Gotu Kola : L’autre Brahmi

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Votre bouclier évolutif pour le cerveau, le cœur, les poumons et la sphère gynécologique

L’une des conséquences les plus dramatiques et lancinantes de ces trois dernières années, mais aussi la plus triste si l’on considère la détresse dans laquelle elle plonge les personnes affectées, se répand dans l’ombre, semblant pétrifier tant d’esprits vers un déclin global des facultés cognitives. 

Une perte de vivacité de l’esprit, de la critique et de l’auto-critique, une aphasie chronique se muant en acceptation du pire, de l’échec, de la défaillance, une évaporation systématique de la confiance en soi.

Profitant de cette opportunité parfaitement synchronisée par la confusion entretenue avec une censure médiatique sans précédent, les labos aimeraient vous faire croire qu’il n’existe d’autre solution que les camisoles chimiques, un abonnement à vie aux médicaments avec leurs lots d’effets secondaires incontournables, de dommages collatéraux aussi imprévisibles que mortels…

Une ambiance cherchant à vous baigner dans une confusion telle que vous pourriez accepter l’inacceptable, vous sentir démuni(e) devant le moindre doute. 

Être amené(e) à oublier votre capacité naturelle à vous souvenir des connaissances enfouies dans notre expérience collective, comme de prendre conscience des dérives politico-scientifiques tentant de conditionner la réalité. 

C’est pourquoi il est fort intéressant de pouvoir assister aussi largement à l’étude d’un remède ayant pu réconcilier de longues générations d’investigations scientifiques, avec son utilisation séculaire. 

Quand la science lève la tête vers la connaissance des Anciens

Comme ils devaient être sages ceux qui, pour la première fois, comprirent les interactions des plantes avec la santé humaine. 

Sans microscope, sans scalpel, sans même un intérêt particulier pour la rationalisme, ils ont intégré bien plus finement et justement que le plus abouti des scientifiques modernes ne sera jamais en mesure de le faire, la manière dont la nature résonne en nous.

Or, si en général, et selon les latitudes et les particularités endémiques de chaque espèce, ces sages fragmentèrent souvent leurs connaissances en fonction des traditions et cultures… 

Fait tout aussi inconcevable que l’existence des pyramides, le Centella asiatica pour la pharmacopée chinoise ou Gotu kola pour les médecins ayurvédiques, aussi connu sous le nom de l’autre « Brahmi », fut tant étudié par les Anciens des civilisations asiatiques, que par les scientifiques modernes les plus indépendants et objectifs de leurs disciplines. 

Une étude comparative internationale majeure concernant « Le potentiel thérapeutique du Centella asiatica et ses terpènes »

Soutenue par la « Base de coopération internationale pour la prévention et le traitement des maladies chroniques par la médecine traditionnelle chinoise », cette étude, posant les fondements scientifiquement observables des vertus de Centella asiatica (1) représente une rupture sans précédent avec l’idéologie scientifique forgée par le lobby pharmaceutique depuis le siècle dernier en Occident. 

Depuis la crise du Covid vous devez savoir que les gouvernements chinois et indiens en tête, organisent des études menées par des spécialistes formés tant aux méthodes scientifiques qu’aux médecines traditionnelles. 

Médecines traditionnelles avec lesquelles ils ont eu la grande intelligence de ne pas créer de scission. 

S’alliant sans complexe aux boutiques, organes de presse et d’éditions, ouvrant une gigantesque brèche vers un commerce salvateur.

Néanmoins, si les gouvernements occidentaux n’en laissent pas rapidement le pouvoir aux naturothérapeutes et consommateurs, ceux-là pourraient bien plonger l’Europe dans une misère du tout synthétique face au commerce florissant multilatéral asiatique. 

D’ailleurs, ces récentes études sur le Gotu kola ne pouvaient mieux tomber puisque c’est un remède accessible, dont nous avons pu tester la qualité ainsi que l’innocuité pour participer à résoudre, avec l’huile essentielle de Cannabis, les processus d’inflammation cérébrale provoquant de fréquentes dégénérescences neurologiques chez les personnes atteintes de Covid long ou de conséquences post-vaccinales. 

