Les médecines du futur seront-elles énergétiques ?

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médecine énergétique de ré-information vibratoire : conférence gratuite

Bien qu’ayant été développées largement avant la médecine allopathique conventionnelle, les médecines énergétiques, dont les médecines chinoise, tibétaine, ayurvédique, ou encore l’homéopathie, donnent aujourd’hui lieu à des adaptations modernes qui pourraient bien constituer l’une des plus étonnantes médecines du futur.

Toutefois pour apprécier à leur juste valeur ces développements que les outils de mesure actuels sont incapables d’observer, il est crucial de bien comprendre l’approche énergétique de la santé.

Ne vous en déplaise, l’homéopathie est bien une médecine énergétique de terrain basée sur le principe du similia similibus curantur (le même guérit le même).

Elle n’établit pas de frontière entre les symptômes physiques et psychiques mais prend en compte les différentes constitutions.

Or, surprise qui n’en est pas une : cette homéopathie a de nombreux points communs avec les médecines traditionnelles et notamment les médecines tibétaine, chinoise et ayurvédique.

Mais commençons par disséquer le modus operandi de l’homéopathie.

Comment fonctionne l’homéopathie ?

On sait que l’homéopathie, grâce aux dilutions et dynamisations successives de diverses préparations médicinales, offre un médicament ne contenant pratiquement rien d’autre… que le message énergétique de la substance en question.

Nous sommes donc bien dans le cadre d’une médecine énergétique, en tous points comparable aux techniques asiatiques classiques comme l’acupuncture, l’acupression, le Qi Gong thérapeutique, etc.

Pour obtenir une dilution, il est nécessaire de mettre au point les préparations homéopathiques habituelles à partir d’une substance active (souche végétale, animale, minérale…) et d’un solvant (eau, alcool, sucre, etc.).

On mélangera d’abord une part de substance active, en général une teinture mère, avec 99 parts de solvant.

Puis on secouera vigoureusement le mélange en lui faisant parcourir une boucle sous forme de 8 : c’est le stade de dynamisation, sans lequel le médicament ne serait pas efficace.

On obtient alors une dilution de 1 CH (centésimale hahnemannienne).

Il sera ensuite nécessaire de prélever une part de ce mélange, que l’on ajoutera à 99 parts de solvant qui après dynamisation, permettront d’obtenir une dilution à 2 CH… et ainsi de suite.

En toute logique, plus le chiffre sera petit plus la dilution sera basse et plus le chiffre sera grand plus la dilution sera élevée.

Sachant qu’en France les dilutions hahnemaniennes sont limitées à 30 CH.

Cependant en plus de la dilution hahnemannienne (DH), il existe d’autres types de dilutions dont par exemple la dilution korsakovienne (K) ou hautes dynamisations, permettant d’aller bien au-delà des 30CH.

La différence fondamentale étant que les dilutions korsakoviennes agissent plus particulièrement sur l’aspect énergétique que les dilutions hahnemaniennes.

Toujours est-il qu’après un certain nombre de dilutions, la substance initiale n’est plus qu’une goutte d’eau dans l’océan.

Substance dont l’extrême petitesse ne sera même plus visible au microscope.

Et c’est précisément ce qui enflamme les détracteurs de l’homéopathie pour lesquels ce qui est invisible au microscope, ne peut constituer une réalité objective.

Pourtant, est-il envisageable qu’une science ayant près de 200 ans d’existence puisse encore se pratiquer sans que des résultats tangibles ne soient vérifiés quotidiennement par ses utilisateurs ?

L’effet placebo est-il plus présent dans l’homéopathie que dans la médecine conventionnelle ?

On entend souvent dire par ceux ne connaissant pas vraiment l’homéopathie que si elle fonctionne, c’est uniquement sur le principe de l’effet placebo.

Mais si celui-ci est effectivement une réalité, concernant d’ailleurs l’ensemble de la pratique médicale, allopathie inclue, quantité d’études ont démontré que cet effet ne concerne que 35% de la prise de médications.

Il n’y a donc aucune raison pour que ce pourcentage soit supérieur dans la pratique homéopathique.

Et puisque les statistiques prouvent qu’elle offre des résultats supérieurs à ces 35%, prétendre que l’effet placebo puisse concerner 100% des utilisateurs est un raccourci totalement subjectif.

Ce qui montre bien que la différence existant entre un remède basé sur un composé moléculaire, agissant sur le plan physico-chimique, et un remède agissant essentiellement sur le plan vibratoire, n’empêche ni l’un ni l’autre d’avoir un impact thérapeutique, hors placebo.

En revanche, le choix de la dilution appropriée est relativement différent en fonction des écoles.

  Les basses dilutions sont prescrites pour les troubles aigus et ponctuels et leur prise sera limitée dans le temps. 

  Tandis que les hautes dilutions sont prescrites pour les cas chroniques et leur prise s’étalera sur une durée plus ou moins longue.

Toutefois ce n’est qu’en travaillant avec les hautes dilutions que l’on pourra agir sur les aspects subtils du corps, que la médecine allopathique est justement bien incapable de soigner.

Plus étonnant encore, à ces niveaux de dilution l’information du remède peut être rendue disponible par un simple contact avec la peau, sans la moindre ingestion de granules.

Mais cette « homéopathie de contact » ne commencera à donner des résultats qu’en étant maintenue plusieurs heures sur la peau, de préférence près d’un méridien (médecine chinoise) ou d’un chakra (médecine indienne) correspondant au réseau énergétique concerné.

L’homéopathie est-elle la seule médecine énergétique occidentale ?

Depuis le début du XXème siècle est apparue une nouvelle technique d’encodage permettant de créer n’importe quelle dilution homéopathique à partir d’un témoin physique ou d’un code vibratoire.

Cette technique semble révolutionnaire dans la mesure où elle abolit absolument toutes les limites de conversion d’une substance en remède. 

Développé en Angleterre, de nombreux homéopathes et praticiens de santé naturelle se forment à l’utilisation de cet outil technologique offrant de fascinantes perspectives.

Ainsi, si l’homéopathie à proprement parler se réfère à un catalogue de souches très précis, cet appareil inclut non seulement les mêmes souches, mais permet aussi d’aller plus loin en encodant potentiellement n’importe quelle empreinte vibratoire.

S’approchant bien plus de l’homéopathie korsakovienne qu’hannemanienne, cette méthode transmet l’information d’une substance donnée à un support conducteur comme par exemple de l’eau.

Néanmoins la comparaison avec l’homéopathie s’arrête là, puisque la dilution obtenue ne contiendra absolument pas la moindre trace de la substance donnée, même infinitésimale, allant une fois de plus au-delà de ce que l’on peut observer par le biais de la science actuelle.

Si, par exemple, la physique quantique reconnaît qu’un tel transfert d’information est plausible, aux yeux de la physique conventionnelle rien ne se produit.

Or, puisque ce n’est évidemment pas la première fois que des chercheurs incompris en leur temps repoussent les limites du connu, on citera notamment Jean Pagot et Marcel Violet, Georges Lakhovsky, Rudolf Steiner, Nikola Tesla et même Albert Einstein ou Isaac Newton, Réponses Bio a décidé d’ouvrir ses portes aux perspectives de cette méthode de ré-information vibratoire, afin qu’elle puisse voir le jour en francophonie.

 Jean-Baptiste Loin 

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