Ils plaisent beaucoup, sont plus sains, plus écologiques et à l’image d’un monde dans lequel nous souhaitons vivre, c’est à dire où l’industrie pétrochimique ne serait plus omniprésente… cependant, ils coûtent plus cher et par conséquent ne sont pas à la portée de toutes les bourses.
Reste à savoir si le prix des vêtements en chanvre est justifié. Si sa consommation à grande échelle est vraiment en mesure de changer le visage de l’industrie textile. Si changer de mode de consommation doit nécessairement avoir un coût.
Avant d’aborder le problème du textile en chanvre, il peut être intéressant de comprendre comment nous nous sommes progressivement retrouvés dans un monde où :
→ vêtements,
→ carburants,
→ jouets pour enfants,
→ accessoires de sport,
→ cosmétiques,
→ automobiles,
→ emballages alimentaires…
sont entièrement ou partiellement fabriqués à partir du pétrole.
Si comme le disait Clemenceau « Chaque goutte de pétrole est une goutte de sang », comment se fait-il qu’après avoir réalisé que cette substance empoisonne indifféremment la planète, les espèces animales et humaines, nous ne mettions pas tout en œuvre pour favoriser les alternatives écologiques?
L’extermination du chanvre par le pétrole
Utilisé depuis longtemps par les Egyptiens pour la momification et par les Incas pour s’éclairer, le pétrole devint pour la première fois au tout début du XXème siècle, l’objet d’une exploitation à très grande échelle.
Il ne fut plus simplement question d’utiliser modestement les gisements apparents, comme c’était le cas dans les civilisations antiques, mais de forer le sol en profondeur pour en extraire de très grandes quantités.
Tout le monde voulant tirer parti ou s’enrichir avec cette énergie fossile, la ruée vers l’or noir commença.
Depuis quelques décennies l’automobile qui était passée de la fonction de jouet futuriste réservé aux nantis à celui de prototype de course, faisait feu de tout bois, fonctionnant aussi bien à la vapeur, au gaz, à l’électricité qu’au pétrole ou au chanvre.
Ce qui signifie que jusqu’en 1910, de nombreuses formes de développement auraient pu être investies pour faire rouler proprement les véhicules du futur, c’est à dire ceux que nous utilisons aujourd’hui, en favorisant :
→ l’eau,
→ le biodiesel de chanvre,
→ et l’électricité…
Le comble étant qu’en plus d’épargner l’environnement ces ressources auraient été d’un très faible coût, voire gratuites, si nous avions opté pour l’une ou l’autre.
Gratuité qui n’était pas tout à fait au goût d’un petit groupe d’individus, représenté en tout premier lieu par la famille Rockefeller, propriétaire de la première et plus importante compagnie pétrolière américaine, la « Standard Oil of New Jersey », et de la « Chase National Bank », aux yeux desquels la compétition entre le pétrole et les autres carburants pouvait changer à tout jamais le visage du XXème siècle.
De ce constat inspirant une insatiable soif de pouvoir partagée par d’autres milliardaires tels que Hearst, Henry Ford ou DuPont, naquit une société secrète décidée à prendre le contrôle de l’économie mondiale.
Ce fait se confirma d’ailleurs en 2002 dans les mémoires de David Rockefeller publiées aux éditions « Random House » où il déclarait :
« Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des Etats-Unis, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale ainsi qu’une structure économique plus intégrée – un seul monde si vous voulez. Si cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être. »
Bien que selon les analyses du Docteur Rudolf Diesel, inventeur du premier moteur alimenté par biodiesel de chanvre, dès 1900, c’était le chanvre qui pour d’innombrables raisons aurait dû être utilisé en tant que carburant principal, ce petit comité ne l’entendait pas de cette oreille.
Si bien que cette fraternité échafauda un plan allant au-delà de leurs ambitions les plus folles, et de nos cauchemars les plus terrifiants.
Pour y parvenir ils commencèrent par donner les moyens à Henry Ford de construire à très grande échelle les premiers véhicules grand public fonctionnant exclusivement au pétrole, inondant rapidement le marché mondial de la machine la plus convoitée : l’automobile à essence.
Rendant ce qui était réservé à l’élite quelques années auparavant, à la portée du plus grand nombre.
