
Avant de vous dire dans quel ordre, et comment choisir les compléments et sources alimentaires listés plus bas, je vous propose de décortiquer les dizaines de molécules, parmi lesquelles flavonoïdes, polyphénols et alcaloïdes, recensées par une étude chinoise majeure impliquant plusieurs hôpitaux, centres hospitaliers, Universités de médecine chinoise et laboratoires gouvernementaux. (1)
Du jamais vu, à aucune époque, dans aucun gouvernement occidental.
Pendant que les systèmes européens martèlent des campagnes pour le cancer du sein au moindre symptôme, cette large collaboration chinoise d’envergure nationale montre une volonté scientifique de sortir des hormonothérapies, chimiothérapies, radiothérapies, et autres voies dangereusement agressives.
Je vous en propose une rapide lecture personnelle, qui, loin d’être un protocole anti-cancer destiné à remplacer les conseils de votre naturothérapeute, aura le mérite de vous informer plus en détails sur le sujet.
Par ailleurs, afin d’être sûr que vous puissiez avoir accès à des formes vitales, saines et efficaces, prenant soin de ne pas vous empoisonner autant qu’elles pourraient vous soigner, j’y encadre et adapte pour vous une sélection appropriée.
1/ Les flavonoïdes
Bien que les flavonoïdes soient connus pour leurs effets anti-bactériens, anti-oxydants, anti allergiques et anti-inflammatoires, ils le sont moins pour leur action analogique avec les œstrogènes.
Faculté s’avérant fort intéressante pour lutter contre le cancer du sein, mais également contre les maladies cardiaques, l’ostéoporose, et le cancer de la prostate.
Voici donc les principaux flavonoïdes agissant contre le cancer du sein, et leurs mécanismes moléculaires :
⇒ Différents types de quercétine
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose des cellules cancéreuses, inhibe les tumeurs et évite la métastase.
⊕ Mécanismes :
En agissant sur le p53, surnommée gardienne du génome, jouant un rôle clé dans l’autophagie, l’apoptose et la régulation cellulaire. Mais aussi sur le BAX, un régulateur de l’apoptose, la bêta-caténine, protéine agissant sur la transcription des gènes, la cadhérine E, marquant le taux sanguin tumoral, ainsi qu’en inhibant les récepteurs VEGF, déterminant les facteurs de croissance endothéliale vasculaire. (2,3,4)
Ainsi que quelques autres mécanismes clés que vous retrouverez dans l’étude citée plus haut.
⊕ Remèdes :
- La taxifoline (5), aussi connue sous le nom d’hydroxyquercétine, est une des formes de quercétine ayant montré les meilleurs résultats lors de recherches approfondies sur le cancer du sein. Par ailleurs, sa capacité à réparer la microcirculation et à empêcher le développement de micro-veines et nouveaux réseaux veineux, est particulièrement adaptée à la sphère mammaire.
- Le neem, issu directement d’une feuille provenant d’un arbre endémique d’Inde, fait lui-même partie des remèdes majeurs de l’Ayurveda. La poudre de neem est la source végétale la plus riche en quercétine naturelle qui soit au monde. En tentant de vous procurer de la quercétine directement vous risqueriez d’être confrontés à des poudres synthétiques et des additifs trans et nanoparticulaires, tandis que la quercétine présente dans le neem a été forgée par la nature.
⇒ La lutéoline
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose des cellules cancéreuses, inhibe les tumeurs, évite la métastase et réduit l’inflammation.
⊕ Mécanismes :
En agissant sur TNF-α, ou facteur de nécrose tumorale, régulant le taux de cytokines inflammatoires Interleukine 6, régulant la NF-KB, protéine impliquée dans la réponse immunitaire et le stress cellulaire. Mais augmentant aussi la NQO1, impliquée dans les mécanismes de défense cellulaire, et le Bax/Bcl-2, un gène similaire au BAX, déterminant l’apoptose des cellules cancéreuses. (6,7,8,9,10,11,12)
⊕ Sources :
Les principales sources naturelle de lutéoline, à ne pas confondre avec la lutéine, sont :
- l’huile de perilla
- principalement la camomille
- le thym
- le romarin
- l’origan
- et la menthe poivrée.
Or, ce qui est particulièrement intéressant dans ce domaine, c’est que vous en trouverez sous forme très concentrée dans les huiles essentielles.
