La maladie de Lyme : dépistage, prévention et soins naturels

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Maladie de Lyme : dépistage, prévention et soins naturels

Depuis mon premier article dédié à ce sujet, il y a plus de 5 ans, si la panoplie de remèdes naturels a largement évolué face à la maladie de Lyme, le Tic Tox, restant la meilleure alternative portée à ma connaissance, a été purement et simplement interdit.

Pour cela et pour un certain nombre d’autres raisons, j’ai pris la liberté de faire un nouvel état des lieux tout en réunissant ici les moyens les plus efficaces actuellement connus pour :

  → un dépistage probant,

  → une prévention avisée,

  → et des soins naturels.

Le problème que pose la maladie de Lyme en Occident illustre à lui seul le non-sens d’un système de santé ne donnant voix qu’à la médecine allopathique.

Système ne reconnaissant pas les droits des contribuables de la Sécurité sociale, sous prétexte qu’à ses yeux cette maladie n’existe pas.

Système transformant en épidémie, voire en pandémie, une maladie qui n’aurait pas dû nous inquiéter outre mesure compte tenu des connaissances globales dont les scientifiques disposent.

L’aveuglement ainsi entretenu par la dictature du lobby pharmaceutique pourrait d’ailleurs être déjà à l’origine d’un nouveau scandale du sang contaminé, puisqu’à eux seuls les tests de dépistage autorisés en France s’avèrent largement insuffisants dans près de 70% des cas…

Une épidémie mondiale

La maladie de Lyme, ou borréliose de Lyme, aussi appelée « érythème chronique migrant de Lipschutz » ou « méningo-radiculite de Garin et Bujadoux », est en plein essor, non seulement en Europe et aux États-Unis mais aussi, bien que dans une mesure proportionnellement moins inquiétante, en Alaska et au Canada.

Si l’on en croit le Docteur Jean-Pierre Willem, épidémiologiste de renom :

« Présente dans 65 pays, elle est devenue la plus fréquente de toutes les maladies vectorielles transmises à l’Homme dans l’hémisphère nord.

Selon les CDC [Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux Etats-Unis, Centers for Disease Control and Prevention], elle a en 2009 dépassé le VIH en incidence et elle est la 7ème maladie la plus déclarée aux États-Unis où, autrefois cantonnée au nord-est, elle continue à gagner du terrain partout.

En 2010, neuf États du Nord ont déclaré 66 % des cas, les 34 % restants étant déclarés dans le reste du pays où l’augmentation du nombre de cas a été de 10 % en deux ans (2008-2010).

En dépit d’une étude de janvier 2014 qui suggère fortement une transmission par voie sexuelle, les CDC en restent au constat qu’aucune preuve scientifique crédible n’en a jamais été donnée.

[En France] l’Institut Pasteur évalue entre 12 000 à 15 000 le nombre de nouveaux cas par an.

Mais puisque cette maladie ne fait pas partie des maladies à « déclaration obligatoire », il est relativement facile pour les pouvoirs publics d’en minimiser les résultats.

Mais pour les associations comme « Lyme Sans Frontières », ce chiffre est pourtant très en-deçà de la réalité, faute de tests diagnostiques fiables, de formation des médecins et d’information du public.

C’est ainsi qu’en Allemagne on recenserait 60 000 à 100 000 nouveaux cas par an, selon le Dr Petra Hopf-Seidel. Près de 800 000 Allemands seraient infectés. »

Il est donc clair que le diagnostic clinique et biologique de la maladie de Lyme est un fiasco pour la médecine moderne, tant les symptômes multiples et variés, font avancer le corps médical en terra incognita.

Elle amène effectivement de nombreux patients à se plaindre à la fois de troubles :

  → inflammatoires,

  → neurologiques,

  → musculaires,

  → cutanés,

  → articulaires…

Face auxquels l’allopathie se retrouve souvent impuissante puisqu’elle ne peut ni les traiter isolément, ni en trouver la source.

Un dépistage faussé

Pour bien comprendre pourquoi les tests de dépistage proposés en France sont inadaptés, il faut avant tout savoir que leur seuil de détection est trop élevé, permettant ainsi de reconnaître seulement une minorité des personnes touchées.

Ainsi, sans le savoir beaucoup de gens sont porteurs de la maladie pendant des années avant de pouvoir remarquer le moindre symptôme.

Symptômes qui recouvriront d’ailleurs une quantité impressionnante de formes différentes en fonction de la réponse immunitaire de chacun.

Comme nous l’expliquent les docteurs Dietrich Klinghardt et Richard Horowitz :

« Certains patients voient leur immunité s’effondrer, d’autres développent une immunité cellulaire sur-stimulée ou hyper-activée, provoquant une cascade auto-immune pouvant évoluer jusqu’aux maladies auto-immunes invalidantes. 