Autre petit détail ayant son importance, cette fois la publication dont il est fait ici mention n’aura pas uniquement et unilatéralement été publiée sur le NIH – ou librairie nationale de médecine américaine – mais aussi sur Europe PMC, un nouveau centre de publications médicales européen regroupant déjà plus d’un million d’études internationales. 

Etude comparative avancée sur les vertus du Gotu kola

Menées en coopération avec des scientifiques de l’Université de Médecines Chinoises de Pékin et l’Université de Sciences Pharmaceutiques pour femmes d’Hyogo, ces recherches comparatives participent à renverser les standards de l’approche médicale moderne, réconciliant observations rigoureuses et connaissances empiriques.(1) 

Réunissant les principales vertus du Gotu kola et ses puissants triterpènes, mais aussi l’espoir qu’il représente dans le traitement de nombreuses co-pathologies, maladies endocriniennes et dégénératives, dont voici le schéma ci-dessous, suivi d’une vulgarisation scientifique et accompagné d’un résumé final : 

1-Amélioration significative des fonctions cognitives et  cérébrales

Comme vous allez pouvoir le constater au fil des études que je m’apprête à vous présenter, le Gotu kola améliore très largement les fonctions du système nerveux, ce qui lui permet d’agir directement sur la maladie d’Alzheimer (2) et Parkinson. (3)  

Jouant des rôles variés sur la pathogenèse des maladies impliquant : 

  • des activités neuro-inflammatoires (4) 
  • un stress oxydatif (5) 
  • un dysfonctionnement mitochondrial (6)
  • et un dysfonctionnement du facteur neurotrophique dérivé du cerveau (7) 

Montrant aussi que les cytokines produites par la neuro-inflammation sont étroitement liées à l’apparition de lésions neurodégénératives provenant de la maladie d’Alzheimer. (8) 

Cette même neuro-inflammation étant aussi présente dans l’évolution de la maladie de Parkinson en tant qu’élément central de la pathogenèse. (9) 

Retraçant le cheminement de l’inflammation chronique des médiateurs pro-inflammatoires induisant :

  • l’Aβ neurotoxique, 
  • la formation de plaques dans la maladie d’Alzheimer, 
  • mais aussi la neuro-dégénérescence dans la maladie de Parkinson, menant à un cercle vicieux conduisant au recrutement des cellules immunitaires du cerveau destinées à une réaction auto-immune. 

La neuro-inflammation affectant la prolifération et la maturation des cellules par le biais de cytokines pro-inflammatoires, entraînant un dysfonctionnement synaptique ainsi que la mort neuronale. (10) 

Une production accrue d’espèces réactives de l’oxygène – ROS – peut affecter directement l’activité synaptique neuronale et la neurotransmission, entraînant un dysfonctionnement cognitif galopant. 

Si dans des conditions normales, lorsque l’âge le permet, la superoxyde dismutase ou SOD, la glutathion peroxydase ou GPX et la catalase, peuvent agir comme des piégeurs de radicaux libres, régulant le niveau de ROS… l’accumulation de protéines de synthèse liée aux injections mais aussi aux virus chimériques, déclenche des mécanismes pro-inflammatoires tant dans la sphère respiratoire que cardiaque, digestive et cérébrale, amplifiant le phénomène, y compris chez les plus jeunes. 

Ainsi, Centella asiatica et ses triterpénoïdes : 

  • augmentent efficacement les activités de la SOD et du glutathion,
  • améliorent les troubles cognitifs des animaux, 
  • tout en atténuant les symptômes de maladies apparentées. (11)

Assurant la restauration du milieu mitochondrial utile à la fonction neuronale, tant dans la maladie d’Alzheimer que celle de Parkinson. (12) 

Les preuves que Centella asiatica est en mesure de réduire la production de ROS ayant été mises en évidence par les travaux de Gray et al. (13)  

Mais ce n’est pas tout, en agissant sur le facteur neurotrophique dérivé du cerveau, étroitement lié à la maintenance des neurones, à leur survie, mais aussi à la population des neurotransmetteurs, le Gotu kola assure le terrain idéal à une bonne communication synaptique. 