Les HE offrant le double avantage de pouvoir être massées localement pour certaines d’entre elles, décongestionnant la zone et évitant de passer par le foie, et consommées par voie interne pour agir plus directement au niveau sanguin si elles empruntent la voie hépatique.
Il sera donc facile de consommer sous différentes formes :
- Tisanes de thym et huile essentielle par voie interne, à ne surtout pas masser en HE.
- Idem pour la camomille, le romarin et l’origan.
- Et pour la menthe poivrée, appliquée en massages et diluée dans une huile de chanvre avec 1/3 d’huile de périlla, mais aussi par voie interne, et en infusions.
- Huile de périlla avec salades de type crétois.
Cependant, il existe aussi une plante chinoise fort intéressante, dont nous aurons l’occasion de reparler.
⇒ La Puérarine :
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose des cellules cancéreuses, inhibe les tumeurs et réduit l’inflammation.
⊕ Mécanismes :
Agit sur la p65, participant à la voie de signalisation inflammatoire, l’IκBα, en masquant le facteur de stress cellulaire du NF-κB afin de garantir l’apoptose des cellules cancéreuses. (13,14)
⊕ Remèdes :
La puérarine est assez rare dans le règne végétal, cependant elle existe en bonne concentration dans le Kudzu japonais.
⇒ L’Apigénine :
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose et l’arrêt du cycle cellulaire, permettant d’inhiber la prolifération et le stress oxydatif.
⊕ Mécanismes :
En inhibant certaines facultés de la cyclin A, une protéine pouvant favoriser la duplication des cellules malignes. Activant la Cyclin B, qui permet d’induire la dégradation des cellules cancéreuses. La protéine CDK11, participant à la régulation cellulaire. Les CCL2, s’appuyant sur plusieurs fonctions immunitaires. Ainsi que de nombreuses autres protéines et molécules vues plus haut avec la lutéoline et la quercétine. (15,16,17,18)
⊕ Remèdes :
Les sources principales d’apigénine se trouvent dans :
- la camomille une fois de plus
- le persil
- le céleri
- le thym
- l’origan
- le basilic
- l’artichaut
- le pissenlit
- le thé vert
- et enfin le pamplemousse ou le citron, ainsi que certains autres agrumes, bien qu’en quantités moindres.
Ce qui vous permet de mettre en place différentes approches allant des tisanes, décoctions, infusions, aux huiles essentielles et phytothérapiques.
Par exemple :
- HE et infusion de camomille
- Jus à l’extracteur comprenant persil, céleri, et citron ou pamplemousse, voire origan ou basilic, en fonction des goûts.
- Les HE d’origan, de thym et de basilic par voie interne
- L’artichaut et le pissenlit en phytothérapie, mais aussi, régulièrement, dans l’alimentation.
- Le thé vert ou le matcha, pour ponctuer la journée.
- Et le pamplemousse, citron et autres agrumes en jus frais régulièrement.
⇒ L’Isoliquiritigénine :
⊕ Fonctions :
Apoptose et inhibition de la prolifération, arrêt du cycle des cellules.
⊕ Mécanismes :
Agit sur la protéine CDK11, participant à la régulation cellulaire. inhibe les récepteurs VEGF, déterminant les facteurs de croissance endothéliale vasculaire. Favorise la production de collagène par l’activation de la MMP2, la matrice metalloprotéinase-2. Tout comme l’activation de la MMP9 agissant comme la 2, donc en favorisant doublement la production de collagène. Ou encore en agissant sur la MTOR, régulant la prolifération cellulaire. (19,20)
⊕ Remède :
L’isoliquiritigénine se trouve essentiellement dans la réglisse. Par conséquent il sera bon d’employer :
- Des bâtons de réglisse biologiques, que l’on pourra mâcher, râper pour les infusions et décoctions, dont le jus pourra aussi servir à confectionner des soins externes.
⇒ Toutes les formes de curcumines, sauf celle de Java :
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose et inhibe la prolifération et la métastase.
⊕ Mécanismes :
Masque le facteur de stress cellulaire du NF-κB afin de garantir l’apoptose des cellules cancéreuses. Agit sur la p65, participant à la voie de signalisation inflammatoire. Agissant sur les protéines codantes comme la Cyclin D1. Déclenchant la capsage 3 et 9, jouant un rôle central dans l’apoptose des cellules. Ainsi que les gènes BAX et Bcl-2, induisant l’apoptose des cellules cancéreuses. (21,22,23)
⊕ Remède :
La curcumine peut se trouver sous forme de complément alimentaire concentré, de lait d’or, ou encore de poudre de curcuma cru. Notez cependant qu’il est impératif dans ce cas de l’associer au poivre noir, ajoutant lui-même des vertus importantes contre le cancer du sein.
