Dans la première partie de notre dossier, je vous donnais un exemple parmi tant d’autres concernant les modes d’économie d’eau.
Aujourd’hui nous allons traiter un point ayant une incidence bien plus immédiate sur votre santé : Votre eau de boisson.
Au fil des ans, j’ai abordé sous des axes variés mais complémentaires des technologies que je vais aujourd’hui m’appliquer à réunir en une synthèse aussi pratique que possible.
Le b.a.ba pour s’y retrouver facilement entre eaux dynamisées, filtrées, osmosées, minérales, minéralisées et déminéralisées, tout en apprenant à connaître et éviter les pièges liés à certaines modes florissantes.
Que vous la considériez comme telle ou que vous l’ignoriez, en plus d’être la condition sine qua non à la vie, l’eau est votre premier aliment, votre premier remède, mais également votre première source d’empoisonnement.
En fonction de la qualité d’une eau de consommation quotidienne, votre système immunitaire s’en trouvera plus ou moins bien informé, vos cellules seront correctement oxygénées ou peineront à transmettre les informations et, par conséquent, vos remèdes seront plus ou moins efficaces, la qualité de votre sommeil plus ou moins bonne, même votre humeur puis à terme votre santé mentale, pourraient en pâtir.
Pourtant il est rare, dans le monde où nous vivons, de se poser spontanément la question de savoir si ce genre de problèmes peut être lié à la qualité de l’eau que nous consommons.
Ainsi que pour l’air que l’on respire on s’attend à ce que, quelle que soit sa source, elle soit aussi saine que naturelle.
Force est de constater que ce n’est malheureusement plus le cas depuis longtemps, et que le phénomène s’amplifie suivant une courbe exponentielle galopante depuis ces dix dernières années.
De même que pour l’air, il est dorénavant indispensable de veiller consciencieusement à la qualité ainsi qu’à la vitalité de l’eau que nous consommons.
Or cela implique, si l’on souhaite éviter de recourir à des bouteilles en plastique, un processus alliant idéalement :
- la filtration,
- l’osmose, tout en évitant la déminéralisation de l’eau,
- la dynamisation,
- puis le choix d’un mode de minéralisation naturel, voire thérapeutique,
- pouvant être complétés par des cures d’eaux minérales naturelles, ou minéralisées par macération de plantes.
La filtration de l’eau et son osmose inverse
Le seul moyen de garantir une consommation saine d’eau du robinet, est bien évidemment de filtrer scrupuleusement chaque centilitre en provenance de vos canalisations.
Cela pour différentes raisons, allant de la qualité limitée des centres de filtration, aux métaux lourds et autres matières utilisées dans les réseaux publics et domestiques, à la propagation de nanoparticules en tous genres, en passant par la saturation par de molécules chimiques ultra-fines et solubles… que je n’aborderai pas aujourd’hui.
Vous pouvez toutefois consulter mes anciens articles s’étendant largement sur le sujet.
Toujours est-il que pour éliminer ces nombreuses pollutions, filtrer avec un simple filtre à grosses particules vendu dans les grandes surfaces, ou même un bâton de charbon actif, s’avère largement insuffisant.
Avec ces seules méthodes vous éliminerez, dans le meilleur des cas, environ 50 à 60% des polluants, sans forcément vous protéger des pires.
Il est donc souvent nécessaire, en tout cas dans un premier temps, de simuler l’équivalent d’un processus de stérilisation le plus naturellement possible. (3)
Bouillir l’eau serait alors une précaution utile, mais largement insuffisante.
Allant nettoyer la molécule d’eau en profondeur et l’expurgeant de ses impuretés, l’osmose inverse est si efficace qu’elle va jusqu’à permettre la désalinisation de l’eau de mer.
Toutefois les membranes à osmose inverse, bien que filtrant elles-mêmes à une densité allant jusqu’aux nanoparticules, se fragilisent lors d’un contact trop prolongé avec d’importantes quantités de chlore. (1)
Par conséquent, pour une utilisation optimale et une durée de vie raisonnable, tout système de filtration par osmose inverse devrait contenir :
- d’une part, un pré-filtre pour les plus grosses particules risquant d’endommager la surface de la membrane,
- et d’autre part un filtre éliminant les produits chimiques chlorés.
Pour toutes ces raisons et bien d’autres, je conseille depuis des années un osmoseur comprenant aussi bien :
- un filtre à sédiments,
- un filtre à composants chimiques et chlorés,
- un filtre de charbon actif,
- ainsi qu’une membrane performante filtrant à 0.0001 micron.
