Le mouvement des agriculteurs et l’avancée rampante des insectes alimentaires

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Il y a quelques années, après le Covid et ses dramatiques campagnes d’injections ARNm, nous craignions que la grippe aviaire, ayant trouvé un moyen de s’adapter à l’organisme humain, ne soit déclarée comme nouvelle pandémie planétaire.

Toutefois, au lieu de se répandre en Occident, elle a plutôt fait l’objet d’une campagne de vaccination et d’abattage des poules et canards largement contaminés par des injections porteuses de nanoparticules suspectes.

Entre cela et un certain nombre de lois européennes les jetant dans une concurrence déloyale, les éleveurs de bétail, mais aussi les agriculteurs et spécialistes du monde agricole se révoltent.

Une révolte justifiée si l’on en croit les plans de l’ONU, puisqu’à terme, ce n’est pas uniquement leurs troupeaux, mais leurs activités telles qu’ils les connaissent qui seront mises à mort.

Cependant pour bien comprendre les sournois tenants et aboutissants de cette crise, je vous invite à faire un petit voyage dans le passé.

La politique salvatrice d’Al Gore… pour les industriels

Entre 1993 et 2001, un essor des mesures environnementales technologiques, justifiées par l’urgence de la réduction des émissions à effet de serre, fut lancé par Al Gore lorsqu’il était vice-président des États-Unis sous le mandat de Bill Clinton.

Puis, bien que suspicieux, les industriels qui devaient fatalement perdre leur hégémonie et par la même occasion leurs fortunes avec le réveil des consciences écologiques, furent non seulement rassurés, mais aussi conviés à une conférence leur proposant une voie stratégique impensable quelques décennies plus tôt.

Autour de l’an 2000 ils étaient tous réunis pour écouter le nouveau plan économico-politique qui leur était offert sur un plateau.

Inutile de faire faillite disait Al Gore, inutile d’employer vos milliards pour résister au vent qui tourne, inutile de vous isoler de l’humanité dans vos bunkers… il vous suffit d’embrasser le changement en recyclant vos richesses astronomiques en encore plus de richesses.

Un business plan où les raisons écologiques devenaient des prétextes enrobant le seul sujet qui les intéressait vraiment, à savoir leur capacité à produire plus de ressources et davantage de contrôle.

Un agenda ayant vraisemblablement, en plus du virage « vert » de multinationales comme Total Énergies, entraîné un nouvel espoir des idéologies technocratiques coïncidant avec l’avènement des nanoparticules et de l’intelligence artificielle.

Une porte de sortie que les responsables de l’ONU et leurs vassaux de l’Union Européenne, ont eux aussi adopté à rebours, en articulant deux objectifs majeurs étroitement liés.

Le premier, nous en sommes proches, pourrait expliquer à lui seul l’accélération des mesures sanitaires sur les éleveurs et paysans.

Prévu pour 2030, il intègre la gestion de l’eau liée à la production de protéines comme une de ses priorités majeures.

C’est à dire l’abolition de bestiaux consommant chacun des dizaines de litres d’eau par jour, afin d’obtenir une production de protéines limitée, au profit de la mise en place de gigantesques fermes verticales assistées par IA, produisant pour leur part une quantité illimitée de protéines sans utiliser la moindre goutte d’eau.

La seconde partie est déterminée pour 2050, où les prédictions les plus sombres sont faites pour justifier les solutions les plus déplorables, fallacieusement présentées comme indispensables à la survie de l’espèce humaine.

Vous l’aurez donc compris, le futur dessiné par ces soi-disant « bienfaiteurs » n’a de réelle que la mesure de leurs ambitions.

La consommation d’insectes au cœur du problème

Il n’a de réelle que la mesure de leurs ambitions, pourtant, entre les plus puissantes instances gouvernementales au monde et les lobbies ayant justement provoqué les crises climatiques qu’ils se proposent de résoudre avec des mesures antidémocratiques, ils ont largement le pouvoir et les moyens de mettre leurs ambitions à exécution, que leurs prédictions soient fondées ou non.