2/ Les polyphénols
⇒ Le Kaempferol :
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose et l’arrêt du cycle des cellules tout en inhibant la métastase.
⊕ Mécanismes :
Induisant la capsage 3, jouant un rôle central dans l’apoptose des cellules cancéreuses. En bloquant le récepteur d’oestrogènes alpha ou ERa et en inhibant la surpression de l’enzyme PARP, cruciale dans les cancers liés aux réactions hormonales. Ainsi que les gènes BAX et Bcl-2, induisant l’apoptose des cellules cancéreuses. (24,25,26,27,28)
⊕ Remèdes :
L’extrait de Ginkgo Biloba, le Moringa.
⇒ Le Cyanidine-3-glucoside :
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose et l’arrêt du cycle des cellules tout en inhibant métastases et prolifération des tumeurs.
⊕ Mécanismes :
Relativement similaires à ceux de l’isoliquiritigénine, mis à part son action sur la PI3K/Ak, cruciale dans l’appui de la non prolifération des cellules cancéreuses. (29,30,31,32,33,34)
⊕ Remèdes :
Largement contenue dans les baies, la cyanidine est typique des fruits rouges tels que :
- cerises
- myrtilles
- framboises
- mais également raisins
- et aussi betterave.
C’est la saison des fruits rouges, alors profitez-en pour en consommer à toutes les sauces et à tous les jus. Jus de cerises, myrtilles, framboises, mais aussi en phytothérapiques, salades et vinaigres.
⇒ La Pentamethoxystilbene
Agissant, bien que par d’autres mécanismes, de la même manière que le Cyanidine-3-glucoside.
Se trouve principalement dans la myrtille, mais aussi dans une certaine mesure dans le raisin, la cacahuète, la rhubarbe, et les fruits rouges en général.
Est considérée comme mieux assimilable et, par ce fait, plus antioxydante que le resvératrol.
⇒ Le Resvératrol
Bien que moins assimilable que sa cousine la pentamethoxystilbene, le resvératrol a l’avantage de pouvoir facilement se trouver en forte concentration.
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose des cellules cancéreuses et inhibe leur prolifération.
⊕ Mécanismes :
Active l’AMPK, régulant l’équilibre énergétique et métabolique en agissant sur les phosphodiesterases ou PDE. Mais également du cAMP, Era et VEGF. (35,36,37,38,39,40)
⊕ Remèdes :
- Extraits de résevératrol
- Raisins rouges
- Vins rouges biodynamiques, avec beaucoup de modération.
Et avant de passer aux alcaloïdes, j’ajouterais ici la Phycocyanine, déjà étudiée pour lutter contre le cancer, réinformer l’immunité, lutter contre les radicaux libres, fournir de l’énergie, ainsi que différents autres mécanismes que vous trouverez dans cette section consacrée à ses différentes études. (41)
Ainsi que le pollen de Ciste frais, et la propolis brute à insaliver.
3/ Les alcaloïdes
⇒ La Pipérine :
⊕ Fonctions :
Induit l’apoptose des cellules cancéreuses et inhibe leur prolifération.
⊕ Mécanismes :
Induit la dégradation des cellules cancéreuses par l’activation de la Cyclin B. Régule la prolifération cellulaire par l’action de la CDK1. (42,43,44,45)
⊕ Remèdes :
Poivre noir avec du curcuma dans l’alimentation, et en infusions.
À noter également la Berbérine, dont nous aurons l’occasion de parler prochainement plus en détails étant donné la complexité de son utilisation.
Et j’ajouterais personnellement aux alcaloïdes, le thé de cosses de cacao cru ancien, ou husk tea, contenant de remarquables alcaloïdes se rapprochant de la pipérine, dont les effets anti-cancers ont été repérés. Ainsi que la Bromélaïne, pour sa capacité à dégrader les cellules cancéreuses et tumeurs. (46)
Bien que cette molécule additionnelle n’appartienne à aucune de ces familles, les auteurs de cette étude mentionnent également le tryptophane avec enthousiasme.
Les aliments à éviter
Bien évidemment, à moins que vous n’ayez une vie parfaitement saine et renseignée sur les activateurs du cancer du sein, ces conseils ne pourront aller sans quelques restrictions alimentaires.
