
Il y a près d’un siècle, un des plus grands spécialistes de l’eau que la terre ait porté, inventa la Bioélectronique.
Or, les vingt ans d’études nécessaires au développement de ce sujet, avec l’immense participation de Jeanne Rousseau, lui ont permis d’établir une science de l’eau de boisson thérapeutique sur laquelle s’appuieront ensuite des chercheurs comme Marcel Violet, Jean Pagot, mais surtout Jacques Benveniste et Masaru Emoto.
Une suite de connaissances vertueuses permettant de vous offrir aujourd’hui un ensemble d’informations fort utiles pour déterminer avec une compréhension bien plus précise que la vision étriquée des sciences physiques seules, la meilleure eau à consommer au quotidien pour éloigner vieillesse et maladies.
L’ionisation négative, votre santé et la Bioélectronique Vincent
Louis-Claude Vincent, ingénieur hydrologue ayant travaillé sur l’adduction d’eau et l’assainissement pour des centaines de communes françaises, à partir de 1926, est l’un des premiers de nos contemporains à s’intéresser à l’importance de la qualité vibratoire de l’eau sur la santé humaine et animale.
Après la guerre, et jusque dans les années soixante, il alternera le rôle d’ingénieur conseil pour la compagnie nationale d’électricité française et l’école d’anthropologie de Paris, où il commencera d’ailleurs à enseigner les connaissances qu’il a glanées sur l’eau.
Il fut ainsi le premier à alerter sur les corrélations existant entre l’apparition de troubles et maladies comme la tuberculose, les cancers, les défaillances vasculaires, et des eaux trop fortement minéralisées et chlorées.
Membre de plusieurs sociétés médicales, il fonde la Société Internationale de Bio-Électronique Vincent, ou SIBEV, avec le Dr Franz Morell, s’impliquant assidument dans les comités scientifiques de l’époque.
Puis il fondera avec Jeanne Rousseau, qui reprit et prolongea ses travaux sur le plan naturopathique, un Centre de Recherche Bioélectronique ayant permis de réunir une impressionnante quantité d’études et expériences empiriques au fil des décennies.
Ayant notamment abouti la plus vaste étude connue au monde sur le sujet, après avoir prouvé sa méthode sur plus de soixante mille cas humains.
Soulignant le fait, s’il vous est arrivé d’en douter, que ce ne sont pas les qualités scientifiques ou techniques qui faisaient défaut à Louis-Claude Vincent pour prouver la consistance de ses travaux, mais l’étroitesse matérialiste des sciences physiques de l’époque et jusqu’à nos jours.
L’eau de consommation quotidienne parfaite selon Louis-Claude Vincent
Pour mieux comprendre les recherches de Vincent ainsi que sa vision d’une eau de consommation quotidienne idéale pour le maintien de l’homéostasie et la réponse active qu’elle se doit d’apporter face à l’oxydation du terrain, il faut rapidement s’intéresser aux trois notions sur lesquelles il a fondé ses théories :
1 – Le pH, ou acidité de l’eau, qu’il n’est plus nécessaire de présenter tant cette valeur est devenue universelle.
2 – la résistivité ou p mesurant la pureté ionique.
3 – le rH2, ou potentiel d’oxydo-réduction lié à l’ionisation négative, dite électronique, de l’eau.
Or, dans son précieux ouvrage intitulé La Bio-électronique de Louis-Claude Vincent (édition La Source de 1963), un passage fort intéressant sur l’étude de l’eau en lien avec la santé animale et humaine, est présenté entre les pages 44 et 58.
Il inclut notamment des analyses sur 134 eaux de l’Ouest de la France en fonction de leurs qualités minérales, ioniques, ainsi que leur pureté et interactions avec la santé.
Cependant pour en déduire son analyse sur l’ionisation négative de l’eau, donnée n’ayant pas été identifiée en ces termes à l’époque de ses travaux, il convient de bien comprendre le principe de fonctionnement du rH2 et de la résistivité, se mesurant à partir d’un processus d’échange d’électrons et d’ions dans l’eau.