Ses triterpénoïdes interagissant directement sur les maladies neurologiques par la voie de signalisation de la protéine kinase activée ou MAPK. 

La voie de signalisation MAPK étant ouverte par une variété de stimuli extracellulaires, dont des facteurs de croissance, des mitogènes, des hormones, des cytokines, et le stress cellulaire oxydatif. 

Selon Lee and Kim (14) la voie de signalisation p MAPK pourrait moduler plusieurs réactions provoquées par la maladie d’Alzheimer, tels que la phosphorylation de tau, la neurotoxicité, la neuro-inflammation et le dysfonctionnement synaptique. 

Montrant un vaste champ de défenses positives contre les maladies du système nerveux, et agissant sur les maladies neurologiques en : 

  • réduisant les facteurs inflammatoires,
  • équilibrant le stress oxydatif, 
  • réparant l’expression anormale des protéines liées aux mitochondries 
  • et en améliorant la teneur en BDNF. 

Mais aussi en protégeant de l’apoptose des cellules nerveuses associées, augmentant la densité synaptique et améliorant le taux de survie des cellules neurales. (15)

2-Effets sur les maladies endocriniennes

Le Gotu kola s’avère également efficace dans le traitement des maladies endocriniennes, et en particulier le diabète de type I ou l’obésité (16), tout en devenant un candidat idéal pour le traitement des maladies osseuses ostéolytiques. (17)

Le diabète de type I, ou diabète sucré, est une forme de diabète caractérisée par une glycémie élevée, une résistance à l’insuline ainsi qu’une réponse stimulée par une insuline trop faible en présence d’une glycémie élevée. (18) 

Le stress oxydatif, principalement causé par la peroxydation lipidique, amène les scientifiques à le considérer comme le principal indicateur de la pathogenèse et du développement du diabète de type I.

Or, le stress oxydatif entraîne aussi des complications microvasculaires et macrovasculaires (19), ainsi qu’une réponse inflammatoire pouvant provoquer la survenue d’un diabète sucré par induction d’une forte résistance à l’insuline. 

La réponse inflammatoire est alors exacerbée par la présence d’hyperglycémie et peut, à son tour, aggraver le phénomène. 

C’est pourquoi Lontchi-Yimagou pense que cibler la voie de l’inflammation pourrait être une stratégie potentielle pour prévenir et contrôler ce type de diabète. (20) 

Par ailleurs, l’obésité est un facteur susceptible d’entrainer de nombreuses maladies, notamment des maladies cardiovasculaires, des maladies musculo-squelettiques et le cancer. (21) 

Sur le long terme elle provoque une inflammation chronique impliquant des organes comme le foie, le cœur, les muscles squelettiques et le cerveau. (22) 

Et l’ostéoporose, pour sa part, est une maladie du métabolisme osseux, se manifestant par une perte osseuse ainsi qu’une dégradation de la structure. 

Jusqu’à présent on pensait que les plus concernés par cette maladie étaient les personnes d’âge moyen, et les plus de 50 ans. 

Cependant on commence à comprendre que l’apparition d’ostéoporose serait justement liée à diverses pathologies endocriniennes comme le diabète, l’obésité ou des troubles de la thyroïde. (23)  

Le potentiel du Gotu kola et de ses triterpènes sur les maladies impliquant le système endocrinien, a été présenté à travers deux angles : 

1. Premièrement, l’extrait de Centella asiatica améliore le stress oxydatif, des expériences in vivo liées au diabète et à l’obésité montrant une augmentation des activités GSH, CAT et SOD, ainsi qu’une amélioration du système enzymatique antioxydant. (24)

2. Deuxièmement, d’autres résultats in vivo démontrent que le Gotu kola diminue les facteurs d’inflammation associés, réduit la glycémie et les taux de lipides sanguins (25), ainsi que la gestion de nourriture et d’eau sur la répartition du poids, suggérant une capacité à moduler l’obésité en influençant la gestion des aliments contrôlée par le système nerveux central (26), tout en inversant la prise de poids par amélioration de la sensibilité de la leptine et de l’insuline. 

