Pierre Franchomme, la passion de l’aromathérapie

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pierre franchomme, la passion de l'aromathérapie

C’est à Pierre Franchomme, créateur du laboratoire Pranarôm, qu’on doit l’introduction sur le marché d’huiles essentielles aussi cruciales que le Tea Tree ou le Ravensara.

Mais ce passionné d’aromathérapie a encore bien d’autres découvertes à son actif…

pierre franchomme, la passion de l'aromathérapie

Comment un pionnier de l’aromathérapie comme vous en est-il venu à s’intéresser aux huiles essentielles ?

Pour commencer, je suis né, en 1943, dans l’herboristerie de mes parents.

J’ai donc toujours connu les plantes puisque, durant toute mon enfance, je visitais sans complexe tous les tiroirs et que j’étais environné des odeurs du tilleul et des autres plantes.

Plus tard, après différentes études, j’ai fait une incursion en médecine classique mais je me suis arrêté en cours de route.

Tant mieux d’ailleurs, car je n’aurais jamais réalisé ce que j’ai réalisé aujourd’hui !

De là, j’ai dévié vers les médecines naturelles, c’est-à-dire, à l’époque, l’école de Marchesseau où j’ai appris, entre autres choses, l’existence de l’aromathérapie.

Cette technique n’était alors pratiquement pas développée ; néanmoins elle m’a singulièrement attiré, à tel point que, malgré le peu de documents disponibles dans ce domaine, j’ai rédigé ma thèse sur « Les arômes, source de vie ».

Une fois installé comme naturopathe, j’ai évidemment prescrit de la phyto et de l’aroma… mais le problème, c’est qu’on ne trouvait pas d’huiles essentielles valables.

Heureusement, un jour j’entends parler d’un fabricant d’huiles essentielles artisanales, Henri Viaud, en Provence.

J’arrive chez lui, dans une atmosphère étrange, et il me fait visiter ses caves à huiles essentielles.

Des toiles d’araignées partout, on se serait cru chez un alchimiste… mais, avec des mouillettes, il me fait respirer des huiles essentielles comme je n’en avais jamais senties auparavant !

Enthousiasmé, de retour chez moi je me livre activement à des recherches dans la littérature, et je trouve des études publiées par des pharmaciens de Montpellier où il était question de chémotypes et d’analyses beaucoup plus fines concernant les propriétés des huiles essentielles.

C’est d’ailleurs à partir de ces études qu’a démarré ma propre recherche, et que j’ai cessé d’utiliser des dénominations comme « thym rouge » ou « thym jaune » pour préférer les noms véritables des HE, associés à leurs chémotypes.

Afin d’aller plus loin, je me suis mis en relation avec des facs de pharmacie.

Accueilli notamment par Michel Paris dans son labo de chromatographie, j’ai pu y enregistrer des progrès considérables en identifiant précisément chaque produit.

Par ailleurs, je suis retourné chez Henri Viaud qui m’a appris le métier de distillateur.

C’est effectivement un métier à part entière, chaque plante se distillant différemment.

J’ai aussi été cueillir la lavande et le thym à la faucille, ce qui m’a permis de rencontrer des cueilleurs professionnels à la dextérité étonnante.

Mais le marché français restait encore très pauvre en huiles essentielles à cette époque ?

Tout à fait ! C’est d’ailleurs pourquoi il m’a semblé utile de créer le laboratoire d’aromathérapie Pranarôme, dont l’étymologie est « prana », l’énergie en Sanskrit, concept qui me ramenait à ma philosophie de départ : « les arômes, sources de vie ».

C’est donc ainsi que je commençais à vendre aux magasins de diététique français des huiles essentielles de qualité, récoltées aux quatre coins du monde ; voyageant en conséquence, notamment à Madagascar d’où j’ai ramené pour la première fois le fameux Ravensara aromatica, mais aussi en Australie où je découvrais le Tea Tree, ou Melaleuca alternifolia, et beaucoup d’autres huiles essentielles remarquables qui étaient inexistantes sur le marché.