1 – Le pH
Le pH mesure la concentration en ions hydrogène, ou H+, présents dans un liquide.
Calculé sur une échelle de 0 à 14, la valeur 7 indique un pH parfaitement neutre, toute valeur comprise entre 0 et 6,9 un pH acide, et entre 7,1 et 14 un pH basique ou alcalin.
Sachant également qu’entre 6 et 7 l’eau sera légèrement acide et entre 7 et 8 légèrement alcaline, mais conservera l’essentiel de sa neutralité.
À présent, dans le contexte de la Bioélectronique Vincent que vous retrouverez dans les pages 44 à 46 et 50 à 52 de son ouvrage, il est dit que plus l’eau est neutre, plus elle est appropriée à la santé humaine.
Cependant, il donne une préférence, qu’il explique pour des raisons de résistance à la contamination bactérienne nécessaire pour l’analyse de ses échantillons, à une eau légèrement acide.
Légèrement acide donc, lorsqu’elle est tirée de son milieu naturel pour être transportée et consommée un moment après, après avoir fait face à une stagnation aussi courte que possible.
Mais aussi parce que ses études sur des animaux d’élevage ont montré qu’une eau fortement basique, c’est à dire présentant un pH élevé, favorisait l’apparition de maladies et déséquilibrait le terrain des animaux.
Tout en constatant qu’un pH neutre garantit un équilibre ionique proche de celui de corps humain.
Mais aussi, qu’un excès d’acidité peut s’avérer tout aussi néfaste qu’un excès d’alcalinité.
Ainsi, une eau très acide aura tendance à attaquer les tissus, et une eau trop basique à favoriser les dépôts minéraux.
Une eau aussi neutre que possible, lorsque la valeur est comprise entre 6,5 et 7,5, respectera pour sa part le milieu organique humain comme il se doit.
2 – La résistivité
Mesurant en ohms.cm le degré de résistance de l’eau au passage du courant électrique, la résistivité indique la pureté de l’eau en fonction de sa capacité naturelle à protéger ses molécules des impuretés.
Plus la valeur est haute, plus l’eau est pure, montrant qu’elle contient peu d’ions minéraux, ou ions positifs, conduisant l’électricité.
La résistivité est donc tout simplement l’inverse de la conductivité.
Spécifiant que la consommation d’eau fortement minéralisée, puisque largement conductrice d’électricité, n’est pas adaptée au quotidien.
Et à l’inverse, plus une eau indique un fort taux de résistivité, moins il y aura de résidus minéraux, et plus elle sera légère et biocompatible.
Dans ce contexte, que vous retrouverez aux pages 44 à 48 et 53 à 55 de son ouvrage, Vincent insiste sur une résistivité élevée de 6000 ohms.cm pour une consommation quotidienne.
Ayant prolongé ses analyses sur la santé humaine, il notera que les eaux à faible résistivité, soit trop minéralisées, encrassent le métabolisme et réduisent l’hydratation cellulaire.
3 – Le rH2 ou potentiel redox
Le redox, ou potentiel d’oxydo-réduction, est la mesure du potentiel électronique d’un milieu biologique, quantifiant l’équilibre entre les états oxydés et réduits en s’appuyant sur leur pH.
Un rH2 faible, situé en dessous de 28, indique donc un milieu réducteur riche en électrons correspondant à une haute activité antioxydante.
Et à l’inverse, un rH2 élevé, situé au dessus de 28, indique un milieu oxydant propice aux pathologies.
Notions que vous retrouverez détaillées entre les pages 41 et 43 de l’ouvrage de Louis-Claude Vincent.
4 – L’ionisation négative ou le règne des électrons libres
Le génie de Louis-Claude Vincent s’exprime principalement, à travers ses différents travaux, dans ce qu’il nomme l’énergie électronique de l’eau.