Sur le plan moléculaire, il augmente le niveau d’antioxydants enzymatiques – CAT, GPx et SOD -, et inverse l’expression de CPT – et UCP – supprimés par les régimes riches en graisses, ce qui lui permet de réparer les dommages entrainés par le stress oxydatif et l’obésité tout en favorisant l’oxydation des acides gras. (27) 

En résumé, les preuves disponibles montrent clairement que l’extrait de Centella asiatica peut : 

  • abaisser la glycémie, 
  • améliorer la résistance à l’insuline,
  • inhiber la prise de poids, 
  • atténuer l’inflammation, 
  • et améliorer le stress oxydatif. 

L’indiquant pour le traitement des maladies endocriniennes telles que le diabète, l’obésité et l’ostéoporose.

3-Effets sur les maladies cardiovasculaires

Rejoignant son action sur la sphère cérébrale, le Gotu kola protège également de l’hypertension et de l’athérosclérose, faisant partie des troubles les plus fréquemment associés aux maladies cardiovasculaires.

L’hypertension artérielle pulmonaire hypoxique peut provoquer des modifications artérielles pulmonaires, dont une raideur et un rétrécissement artériels pulmonaires, ainsi que des modifications ventriculaires causées par l’hypertrophie ventriculaire et la fibrose ventriculaire, affectant la fonction ventriculaire dans son ensemble. (28)

Mettant en évidence d’une part, le rôle de l’hypertension rénovasculaire comme étant l’une des causes principales d’hypertension secondaire. 

Et d’autre part, qu’environ 90 % des cas d’hypertension sont dus à une sténose athéroscléreuse de l’artère rénale, et s’accompagnent de maladies occlusives graves des vaisseaux sanguins. (29) 

Les modifications pathologiques courantes entrainées par la dégradation du terrain menant à la dysfonction systolique et la fibrose cardiaque, générant une surcharge de pression déclenchant l’expression des gènes de l’inflammation

Amenant Suetomi et Richards à penser que des réactions inflammatoires précoces pourraient réduire le remodelage cardiaque et en rétablir la fonction. (30) 

Puis Wang XB (et al. ( 0 5) à redécouvrir qu’un composant du Gotu kola réduit la pression artérielle pulmonaire moyenne et l’hypertrophie ventriculaire en cas d’hypertension pulmonaire induite par hypoxie. 

Prouvant que les molécules d’asiaticoside présentes dans le Gotu kola protègent de l’hypertension pulmonaire en modulant les cellules endothéliales (31) tout en permettent une série d’actions anti-hypertensives et anti-inflammatoires. 

Un essai clinique prospectif, contrôlé par placebo, randomisé et à doses multiples a révélé qu’après quatre semaines de traitement avec les triterpènes du Gotu kola, le taux de filtration capillaire, la circonférence de la cheville et l’œdème de la cheville des patients souffrant d’hypertension veineuse, étaient durablement améliorés. (32)

L’athérosclérose, quant à elle, se caractérise par des artères se rétrécissant en raison de l’accumulation de plaques, pouvant entrainer des troubles critiques tels que crise cardiaque, accident vasculaire cérébral ou même la mort immédiate. 

Il a été observé que le maintien de l’intégrité artérielle et la conservation de la fonction de barrière endothéliale, assurant une contraction normale des muscles lisses, peuvent limiter le développement de la maladie athéroscléreuse. (33) 

Terrain où le Gotu kola, une fois de plus, a permis de réduire la perméabilité endothéliale, protégeant efficacement l’apparition d’athérosclérose. 