Grâce aux fonds que je retirais de ce commerce, j’ai mené de nombreuses recherches avec l’Institut Pasteur et d’autres laboratoires.

A l’aide du microscope électronique, on a ainsi pu mettre en évidence le mécanisme de certaines bactéries et virus et en dégager divers traitements aromathérapiques.

Je crois que vous avez également beaucoup exploré l’aspect énergétique des huiles essentielles ?

Oui, cela m’a toujours intéressé.

Je me suis tout d’abord dirigé du côté de l’énergétique chinoise, avec ses notions de Yin et de Yang, de négatif et de positif.

J’avais déjà réalisé une classification tempéramentale hippocratique des huiles chaudes et froides, mais je n’en étais pas satisfait car ce n’était pas scientifique.

Il m’a donc fallu poursuivre ces études avec un physicien, et vérifier expérimentalement que certaines molécules d’huile essentielle étaient bien chargées positivement et d’autres négativement.

C’est sur cette base, en fonction de la structure moléculaire des huiles, que j’ai complété le tableau d’origine et défini les propriétés, stimulantes ou calmantes, de toutes ces huiles.

Quant à la médecine ayurvédique, elle m’a donné la possibilité de travailler sur une autre facette de l’énergie puisqu’il n’était plus question, cette fois-ci, de l’électron mais du photon, de la lumière et des couleurs…

Les huiles, ici, concernent les chakras en fonction de leur vibration chromatique, de l’ultraviolet à l’infrarouge.

Toutes ces découvertes ont-elles données lieu à une diffusion de vos connaissances ?

Oui, j’ai publié divers ouvrages, dont un plus particulièrement important, « L’aromathérapie exactement », mais j’ai également fait beaucoup d’enseignement, auprès d’environ un millier de médecins et de naturopathes dans différentes écoles, spécialement chez André Roux et Jean-Pierre Willem…

Cela dit, je n’ai jamais abandonné la recherche, tout au contraire !

Il y a quelques années, après avoir cédé mon laboratoire, je suis entré dans le groupe international Darphin, non pas dans la phyto-aromathérapie mais dans la cosmétique, en tant qu’expert en aromathérapie, ce qui m’a ouvert à l’exploration d’autres domaines, en particulier de la peau qui est une des trois entrée possibles des huiles essentielles dans le corps.

L’aromathérapie est en effet à usages interne ou externe, et la plupart des gens n’ont aucune idée de l’impact des huiles via la peau.

Mieux en comprendre les mécanismes m’a donc semblé plus qu’utile.

Cette nouvelle fonction m’a aussi donné la chance de créer, dans ce groupe, un laboratoire de pharmacologie en Roumanie, qui existe toujours et où l’on fait de la recherche de très haut niveau et des études pointues sur l’inflammation, le stress oxydant, etc.

On se livre également à des études cliniques dans le domaine du stress.

Tout cela m’a permis d’ouvrir considérablement le champ d’application des huiles essentielles.

Précisément, quel est-il donc, ce champ d’application ?

La carte de visite principale des huiles essentielles est indéniablement l’infection.

Bactéricides, bactériostatiques, antivirales, antiparasitaires, antifongiques, elles comptent parmi les meilleurs anti-infectieux qu’on connaisse aujourd’hui.

Elles soignent d’ailleurs aussi bien les adultes que les jeunes enfants.

Attention bien sûr, car il faut savoir choisir l’huile et la doser selon l’âge.

L’automédication familiale reste donc strictement contre-indiquée sur les enfants en dessous de huit ans.

Au-delà de leurs vertus bactéricides incontestables, les huiles essentielles sont particulièrement intéressantes en tant qu’antiviraux car, dans la médecine conventionnelle, il n’existe tout bonnement rien dans ce domaine !

Par contre, en aroma et en phyto, les antiviraux fonctionnent parfaitement bien.

Comme antiparasitaires elles s’avèrent également très utiles. On oublie trop souvent que 50% des enfants ont des parasites intestinaux et qu’ils peuvent en être totalement débarrassés grâce aux HE.