Une valeur touchant tant à sa dynamisation, qu’à sa mémoire, et comme nous l’avons vu, ayant servi de base aux recherches de Benveniste et Emoto.
Or l’ionisation, processus au cours duquel des atomes et molécules gagnent ou perdent des électrons avant de créer des ions chargés positivement ou négativement, est très probablement la clé de voûte de la mémoire comme de la dynamisation de l’eau.
Une ionisation négative étant un apport d’électrons que l’on peut mesurer par le rH2, indiquant un effet antioxydant.
Et une ionisation positive indique la présence d’une eau trop fortement minéralisée ou polluée, oxydant le terrain et ouvrant la porte aux pathologies.
Vous trouverez différentes observations issues des recherches de Vincent tant sur les animaux que sur les humains, entre les pages 51 et 58 de son ouvrage.
Montrant également, bien que sans la nommer, que la vision de Vincent réunissant un bon pH, une haute résistivité ou pureté, et un rH2 bas, est égale à l’action d’une ionisation négative de bonne qualité.
Apportant la présence de mémoire colloïdale en petite quantité, le charbon activé artisanalement agit bien plus magistralement que l’on pourrait l’imaginer.
Générant un champ électronique fermé propre à la dynamisation naturelle d’une eau d’orage, ou ayant été en contact avec des terres argileuses, minéraux et formes géométriques sacrées produites par la nature, il communique avec l’eau, donc lui apporte une mémoire lorsqu’elle est vide, mais surtout des électrons.
Par ce biais, comme le démontre Vincent, il réduit son acidité ou son alcalinité, lui permettant d’atteindre un pH très légèrement alcalin et proche de la neutralité.
Biocompatibles avec l’hydratation de vos cellules, ses qualités antioxydantes, comme le soulignait Hippocrate en son temps, en font votre premier médicament.
Oui mais, insuffisant pour drainer la quantité astronomique de polluants modernes charriés dans l’eau du robinet, tout comme l’eau de source ou de puits.
Avant de lui rendre vie, il convient donc de nettoyer chacune de ses molécules avec un procédé aussi exigeant que l’osmose inverse et l’ultra-filtration.
Procédé qui pourtant, à lui seul, n’est pas aussi bénéfique qu’il y parait.
Les conseils de Louis-Claude Vincent adaptés au monde moderne
Si l’on remet les choses dans leur contexte, il devient plus facile de comprendre différents points.
Le premier étant qu’à l’époque de Louis-Claude Vincent, la bataille principale qu’il dut mener fut, dans un premier temps en tout cas, plus largement consacrée au lobby naissant de l’industrie des eaux minérales et leurs campagnes publicitaires, que les pollutions que nous connaissons aujourd’hui.
Forts de la notoriété du thermalisme et des contrats passés avec le corps médical pour remettre leurs malades en forme avec des cures de luxe atteignant parfois des coûts exorbitants, les responsables de stations thermales commencèrent à céder leurs eaux à des productions destinées à une consommation de masse.
Pourtant, et cela Vincent l’avait bien compris, leur consommation, bien que souhaitable de temps à autre sous forme de cures, engendrerait au quotidien, l’avenir l’a prouvé, différents problèmes sur la santé.
Créant notamment l’illusion encore très vivace dans l’imaginaire populaire, qu’une eau très fortement minéralisée est ce qu’il y a de mieux pour la santé.
Mais l’autre problème, dont Vincent n’a pu assister qu’aux prémices, étant les formes modernes de pollution de l’eau.
Et pour cette raison, les conseils et le bon sens qu’il prodiguait sont devenus aussi essentiels qu’insuffisants.
Heureusement, une technologie apparue peu de temps après sa mort a permis de remédier quasi intégralement à cette nouvelle donne : l’osmose inverse.
Néanmoins à elle seule, c’est à dire sans un apport de charbon activé de qualité, elle posera, à terme, le problème contraire de l’oxydation.