Avant de restituer l’eau à l’utilisateur.
Bien qu’imparfaite, cette technologie s’étoffe régulièrement d’améliorations comme les filtres à UV en fin de parcours de filtration.
Pour ma part je l’ai trouvé fort pratique, mais il en existe évidemment bien d’autres formes permettant une adaptation sur l’intégralité du réseau domestique.
Voici un exemple de deux technologies domestiques :
Par ailleurs, il est toujours possible de trouver des modèles offrant des capacités de stockage plus importantes.
J’attire également votre attention sur certaines technologies employant des matériaux en silice, billes de silices et couches d’argent désinfectant.
Bien que partagés entre des fabrications artisanales et industrielles, ces types de filtres offrant parfois la fonction d’osmose inverse, font souvent appel à des composants nanoparticulaires pouvant s’avérer dangereux en consommation régulière.
L’osmose inverse se suffit-elle à elle-même ?
Bien que l’eau osmosée soit adaptée pour drainer les reins et libre de la majorité des polluants courants, elle est encore inerte et non minéralisante, voire, sur une longue période de consommation exclusive, légèrement déminéralisante.
Ne consommer que ce type d’eau à longueur d’année ne serait donc pas encore suffisant pour exprimer tout le potentiel nutritif et thérapeutique qu’une eau vivante est susceptible de vous apporter.
La dynamisation de l’eau
Au cas où vous ne l’auriez pas encore lu, je vous invite tout d’abord à prendre connaissance de mon article sur la dynamisation de l’eau par le procédé Violet/Pagot.
L’essentiel du principe de la dynamisation ainsi que les réticences du lobby pharmaceutique, y sont largement présentés.
Il vous est également possible de lire mon article sur la cristallisation sensible résumant les travaux de Masaru Emoto.
Une fois ces approches particulières de l’eau entendues et comprises, il devient alors clair que, afin qu’elle puisse jouer pleinement son rôle de vecteur d’information à mémoire étendue, elle doit être dynamisée.
Hormis la dynamisation naturelle de l’eau par friction électromagnétique, ou par mouvements circulaires dans les rivières, il existe mille et un procédés plus ou moins efficaces.
Le premier, le plus simple et le plus écologique, est d’imiter la nature en répétant un certain nombre de fois le mouvement d’un vortex naturel, à la main.
Il n’est cependant pas aussi efficace que d’autres, mais à défaut, ce simple geste accompagné de quelques rayons de soleil ne sera pas dénué d’intérêt.
La dynamisation par ondes de forme existe elle aussi, cependant en fonction de nombreux facteurs elle sera souvent moins efficace et plus complexe que la première.
L’idéal, pour une dynamisation à moindre coût, étant probablement de cumuler mouvements de vortex, ondes de forme et dynamisation solaire.
Du petit adaptateur en plastique à la carafe à pression, vous trouverez dans le commerce de nombreuses options s’inspirant de ces technologies.
Mais le moyen le plus sûr et le plus intéressant thérapeutiquement est sans aucun doute la dynamisation Violet, et la technologie Osmodyn, dynamisant l’eau tout en offrant un panel d’oligo-éléments thérapeutiques adaptables en fonction des pathologies.
Certaines électrodes comme l’Indium, permettent un apport pratiquement introuvable dans la consommation quotidienne sous forme naturelle.
Et, pour mettre un terme aux scepticismes scientifiques largement motivés par les lobbies, la meilleure manière de réaliser l’importance d’une eau dynamisée… est de la goûter.
Je mets au défi n’importe quel sceptique de ne pas, simplement à l’aide de ses papilles, percevoir une différence prononcée entre une eau dynamisée et une eau morte.
Tout comme le goût d’une eau sortant du robinet comparé à celui de la même eau une fois osmosée, suffit amplement pour saisir immédiatement le travail de filtration effectué par la membrane.
Pourtant, même à ce stade, après l’avoir filtrée, osmosée et dynamisée, il est fort probable que votre alimentation ne recèle pas assez de minéraux pour que vous puissiez totalement vous passer, de temps à autre, d’une cure reminéralisante.
À ne pas confondre avec la déminéralisation de l’eau que certaines marques présentent comme solution miracle, l’osmose retire tout de même la majorité des minéraux de l’eau qu’elle filtre tout en retenant les particules les plus fines.
Néanmoins, c’est rarement une grande perte, en tout cas lorsqu’elle sort du robinet, et c’est surtout le moyen le plus efficace de restituer un cycle à l’eau corrompue.