Et, comme nous l’avons vu, il réduit les facteurs d’inflammations associés grâce à son puissant potentiel anti-inflammatoire. (34) 

D’autres études, cliniques cette fois, permettent d’affirmer qu’après quatre ans d’intervention chez des patients avec une prise de Pycnogenol® combiné au Gotu kola, le groupe de traitement a : 

  • réduit la progression de la plaque, 
  • réduit le stress oxydatif, 
  • ainsi qu’amélioré leur condition cérébrale. 

Prouvant son rôle majeur dans la prévention de l’athérosclérose. (35)

Dans la maladie ischémique myocardique, l’apoptose, ou mort des cellules, est la principale cause de disparition des cardiomyocytes (36), or il est prouvé que le Gotu kola réduit les niveaux de facteurs apoptotiques tout en protégeant les cardiomyocytes de l’apoptose. (37) 

Rosdah et al. (0 9) ayant souligné qu’après avoir administré de l’extrait de Centella asiatica à des rats pendant plusieurs jours, la teneur en acétylcholine – ACh – du cœur était modulée de manière significative, montrant un effet clairement cardio-protecteur. 

Par ailleurs, diverses expériences confirment que le Gotu kola améliore efficacement l’hypertension, l’athérosclérose et l‘ischémie myocardique.

4-Effets sur les maladies respiratoires

Le Gotu kola agit sur les maladies respiratoires en améliorant la fibrose pulmonaire, la maladie pulmonaire obstructive chronique mais aussi en réduisant les lésions pulmonaires, et en apportant certains effets anti-cancer sur le poumon.

La fibrose pulmonaire peut être induite par divers types de lésions pulmonaires. 

Elle se caractérise par une activation des fibroblastes/myofibroblastes et une accumulation excessive de la matrice extracellulaire, entraînant un dysfonctionnement organique progressif comprenant différents degrés d’inflammation et de fibrose. (38)

Il a été observé que la fibrose pulmonaire et ses divers facteurs d’inflammation peuvent être traités en réduisant l’accumulation de collagène. (39) 

La bronchopneumopathie chronique obstructive, ou BPCO, est une maladie inflammatoire évolutive des voies respiratoires, des alvéoles et de la microvascularisation. 

Entrainant un mécanisme pathologique provoquant des lésions au niveau des cellules épithéliales des voies respiratoires, déclenchant des réponses inflammatoires non spécifiques en libérant des molécules intracellulaires endogènes, ou des modèles moléculaires associés au danger. 

Le cancer du poumon est la cause la plus fréquente de mortalité liée au cancer dans le monde. 

La lésion pulmonaire aiguë, ou ALI, est une inflammation systémique des poumons se manifestant par une hypoxie, un œdème et des infiltrats pulmonaires présents dans la cavité thoracique. 

L’ALI est caractérisée par : 

  • une augmentation de la perméabilité épithéliale et vasculaire, 
  • une hypercoagulation et une fibrinolyse insuffisante, 
  • ainsi qu’une inflammation et une régulation immunitaire. (40)

Cette dernière étude sur la souris, révélant qu’un traitement préventif de Gotu kola peut inhiber les lésions pulmonaires et la fibrose induites par la bléomycine. 

Mais aussi : 

  • réguler à la baisse l’expression des facteurs pro-inflammatoires, 
  • et inhiber l’infiltration des cellules inflammatoires et l’expression du facteur de croissance. 

Une étude in vivo insiste pour sa part sur le fait que la prise de Gotu kola peut réduire la production excessive de mucus dans les tissus pulmonaires, inhiber la libération de facteurs pro-inflammatoires et induire l’expression de HO sur l’inflammation pulmonaire provoquée par l’exposition à la fumée de cigarette.

Tout en inhibant le dépôt de collagène dans les cas de fibrose pulmonaire. (41) 

Des expériences au niveau cellulaire permettent de constater qu’il réduit le volume tumoral, la migration tumorale et la différenciation, tout en favorisant l’apoptose des cellules tumorales. (42)

Faisant du Gotu kola la meilleure approche préventive et thérapeutique non invasive, en cas de cancer du poumon. 

