
A votre avis quel aliment, sans distinction de religion, de culture ou de régime alimentaire – macrobiotique mise à part – restera toujours le plus consommé au monde ?
Et, selon vous, quelle est la ressource la plus utile à l’écosystème, allant des êtres humains aux plantes en passant par les animaux et les microbes ?
Vous avez deviné, il s’agit de la même chose.
Hier encore, respecter l’eau, en boycotter la prise d’otage par les multinationales, éviter les gigantesques pollutions que son commerce engendre tout en révolutionnant sa consommation, semblait utopique.
A présent une invention révolutionnaire vous propose de redevenir maître de l’eau en renversant la vapeur.
Comment l’élément le plus indispensable au vivant, étant depuis toujours libre et gratuit, a-t-il pu devenir si onéreux et perdre tant de qualités intrinsèques à sa composition initiale ?
Une civilisation n’étant pas en mesure d’établir un sens des priorités aussi indispensable que celui de respecter la qualité de l’eau, ou de garantir sa qualité et sa gratuité après distribution, n’est pas une civilisation faite pour durer.
Reconsidérer l’utilisation de l’eau du robinet tout en réalisant que l’embouteillage plastique n’est pas une solution à long terme, est un problème à résoudre de toute urgence.
Et, même si la résolution de ce dilemme vous semble très personnelle, elle participera à développer des filières intelligentes respectant l’eau au plus haut point en lui rendant les vertus qu’elle n’aurait jamais dû perdre.
L’eau en bouteille, un service devenu loi
C’est juste après la seconde guerre mondiale, en 1947, que le business de l’eau en bouteille fleurit avec la source d’Evian.
Tout d’abord dans des bouteilles en verre et d’une pureté encore très appréciable, l’eau d’Evian fut avant tout une sorte de complément alimentaire pour optimiser sa cure thermale, permettant d’absorber une bonne quantité de minéraux.
Minéraux qu’au regard des dernières recherches en la matière, nous assimilons finalement assez mal sous cette forme.
Contrairement à une eau de source, infiniment plus adaptée au quotidien, dont la teneur en minéraux est pour sa part très faible.
Pourquoi ?
Parce qu’au-delà de son apport en minéraux, elle est avant tout nécessaire au drainage et à la détoxination.
Toujours est-il que cette eau d’Evian allait faire naître une véritable industrie de l’eau en bouteille qui atteindra son paroxysme en 1968, avec la création de l’embouteillage plastique par Guy Maigre, pour l’eau de Vittel.
Passant de 307 millions d’unités vendues par an à plus de 6,5 milliards, rien que pour la France, autour de l’an 2000 le business de l’eau s’emballe avec les nouvelles informations sur les pollutions de l’eau du robinet.
Eau du robinet qui, rappelons-le, n’équipait en 1953 que 30% des foyers.
Selon Ivan Chéret, inventeur des agences de l’eau initialement destinées à préserver cet inestimable bien avant de sombrer dans le lobbying le plus total, avec « un développement rapide des besoins en eau et des rejets polluants mal traités … les ressources ont été ainsi étranglées des deux côtés, par des consommations accrues et des pollutions insupportables ».
De plus en de foyers, consternés par les lourdes intoxications pesant sur l’eau du robinet, investissent régulièrement dans des bouteilles plastiques bourrées de Bisphenol A et de Phtalates s’insinuant dans une eau stagnante et souvent trop minéralisée pour la consommation quotidienne.
Dans son étude sur l’eau minérale, le Dr Simon explique :
« Ces eaux sont envoyées dans de grands bassins de décantation et elles perdent leurs qualités.
Par exemple, l’eau minérale non floculée protège les jeunes rats contre l’anémie, ce que la même eau floculée est incapable de réaliser.
Nos résultats confirment, si cela était nécessaire, cette notion d’eau vivante. »
Or les eaux en bouteille sont généralement stockées chez les intermédiaires de la chaîne de distribution pendant des semaines, des mois, voire des années, à la lumière et dans la chaleur des trains, quais, camions et entrepôts.
Sans oublier que la bouteille en plastique est un des objets modernes représentant la pire empreinte carbone pour l’environnement.