L’autre grande propriété des HE, également un peu ignorée du grand public, est la détoxication.

Souvent, en naturopathie, on détoxique avec de grands classiques comme l’artichaut.

Mais que veut dire détoxiquer ?

En règle générale, cela ne doit pas seulement consister à ouvrir les émonctoires, le foie et les reins.

Il est également indispensable de neutraliser les xénobiotiques.

Et là, il n’existe aucun article sur le sujet dans les médecines naturelles.

Pourtant c’est fondamental !

Lorsqu’un xénobiotique pénètre dans l’organisme, il peut être stocké dans les graisses du corps ou pris en charge par les cellules entériques, hépatiques ou pulmonaires pour être neutralisé par un système enzymatique double.

Là, une première enzyme le transforme en procarcinogène mais, fort heureusement, une deuxième enzyme couple un méthyle ou du glutathion sur ce procarcinogène et le rend hydrosoluble afin qu’il soit éliminé par les urines.

Il est donc évidemment nécessaire d’apporter, par la complémentation, une stimulation à ce processus.

Il en va de même des œstrogènes qui, il faut le rappeler, n’ont aucun rôle direct dans la cancérogenèse puisque ce sont certains de leurs métabolites qui sont carcinogènes… tout au moins tant qu’ils ne sont pas couplés avec du glutathion pour être éliminés.

Vous parliez tout à l’heure des propriétés calmantes ou stimulantes des HE. On peut donc penser qu’elles ont aussi une forte influence sur le système nerveux ?

Oui, sur les systèmes nerveux et hormonal.

Concernant tout d’abord le système nerveux, il est très important de faire attention à ne pas utiliser des huiles essentielles à composants neurotoxiques comme les huiles à acétone, au bicétol ou au tricétol, qui sont d’ailleurs répertoriées et interdites à la vente en diététique.

Par contre, vous avez des huiles antispasmodiques qui vont jouer au niveau de la plaque neuromusculaire, d’autres au niveau central.

Vous avez des parasympathicotoniques et des sympathicotoniques avec lesquelles on peut rééquilibrer le système nerveux sympathique.

Concernant la dépression, il y a des huiles intéressantes comme la noix muscade par exemple, et en phyto des molécules très proches de l’aromathérapie : les xanthones de la gentiane.

Autre volet, à l’opposé de la dépression, le stress et l’angoisse sont améliorés par l’HE de mandarine ; mais la phyto est plus riche pour faire face à ce type de problèmes. 

Enfin, les mécanismes des pathologies dégénératives étant aujourd’hui bien connus pour être essentiellement inflammatoires, ils peuvent être détectés précocement, notamment par des métabolites excrétés par les urines, et seront réduits par certaines HE comme le gingembre.

Quant au système endocrinien, mieux vaut éviter de trop y toucher en automédication.

Toutefois, sachant que l’âge amène une imprégnation cortisolique de plus en plus importante, il est possible de contrôler cette évolution avec l’hélicryse italienne qui va contrebalancer l’effet du cortisol dans l’organisme.

Inversement, il arrive qu’on ait des chutes de cortisol, avec grande fatigue, et il est alors recommandé de stimuler sa production à l’aide d’HE de pin sylvestre.

Vous disiez faire des études sur l’inflammation dans votre laboratoire en Roumanie. Quelles sont les grandes avancées en la matière ?

Très beau sujet ! L’inflammation s’avère essentielle, pratiquement dans toutes les pathologies. C’est vraiment le cœur du problème à traiter !

Parmi les huiles essentielles anti-inflammatoires, nous avons beaucoup d’anti-inflammatoires non stéroïdiens.

Certains vont agir à la manière de l’aspirine, mais avec d’autres possibilités d’intervention comme l’inhibition de certaines enzymes.

Il va sans dire que pour réussir un traitement il faut avoir un important éventail de ces huiles essentielles à notre disposition.