Ainsi, il est conseillé d’éviter tout type d’aliments contenant des œstrogènes.
Dont, par exemple :
- soja et lait de soja
- fruits secs
- graines de sésame
- haricots
- germe de luzerne
- tofu
- pois chiches
- graines de lin
- noix
- brocoli
- thé vert
- fraises
- chou
- miso
- tempeh
- amandes…
Mais aussi le lait de vache et les produits laitiers crémeux en général, ainsi que les aliments trop gras et difficiles à digérer.
Abolir à tout prix les aliments trans, industriels et transformés.
Remplacer le café par le husk tea ou thé de cosses de cacao ancien.
Limiter les huiles végétales aux plus saines et ne jamais les utiliser en friture.
Ne pas consommer d’alcool, ou très peu et uniquement d’excellente qualité, ni de drogues affaiblissant l’immunité.
Comment optimiser la synergie au quotidien ?
Opter pour un régime de santé tendance cru et méditerranéen, incluant des jus à l’extracteur et des salades fraîches.
Commencer la journée par :
- 1 gélule de Taxifoline
- l’équivalent de 2 gélules de Neem, soit 1/2 cuillère à café
- 1 cuillère à soupe de Phycocyanine dosée à 37g par litre
- 1 gélule de Curcumine + Poivre noir
- 1/2 cuillère à café de propolis de grille brute, mélangée à une cuillère à soupe de pollen frais de ciste avant d’entamer la collation.
Pour remplacer les excitants et ajouter une dose d’alcaloïdes, vous pouvez opter pour une à deux cuillères à café de husk tea dans une tasse d’eau chaude.
Alternativement, vous pouvez prendre une tisane de thym avec la collation, que vous pourrez varier avec une infusion de menthe.
Pour la collation favoriser :
Cerises, myrtilles, framboises, grenades, tomates et citron. Alternativement, vous pourrez changer de diététique avec une fêta bien sèche, des œufs, des olives bio et une huile de périlla et/ou de chanvre de première qualité et, de temps en temps, une huile d’olive non filtrée.
Après la digestion et avant le déjeuner, prendre :
- 1/2 cuillère à café de Neem
- 1 gélule de Bromélaïne
- 1 gélule de Curcumine + Poivre noir
- 1 cuillère à café ou 4 gélules de Moringa, ou alternativement, 15 gouttes d’extrait de Ginkgo Biloba dans un verre d’eau.
Pour le déjeuner favoriser :
Raisins rouges, artichaut, tomates, huile de périlla, thym, romarin, céleri, origan. Plantes que vous pouvez également utiliser en huiles essentielles mélangées à vos salades, sauces et préparations diverses. Tout en prenant soin de doser chaque huile avec grande parcimonie.
Et pour le dessert, les fruits rouges vus plus haut en smoothie par exemple, avec un peu d’huile de périlla, une cuillère à café de spiruline et du lait végétal d’épeautre.
Si vous avez besoin d’une alimentation vous tenant davantage au corps tout en étant anti-cancer, opterez pour du riz complet, du sarrasin, et des châtaignes. Les prunes Umebosi pourront également gagner à remplacer le sel.
Afin de digérer de manière optimale tout en continuant à vous nourrir, vous pouvez opter pour :
- 2 cuillères à café de husk tea dans une grande tasse d’eau chaude.
Après la digestion et avant le repas du soir :
Commencez par une infusion de camomille ou un husk tea.
Puis :
- 1 gélule de Taxifoline. En observant une dizaine de minutes pour l’absorption.
- 1 gélule de Curcumine + Poivre noir
- 1 gélule de Bromélaïne
- 1/2 cuillère à café ou 2 gélules de Moringa
- Ensuite mâchez un bâton de réglisse pour vous ouvrir l’appétit.
- Afin de diversifier les saveurs, vous pouvez l’alterner avec une petite cuillère de Phycocyanine.
Pour le repas du soir :
Soit vous optez pour la stratégie légère, en vous concentrant sur des fruits et légumes, soit, selon votre tempérament, il vous faudra des aliments plus consistants.
La forme légère étant probablement la plus sûre pour assimiler idéalement les remèdes du soir.
Au choix : Artichaut, céleri cru et un peu de roquefort, pain complet à l’huile d’olive, ou encore pâtes complètes, ou pâtes de chanvre, ou pâtes de petit épeautre aux herbes : origan, basilic et ail. Ou encore, pour la version la plus légère, soupe froide au céleri, framboise, basilic et huile de périlla.