Et je ne pense pas, en tout état de cause, que même si leurs prédictions s’avéraient être erronées, ils accepteraient d’avoir investi leurs ressources et efforts en vain.

Le premier indicateur de ce triste état de fait est d’ailleurs la crise des éleveurs et agriculteurs en Occident.

Bien que l’immense majorité des consommateurs ait refusé la dissémination d’insectes dans leurs préparations alimentaires, les maladies virales, parfait prétexte à une éradication de masse soutenue par les gouvernements, sont, à plusieurs reprises depuis le Covid, instrumentalisées dans le but de priver les éleveurs de leurs cheptels, emplois, et capacités de contrôle en cas de débordement sanitaire.

Or, une fois que ces mesures se seront suffisamment multipliées pour rendre les éleveurs impuissants, il n’est besoin d’être devin pour comprendre que ceux qui resteront n’auront d’autre choix que de faire augmenter drastiquement le prix de la viande.

Et si le prix de la viande, déjà contaminée depuis des années par des molécules toxiques véhiculées par les injections modernes, était, par exemple, multiplié par dix, il ne resterait que deux choix aux porte-monnaies les plus fragiles, concernant quatre-vingt pour cent des Français :

1/ Devenir végétariens
2/ Consommer des protéines d’insectes

Mais, avant de devenir un végétarien aguerri, et donc de savoir comment remplacer efficacement et intelligemment sa consommation de protéines animales par des protéines végétales, un certain nombre de connaissances devraient être prises en compte.

Et comment prendre l’information au vol à une époque où la censure est plus vivace et vaste que les océans ?

Un océan de censure destiné à vous faire marcher au pas

Tandis que la première crise des agriculteurs voyait le jour dans l’hexagone, retournant les panneaux des villages afin d’afficher leur mécontentement, Naevius et moi rédigions pour vous une série d’articles sur les nouvelles législations européennes concernant l’introduction de farines et d’huiles d’insectes dans les préparations alimentaires agro-industrielles et biologiques.

Ces publications rencontrèrent un tel engouement, peut-être parce qu’en dehors de votre serviteur il n’existait déjà plus de presse professionnelle indépendante post-Covid prête à se pencher sur l’information, que nous reçûmes une proposition que nous ne pouvions refuser.

Contactés par la directrice de collection des éditions Trédaniel, nous assurant que leurs ouvrages ne connaissaient pas la langue de bois, nous recevions un contrat nous donnant carte blanche pour développer notre investigation sur plusieurs centaines de pages.

Après avoir pesé le pour et le contre, confiants en notre capacité à traiter le sujet tant sur la forme que dans le fond, nous signâmes rapidement.

Les liens suivants (1) (2) (3) vous donneront d’ailleurs une idée du sujet, qui fut notre plus large investigation journalistique après le dossier « Covid » et « charbon activé » publiés sur Réponses Bio.

Un ouvrage comprenant plusieurs interviews allant des représentants de Madame Von Der Leyen sur la question des Novel Foods, à une interview de l’EFSA concernant la sécurité sanitaire d’une éventuelle abondance de dérivés d’insectes dans les préparations alimentaires, en passant par une interview du responsable de l’IPIFF, une association œuvrant à soutenir financièrement les acteurs de la filière des insectes, jusqu’à des enquêtes croisées sur les responsables de start-up comme Innovafeed, ainsi qu’un état des lieux des dangers du graphène, tout en indiquant les nouveaux développements de graphène à partir d’insectes recyclés…

Près de trois cents pages intégrant évidemment les promesses des protéines végétales, qui ne verront jamais le jour.

Deux semaines après la signature, la directrice de collection en charge de l’ouvrage ne travaillait plus avec Guy Trédaniel et sa remplaçante, qui aurait davantage trouvé sa place dans des rédactions comme Voici ou Gala, se mit aux manettes sous l’œil attentif de sa direction.

Puis la comptable ayant édité notre contrat prit sa retraite anticipée, et le directeur de collection qui était censé participer aux interviews de l’UE prétendit, des mois après la remise du manuscrit, ne rien savoir de notre ouvrage ou de l’intention de Trédaniel de publier un tel sujet.

