
Un groupe de chercheurs dont le Dr Nicolas Hulscher, de l’Université de Santé Publique du Michigan, le Dr Harvey A. Risch, de l’Université de Santé Publique de Yale, et le Dr Peter A. McCullough, de la Truth for Health Foundation, une association caritative tentant de dénoncer différents scandales liés aux empoisonnements modernes, viennent de recouper plusieurs centaines de milliers d’autopsies, pour sélectionner trois cent vingt-cinq d’entre elles répondant à une mort directe suite aux injections ou « vaccins anti-covid « .
En voici un résumé :
Le contexte
Le développement rapide et le déploiement généralisé des vaccins contre le Covid-19, combinés à un nombre élevé de rapports d’événements indésirables, ont suscité des inquiétudes quant aux mécanismes possibles de lésion, notamment la distribution de nanoparticules lipidiques systémiques ou « Lipidic NanoParticules », d’ARNm, et l’apparition de lésions tissulaires associées aux protéines de pointe ou « spike ». Les résultats montrent globalement soit une thrombogénicité, un dysfonctionnement du système immunitaire, une cancérogénicité, ou tous ces facteurs à la fois.
La « revue systématique » présentée ici a permis d’étudier les liens de causalité possibles entre l’administration du vaccin Covid-19 et le décès, à l’aide d’autopsies et d’analyses post-mortem.
Les méthodes
Après avoir recherché parmi les rapports d’autopsie relatifs à la vaccination contre le Covid-19 jusqu’en mai 2023, les chercheurs ont identifié six cent soixante-dix-huit études et, après avoir considéré des critères d’inclusion, inclus quarante-quatre articles contenant trois cent vingt-cinq cas.
Trois médecins ont ensuite examiné indépendamment tous les décès et ont déterminé si la vaccination contre le Covid-19 était la cause directe ou aurait pu contribuer de manière significative au décès.
Les résultats
Le système organique le plus impliqué dans les décès associés aux injections ARNm contre le covid était :
- le système cardiovasculaire à 53%
- suivi du système hématologique à 17%
- du système respiratoire à 8%
- ainsi que le foie, les intestins, le cerveau… à 7%.
Trois systèmes organiques ou plus ont été touchés dans vingt-et-un des cas étudiés.
Le délai moyen entre la vaccination et le décès était de quatre jours.
La plupart des décès sont survenus dans la semaine suivant la dernière administration du vaccin.
Au total seulement quarante décès sur les centaines étudiées, soit exactement 7,9% d’entre eux, avaient été officiellement jugés comme étant directement dus à la vaccination contre le Covid-19.
Pourtant la cohérence observée parmi les cas étudiés dans cette étude, entre les événements indésirables connus des injections ARNm, leurs mécanismes, ainsi que la surmortalité associée à la confirmation de l’autopsie et à l’évaluation du décès par le médecin, suggère qu’il existe une forte probabilité de lien de causalité entre les vaccins contre le Covid-19 et la plupart des décès retenus pour l’investigation.
Une enquête plus approfondie est urgente afin de clarifier ces conclusions. (1)
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Source :
SOURCE N°1: https://zenodo.org/record/8120771
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