Un courant alternatif biocompatible

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électricité biocompatible habitat

Insidieuse, la pollution électromagnétique de la maison doit absolument faire l’objet d’un contrôle sévère.

Elle est, en effet, responsable, au même titre que la nourriture industrielle chimique, d’importants déficits de santé.

La bio – on pouvait s’en douter avec l’intérêt croissant que porte le grand public à la chose depuis quelques temps – ne se résume pas aux seuls produits alimentaires mais désigne aujourd’hui toutes sortes d’autres domaines et notamment l’électricité.

Toutefois, cette électricité bio ne veut pas nous annoncer que le courant qui passe dans les fils de cuivre sera d’une autre nature, ni même produit nécessairement à grande échelle par des moyens propres…

Non, il s’agit plutôt ici de parler de tout l’appareillage et de l’installation électrique de la maison qui, on le sait maintenant, génère des champs électromagnétiques particulièrement nuisibles à la santé alors qu’il existe  des matériaux et des moyens pour réduire ces rayonnements peu compatibles avec l’humain, peu compatibles avec la bio.

Mais avant d’installer des blindages autour des fils électriques et de commander une installation biocompatible, il faut comprendre que certains matériaux de construction, comme le bois et ses dérivés, ou les cloisons sèches à ossature en bois ou en métal, diffusent très facilement les champs électriques.

Or, cela n’est pas le cas pour d’autres matériaux qui, eux, réduisent fortement ces champs électriques, comme la terre, la pierre ou même le béton de terre… tout au moins à condition que les circuits électriques y soient encastrés.

Ces derniers matériaux se chargent alors, de blinder les gaines électriques ou parfois d’en transformer les ondes et ainsi de mettre à l’abri les habitants de la maison des champs électriques nocifs.

Dans le cas contraire, lorsque le circuit n’est pas encastré ou que les matériaux de construction diffusent les champs électriques, il devient alors impératif de choisir parmi les produits existants ceux qui permettront de préserver une atmosphère électromagnétique à peu près saine, autrement dit « biocompatible ».

 

L’électricité biocompatible

Qu’on l’appelle « biotique, « biocompatible » ou tout simplement « bio », l’installation d’électricité nécessite avant tout quelques connaissances, et quelques conseils, voire l’assistance d’un spécialiste compétent en la matière.

Expert dans la santé de l’habitat, il pourra se déplacer pour évaluer les risques spécifiques à votre environnement ou mettre à votre disposition différents accessoires tels que les détecteurs de champs électromagnétiques.

Signalons ici, que tout comme l’alimentation bio, l’électricité bio coûte légèrement plus chère que les installations conventionnelles, surtout dans le cadre d’une maison en bois où de nombreuses précautions doivent être prises en plus de l’utilisation systématique du câble blindé.

 

L’installationinstallation électrique biocompatible

C’est évidemment chaque élément de l’installation émettant des champs électromagnétiques susceptibles d’être iatrogènes qu’il convient, un par un, de remplacer ou, lorsqu’il s’agit d’une construction nouvelle, d’installer.

Ces éléments, rappelons-le, se composent essentiellement d’un ou de plusieurs tableaux de répartition, d’un disjoncteur, d’un compteur, de fils et câbles électriques, de prises de courant, d’interrupteurs, de lampes et appareillages divers, pour lesquels il faut donc non seulement prévoir des versions biocompatibles mais aussi – et peut-être surtout – de les positionner et de les installer sur la base de stratégies différentes et, en tout cas, plus pertinentes.

Le compteur et le tableau de répartition, qui émettent des champs électromagnétiques sur une distance de plus d’un mètre, devront impérativement être placés loin des chambres et des pièces d’habitation proprement dites et, si possible, éloignés de l’habitation elle-même, c’est-à-dire par exemple dans un garage ou une remise.

Il existe également des harmoniseurs biofréquentiels que l’on peut disposer sur le compteur, le disjoncteur ou les câbles, mettant l’intégralité du circuit électrique en biocompatibilité.

Ces harmoniseurs permettront d’émettre des ondes naturelles offrant une bien meilleure qualité énergétique que celles étant habituellement véhiculées par le courant électrique (220V) à travers le câblage.

Ils auront également la capacité d’atténuer, voire d’annuler le stress cellulaire provoqué par les agressions électromagnétiques extérieures telles que les installations wi-fi, antennes relais et lignes à haute tension présentes dans le voisinage.

Par contre, plus leur emplacement est proche du lieu d’habitation, et plus il faudra employer des matériaux écrans, cache-tableau, coffrets atténuants, reliés entre le tableau et le support.

