Il n’y a pas qu’en médecine conventionnelle que l’on se livre à des analyses de sang pour étudier différents paramètres du cas d’un patient.
Les médecines naturelles, elles aussi, font appel aux prises de sang, et d’ailleurs également d’urine ou de salive… mais généralement plus pour connaître le terrain et les tendances globales du malade que pour mesurer quantitativement des données précises.
Les tests de Vernes et les hémotests de Mattei, par exemple, permettent de connaître l’état de santé général de l’organisme et de dépister les évolutions pathologiques.
Les tests de Vernes décèlent particulièrement bien les phénomènes :
→ inflammatoires,
→ allergiques,
→ cancériniques,
→ hépatiques,
→ immunologiques.
Quant aux hémotests de Mattei, ils reconnaissent les terrains :
→ cardio-vasculaires,
→ tuberculiniques,
→ arthritiques,
→ endocriniens,
→ cancériniques.
La bioélectronique
C’est un ingénieur hydrologue, le Pr Louis Claude Vincent, qui mit au point, en 1952, la technique de la bioélectronique.
Malheureusement, cette bioélectronique est un bilan beaucoup plus connu à l’étranger – notamment aux États-Unis où il est utilisé par la NASA sur les astronautes – qu’en France, son pays d’origine.
Son principe repose sur l’idée que le terrain biologique peut être mesuré sur la base de trois paramètres fondamentaux, correspondant aux trois états organiques :
→ magnétique,
→ électrique,
→ et diélectrique.
Ces trois états se manifestent respectivement par :
→ le pH : alcalinité ou acidité,
→ le rH2 : concentration en électrons,
→ la résistivité : capacité d’un liquide à résister au courant électrique.
Ces mesures s’établissent sur des échantillons de sang, d’urine et de salive.
Elles permettent ainsi d’évaluer :
→ sur le sang : l’état du terrain,
→ sur l’urine : l’élimination,
→ sur la salive : les capacités de la digestion.
Etudions plus précisément chacun de ces paramètres…
Le pH
C’est le taux d’acidité ou d’alcalinité.
Le pH sanguin normal, selon Louis-Claude Vincent, doit être de 7,1.
Or, la médecine allopathique le situe à 7,4, c’est-à-dire dans ce que le créateur de la bioélectronique considère déjà comme un début d’alcalose.
C’est cette même alcalose qui, par sa déficience en protons H+, entraîne une diminution du champ biomagnétique favorisant notamment l’évolution du cancer.
Rien d’étonnant, donc, que le cancer soit si répandu en une époque où la médecine officielle considère comme normal ce pH sanguin alcalin lié à un état précancéreux.
Le pH urinaire, quant à lui, donne des indications évidemment inverses, dans la mesure où une urine trop acide correspond à une alcalose sanguine.
C’est donc essentiellement avec ces deux paramètres des pH sanguin et urinaire, éventuellement enrichis du pH salivaire, que la bioélectronique définit l’état d’acidité ou d’alcalinité du « terrain ».
Ceci permet d’obtenir une toute première indication puisqu’on sait, par exemple, qu’un pH alcalin au-dessus de 7,1 présente un risque de cancer, alors qu’un pH acide, en dessous du même taux, peut être favorable à des pathologies comme la tuberculose.
Ainsi ce bilan autorise-t-il la mise en route d’une diététique personnalisé puisqu’il suffit, dans ce système, de ramener par l’alimentation le pH du terrain à la normale :
→ s’il est trop alcalin : en consommant des aliments et des boissons acides, comme le vinaigre, les carottes, tomates, poireaux, oignons, épinards, ail, citron vert, pamplemousse, orange, raisin, pomme, pèche, pain complet, farine de seigle, germe de blé, bœuf, yaourt, moutarde, sucre non raffiné, etc. ;
→ s’il est trop acide : en optant pour les eaux minérales alcalines, les pommes de terre cuites à l’eau, le sel, etc.
Le rH²
Au pH vient s’ajouter le second paramètre, le rH2, ou état électrique, s’exprimant en termes d’oxydation ou de réduction :
→ en dessous de 21, on dit que le sang est réduit et va entraîner fatigue, diabète, voire coma ;
→ au-dessus de 21, on dit qu’il est oxydé et mène alors à l’insomnie, aux névroses, au nervosisme, aux thromboses ou au cancer.
Le rH2 augmente, c’est-à-dire va en direction d’une oxydation, à la suite de manque de sommeil, de fatigue, de constipation, d’énervement, de vieillissement et de dégénérescences.
C’est pourquoi le sommeil, le calme, la conservation d’un péristaltisme efficace et une complémentation en antioxydants s’avèrent essentiels pour rester le plus près possible d’un taux de rH2 équivalent à 21, c’est-à-dire équilibré.
pH + rH²
Le croisement des deux paramètres, pH et rH2, a permis à Louis-Claude Vincent d’établir les quatre terrains bioélectroniques que l’on peut considérer comme autant de diathèses, avec :
→ Le terrain alcalin oxydé générateur de cancers, de virus, néphrites terminales, thromboses, artérites, leucémies, diabète simple, constipation, phlébite, névrose, épilepsie ou spasmophilie ;
→ Le terrain alcalin réduit, avec ses microbes, typhoïde ou choléra ;
→ Le terrain acide oxydé avec la polio, les maladies infantiles, la tuberculose, le psoriasis ou les mycoses ;
→ Le terrain acide réduit avec ses cirrhoses, ascites, diabète, tétanos ou néphrites aigues.