Un autre phénomène important, qui est la clé de l’inflammation, est l’adhésion des polynucléaires sur les cellules endothéliales.

Et là, nous possédons, parmi les huiles essentielles, d’excellents antiadhésifs.

Cela étant dit, les HE antioxydantes sont, par ailleurs, presque aussi importantes que les anti-inflammatoires, puisque l’oxydation est aussi un noyau central dans beaucoup de pathologies.

Par exemple, vous avez beau donner du calcium en cas d’ostéoporose, si la personne est sous stress oxydant vous allez continuer de stimuler les ostéoclastes et vous n’aurez aucun effet thérapeutique.

A côté du stress oxydant, vous avez le stress nitrosant, que l’on retrouve dans la polyarthrite rhumatoïde, dans le Parkinson et l’Alzheimer, ainsi que dans les cancers de l’estomac, etc.

Là encore, nous disposons d’HE et phytothérapiques tout à fait remarquables, comme les graines de Paradis.

De nombreux autres processus pathologiques, touchant notamment aux cancers, tombent pareillement dans le champ d’application des HE.

L’angiogenése, par exemple, peut être contrée par le gingembre ou par le cyprès bleu d’Australie.

Divers anti-tumoraux aromathérapiques sont d’autre part capables de pousser les cellules tumorales à l’apoptose.

Mais tout dépend quand même du stade de la maladie.

Quels sont les différents modes d’emploi des huiles essentielles ?

La voie orale, tout d’abord, qui est la plus logique dans la mesure où, depuis l’origine des temps, l’homme utilise des aromates.

De plus, il est évident que, par exemple en cas d’infection intestinale, seule la voie orale est efficace. Elle reste donc incontournable pour traiter le foie, les reins et les intestins.

La voie transcutanée est également très importante, ne serait-ce que parce que la peau supporte beaucoup mieux les HE que la muqueuse digestive.

Cela dit, certaines régions du corps sont plus sûres et pertinentes que d’autres, comme la plante des pieds dont le réseau veineux extrêmement développé permet une excellente pénétration ; à telle enseigne que même les bébés peuvent profiter de l’aromathérapie… mais exclusivement en massages de la plante des pieds, et à faibles dose bien sûr !

Au-delà, et pour en revenir aux adultes, on peut encore faire des applications d’huiles essentielles sur certaines zones comme les chakras ou les points d’acupuncture, dans le cadre d’un traitement énergétique.

La voie transpulmonaire, ou aérosol-thérapie, nécessite quant à elle l’emploi d’huiles essentielles de grande qualité, sans alcool et sans huiles végétales.

Il faut que le produit soit vraiment volatile, très pur, et surtout non agressif.

Cette forme thérapeutique n’est toutefois valable que pour la sphère ORL, c’est-à-dire en cas de sinusite, rhinite ou otites, mais totalement inintéressante pour tout ce qui est bronchite.

Au-delà, bien sûr, il reste possible de stimuler les zones olfactives et de traiter le système nerveux ou combattre les infections au moyen d’un appareil aérosol.

Mais attention : il faut impérativement que celui-ci soit de bonne qualité.

Les diffuseurs bon marché avec des verreries simplifiées sont à oublier !

Il est indispensable que la verrerie soit pleine de picots pour retenir les gouttelettes, et que l’injecteur soit très fin.

Enfin, la voie rectale, en suppositoires, s’indique plus particulièrement en cas de bronchites.

Quelles quantités d’huile essentielle doit-on généralement utiliser ?

Question cruciale !

Très souvent, on applique des quantités d’huiles essentielles trop élevées par rapport aux besoins et surtout à la toxicité de ces produits.

On a fait beaucoup d’études sur des cultures cellulaires, en Roumanie, concernant la toxicité des huiles essentielles, et l’on s’est aperçu qu’il y avait des huiles qui facilitaient la vie cellulaire et d’autres, au contraire, qui étaient particulièrement toxiques, même quelquefois à partir de seulement 0,001 point, ce qui vous laisse imaginer la nocivité de ces huiles essentielles quand on en absorbe des quantités industrielles !