Avec, pour finir, une infusion de camomille calmante et aidant la digestion.
Cependant, bien que dans ce cas il soit important que vous consommiez de la camomille chaque jour, vous pouvez tout aussi bien troquer l’infusion contre un extrait de plante fraîche, et opter pour des infusions de réglisse, encore plus digestives.
Après la digestion et avant le sommeil :
- 2 gélules de Tryptophane issu de fermentation végétale, à prendre quelques minutes avant les autres pour une meilleure assimilation, puis :
- 1 gélule de Taxifoline
- 1 gélule de Curcumine + Poivre noir
- 1/2 cuillère à café ou 2 gélules de Moringa
- 1 gélule de Neem
Complétez cela par une infusion de camomille ou éventuellement un lait d’or, en vous détendant totalement avant de vous endormir.
À prolonger en longues cures tout en pratiquant des analyses déterminant la régression, stagnation, ou prolifération.
Ces analyses vous permettront notamment d’adapter et de doser plus ou moins finement les remèdes que vous aurez décidé d’adopter.
À cela, vous pouvez prendre l’habitude d’ajouter de l’extrait de pépins de pamplemousse, un antibiotique naturel, évitant d’avoir recours à des molécules chimiques risquant de ruiner votre équilibre énergétique ainsi que l’action de vos remèdes.
Les Huiles Essentielles
Le grand avantage des huiles essentielles étant qu’elles peuvent apporter les molécules désirées sans passer par des formes risquant de perturber l’équilibre hormonal, tout en agissant par le biais de massages calmant la zone de l’extérieur et la réconciliant avec le corps.
Les huiles de massage :
- 2 gouttes d’HE de citron ou pamplemousse, 2 gouttes de menthe poivrée, 1 goutte de camomille et 1 goutte de basilic, à utiliser conjointement ou en séparant les agrumes des autres huiles. Diluées dans une cuillère à soupe contenant 1/3 d’huile de périlla et 2/3 d’huile de chanvre.
Masser trois fois par jour, au réveil, avant le déjeuner et avant le coucher. Ne pas s’exposer au soleil après l’application.
Les HE en consommation interne :
Le matin à jeun, avant tout autre remède et sans rien prendre d’autre jusqu’à ce que vous sentiez le reflux de la digestion de l’HE dans votre gorge, soit quinze à vingt minutes avant vos autres remèdes, il pourra être opportun de prendre le mélange suivant :
- 1 goutte d’HE d’origan
- 1 goutte d’HE de basilic
- 1 goutte d’HE de menthe poivrée
- 1 goutte d’HE de camomille romaine
- dans une cuillère à soupe d’huile végétale de périlla.
À répéter trois fois par jour quinze à vingt minutes avant les remèdes, eux-mêmes pris avant les repas.
Veillez à observer deux semaines de pause tous les deux mois de cure concernant la prise interne d’huiles essentielles.
Les versions phytothérapiques des plantes et fruits ou bourgeons concernés peuvent, s’il fallait augmenter leurs actions, être trouvées en phytothérapie.
Nous développerons prochainement certains remèdes complémentaires demandant davantage de recherches.
En parallèle, une gymnastique énergétique comme les Qi Gong ou le Yoga traditionnel sera du meilleur effet.
Les dosages et les remèdes ici présentés, ne sont bien évidemment qu’un exemple de ce que je considère personnellement comme une synergie, douce mais puissante, combinant tant les effets de destruction de la cellule cancéreuse que l’inhibition de sa prolifération ou la réparation des tissus.
Tout, avant de devenir un protocole personnalisé, pourra, et devra s’adapter en fonction de facteurs propres à chacun, comme le terrain, l’âge, le poids, les habitudes alimentaires, les antécédents, et ainsi de suite.
Ce qui ne vous empêche bien évidemment pas de les utiliser en prévention, soins et accompagnement auto-éclairé par votre conscience.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
Sources et références :
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0009
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0011
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0169
- https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31260685/
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0023
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0074
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0142
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0160
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0172
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0197
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0225
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0019
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0114
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0121
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0145
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0163
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0196
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0108
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0191
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0159
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0217
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0050
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- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0120
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- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0171
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0025
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0087
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0088
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0093
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- https://www.reponsesbio.com/?s=phycocyanine
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0061
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0156
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0178
- https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0944711324002654#bib0183
- https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1773224724009122
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