Au détriment de l’environnement comme de la raison, les autres développements scientifiques furent par conséquent abandonnés au bénéfice de cette nouvelle technologie.
Et à partir des années trente, afin de s’assurer que le pétrole règne unilatéralement sur les moyens de locomotion individuels, une campagne de grande envergure fut lancée par la presse puis par le gouvernement américain dans le but de discréditer le chanvre et d’en interdire la culture.
La guerre du pétrole
En 1927 la « Standard Oil Company » qui travaillait conjointement avec « IG Farben » regroupant six des plus gros producteurs chimiques allemands, s’associa à Hitler dans un programme de recherche et développement sur l’hydrogénation (production d’essence à partir du charbon), dont le potentiel fut découvert par un chercheur allemand en 1909.
Secrètement unis dans cette guerre du pétrole, les Américains armèrent sans complexe les nazis et les Japonais d’une incroyable quantité :
→ de voitures (fournies Henry Ford),
→ de carburant (fourni par la « Standard Oil » appartenant à la famille Rockefeller),
→ de chenilles servant à la fabrication de tanks,
→ et d’avions de guerre (fournis par la « General Motors » appartenant principalement à la famille DuPont).
Et c’est en France ou directement en Allemagne, juste avant la Seconde Guerre Mondiale, que la plupart de ces engins furent fabriqués.
Allant jusqu’à favoriser les nazis et couper les vannes aux Alliés, les Américains s’enrichirent démesurément en tirant les ficelles de cette guerre, jusqu’à ce que les Japonais commettent l’erreur d’attaquer Pearl Harbor.
En réaction, les Etats-Unis retournèrent leur veste et préparèrent le débarquement, condamnant Hitler à continuer sa guerre avec le peu de pétrole dont disposait les nazis.
Naissance de l’industrie textile
Jusque là relativement artisanal, l’univers du textile et de la mode fut bouleversé par la création d’immenses usines destinées à confectionner en masse des uniformes pour les GI.
De fils en aiguilles, l’industrie pétrochimique se fit rapidement une place chez les nouveaux créateurs de mode bon marché s’étant spécialisés dans le prêt à porter, et proposant des prix défiant toute concurrence à l’aide de matières synthétiques comme le nylon.
C’est aussi à cette époque qu’apparut une forme d’esclavage tout à fait moderne, utilisant les vieilles colonies devenues indépendantes où les travailleurs étaient prêts à se faire exploiter dans des conditions déplorables pour un salaire de misère.
Le marché du pétrole dominant le monde, les Etats-Unis multiplièrent les prétextes de guerres pour demeurer les principaux détenteurs de cette ressource, le chanvre devenant rapidement tabou un peu partout en Occident.
Un trésor oublié
Bien qu’il soit apparu dès le début aux plus sensés que les textiles de synthèse ou le coton chimiquement traité soient une calamité, ces derniers ne représentaient malheureusement qu’une toute petite minorité.
Minorité qui passait d’ailleurs volontiers pour rétrograde aux yeux d’une génération « pétrole » déjà conditionnée aux joies du synthétique, avec l’apparition de produits comme le fameux bas en nylon qui fit un véritable tabac auprès de la gente féminine.
Tandis que les vêtements en chanvre étaient issus d’un long processus artisanal, les fibres de synthèse elles, se fabriquaient plus vite et coûtaient infiniment moins cher aux industriels.
Ce qui n’a bien évidemment pas laissé la moindre chance aux dérivés du chanvre de rivaliser avec une industrie pétrochimique conditionnant les Occidentaux à des appétits de consommation effrénés.
Mais en croyant que tout ce qui est nouveau est mieux, nous avons rapidement oublié que malgré son apparence austère, le vêtement de chanvre permettait :
→ d’éviter les traitements chimiques,
→ de ne pas utiliser de répulsifs contre les mites,
→ de profiter d’une excellente régulation thermique,
→ d’atteindre de grandes capacités d’absorption de l’humidité,
→ d’être porté sur le long terme grâce à une solidité incomparable,
→ de protéger contre les rayons UV et plus tard les rayonnements passifs des appareils électriques ou des écrans d’ordinateurs,
→ de jouir de vertus anti-bactériennes retardant voire stoppant complètement la prolifération de certains champignons et bactéries…
Un véritable trésor de bien-être pouvant empêcher à lui seul la destruction de la couche d’ozone tout en prévenant l’apparition de pluies acides issues de la combustion pétrolière, qui pourtant fut jeté aux orties.