Lourde à transporter, elle consomme beaucoup de pétrole en fret, et, même recyclée, pollue l’environnement à cause des usines de traitement ou du plastique brut perdu dans la nature, représentant rien que pour l’eau un minimum de150 000 tonnes d’emballages à traiter chaque année.
C’est ainsi que de plus en plus d’enseignes de magasins bio refusent la commercialisation de bouteilles en plastique pour tenter de contrer cette loi du marché.
Une maigre consolation quand on connait l’ampleur du problème et que l’on souffre, soi-même, d’une intoxication lente au robinet.
Les poisons véhiculés par l’eau du robinet
La question de l’eau en bouteille est une chose, mais il y a aussi ceux qui n’ont jamais été préoccupés par les quelques 800€ annuels représentant le budget d’une consommation d’eau en bouteille pour une famille de 4 personnes, parce qu’ils se félicitent de se contenter de l’eau du robinet.
Pourtant, même si on ne l’utilise que pour faire cuire les pâtes et les légumes, cela reste une grossière erreur.
Bien qu’on la dise « potable » parce qu’il n’y a pas de risque de mort à court terme, l’eau du robinet reflète passablement la lie des pollutions modernes avec une présence quasiment constante de polluants émergents comme :
→ médicaments,
→ hormones de synthèse,
→ métaux lourds,
→ pesticides,
→ chlore,
→ fluor,
→ et, ainsi que le montre une analyse récente portée sur les eaux du robinet dans le monde, du chlorure de vinyle ou d’autres minuscules particules de plastique.
Tandis qu’une partie de ces pollutions tente d’être contrôlée par les organismes sanitaires, une autre y est volontairement disséminée en guise de remède barbare.
De récentes études du ministère de la santé tendent à montrer que l’eau du robinet des Français n’est pas si mauvaise que ça dans 98% des cas, admettant tout de même que quelques millions de foyers soient touchés par une eau de « mauvaise qualité ».
Permettez-moi de considérer cela comme une campagne de désinformation.
Pour s’en rendre compte il suffit de s’intéresser aux critères définissant les limites de la qualité :
- Qualité de l’eau « Bonne » = 5 % d’analyses non conformes
- Qualité de l’eau « Satisfaisante » = 5 % à 25 % d’analyses non conformes
- Qualité de l’eau « Médiocre » = 25 % à 50 % d’analyses non conformes
- Qualité de l’eau « Mauvaise » = 50 % à 75 % d’analyses non conformes
- Qualité de l’eau « Très mauvaise » = plus de 75 % d’analyses non conformes
Sachant que chaque « non conformité » implique la présence d’un ou plusieurs composants classés de toxique à cancérogène.
Dans les immeubles et les réseaux à forte ramification de tuyauterie, ou dans les maisons installées près d’une culture intensive, encore plus qu’ailleurs, l’eau du robinet est un poison à éviter.
Sans compter qu’en plus des 50 composants entrant dans la liste des indésirables analysés, il en existe peut-être autant n’ayant pas encore été recensés, comme par exemple les nanoparticules.
Pendant ce temps une équipe de journalistes anglais n’appartenant, eux, à aucun lobby, ont fait analyser des échantillons de 500 millilitres d’eau du robinet dans une dizaine de pays.
Les résultats de cette enquête d’Orb Media partagée avec le Guardian montrent que 83% des échantillons contiennent des fibres de plastique.
Les pires résultats proviennent des Etats-Unis et du Liban, où 94% des échantillons sont contaminés.
La France, bien que mieux contrôlée, n’a pas de quoi être fière pour autant, avec plus de 75% des échantillons empoisonnés.
Pour le Dr Mahon, « si les fibres sont là, il est possible qu’il y ait aussi des nanoparticules que nous ne pouvons mesurer.
Une fois qu’elles sont à l’échelle nanométrique, elles peuvent pénétrer dans une cellule, et cela veut dire qu’elles peuvent s’introduire dans les organes, et cela serait préoccupant ».
Que faire pour l’eau de boisson et de cuisson des aliments ?