De façon générale, la borréliose chronique peut évoluer vers des problèmes articulaires, dermatologiques, cardiaques et neurologiques pouvant être invalidants et difficiles à traiter. » 

Le diagnostic de la maladie n’est donc pas aisé, aussi bien à cause de sa mauvaise connaissance tant par les malades que par les médecins, mais aussi en raison des très nombreux aspects qu’elle peut présenter.

Là où plus probablement se cache une borréliose, on a vite fait de diagnostiquer :

  → mononucléose

  → fibromyalgie,

  → fatigue chronique,

  → syndrome thyroïdien d’Hashimoto,

  → sclérose en plaque,

  → spondylarthrite ankylosante,

  → sclérose latérale amyotrophique,

  → douleurs articulaires,

  → polyarthrite rhumatoïde,

  → lupus,

  → cystite interstitielle

  → ou encore autisme… 

Toutefois la non-reconnaissance de la maladie n’est malheureusement pas l’unique problème.

Pour diagnostiquer une maladie de Lyme, votre médecin traitant demandera sûrement des analyses de sang, particulièrement la sérologie de Lyme, afin de chercher des anticorps contre la bactérie Borrelia burgdorferi.

Cette méthode « globale » est sensée donner une réponse quantitative de l’ensemble des anticorps IgG ou IgM retrouvés dans le sang.

Mais ce test, appelé « ELISA », ne permet que de détecter la borréliose en phase aigüe, et non pas en phase chronique, ou latente.

Certains spécialistes estiment d’ailleurs que le taux de faux négatifs à ce test pourrait atteindre 55%.

Donc si les résultats sérologiques sont concluants il y a de fortes chances pour que vous soyez atteint, cependant s’ils sont négatifs, cela ne veut pas nécessairement dire que la maladie n’est pas présente.

Et dans les faits, des milliers de malades mal diagnostiqués sont ballotés de médecins en médecins, de médicaments chimiques iatrogènes en psy inadaptés, et la plupart du temps pris pour des hypocondriaques récalcitrants sans scrupules.

Le déni de la médecine officielle

Bien que les médecines naturelles aient abondamment prouvé leur efficacité dans ce domaine, tout thérapeute, allopathe ou naturel, ayant proposé un soutien non conventionnel par ce biais aura été immédiatement radié ou interdit.

Prenons l’exemple de Bernard Christophe, pharmacien diplômé ayant étudié la maladie de Lyme pendant 30 ans, puis créé le Tic Tox, seul vrai remède moderne alors efficace.

Et bien, vous vous en doutez, le laboratoire de Bernard Christophe a été assez rapidement fermé et le Tic Tox interdit en France.

Pendant ce temps, les conclusions des analyses de nombreux spécialistes convergent sur le fait que ce déni empêchant les recherches et avancées scientifiques, et maintenant l’ignorance du public, nous mène droit à une pandémie. 

Si en Allemagne la maladie est totalement identifiée, et que les Etats-Unis et le reste du monde franchissent enfin le premier pas en reconnaissant à leur tour son existence, la France elle, demeure figée sur ses positions de façon totalement irrationnelle, voire archaïque, en continuant purement et simplement à la nier.

La preuve en est de ce laboratoire français formé aux techniques de dépistage allemandes ayant utilisé le test Western-Blot avec une grille de lecture plus poussée, accordant davantage de fiabilité au procédé.

Peut-être parce qu’il obtenait trop souvent des résultats positifs, aussi incroyable que cela puisse paraître, à mille lieux de s’attirer les bonnes grâces des services de santé pour un taux de réussite largement au-dessus de la moyenne, il a récolté à la place les foudres des référents nationaux de la borréliose, ayant immédiatement fait interdire cette méthode de dépistage.

Malgré la mobilisation de plusieurs associations de patients et de médecins (Association Lyme Sans Frontières, France Lyme, Réseau Borréliose…) et les résultats de grands chercheurs, les hautes instances de santé refusent de revoir leur position, et n’ont de cesse de persécuter assidûment les thérapeutes naturels et laboratoires cherchant sincèrement à aider les patients.

Certains médecins allopathes, ayant désiré sortir du cadre du protocole habituel en recourant aux médecines naturelles, se sont systématiquement retrouvés sanctionnés pour avoir eu recours à des méthodes non admises officiellement.

Vers un nouveau scandale du sang contaminé ?

Bien qu’à l’instar des trois petits singes les institutions de santé restent sourdes, aveugles et muettes, depuis quelques années de nouvelles données ont fait leur apparition.