Un développement resté en friche
Si la fabrication de vêtements en chanvre n’a pas totalement disparu depuis, cela tient pratiquement au seul bon sens de quelques irréductibles qui, quel que soit l’inconvénient de son prix, comprennent l’importance de cette démarche.
Représentant une part de marché infime face à la consommation globale de prêt à porter, très peu de spécialistes se sont penchés sur les multiples développements susceptibles d’améliorer le rendement des machines à tisser le chanvre.
En l’état actuel des choses il est donc tout à fait logique qu’un textile naturel en chanvre soit comparativement bien plus cher qu’une chemise en polyester.
Il est d’ailleurs bon de se souvenir que nous avons été mal habitués et globalement manipulés, dans le but de nous voir voter en faveur du pétrole, enfermés dans l’habitude d’acheter nos sous-vêtements quelques euros dans les hyper-marchés.
En revanche, bien que le chanvre soit moins accessible que les vêtements synthétiques ou transgéniques, il est tout à fait inacceptable que les recherches et les inventions destinées aux textiles soient exclusivement orientées vers le rendement et la production de l’industrie chimique.
La transformation du chanvre en textile
Souvent produit par de petits agriculteurs, le chanvre est semé, cultivé, roui et séché de la même manière qu’il l’était il y a des milliers d’années.
Le rouissage consiste à tremper les tiges dans des bassins alimentés par des rivières ou des criques, permettant de dissoudre les liants qui maintiennent les fibres entre elles, depuis l’écorce jusqu’au cœur ligneux.
Une fois ce processus terminé, le chanvre est ensuite étalé ou disposé en fagots pour sécher naturellement au soleil.
A partir de là les tiges de chanvre sont stockées, avant que l’on récupère la fibre.
Puis vient le teillage, qui consiste à séparer la partie fibreuse des restes de la tige dont la chènevotte qui de son côté est recyclée et utilisée en tant que source d’énergie renouvelable (émission zéro-carbone) pendant les mois froids d’hiver.
Les fagots de fibres, eux, sont liés en balles et vendus pour être filés.
Quand les balles de fibres arrivent à la filature, elles sont triées en fibres “élémentaires” et fibres “fractales”.
Elles sont ensuite séparées mécaniquement, lavées, séchées, et après plusieurs étapes de peignage, de nouveau triées en fonction des différentes longueurs.
Tandis que les plus fines et les plus longues sont sélectionnées à la main pour être transformées en fil (pur chanvre, ou mélangées avec d’autres fibres longues), les plus courtes sont filées avec d’autres fibres courtes comme le coton bio.
Une qualité incomparable
Procédons à présent à une rapide étude comparative entre le textile de chanvre et les textiles synthétiques ou traités chimiquement.
Comme nous l’avons vu, les vêtements de chanvre sont :
→ Infiniment plus solides que les synthétiques ou ceux issus de la fibre de coton, on peut donc compter en moyenne plusieurs années d’utilisation supplémentaires en faveur du chanvre, ce qui équivaut à un seul article d’un côté pour plusieurs de l’autre.
→ Antibactériens, évitant l’apparition de nombreuses maladies cutanées très courantes.
→ Agréables à porter et thermorégulateurs, ce qui leur confère des vertus que même les productions nanoparticulaires les plus modernes ne peuvent égaler.
→ Respectueux de l’environnement et ne réclamant que peu de soins ménagers, ce qui réduit l’achat de produits d’entretien et lessives polluantes quasiment à néant.
→ Fabriqués à la main ou dans des conditions pratiquement artisanales rendant possible, grâce au principe du commerce équitable, de nourrir de nombreuses familles démunies en échange du fruit de leur labeur.
D’un autre côté les textiles industriels et chimiques sont :
→ Conçus pour une obsolescence programmée, incitant à une consommation démesurée.
→ Bourrés de substances nocives pour la santé et l’environnement, suggérant des dépenses futures en soins personnels et en assainissement de l’environnement.