Le rô
Le troisième paramètre, le rô, ou résistivité, mesure la concentration en électrolytes, autrement dit le degré d’intoxination du sang.
En dessous de 220 ohms, le rô sanguin indique une trop grande réceptivité aux inductions électromagnétiques de l’environnement, accompagnée d’une augmentation du rH2.
Il convient alors de drainer l’organisme de manière drastique, à l’aide de phytothérapie et d’homéopathie, de monodiètes et la consommation d’une eau extrêmement pure comme la Mont Roucous.
Un certain nombre de laboratoires français propose ces tests à leur clientèle.
Les cristallisations sensibles
Procédé tout à fait révolutionnaire créé par le Dr Pfeiffer à Dornach, c’est à dire issu de la médecine anthroposophique, la cristallisation sensible peut être considérée comme une analyse qualitative, plutôt que quantitative.
En médecine (car on l’utilise dans toutes sortes d’autres domaines, et, notamment, pour évaluer la vitalité et la pureté des aliments), c’est le sang qui est analysé.
Le sang du malade est donc mélangé à du chlorure cuivrique, étalé sur une plaquette de verre munie d’un anneau circulaire et laissé à l’évaporation.
Le mélange va cristalliser, un peu comme le givre sur une vitre, et donner ainsi une sorte de dessin fractal, avec des aiguilles cristallines ramifiées.
C’est ce dessin fractal, cette texture cristalline qui indiquera au praticien le degré de vitalité de l’organisme du patient, et même les régions corporelles où des processus morbides se déroulent.
Très utiles pour suivre l’évolution d’une thérapie naturelle sur un malade, et, bien sûr, pour dépister les tendances pathologiques très à l’avance, les cristallisations sensibles constituent un des tests les plus fiables.
Elles sont proposées par un nombre croissant de médecins français, qui rejoignent, en cela, leurs confrères helvétiques et allemands, très en avance dans ce domaine.
En dehors du cadre médical, ces cristallisations sensibles permettent notamment de distinguer le vrai bio du faux, mais aussi de mettre en évidence l’action hautement destructrice de beaucoup de procédés physiques ou chimiques modernes, comme la pasteurisation UHT, le four à micro-ondes, l’ionisation gamma ou les additifs alimentaires…
Dans chaque cristallisation on différencie quatre zones :
→ Une zone dite supérieure, à stries courtes, qui témoigne de l’état des systèmes respiratoire et glandulaire.
→ Un champ médian, à stries moyennes, donnant des indications sur les systèmes cardio-vasculaire et digestif.
→ Un champ inférieur, à longues stries, en relation avec les systèmes urinaire, génital et intestinal.
→ Une zone périphérique, indiquant l’état du potentiel énergétique général.
Mais c’est plus précisément dans l’étude détaillée des différentes formes apparaissant dans la cristallisation que l’on va pouvoir dépister :
→ des menaces tumorales,
→ des processus dégénératifs,
→ des dysfonctions hormonales,
→ des inflammations,
→ des foyers infectieux,
→ des intoxinations,
→ des charges de stress, etc.
Dans une cristallisation sensible, ce qui est finalement détecté n’est rien d’autre que certaines vibrations exogènes n’appartenant pas à l’organisme, telles que celles des virus, des bactéries ou des tumeurs en préparation.
Ces vibrations exogènes se traduisent dans la striation de la cristallisation par des barres transverses interrompant le rayonnement normal des stries sur la plaque.
Les analyses de la médecine conventionnelle ne peuvent évidemment diagnostiquer un cancer que lorsqu’il s’est produit.
Au contraire, les cristallisations sensibles, plus que n’importe quelle autre méthode de bilan des médecines naturelles, sont capables de reconnaître les origines du cancer.
Ce peut être, quelquefois, un simple stress mal intégré…
Cela permet en tout cas non seulement d’agir à temps mais d’agir intelligemment puisque la cause, ou les conjonctions de causes précises susceptibles d’entraîner un processus cancéreux, vont être reconnues pour ce qu’elles sont et pouvoir être traitées de manière personnalisée.
Ces cristallisations sensibles, tout comme la bioélectronique et l’iridologie, n’offrent donc pas seulement un diagnostic, mais indiquent clairement la nature des perturbations énergétiques, et offrent la possibilité de suivre les effets d’une thérapeutique donnée et de la modifier en fonction des résultats.
Le protidogramme informatisé
Toujours sur la base du prélèvement sanguin, ou, plus exactement, de l’étude des protéines du sang, ce test ultramoderne présente la particularité d’être conduit par un puissant ordinateur.
L’intérêt de ce procédé réside dans le nombre important, et toujours croissant, de tableaux cliniques qui viennent enrichir la mémoire de l’ordinateur ; celui-ci pouvant alors délivrer un bilan informatique de santé extrêmement fiable et complet.