5-Effets sur les maladies gynécologiques

Nous allons maintenant voir qu’il traite l’endométriose, soulage les maladies inflammatoires pelviennes, tout en offrant des vertus anti-cancer de l’ovaire et anti-cancer du sein.

La maladie inflammatoire pelvienne est une infection microbienne de l’appareil reproducteur supérieur. 

Ses principales complications sont l’infertilité, les douleurs pelviennes chroniques, ou encore la grossesse extra-utérine. 

Et il est bon de savoir qu’aucune preuve n’indique que le traitement chimique de la maladie inflammatoire pelvienne est plus sûr ou plus efficace que d’autres méthodes. (43)

L’endométriose est une maladie inflammatoire courante, souvent accompagnée de douleurs pelviennes et d’infertilité. 

Il a été observé que le Gotu kola améliore largement les symptômes de l’endométriose grâce à des vertus : 

  • anti-inflammatoires
  • antioxydantes
  • anti-prolifération 
  • et anti-apoptotiques. (44)

Selon Ren, Cao et Kong, le Gotu kola assure une régression rapide de l’inflammation pelvienne, traite l’endométriose et inverse la progression du cancer de l’ovaire. (45)

Sa valeur thérapeutique contre le cancer de l’ovaire s’exprimant dans sa capacité à favoriser l’apoptose des cellules cancéreuses et à inhiber leur croissance. (46) 

Lorsque les cellules saines sont menacées il les protège de l’apoptose, mais lorsqu’il est question de cellules cancéreuses, il engendre l’apoptose.

Sa valeur thérapeutique pour lutter contre le cancer du sein étant reconnue pour les mêmes raisons. (47)

6-Effets sur la polyarthrite rhumatoïde

La polyarthrite rhumatoïde est une maladie articulaire inflammatoire chronique touchant généralement les femmes et les personnes âgées.

Si elle n’est pas endiguée rapidement, elle peut entraîner des déformations articulaires et diminuer la qualité de vie des patients par de nombreuses pathologies connexes. (48)

Des études révèlent que la réduction de TNF-α, une puissante cytokine pro-inflammatoire aggravant la situation des patients atteints de polyarthrite, améliore considérablement les réponses organiques à la polyarthrite rhumatoïde. (49) 

Des expérimentations animales ont également confirmé que le madécassoside, une des molécules thérapeutiques présentes dans le Gotu kola, réduit significativement les symptômes de l’arthrite tout en inhibant la sécrétion de cytokines inflammatoires. 

Les résultats des expériences de pharmacocinétique montrant une biodisponibilité notable ainsi qu’une capacité spécifique à inverser l’arthrite en inhibant l’invasion des cellules synoviales de type fibroblaste.

Avec, comme à son habitude, une telle diversité de signaux pour organiser une souplesse optimale des mécanismes inflammatoires, leur permettant de faire leur ouvrage sans endommager le terrain.

7-Les autres maladies

Outre les maladies susmentionnées, de nombreuses autres études précliniques sur le Gotu kola le rendent potentiellement utile pour : 

  • la protection des vaisseaux sanguins rétiniens
  • la réduction des effets toxiques et secondaires des médicaments
  • et la réduction des résistances, favorisant la régénération des tissus parodontaux.

Mais également pour traiter :

  • la fibrose sous-muqueuse buccale
  • la migraine chronique
  • la leucémie
  • et les maladies osseuses ostéolytiques.

Il inverse la multirésistance aux médicaments, réduit la propagation de la septicémie et offre un potentiel non négligeable pour lutter contre la parodontite ou le glaucome. 

Favorisant considérablement l’activité antioxydante et protègeant les cellules des dommages causés par le stress oxydatif. (50)

Capable, toujours par le biais de ses nombreux facteurs anti-inflammatoires, de diminuer les lésions hépatiques et rénales.