→ Désagréables à porter quand la peau transpire, qu’il fait trop chaud ou trop froid.
→ A l’origine d’une gigantesque plaque tournante inhumaine comparable à l’esclavagisme, utilisant une main d’œuvre sous-payée composée principalement de femmes et d’enfants, qui est amenée la plupart du temps à travailler clandestinement dans des conditions déplorables où les accidents sont monnaie courante.
Pour résumer, quand vous achetez une chemise d’une marque X ni écologique ni issue du commerce équitable :
→ vous vous empoisonnez,
→ vous favorisez l’industrie du pétrole,
→ vous participez à l’exploitation des ouvriers prisonniers de ce cercle vicieux,
→ et vous contaminez l’environnement.
L’un dans l’autre il est donc clair qu’une chemise industrielle coûte virtuellement plus cher qu’une chemise en chanvre, même si cette dernière semble plus onéreuse à l’achat.
Malheureusement ce que l’on voit dans les pub télé porte si bien à confusion :
→ « Plus blanche que blanche » signifie avec l’aide de colorations chimiques ultra fortes
→ « Anti-transpirante » sous-entend composée de nanoparticules
→ « Facile à laver » suggère que vous investissiez également dans le détachant et la lessive proposés par la marque
→ « Infroissable » nécessite des traitements à l’ammoniaque…
Procédés qui, inutile de le préciser davantage, sont tous soit dangereux pour la santé, soit nuisibles à l’environnement, et le plus souvent, les deux à la fois.
Un nouveau souffle pour l’économie et le partage
Si le commerce du chanvre prend suffisamment d’ampleur pour sortir de l’enfermement dans lequel le pétrole l’a poussé, demain des procédés qui ne répèteront pas les erreurs de l’industrie chimique lui permettront d’être accessible à tous.
Puisque le manque à gagner que représente une telle consommation pourrait aller jusqu’à favoriser l’initiative des gouvernements, qui en ont jusqu’ici pratiquement interdit la culture.
Pour illustrer cela, le mieux est encore de donner la parole directement aux acteurs concernés qui depuis près de dix ans, agissent sans que l’on s’en aperçoive en faveur de ce changement.
Ainsi la marque « HempAge », membre de la FairWear Foundation (FWF), explique : « Le résultat de nos efforts incessants nous permet aujourd’hui de démontrer clairement qu’il est tout à fait possible de produire écologique et éthique en Chine, malgré la croyance commune entretenue par des media mal informés, qu’une telle production n’est pas possible dans ce pays.
Depuis octobre 2009, HempAge est membre officiel de FWF, et nous allons poursuivre l’amélioration des conditions de travail dans toutes les usines où nous travaillerons.
Ces certifications ont non seulement renforcé nos activités en Chine, elles nous encouragent également à continuer la recherche et le développement qui mèneront sûrement à une meilleure qualité dans un bon climat social et écologique. »
Un virage écologique à prendre de toute urgence
En dépit de nombreuses années d’efforts en ce sens, la certification de la chaîne de production de marques dans le cadre du « Global Organic Textile Standard » (standardisation du textile bio) ne peut pas toujours proposer une certification complète des produits en chanvre.
La raison principale en est que pour les agriculteurs qui cultivent le chanvre, souvent sur de petites parcelles, le coût du label bio est tout bonnement démesuré pour leurs maigres moyens.
Label qui pourrait d’ailleurs souvent paraître inutile puisque l’on sait bien que le chanvre ne nécessite aucun :
→ pesticide,
→ herbicide,
→ ou fongicide.
Les produits chimiques n’améliorant ni la récolte, ni la fibre de la plante, aucun cultivateur qui se respecte ne devrait jamais être amené à traiter chimiquement un champ de chanvre.
Il est donc apparu à certaines enseignes spécialisées dans les vêtements en chanvre, qu’il ne serait pas très éthique d’insister pour que les agriculteurs paient la somme nécessaire à la certification de leurs récoltes, simplement pour que les fabricants puissent mettre une étiquette “biologique” sur un produit l’étant par nature.
Cela dit, grâce à un soutien croissant des consommateurs, la culture du chanvre revient progressivement à la mode et même en France la législation s’ouvre petit à petit.