Le câblage de ce tableau, lui-même, doit être conçu en évitant tout phénomène de boucle, et en rapprochant le plus possible les deux fils pour chaque circuit.

Quant aux câblages des circuits électriques proprement dits, ils constituent, la plupart du temps, la plus grande source de pollution électromagnétique de la maison.

De ce fait, ils doivent le plus possible être en fils blindés lorsqu’il s’agit de la phase, et même en gaines blindées pour les conduits passant dans les matériaux diffusant facilement les champs électriques, comme le bois.

Mais, répétons-le, cette précaution est inutile lorsque le conduit est profondément encastré dans la pierre ou le béton de terre.

Pour le reste, il existe plusieurs niveaux de précautions à prendre ; la première consistant à distribuer les circuits électriques en épis et à ne jamais les faire passer à travers les pièces et surtout pas à la tête des lits.

Les autres niveaux de protection concernent les boitiers qui, eux également, sont susceptibles de diffuser des champs électromagnétiques plus ou moins importants.

Là encore, tout dépend essentiellement du matériau de construction dans lequel ils sont encastrés.

Mais, au contraire des fils électriques qui sillonnent la maison, leur localisation bien limitée restreint l’espace qu’ils polluent.

Il n’empêche qu’il est souvent utile de se procurer des boitiers spéciaux, auxquels il est même conseillé d’adjoindre des interrupteurs et prises de courant avec cadre métallique, formant ainsi une cage de Faraday qui retient la majeure partie du champ électrique.

Plus encore que les fils, les boitiers seront toujours tenus le plus éloignés possible des lits, canapés, bureaux et autres lieux où l’on réside longtemps.

 

Les interrupteurs automatiques

Enfin, les interrupteurs automatiques de champs, dispositif proposé pour compléter les fils blindés, peuvent être considérés comme l’une des solutions les plus efficaces puisqu’ils assurent une protection sur l’ensemble de l’appareillage électrique de la maison.

Ils consistent tout simplement en un dispositif mettant un ou plusieurs circuits hors tension dès qu’il n’y a plus de consommation électrique.

Ainsi, lorsqu’on n’utilise pas d’électricité, les circuits n’émettent plus alors aucun champ électrique, que ce soit dans les appareils, lampes, réseaux de fils, prises de courant ou interrupteurs.

Cette interruption automatique se produit dès que le dernier appareil est éteint ; pouvant, bien entendu, s’ouvrir à nouveau au courant électrique dès qu’on le sollicite en allumant une lampe ou un appareil quelconque.

Ce procédé convient tout particulièrement aux chambres à coucher, dans lesquelles beaucoup de personnes subissent des pollutions électromagnétique durant toute la nuit sans s’en douter, alors que cela, grâce à cette technologie, ne serait absolument plus incontournable.

Mais rien n’empêche d’en généraliser l’emploi à toute la maisonnée.

C’est un système simple à utiliser et pouvant s’adapter sur n’importe quelle installation.

 

L’éclairagelampes ondes électromagnétiques danger

Bien que de nombreux appareils électriques soient des sources de pollution incontestables, le dernier grand pollueur de la maison est évidemment la lampe dans la mesure où elle est omniprésente.

Toutes les lampes ne sont toutefois pas égales dans ce domaine puisqu’elles polluent plus ou moins, d’une part en fonction de leurs dimensions propres ainsi que de leur connexion ou non connexion au fil de terre, mais aussi des matériaux qui entourent l’ampoule et qui constituent la lampe, métal, bois, porcelaine, plastique, etc.

On s’en doute, les plus polluantes de toutes sont les lampes en métal non connectées à la terre, et plus spécialement encore les grands lustres.

Par ailleurs, beaucoup de lampes à basse consommation sont reliées à des transformateurs qui, eux-mêmes, génèrent des champs électromagnétiques importants jusqu’à un mètre de distance et dont il faut impérativement s’éloigner.

Enfin, cerise sur le gâteau, les variateurs de lumière, qui paraissent bien agréables pour tamiser l’ambiance lumineuse d’une pièce, sont en réalité des générateurs d’harmoniques et de variations de courant qui rendent les émissions électromagnétiques des lampes infiniment plus nocives qu’elles ne le sont déjà à la base.

Mieux vaut donc s’en passer définitivement.

Et n’oublions pas, pour finir, qu’une lampe éteinte continue d’émettre un champ électrique… sauf lorsqu’elle est munie d’un interrupteur bipolaire.

 Jean-Baptiste Loin 

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Yvonne
Yvonne
7 années il y a

Ce n est rien du tout par rapport a ce que le compteur electrique LINKY « pourrait apporter » de désagréments a ceux qui vont etre servis sans managements et sans respect de la personne humaine.