De précieux essais cliniques :

  • Des études cliniques montrent que le Gotu kola décuple la fonction cognitive des victimes d’AVC. Des témoins ont été divisés en groupes puis ont été traités au moment de la phase aiguë d’un infarctus cérébral pendant au moins six semaines. Par la suite, leurs fonctions cognitives ont été évaluées positivement avec le test MoCA-Ina.
  • Phanit Songvut a noté pour sa part que des doses orales quotidiennes – uniques ou multiples – comprises entre 50 mg et 500 mg, sont sans danger pour les patients et n’ont signalé que des effets indésirables légers à modérés. 
  • Un essai clinique randomisé, contrôlé et en double aveugle a révélé le potentiel du Gotu kola pour réduire la neuropathie diabétique.

L’innocuité et la toxicité de Gotu kola

En ce qui concerne la sécurité pour la consommation de Gotu kola, en plus des essais cliniques mentionnées précédemment, des tests pharmacologiques modernes s’ajoutent à ces observations. (51)

Il n’a pas non plus présenté d’effets indésirables dans le test d’Ames. (52)

En résumé 

Très intéressant pour ses effets sur les maladies multisystémiques, comme nous venons de le voir, le Gotu kola est en mesure de soulager ou d’inverser : 

  • la privation de sommeil
  • la maladie d’Alzheimer
  • le diabète sucré
  • l’hyperlipidémie
  • le diabète gestationnel
  • la calvitie
  • la dermatite atopique
  • les plaies
  • la toxicité hépatique d’origine médicamenteuse
  • les lésions hépatiques
  • les lésions de la muqueuse gastrique
  • les ulcères gastriques
  • le cancer du sein
  • la leucémie
  • la fibrose sous-muqueuse buccale
  • les migraines chroniques. 

Tout en améliorant :

  • les troubles cognitifs
  • la maladie d’Alzheimer
  • la maladie de Parkinson
  • l’obésité
  • l’hypertension rénovasculaire
  • la constriction aortique transversale
  • les lésions d’ischémie myocardique/reperfusion
  • l’athérosclérose
  • la fibrose hépatique
  • la pancréatite aiguë
  • la carcinogenèse du côlon
  • le carcinome hépatocellulaire
  • la fibrose
  • le cancer du poumon
  • l’inflammation pelvienne
  • le cancer de l’ovaire
  • l’endométriose
  • la septicémie
  • et la parodontite. 

Les études précliniques faisant le point sur son potentiel thérapeutique contre :

  • l’hémiparkinsonisme
  • la maladie d’Alzheimer
  • l’ischémie cérébrale
  • les plaies cutanées
  • l’hypertension pulmonaire
  • l’athérogenèse
  • ALI
  • ou encore les maladies osseuses ostéolytiques. 

Les études pharmacologiques montrent quant à elles, qu’il a un effet positif sur :

  • l’ostéoporose
  • l’acné
  • le vitiligo
  • et la polyarthrite rhumatoïde.

Bien à vous, 

Jean-Baptiste Loin

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Sources et références :