Dans certains cas particuliers, elle peut se faire sans contrat « hors PAC » à condition que vous soyez soit un :
→ producteur de semences de betteraves (isolation de parcelles),
→ porteur de projets pilotes en bâtiment,
→ écomusée,
→ commerçant en articles de chanvre,
→ architecte paysagiste.
En accord avec le Ministère de l’Intérieur, et pour éviter tout risque de confusion, la Coopérative Centrale des Producteurs de Semences de Chanvre (CCPSC) demandera tout de même de remplir au préalable une déclaration sur l’honneur de positionnement géographique de la culture et la mettra à disposition des forces de l’ordre.
Un moyen qui permettra peut-être aux producteurs souhaitant relancer la production du textile en chanvre et ses innombrables dérivés naturels, de se multiplier.
En conclusion, si vous souhaitez que le chanvre soit plus abordable, il est avant tout nécessaire de soutenir les fabricants et les distributeurs qui militent activement pour sa réhabilitation.
Acheter en chanvre ne signifie pas seulement se faire du bien, ou protéger l’environnement, cela permet aussi de voter pour un monde où le pétrole ne fera plus couler la moindre goutte de sang.
Jean-Baptiste Loin
- Afin de vous aider à mettre les conseils de cet article en pratique et soutenir l’économie du textile de chanvre, vous trouverez derrière ces liens du linge de maison en chanvre à la fois sain, éthique et écologique :
- Les housses de couette
- Les draps-housses
vive le cannabis
Meeeeeeeeeeeeeeerci
J’ai déjà acheté plusieurs articles en chanvre, et franchement c’est d’un confort absolu, je le recommande, aussi bien pour une robe que pour un pantalon, ok c’est un peu cher, mais ça ne s’use pas!!!et c’est hyper confortable!!:
Bonjour,
je serais bien intéressée par les vêtements en chanvre et coton bio mais hélas vous ne faite pas ma taille (50/52 ou XXl) et cela est bien dommage.
Pensez un peu aux personnes hors normes.
Continuez c’est super
Bonjour,
Dans la marque Hempage vous trouvez un grand nombre d’articles qui vont jusqu’à la taille XXL (taille européenne = taille française XXXL) . Il faut chercher un peu mais vous pouvez trouver !
Un grand merci du coeur, pour toutes les infos que vous nous envoyé. Il n’est pas facile de trouver dans la vie les infos qui gèrent notre quotidien, mais avec de l’aide on a beaucoup plus de chances de gérer au mieux sa vie, c’est tellement important, et puis c’est de cette façon que l’on peut changer le monde, alors je vous dit u grand merci.
jean Michel
JB, je souhaite vous exprimer toute ma gratitude pour tous ces partages. J’y suis très à l’écoute.
Bien cordialement
Je vous souhaite une excellente semaine.
Sabrina
Bonjour, je tombe par hasard sur votre article, recherchant moi même un site proposant des vêtements en chanvre…cependant je reste surpris et déçu car votre article ne mentionne aucun site ou commerçant proposant des vêtements en chanvre made in France. Je me refuse à dépenser 100 euros dans une chemise en chanvre made in China quelque soit le label « qualité ». Je ne peux pas croire qu’il n’existe aucun fabriquant de vêtement en chanvre made in France, voire made in Europe…
Bonjour.
Je suis d’accord avec MadeinFrance. Cependant il semblerait que nous ayons perdu un savoir faire en terme de tissage du chanvre depuis quelques décennies. Cela revient petit à petit et nous retrouvons des champs de chanvre en France (très contrôlé!). J’ai trouvé un site qui vend des accessoires de cuisine type tablier, gant manique trousse 100% chanvre made in Europe sur daregreen.fr.
Une jolie coquille s’est glissée dans votre billet.
cette substance empoissonne au lieu de cette substance empoisonne.
Merci 🙂
Correction faite !
Belle journée,
Nina
Bonjour,
Je suis très intéressée par les vêtements en chanvre mais je me pose une question sur leur utilisation l’hiver, notamment en ce qui concerne les vêtements « extérieurs » (bonnet, gants, écharpe…). Cette matière est-elle suffisamment chaude pour se prémunir du froid ?
Merci et bonne journée
Une fois encore une politique dévastatrice à court terme.