Cet ordinateur intégrant constamment les nouvelles données et remis sans cesse à jour :
1/ regroupe une quantité astronomique de tests, dont :
→ l’électrophorèse : séparation des protéines du sang dans un champ électrique ;
→ les tests de floculation : précipitation en flocon des protéines du sérum…
2/ traite quatre-vingts réactions chimiques spécifiques sur la base d’une prise de sang, notamment :
→ les immunoglobulines M qui témoignent, en hyper, d’une agression infectieuse ; en hypo, de maladies auto-immunes, artérielles ou cancéreuses.
→ les immunoglobulines A liées aux muqueuses ORL et digestives, ainsi qu’aux allergies.
→ la protéine C-réactive en relation avec les inflammation ou certaines infections.
→ la fibronectine, spécifique du nettoyage des toxines de l’organisme et permettant de diagnostiquer un cancer du sein…
Puis il se livre à un calcul matriciel et compare chaque mesure anormale à une mesure normale de référence.
Ensuite, il classe les mesures effectuées de la plus anormale à la moins anormale, présentant ainsi le bilan de santé sous la forme d’un graphique en V.
D’une manière générale, plus ce V est évasé, et plus le terrain est déstabilisé… exception faite des cas où l’organisme est tellement épuisé qu’il ne se défend plus.
Mais, non content de fournir un bilan, l’ordinateur relie ses résultats à la pathologie… et, surtout, à la thérapeutique !
Bien sûr, ces solutions thérapeutiques visant à ramener les paramètres à la normale consistent en quelques phytothérapiques, aromathérapiques, organothérapiques, homéopathiques et compléments nutritionnels, testés depuis plusieurs dizaines d’années maintenant, et venant enrichir la base de données.
C’est donc un outil extraordinairement performant qui est ici offert tant pour un diagnostic prédictif des maladies que pour une harmonisation du terrain biologique.
Pour reprendre notre exemple du cancer, ce bilan, une fois de plus, permet d’annoncer à l’avance sa survenue éventuelle grâce à l’analyse de certains paramètres spécifiques, notamment les globulines Alpha 1, l’acétate de cuivre et le Cétavlon.
Dans cet exemple, on considère qu’il y a risque de cancer lorsque l’acétate de cuivre, le Cétavlon et le PTK sont augmentés alors que le cholestérol, les triglycérides, le phénol, le Burstein, le Kunkel Zinc, le Takata et les globulines Gamma sont stables.
Mais c’est encore plus précis puisque, dans les cancers du rein, de la vessie, du foie ou du pancréas, l’acétate de cuivre, le Cétavlon, le phtalate acide de potassium sont augmentés.
Dans les cancers génitaux, comme dans les cancers du sein, de l’utérus, des ovaires, des testicules et de la prostate, ce sont l’acétate de cuivre, le PTK, le Kunkel Zinc et le sulfate de nickel.
Dans les cancers génitaux féminins, l’acétate de cuivre, le Cétavlon, le sulfate de nickel, le PTK et l’acide acétique.
Comme vous le voyez, ce test, presque aussi précoce que les cristallisations sensibles, autorise donc un dépistage extrêmement fiable de l’engagement d’un processus pathologique puisqu’il permet :
→ de visualiser la cause et le développement des maladies à travers la structure des protéines du sang,
→ de répondre aux paramètres anormaux par un traitement naturel lui aussi testé des millions de fois de la manière la plus scientifique qui soit.
La FRED
Le système réticulo-endothélial, disséminé dans les ganglions, les amygdales, les intestins, la rate, le foie, les poumons, bref dans tout l’organisme, assure la compatibilité entre les cellules.
Et la FRED, ou Fiche Réticulo-Endothéliale Différentielle, dont le but est d’analyser le fonctionnement du système réticulo-endothélial, met les blocages éventuels de celui-ci en évidence, permettant ainsi de suspecter une pathologie.
Quatre tests annoncent l’imminence pratiquement certaine de la pathologie.
Ils concernent :
→ les muco-polysaccharides,
→ la réaction à l’acétate de cuivre acidifié,
→ l’indice des euglobulines à pH 4,77,
→ le coefficient d’immunité.
Dans le détail :
→ Le dosage des muco-polysaccharides reflète une inflammation cellulaire qui peut être due à des cellules cancéreuses, à moins qu’il s’agisse d’une inflammation conjonctive.
→ La réaction à l’acétate de cuivre peut témoigner d’une évolution tumorale, mais aussi d’un déséquilibre lipidique comme c’est le cas dans le diabète, l’hépatite ou l’alcoolisme.
→ L’indice des euglobulines révèle une insuffisance fonctionnelle du système réticulo-endothélial, ou encore des allergies tissulaires, inflammations, polymitoses évolutives, etc.
→ Le coefficient d’immunité cellulaire indique la vitalité de la réponse immunitaire. Il peut être influencé négativement par le stress, les dysfonctionnements hépatiques et intestinaux, les chocs opératoires, la chimiothérapie et la corticothérapie.
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Article très intéressant mais quel thérapeuthe en Bretagne notamment pour les prescrires ?