La déminéralisation de l’eau
Davantage destinée aux batteries de voitures et fers à repasser qu’à la consommation humaine, l’eau déminéralisée a connu un effet de mode mal dirigé ces dernières années.
Bien qu’un amateur averti puisse tout à fait l’utiliser en remplacement de l’osmose, en prenant soin de l’intégrer à un cycle de dynamisation et de reminéralisation, consommée telle quelle, l’eau distillée ou totalement déminéralisée est un poison ne convenant absolument pas à l’ingestion humaine ou animale.
Une consommation soutenue d’une telle eau ne manquera pas de provoquer des carences osseuses et problèmes d’ostéoporose, ainsi qu’une déshydratation progressive mais profonde, aspirant en quelque sorte les minéraux présents dans l’organisme sans les restituer par la suite.
Tout comme, bien que dans une moindre mesure, l’osmose inverse seule pourrait avoir un impact similaire sur une période dépassant une année… sans bénéficier d’une reminéralisation particulière.
La reminéralisation de l’eau osmosée
À moins que vous ne consommiez que des fruits et légumes bio particulièrement riches en minéraux, il est possible que vous ressentiez à terme certains troubles plus ou moins similaires à ceux que nous venons d’évoquer.
Allant de la sécheresse cutanée à la fatigue générale, en passant par de possibles épisodes d’irritabilité.
Fort heureusement, il existe une solution simple et peu onéreuse, pouvant à elle seule résoudre une bonne partie de cet écueil.
Cette solution c’est le charbon activé compact, issu en priorité du bambou, mais pouvant tout aussi bien provenir d’autres bois.
L’important étant surtout de considérer la qualité artisanale de confection, alliant le savoir-faire de l’activation à l’énergie douce et renouvelable du bois.
Il vous suffit d’en glisser un dans votre carafe d’eau osmosée et de l’y laisser reposer quelques heures, pour profiter à la fois d’un apport minéral intéressant, d’une filtration additionnelle des impuretés résiduelles éventuellement présentes, ainsi que d’une ionisation négative intégrale de l’eau en présence.
Portant bien mal son nom, l’ionisation négative est un apport on ne peut plus positif, tant contre les charges électromagnétiques ambiantes que pour la captation de la poussière, ou encore l’eau de boisson.
Ainsi, filtration, osmose, dynamisation et reminéralisation assureront à pratiquement n’importe quelle eau croupie, une seconde vie.
Mis à part dans les cas où elle serait trop fortement irradiée, c’est seulement dans les conditions que nous venons de déterminer que vous pourrez profiter d’une eau thérapeutique, quelle que soit sa provenance.
Cependant, même dans ce cas, de temps à autre une cure d’Hydroxydase ou de certaines eaux minérales bien choisies, assurera ponctuellement une reminéralisation permettant un apport en oligo-éléments adaptés aux besoins de chacun.
C’est en tout cas ainsi, avant que la folie de l’eau minérale ne devienne une lubie remplaçant progressivement la consommation d’une eau du robinet de moins en moins propre à la consommation, qu’était envisagée la cure thermale.
Le corps buvait en s’immergeant dans une eau fortement minéralisée, qu’il consommait ensuite abondamment en tant que boisson, pendant une période allant de une à trois semaines.
Un sujet que nous aborderons en détail dans mon prochain article à paraître, ce mercredi.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Vous souhaitez approfondir le sujet sans attendre ? La rédaction a mis à votre disposition un dossier spécial sur l’eau, accessible de l’autre côté de ce lien
Sources et références :
Bravo pour cet excellent article.
Question : la dynamisation de l’eau sous pyramide en cuivre telle qu’utilisée par les électroculteurs a-t-elle un effet significatif sur la potabilité de l’eau ?
Bernard Bonjour,
Si l’eau, ou tout autre organisme vivant, avait la faculté de se débarrasser spontanément de ses polluants par la force de sa vitalité, ce que vous dites serait envisageable.
Mais alors on serait en droit de se poser la question, ou iraient les polluants ?
Pour que cette purification soit d’ordre physique et non seulement vibratoire il faudrait que l’eau ou les graines disposent d’une volonté qui leur est propre, ce qui n’est, à mon avis, pas du tout le cas.
Toutefois qui élucidera le mystère de l’eau saura.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Merci
Que pensez-vous de ces filtres ?Purificateur d’eau à gravité BRITISH BERKEFELD
Bonsoir et merci pour ce panel sur l eau,
Il est important de parler de ce qui peut caractériser une eau vivante via comme vous le dites des photos sensiblement équivalente à celle de Masaru Emoto, mais une eau qui surtout, génère des biophotons régénérons actif!
A très vite