D’une part, nous avons l’eau en bouteille, alimentant une mafia démesurée et polluant abondamment la planète.
Difficile, même si c’était pendant un temps une des solutions les plus sûres pour éviter de s’empoisonner, de continuer à soutenir directement ou indirectement un tel carnage.
Sans oublier que s’il faut compter 800€ annuels pour la consommation familiale d’une eau minérale de bonne qualité pour les seules boissons, plus du double est nécessaire si l’on décide d’y inclure la cuisson des aliments.
Et d’autre part, il y a le lobby de l’eau du robinet, où comme pour la sécurité sociale l’Etat joue la carte d’un monopole orchestré par des entreprises privées.
Bien que sa consommation ne coûte que 0,0004 centime le litre, en dehors de rares exceptions, elle n’est tout simplement pas consommable à long terme.
Toutefois, il s’agit là d’un domaine qui pourra s’améliorer avec les générations, tout en étant immédiatement 360 fois moins polluant que la bouteille plastique.
En d’autres termes, l’embouteillage plastique est un marché ne pouvant que capitaliser en épuisant l’environnement et en revenant cher aux consommateurs ainsi qu’à l’équilibre de la vie.
Tandis que l’eau du robinet peut, si le lobby décroit et que le service retrouve son esprit d’antan, profiter du développement de nouvelles technologies absolument renversantes pour transformer de l’eau polluée… en eau saine et vivante.
« Rien ne se perd, tout se transforme »
Vous connaissez évidemment la célèbre formule d’Albert Einstein, indiquant dans le cas présent que si nous polluons, il est logique que cette pollution se retrouve quelque part, tout en signifiant que ce que nous avons pollué, il est possible de le dépolluer.
Et dans le cas d’une forme aussi stupéfiante que l’eau, on pourrait même dire que ce que nous avons tué, nous pouvons lui rendre la vie, ainsi que sa pureté originelle.
Dans le cas de l’eau cette pureté est si essentielle à la vie, que c’est un domaine où l’innovation pourrait changer bien des choses, et cela, tout simplement en appliquant les principes :
→ de l’osmose inverse,
→ des filtrations de dernière génération,
→ ainsi que du redoutable pouvoir du charbon actif.
Un trio surpuissant, infiniment plus rassurant et tangible que toutes les statistiques du monde.
Malheureusement en plus d’être très mal connus, jusqu’à ces dernières années les procédés de filtration à osmose demandaient une installation contraignante, avec renfort de plombier, sous l’évier.
Eh bien laissez-moi vous dire que ce temps est désormais révolu.
La dernière génération d’osmoseur à quadruple filtration
Evidemment !
Utiliser les nouvelles technologies pour filtrer l’eau à la perfection, voilà la clé qui manque non seulement à chaque foyer, mais aussi à chaque station d’épuration, à chaque bassin public ou privé…
Moi-même prisonnier pendant des décennies de l’eau en bouteille, étant trop peu bricoleur et pas suffisamment sédentaire pour vraiment profiter des joies de l’osmose inverse, j’ai renoncé à l’eau du robinet depuis les années quatre-vingt.
Imaginez le désarroi, la culpabilité et le trou financier que cela représentait chaque année.
Jusqu’à ce que je découvre un osmoseur embarquant filtres à métaux lourds, filtres à nanoparticules, absorbant parfaitement toutes les formes de pollutions y compris les radiations et les résidus de médicaments… le tout entièrement portable !
Et dans ce cas « portable » ne signifie pas que l’on puisse le démonter et l’embarquer dans un camion de déménagement, mais que l’on peut le débrancher et le mettre dans un coffre de voiture en quelques minutes.
Toutefois, ne confondez pas cet ovni avec un simple distillateur, qui n’éliminera qu’une partie des pollutions modernes en vidant l’eau d’absolument de tous ses minéraux, comme de l’eau de batterie ou de fer à repasser.
S’il n’est pas bon de consommer trop de minéraux dans l’eau de boisson, il est tout aussi déconseillé de baser sa consommation sur une eau totalement déminéralisée par distillation.