  1. https://europepmc.org/article/PMC/PMC7498642
  2. ( –Song et al., 0-)
  3. (-Nataraj et al., 0 7b-)
  4. (-Gelders et al., 0 -)
  5. (-Jiang et al., 0 6-)
  6. (-Morais et De Strooper, 0 0-) 
  7. (-Mohammadi et al., 0-)
  8. (Alasmari et al., 0 )
  9. (Chen Z. et al., 0 )
  10. (Kempuraj et al., 0 7 ; Martinez-Cue et Rueda, 0 0)
  11. (Gray et al., 0 7a ; Chintapanti et al., 0  ; Welbat et al., 0)
  12. (Onyango et al., 0 7)
  13. (, 0 7a ; Nataraj et al., 0 7a.)
  14. (Lee et Kim, 0 7)
  15. (Chaisawang et al., 0 7 ; Gray et al., 0 a ; Rather et al., 0 b)
  16. (Rameshreddy et al., 0 )
  17. (Wang et al., 0 9)
  18. (Zheng et al., 0 )
  19. (Rehman et Akash, 0 7)
  20. (Lontchi-Yimagou et al., 0)
  21. (Kolb et al., 0 6 ; Ortega et al., 0 6 ; Collins et al., 0)
  22. (Saltiel et Olefsky, 0 7)
  23. (Dolan et al., 0 7 ; Tanaka et al., 0 ; Delitala et al., 0 0 ; Zou et al., 0 0)
  24. (Kumari et al., 0 6; Masola et al., 0 ; Rameshreddy et al., 0)
  25. (Oyenihi et al., 0 7 ; Masola et al., 0)
  26. (Halpern et al., 00 ; Blanco et al., 0)
  27. (Rameshreddy et al., 0)
  28. (Wang et Chesler, 0)
  29. (Matuszkiewicz-Rowińska et Wieliczko, 0 5)
  30. (Suetomi et al., 0 ; Richards et al., 0 9)
  31. (Wang X. et al., 0)
  32. (De Sanctis et al., 00)
  33. (Döring et al., 0 7)
  34. (Fong et al., 0 5 ; Jing et al., 0 )
  35. (Belcaro et al., 0 5 ; Belcaro et al., 0 7)
  36. (Li et al., 0 0)
  37. (Si et al., 0 5; Huang et al., 0 6)
  38. (Selman et Pardo, 00  ; Thannickal et al., 004)
  39. (Nie et al., 0 7; Tian et al., 0 7)
  40. (McVey et al., 0)
  41. (Lee et al., 0 6 ; Dong et al., 0 7)
  42. (Wu et al., 0 7 ; Cui et al., 0 9)
  43. (Savaris et al., 0 7)
  44. (Audebert, 0 ; Falcone et Flyckt-Rebecca, 0 ; Bina et al., 0 9)
  45. (Ren et al., 0 6 ; Cao et al., 0 ; Kong et al., 0 9)
  46. (Ren et al., 0 6)
  47. (Fard et al., 0)
  48. (Scott et al., 0 0 ; Smolen et al., 0 6)
  49. (Marsal et Juliá, 0 0)
  50. (Qi et al., 0 7 ; Delgado-Wicke et al., 0 0)
  51. (Kar et al., 0 7)
  52. (Deshpande et al., 0 5)

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8 Commentaires
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Bonnet
Bonnet
1 année il y a

Bonjour, peut-elle s’associer avec l’Ashwagandha ? Quelle serait la différence principale entre les 2 ? merci !

Réponses Bio
Administrateur
1 année il y a
Répondre à  Bonnet

Emeline Bonjour,

Oui, c’est tout à fait possible, elles sont souvent employées ensemble dans la Médecine Ayurvédique pour favoriser le calme et la pacification du mental, en plus de leurs vertus préventives et curatives communes.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

Christine
Christine
1 année il y a

Est-elle vraiment bio et sans toxiques? Votre dernier article sur les neurotoxiques présents dans certains compléments alimentaires bio n’installe pas la confiance en ce qui concerne les produits venant d’Inde ou de Chine.

Réponses Bio
Administrateur
1 année il y a
Répondre à  Christine

Christine Bonjour, Les quelques compléments listés dans mon dernier article ont été pointés du doigt par un organisme de contrôle sur lequel nous savons très peu, si ce n’est qu’il semble alerter davantage sur le danger des polluants présents dans les remèdes naturels que ceux, très probablement bien plus nombreux et dangereux, dans les médicaments et préparations industrielles. Je vous renvoie donc aux questions posées en fin d’article, tout en évitant soigneusement de sombrer dans la peur du remède naturel. Par ailleurs, n’oubliez pas que le comité de sélection de Réponses Bio choisit soigneusement ses références en y appliquant un… Lire la suite »

Marie-France
Marie-France
1 année il y a

Merci

Patricia
Patricia
1 année il y a

Merci!

GERARD
GERARD
1 année il y a

Merci .

Marie-Claude
Marie-Claude
1 année il y a

Très instructif comme article, merci beaucoup