l’aloe arborescens dans votre jardin, mais plus au nord le froid aura souvent raison de l’arbuste.
Si vous en cultivez, veillez à le cueillir après cinq ans de maturité et au moins une semaine après la moindre pluie.
Autrement vous pouvez l’acheter en feuilles entières, venant d’être cueillies et conservées à l’abri de la lumière.
Une fois réunis les ingrédients suivants :
ၑ un demi kilo de miel,
ၑ 40 à 50 ml d’alcool bio comme du cognac par exemple,
ၑ et 350 grammes de feuilles d’Aloe Arborescens
Enlevez les épines disposées au bord des feuilles et nettoyez les feuilles.
Coupez les feuilles en morceaux et mettez-les dans un mixeur avec le miel et l’alcool.
Mixez le plus possible à l’abri de la lumière en gardant le mélange dans un récipient hermétique protégeant de la lumière comme de l’air, que vous placerez au réfrigérateur immédiatement après l’avoir mixé.
Posologie
Prendre une cuillère à soupe de la mixture 3 fois par jour au moins 30 minutes avant chaque repas en veillant à bien agiter avant emploi.
Prolongez la cure jusqu’à la fin du pot tout en prenant garde de suivre médicalement l’évolution, la stagnation ou, le cas échéant, la régression de la tumeur.
Renouvelez la cure autant de fois que nécessaire en respectant des pauses de 5 à 10 jours entre chaque.
Le père Zago insiste également sur le fait que son expérience de terrain l’invite à être fermement convaincu que ce remède est efficace à plus ou moins courte échéance contre tous les cancers, dans la mesure où ces indications sont respectées à la lettre, quitte à renouveler l’opération plusieurs fois.
Si les 4 premières prises ne sont pas efficaces, dit-il, n’hésitez pas à doubler la dose c’est à dire en allant jusqu’à deux cuillerées avant chaque repas.
Mais vous pouvez aussi vous procurer une cure toute prête et conditionnée en bouteille.
Jean-Baptiste Loin
Pour vous procurer un kit de feuilles d’aloe arborescens bio contenant 350 grammes de feuilles non traitées ni coupées, issu d’un milieu préservé et contrôlé aux Canaries, cultivé par des passionnés préservant l’artisanat et l’amour du métier, avec un pot de 500 grammes de miel sauvage, suivez ce lien.
En cas de cancer avéré, ou afin de préparer une cure pour 2 personnes, choisissez le Kit « Urgence », contenant un pot de 1 kg de miel sauvage et 700g de feuilles fraiches d’aloe arborescens.
Attention : ces kits ne peuvent être expédiés qu’en France métropolitaine et en Europe, en raison de l’extrême fraîcheur des feuilles.
Pour recevoir la cure toute prête, rendez-vous sur cette page :
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génial,convainquant,je suis vaincu…