L’eau osmosée, pour sa part, restitue la structure la plus proche de l’eau de source, très légèrement acide, avec un pH oscillant entre 6.7 et 6.8, favorisant naturellement drainage et élimination des toxines.
Qui plus est, les propriétés de l’eau osmosée recèlent une forte résistivité, parfaitement adaptée à la circulation énergétique humaine et participant à réduire les dommages causés par les courants électromagnétiques.
Cependant, ce qui nous intéresse plus encore, c’est qu’elle bénéficie d’une quadruple filtration avec une membrane de 0.0001 micron, c’est à dire moins d’un nanomètre.
Ils s’articulent comme suit :
→ Le premier filtre, faisant partie du processus de pré-filtration, arrête les particules sédimentaires dépassant 5 microns.
→ Le deuxième filtre, toujours en pré-filtration, est la première barrière de charbon actif avec un dispositif KDF.
→ Le troisième filtre fait intervenir la membrane à osmose inverse, permettant de filtrer mécaniquement en poussant l’eau avec une forte pression dans les mailles de la membrane de 0.0001 micron, ne laissant passer que les molécules d’eau et quelques minéraux.
→ Enfin, le quatrième et dernier filtre est constitué d’un autre dispositif à charbon s’assurant qu’il ne restera pas la moindre trace de médicament ou métaux lourds, avant que l’eau ne soit versée dans le réservoir de consommation.
Cet osmoseur « Origine », dont j’ai récemment fait l’acquisition dispose d’une réserve de cinq litres à l’arrière de l’appareil.
L’eau y est filtrée puis stockée dans le réservoir d’eau de consommation, se trouvant lui à l’intérieur.
Après filtration de cinq litres vous obtenez trois litres d’eau pure et deux litres d’eau non pure, stockée dans le réservoir arrière, qu’il faudra veiller à évacuer dans l’évier à chaque nouvelle filtration pour ne pas la réutiliser.
En comparaison, pour cinq litres d’eau, un osmoseur classique avec installation sous le robinet ne permet d’obtenir qu’un litre d’eau pour quatre litres d’eau souillée.
Concernant le côté technique, si la membrane à osmose inverse se remplace tous les 12 à 18 mois et les filtres tous les 6 mois, pour une fois c’est une installation simple et facile ne demandant aucune intervention technique particulière.
Un argument m’ayant séduit tout autant que de ne plus aller chercher une seule bouteille d’eau en plastique.
Cerise sur le gâteau, avec cet osmoseur l’eau peut être servie soit :
→ à température ambiante,
→ légèrement tiède, idéale pour les bouillies de bébé,
→ chaude pour une boisson rapide,
→ ou encore à la limite de l’ébullition pour le thé et les infusions.
Bien que branché en permanence, le système électrique se met automatiquement en veille et consomme très peu d’énergie si vous ne lui demandez pas de faire d’eau chaude.
Un luxe restant néanmoins assez tentant, lorsque vous êtes pressé, ou… fainéant.
Bien qu’un interrupteur fasse selon moi défaut au modèle, rien n’empêchera son propriétaire de débrancher la prise électrique lorsqu’il décide de ne pas l’utiliser pendant un certain temps.
Une fois que l’on peut comparer le goût de cette eau osmosée et filtrée avec celle du robinet, c’est tout simplement saisissant, et ceux ayant eu la chance de goûter un jour de l’eau à même la source comprendront certainement ce que je veux dire.
Un appareil essentiel qui devrait être subventionné par l’état et offert par la sécurité sociale à tous les foyers.
En attendant ce jour béni, cela reste un investissement tout à fait raisonnable que l’on amortira en un peu plus d’un an, et grâce auquel un litre d’une eau plus pure qu’une eau en bouteille de grande marque, revitalisée par l’osmose inverse, sortira tout droit de votre robinet.
Pour transformer votre eau du robinet en un grand cru exempt de chlore, métaux lourds et résidus de médicaments, adoptez cet osmoseur portable comportant un quadruple système de filtration.
Pour soutenir Réponses Bio et nous permettre de rester un media indépendant, RDV sur notre page Tipeee en cliquant sur ce lien.
Merci