Un des principaux poisons de l’alimentation moderne, le sucre, devrait être définitivement banni par toute personne soucieuse de sa santé.
Mais la carence en glucides est tout aussi désastreuse que l’excès.
Il faut donc le remplacer !
Mais par quoi ?
Ce sucre omniprésent dans les boissons industrielles, les bonbons, les pâtisseries, les desserts, les glaces, les yaourts et même dans de nombreuses préparations culinaires où il ne devrait rien avoir à faire, ce sucre que l’on donne en récompense aux enfants, les conditionnant ainsi violemment à le survaloriser, ce sucre qui, avec l’alcool, accompagne obligatoirement toute fête mais qui vient aussi systématiquement compenser tout échec, toute peine, toute déception, tout stress, ce sucre est non seulement un poison mais une véritable drogue !
Dans les premières années de la vie, il commence son travail dévastateur en surexcitant le système nerveux de l’enfant qui devient excessivement agité, irritable, pleurnichard, colérique, intenable…
De plus, attaquant déjà le pancréas, il est très tôt responsable de toutes les baisses brutales d’énergie et en particulier du fameux coup de pompe de onze heures.
Plus tard, à l’âge adulte, puissamment secondé par l’alcool dont il a d’ailleurs largement contribué à initier la consommation, outre les divers troubles digestifs qu’il favorise, il installe dans l’organisme un état quasi constant d’hyperinsulinisme.
Or, c’est précisément cet hyperinsulinisme qui entraînera de dangereux stockages de graisses, voire une obésité avérée, souvent suivis de diabète et de différentes complications, physiologiques et psychologiques.
Enfin, lentement mais sûrement, le sucre s’instaurera comme premier aliment de la cellule cancéreuse, se rendant ainsi responsable de la mort de l’individu qu’il aura torturé, de l’intérieur, durant toute son existence.
Si l’on parle à juste titre des méfaits du tabac et de l’alcool, il est indéniable qu’il faudrait, de la même manière, élever le sucre au rang des plus grands ennemis alimentaires de l’humanité !
Les solutions classiques
Sans pour autant souffrir de baisse d’énergie, il est fort heureusement possible de se passer de ce poison… tout simplement en :
→ préférant les glucides lents (céréales complètes) aux sucres rapides ;
→ privilégiant habituellement les aliments à index glycémique faible ou moyen (exemple: orange ou les lentilles) aux index élevés (pain blanc, sucre, etc.) ;
→ accompagnant toujours les aliments à index élevé, ou même moyen, d’un ralentisseur d’assimilation glucidique, comme le son d’avoine ;
→ sucrant avec des édulcorants moins dangereux que le sucre blanc, comme le sucre roux, le miel ou le sirop d’érable tant qu’il n’y a pas diabète ; ou le fructose, les sucres de céréales ou les fructo-oligosaccharides lorsque la santé commence à décliner.
Ainsi, en adoptant ces règles classiques de diététique anti-diabète et anti-hyperinsulinisme, on maintient un taux de glucide constant et suffisant dans le sang et, par conséquent, dans les muscles et dans le cerveau qui en a tant besoin.
Une nouveauté, le melon d’Inde
A ces mesures de base vient s’ajouter un complément alimentaire très intéressant qui, à lui seul, assure plusieurs fonctions anti-hyperglycémie : le melon d’Inde.
Cultivé dans les zones tropicales d’Asie, d’Inde et d’Amérique du Sud comme aliment et produit de santé de très longue tradition, le melon d’Inde, de la famille des cucurbitacées, se situe à mi-chemin entre la courge oblongue et le concombre.
Ce fruit est utilisé de longue date dans les plats traditionnels, tant en Asie, qu’en Amazonie, aux Caraïbes et dans la plupart des DOMTOM pour sa saveur particulière.
Il tient également une part importante dans l’alimentation des habitants de l’île d’Okinawa au Japon où, même si ce n’est pas le seul facteur de santé, la population est l’une de celles du globe qui compte le plus de centenaires en bonne santé.
Mais le melon d’Inde bénéficie également d’une longue histoire d’utilisation par les chamanes d’Amazonie et du Pérou, ainsi que par les tradipraticiens d’Inde, comme en témoignent les ouvrages concernant la nutrition dans l’Ayurvéda.
Rien d’étonnant à tout cela, puisqu’il contient un grand nombre de nutriments et de micro nutriments, notamment des principes amers, des triterpènes, des saponines, des protéines, des enzymes, des minéraux, des polysaccharides, etc.
Ses saponines et peptides, mais aussi les extraits totaux de sa pulpe, ont fait l’objet d’un grand nombre d’études in vivo.
Ainsi a-t-on notamment démontré que ces nutriments participent naturellement à la bonne assimilation du glucose dans les cellules afin que celui-ci ne reste pas inutilisé et en excès dans le sang.
Le melon d’Inde optimise donc la tolérance au glucose face aux excès alimentaires en sucreries.
Il fait d’ailleurs partie de ces aliments amers qui ont été consommés de tout temps dans de nombreuses traditions pour contrebalancer les excès de sucres.
C’est pourquoi on le retrouve dans la préparation de sauces aigre douces, de caris indiens, de potages chinois, etc.
C’est la pulpe du fruit, sans les graines, que l’on utilise en alimentation ou dans la préparation de compléments alimentaires, concentrant ainsi l’ensemble de ses principes amers et de ses autres nutriments disponibles.
A noter que les laboratoires Holistica proposent un extrait total de pulpe de melon d’Inde, sous forme de capsules et sous le nom de « Glucolistica ».
Garanti en principes amers titrés à un minimum de 5,5%, cet excellent produit convient parfaitement en supplémentation nutritionnelle à ceux dont l’alimentation est trop riche en sucres raffinés ou sujets à des grignotages intempestifs dont ils souhaiteraient se déshabituer pour un meilleur bien-être physiologique général.
Jan Kristiansen
on nous annonce, la bouche en coeur, qu’il va y avoir de plus en plus de diabétiques en disant que ce sont les maladies de la civilisation, comme si c’était normal qu’une civilisation génère des maladies et on autorise les industriels de l’agro à bourrer les aliments de sucre ; chez l’erreur !