Plus connue pour ses effets sur la fonction sanguine et la microcirculation, les vertus de la Taxifoline ne s’arrêtent pourtant pas à la préservation du cœur et des artères.
Comme vous pourrez le constater à travers quatre études de grande qualité, elle entraîne aussi des mécanismes allant de bénéfiques à très puissants, tant contre les maladies neurodégénératives que la formation de tumeurs dans le foie et le pancréas, ou encore contre certaines invasions virales et microbiologiques.
Une suite d’atouts non négligeables, compte tenu de l’évolution inattendue de nouveaux variants du Covid, susceptibles de provoquer des inflammations cérébrales déroutantes.
La première, intitulée « La Taxifoline inhibe la formation de plaques amyloïdes (Aβ), protège les neurones, améliore la mémoire et la motricité dans des modèles animaux d’Alzheimer, Parkinson et autres maladies neurodégénératives » est fort intéressante.
Bien qu’elle n’ait pas encore dépassé les stades cellulaire et animal, si ces données s’avèrent aussi efficaces sur l’humain que sur la souris, sa complémentarité avec sa propension à protéger la sphère cardiovasculaire en ferait un remède bien plus important qu’il n’y paraît.
On y découvre notamment son efficacité pour lutter contre le déclin des facultés cognitives, les risques de cancer dans ces zones, ainsi que la survenue d’accidents vasculaires.
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Parmi les affections étudiées qu’elle combat, on peut noter :
- Alzheimer
- Parkinson
- Huntington
- et les amyloïdopathies vasculaires ou CAA
Or, au-delà de son rôle protecteur, des résultats prolongeant ces observations vont jusqu’à montrer son efficacité dans l’amélioration des désordres liés à la mémoire à court terme. (3)
Mais chaque groupe de scientifiques l’étudiant indépendamment pour des raisons différentes, on lui trouve des qualités déployant, au fur et à mesure, le vaste éventail de ses interactions.
La seconde série met en lumière ses « Effets sur la stéatose hépatique et le cancer du foie », montrant une capacité à réduire la stéatose hépatique, l’inflammation et la fibrose du foie sur un modèle non alcoolique. (4)
Permettant notamment d’empêcher toute progression vers le cancer du foie par des mécanismes de réduction des lipides et d’activation du tissu adipeux brun.
La troisième, quant à elle, rappelle le puissant rôle antioxydant qu’elle joue dans chacun de ces processus, lui assurant une action particulièrement vaste sur différents plans organiques.
Son activité anti-glycation protégeant contre le vieillissement cellulaire, étant alliée à une très faible toxicité, on pourra compter sur elle comme passerelle pour renforcer, le cas échéant, des remèdes plus ciblés et puissants. (5)
Enfin, c’est sur la santé osseuse en général et l’arthrose en particulier que notre quatrième étude porte.
Agissant comme anti-ostéoporotique et sur l’arthrose, elle favorise la santé osseuse par l’activation des voies antioxydantes Nrf2, tout en diminuant l’inflammation articulaire. (6)
De nouvelles données que vous pourrez recouper avec mon précédent article sur la Taxifoline afin de tirer le meilleur parti de l’extrait de mélèze de Sibérie.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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Sources et références :
- https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6525485/
- https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6539020/
- https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC6928325/
- https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC10911370/
- https://www.cell.com/heliyon/fulltext/S2405-8440(19)35707-X
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37399606/