Ce que nous pensions être une opportunité bénéfique à tous de dévoiler ce que la presse taisait à dessein, fut un piège destiné à mettre aux oubliettes tout ce qui pouvait être dit sur le sujet.

Pourquoi vous raconter ça ?

Parce que c’est la preuve que ni les éditeurs soi-disant sulfureux, ni ce que nous pouvions encore considérer il y a quelques années comme les derniers bastions de la presse libre, n’accomplissent encore leur devoir.

Parce que nous avons tous été surpris par les idéologies d’élites financières menant à l’apparition du Covid, aux confinements, aux injections obligatoires sous peine d’apartheid sanitaire, et surtout, à des morts par millions.

Sans journalistes, point de démocratie, et sans démocratie de telles manigances deviennent monnaie courante.

Si ce n’est qu’aujourd’hui, les petits génocides de l’industrie pharmaceutique prennent des proportions industrielles.

La question de l’alimentation à base d’arthropodes et autres formes « insectueuses », n’étant, au demeurant, pas aussi préoccupante que les autres rouages du même agenda de domination et de contrôle par un Empire marchand agonisant.

Toutefois si vous vous surprenez, dans quelques années, à vous dire que finalement un peu de poudre d’insectes n’a jamais tué personne, relisez ces lignes et réalisez que vous êtes devenu(e) le jouet d’une machinerie visant à vous ôter toute forme d’humanité.

Planifié par l’ONU, soutenu par le Club de Rome, géré par McKinsey, propulsé par des entreprises comme Innovafeed pour une inclusion éclair dans le milieu des compléments alimentaires, de l’agro-alimentaire, de l’alimentation d’élevages, et, bien entendu, de la bio… serez-vous heureux(se) si on vous offrait gratuitement, ou presque, des burgers à la viande d’insectes destinés à combler le déficit de vos finances ?

Les éleveurs en danger et la nécessité de se pencher sur les protéines végétales

En faisant disparaître une partie trop importante des cheptels, de nombreuses traditions séculaires risquent d’être vouées à l’oubli.

Cependant il n’est pas seulement question de viande et d’un choix alimentaire carnivore ou végétarien.

Une telle logique gouvernementale implique, et c’est déjà largement le cas, la mise en danger des exploitations agricoles en général ainsi que les complications perpétuelles visant à décourager le développement de l’agriculture biologique.

Pourtant dans un tel contexte, mis à part quelques poules et volatils encore autorisés si le développement de maladies en laboratoire ne génère pas carrément un contrôle illimité, ce sont les protéines végétales et leurs connaissances qui sont les plus enclines à permettre une certaine autonomie alimentaire dans ce domaine.

Puisque, vous l’aurez compris, sans une bonne dose d’autonomie, si ce n’est la perspective improbable d’un soudain effondrement total, il vous sera difficile d’échapper au rouleau compresseur de ce nouvel ordre mondial déjà vacillant.

Une machine étrange dont son gigantisme n’a d’égal que sa fragilité.

Une montagne de baudruche destinée à exploser tout en détruisant les destins de celles et ceux qu’elle emprisonne depuis si longtemps.

Néanmoins les révoltes n’auront jamais autant de vertus et ne seront jamais aussi constructives que lorsque, au lieu de manifester naïvement, elles s’adaptent et disruptent les mécaniques de ces injustices.

Recréer une manière d’aborder l’élevage et l’agriculture en puisant dans l’ancien, le résilient et le respectueux, serait une révolution contre laquelle aucun système ne pourra jamais rien.

Bien à vous,

Jean-Baptiste Loin

Pour en finir avec la viande de mauvaise qualité ou les carences liées à un végétarisme mal contrôlé, Réponses Bio met à votre disposition une sélection de protéines végétales irréprochables et efficaces.

Sources :

  1. https://www.gallix.net/product/2560955/naevius-sakon-annule-alerte-sur-la-consommation-d-insectes-essor-ou-fin-de-notre-civilisation
     
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