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Indium

Quarante-neuvième dans le tableau périodique des éléments, l’indium ne figure pourtant pas parmi les oligo-éléments que nous avons l’habitude de consommer car, dans la nature, il n’existe pas sous forme hydrosoluble.

Il n’est donc présent ni dans les aliments ni dans l’organisme.

Bien que sa carence n’entraîne pas de maladies, des chercheurs ont observé que, parmi les consommateurs d’indium, il y avait 26 % de moins de cas de cancers et 46 % de moins de tumeurs malignes.

Mieux encore, il semblerait qu’il ralentisse le vieillissement prématuré, stimule le fonctionnement du système immunitaire, réduise la durée et l’intensité des coups de froid, des contusions et des convalescences, favorise la mémoire, diminue les besoins en sommeil, efface la déprime et assure un bon état général et même une relative euphorie.

Les bienfaits de l’indium sont sans doute en rapport avec le contrôle des glandes et des hormones par la thyroïde ; à moins que ce ne soit avec sa propension à faciliter l’assimilation des oligo-éléments dans le gros intestin, puisqu’il réussit notamment à augmenter l’absorption du chrome de 90% dans la rate, de 112% dans les poumons, de 232% dans le foie et de 694% dans les reins.

Ses principales applications connues sont la performance sportive, l’équilibre hormonal, la longévité, la surcharge pondérale, et même le cancer. Mais on lui connaît également bien d’autres applications…

Avant tout, l’indium installe une sensation de bien-être et de bonne humeur, généralement au bout de quelques jours seulement. Une première indication sera donc la dépression, l’anxiété ou le stress, ou encore le sevrage de la drogue ou de l’alcool, dans lesquels l’indium s’est avéré aussi performant que les drogues psychiatriques les plus dures… sans les inconvénients, bien sûr !

D’autres indications touchent à la longévité et à la perte de poids.

L’indium, par sa régulation de l’hypothalamus et de l’hypophyse, et son effet bénéfique sur la thyroïde, entraîne, surtout chez les femmes, un amincissement lorsque cela est nécessaire et, dans les autres cas, évite de prendre du poids.

Quant aux hommes, ils maintiennent la musculature que la plupart de leurs semblables perdent en vieillissant.

On conseille aussi l’indium en cas d’hypertension, notamment au-dessus de 16, éventuellement associé à la prise de chrome.

Mais cet oligo-élément est tout aussi capable de réguler l’hypotension.

La pression dans le globe oculaire est, elle aussi, susceptible d’être améliorée jusqu’à diminuer de 35% au bout de quelques mois.

L’indium modifie encore le taux d’insuline des diabétiques.

Dans le traitement de la douleur, des processus inflammatoires et de l’arthrose, il fait aussi partie des compléments nutritionnels à consommer impérativement, au même titre que la glucosamine ou la chondroïtine, puisque cet oligo-élément présente la particularité de pouvoir se transporter dans les parties du corps enflammées.

Enfin, une expérience a été menée sur vingt quatre malades atteints des maladies d’Alzheimer et de Parkinson.

Divisés en deux groupes soignés par des méthodes naturelles et de la relaxation, les uns, n’ayant pas consommé d’indium, ont montré une amélioration de 8%, et les autres, traités à l’indium, de 37%, cette amélioration portant sur l’endurance, la mémoire et le comportement.

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