À savoir une accumulation d’acidité dégradant les tissus, une déminéralisation progressive de la sphère lymphatique, et finalement, un état de fatigue permanent.
Comme le soulignait Paracelse à si juste titre, « rien n’est poison, tout est poison, c’est la dose qui fait le poison ».
Impliquant que rien n’est bon en excès, et qu’il faudra, dans tous les cas, savoir alterner.
Quelle magie opère lors de l’ionisation négative avec un bloc de charbon activé artisanalement ?
Si l’on introduit un bloc ou un bâton de charbon activé d’un poids moyen de 20g pour 1L d’eau du robinet ayant été filtrée et osmosée, après une saturation de 4 à 8h à température ambiante, le charbon libèrera des électrons libres réduisant significativement la valeur rH₂, ou redox, de l’eau.
Les mécanismes le permettant, allant de l’adsorption sélective des oxydants, à la concentration en ions négatifs, ou OH, rendant l’eau légèrement alcaline et fortement réductrice, avec un pH d’environ 7,1.
C’est à dire transformant immédiatement l’acidité, qui même légère, attaquera les tissus sur le long terme, en une subtile alcalinité alliée à une réductivité s’intensifiant à mesure du temps de saturation.
Ce phénomène de vitalisation ou dynamisation primaire de l’eau, s’avérant fort utile pour la santé en général et la prévention du cancer en particulier.
Selon Louis-Claude Vincent, l’ionisation négative a des vertus :
- antioxydantes, réduisant la présence de radicaux libres
- détoxifiantes, favorisant l’élimination des toxines
- améliorant l’hydratation cellulaire
- et soutenant l’équilibre acido-basique.
Étant essentielle au quotidien pour prévenir les terrains oxydés liés au vieillissement et inflammations, on pourra la consommer à raison d’1,5L à 2L par jour pour un bien-être optimal.
Elle améliore le goût, créant instantanément un nouveau type de soif tant l’organisme reconnait aisément ce dont il a besoin.
Néanmoins il est important de comprendre que dans sa soif, le corps aime le changement.
D’où la grande révélation des eaux minérales à une époque où l’eau était souvent pure, mais faiblement minéralisée.
Bien qu’idéale pour la santé humaine, même la dynamisation ou l’ionisation négative répondent à l’adage de Paracelse dans le domaine du bien et du bon.
Ainsi, au fil des ans, de légers phénomènes de sur-détox pourraient faire leur apparition si l’on n’observait pas, régulièrement, une pause d’une à deux semaines en faveur d’une eau plus faiblement ionisée, ou si vous en ressentez le besoin, une eau plus fortement minéralisée.
Et c’est d’ailleurs là où le Perfect’Eau, solution de filtration, d’osmose et d’ionisation tout en un proposée par Réponses Bio, allie ces connaissances essentielles à une simplicité d’utilisation révolutionnaire.
En d’autres termes, pour réaliser cette pause, il vous suffira de retirer les blocs de charbon placés dans le pichet d’eau pure pendant le temps souhaité.
Laissant à votre organisme tout loisir de profiter d’une eau plus acide pendant quelques jours, afin d’entretenir un équilibre acido-basique parfaitement neutre sur le long terme.
Les signes de l’installation d’une crise détox dans ce domaine étant généralement un ressenti de fatigue ou divers troubles de la sphère intestinale.
Et, sur un plan plus subtil, il suffira d’écouter son corps pour, de temps à autre, profiter des différents profils d’eaux que notre organisme appelle.
Une autre option étant, comme vous pourrez l’apprécier dans cette vidéo, de puiser des eaux plus naturelles ou minéralisées que l’eau du robinet.
Bien que la différence, après osmose, soit pratiquement imperceptible, elle est réelle et se ressent au goût.
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin
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Source et référence :
- La Bio-électronique de Louis-Claude Vincent (édition La Source de 1963)