Quel est, selon vous, l’avenir de l’aromathérapie scientifique ?

Aujourd’hui, on a de nouvelles matières premières extrêmement intéressantes à notre disposition, obtenues par des procédés d’extraction différents, en particulier les extraits au gaz carbonique à l’état fluide.

Entre l’état gazeux et l’état liquide, ce gaz supercritique est en effet un hypersolvant qui, parce qu’il est dépourvu d’oxygène et d’eau, permet d’extraire les phases lipophiles de la plante.

Si l’extraction n’est pas trop poussée on obtient un produit identique à l’huile essentielle mais dont le profil est un peu différent dans la mesure où il n’y a plus d’oxydation et pas d’hydrolyse.

Le produit est alors exactement identique à ce qu’il y a dans la plante… ce qui est beaucoup plus intéressant au plan thérapeutique !

Par exemple, si vous mettez de l’origan vulgaire dans un alambic ordinaire, vous obtenez une huile essentielle à carvacrol ; si vous le mettez dans un extracteur au CO², vous obtenez un extrait qui contient du carvacrol et de la thymoquinone, une substance qui existe naturellement dans la plante mais qui aurait été détruite par la distillation classique.

Or, la thymoquinone est très utile, non seulement parce qu’elle est antibactérienne, mais aussi antiasthmatique et antiallergique.

Autre possibilité : si l’on pousse le procédé au CO², on parviendra à extraire les huiles végétales, vitamine E, tocophérols, tocotriénols, etc.

Dans tous les cas, ce procédé est avantageux à plus d’un titre.

Tout d’abord, ces extraits, pris par voie interne, s’avèrent beaucoup moins agressif que les huiles essentielles classiques.

La muqueuse étant fragile, ça a toujours été un problème majeur de faire de l’aromathérapie par voie orale.

On peut mettre une goutte d’HE dans du miel, dans du charbon, dans du yaourt ou même dans une gélule.

J’ai personnellement lancé la mode des capsules d’huiles essentielles mélangées à des huiles végétales. C’était déjà mieux, mais quand la capsule s’ouvre, on le sent quand même passer !

Après avoir beaucoup travaillé sur le sujet, j’ai finalement mis au point une nouvelle galénique qui fait appel aux extraits CO², aux huiles végétales, aux extraits de plantes et au magnésium marin.

Le résultat est une poudre extrêmement fine.

Quand on la regarde au microscope, on dirait des micro-éponges.

Mais le plus extraordinaire, c’est que la consommation de ces gélules, même quand on en prend beaucoup, n’entraîne aucune irritation au niveau digestif. Tolérance optimale ! Y compris avec des produits agressifs comme le thym, l’origan ou la cannelle.

Prenons l’exemple d’une collibacilose urinaire sévère, avec hématurie.

Normalement, cela se traite à l’hôpital avec une antibiothérapie massive.

Sous aromathérapie, avec ce type de gélules dosées à 75mg et à raison de vingt gélules par jour, il suffit de 48 heures pour contrôler la situation… sans aucune brûlure de l’estomac !

De plus, la biodisponibilité de ces gélules est accrue puisque l’extrait CO² est accompagné par différents biotransporteurs choisis en fonction des actifs présents.

Mais bien sûr, il n’est pas possible d’utiliser ces extraits au CO² sous forme d’aérosols. Les HE restent donc utiles !

Pour l’heure, cette forme d’aromathérapie n’est pas très développé dans le milieu naturopathique parce qu’il n’y a pratiquement aucun spécialiste dans ce domaine.

Personnellement je la connais très bien et je l’utilise.

Je pense d’ailleurs écrire un livre sur cette nouvelle aromathérapie, mais il faudra à l’avenir beaucoup communiquer et documenter avant d’espérer pouvoir sortir l’aromathérapie de l’ornière commerciale dans laquelle elle s’est engagée depuis de nombreuses années, et lui ouvrir des horizons plus scientifiques.

 Propos recueillis par Jean-Baptiste Loin

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