On a pris par exemple conscience que la tique, principale porteuse des bactéries, n’est finalement pas la seule dans la mesure où d’autres insectes se nourrissant de sang peuvent eux aussi transmettre cette maladie à l’humain.

On recense notamment :

  → les araignées,

  → les moustiques,

  → les poux,

  → les puces,

  → les taons, aoûtats et autres insectes piqueurs.

Ainsi, c’est vraisemblablement une grande partie de la population qui peut être en contact avec l’une ou l’autre de ces espèces et non pas uniquement, comme on aurait pu le croire, uniquement ceux vivant à la campagne ou au contact d’animaux domestiques.

Bien qu’il soit reconnu que les chasseurs, les forestiers et les promeneurs en forêt soient souvent les plus atteints.

Par ailleurs, la présence d’un animal domestique à la maison augmenterait tout de même le risque d’environ 30%.

Mais pas seulement, puisqu’il est arrivé à la bactérie de trouver refuge dans des steaks mal cuits.

On a également noté que même lorsque les symptômes n’apparaissent pas immédiatement, ils peuvent survenir des années voire des décennies après une piqûre infectante.

Enfin, de nombreuses borrélies sont en mesure de rester enkystées dans les cellules sanguines sans que l’on soit capable de les détecter, pouvant ainsi d’être transfusées chez une personne non porteuse et resurgir bien plus tard quand les conditions seront plus favorables à leur développement.

Ce qui, étant donnée la popularité des dons de sang et le manque de précautions adaptées en la matière, pourrait probablement déboucher sur un nouveau scandale du sang contaminé.

Quel dépistage utiliser ?

Comme nous venons de le voir, le seul laboratoire français compétent en la matière a été fermé par décision administrative pour avoir utilisé une procédure de dépistage non réglementaire en France.

Il vous faudra donc vous rendre en Allemagne pour obtenir le diagnostic le plus sûr que l’on connaisse à l’heure actuelle, grâce au test de Western-Blot.

Selon le Docteur Richard Horowitz, spécialiste de la maladie de Lyme : « Les médecins passent à côté de cette maladie parce que les examens sanguins pour la diagnostiquer sont très peu fiables.

On apprend à la plupart des médecins, durant leurs études, à faire un protocole de test en deux temps qui commence par un Elisa, et qui n’est suivi d’un Western-Blot que si le test Elisa est positif.

Malheureusement, le test Elisa est un test extrêmement peu sensible.

La plupart des études scientifiques montrent qu’il a une sensibilité moyenne de 56 %, d’autres études démontrent que cette sensibilité est moins bonne encore ».

Le test de Western-Blot en revanche est presque généralisé en Allemagne, où il a été utilisé cinq cent mille fois en 2011.

Ce qui explique pourquoi les Allemands disposent d’une bien meilleure prise en charge des patients atteints par la maladie de Lyme.

Mieux que guérir, prévenir !

Tandis que l’industrie chimique s’en donne à cœur joie en commercialisant pesticides et insecticides polluants et inefficaces, les anciens eux, utilisaient certaines écorces ou huiles de plantes éloignant naturellement les indésirables.

Ce qui, si nous suivons leur exemple, permettra de prendre des mesures de protection à la fois efficaces et avisées, respectant aussi bien l’environnement que votre santé.

Pour y parvenir on recourra à des répulsifs naturels à appliquer directement sur la peau et les zones sensibles, tels que la légendaire huile de neem… mais pas uniquement, puisque certaines huiles essentielles diluées dans une huile végétale comme :

  → girofle,

  → menthe,

  → ou bien camphre,

seront tout aussi indiquées.

Au-delà de ces précautions, il est primordial d’examiner attentivement votre corps, celui de vos enfants et de vos animaux, au retour d’une promenade en forêt ou sous-bois, afin de repérer et d’éliminer les tiques que vous trouverez.

Si vous découvrez une tique, il faudra la retirer immédiatement, idéalement en utilisant un « tire-tique » avec lequel on tourne autour de l’acarien jusqu’à ce qu’il se détache par lui-même.

Ce procédé très facile, permet de retirer la tique entière avec sa tête, et par conséquent de largement limiter la probabilité de transmission de l’infection.

Vous désinfecterez tout de suite après avec de l’huile essentielle de tea-tree, plusieurs fois par jour pendant quelques jours, en restant attentif à l’éventuelle survenue d’une éruption cutanée circulaire autour de la morsure, dit érythème migrant, qui est l’un des premiers symptômes de l’infection.

Des bactéries super-puissantes

S’il existe une trentaine d’espèces de borrélies découvertes à ce jour, dont cinq sont des pathogènes avérés pour l’humain, il est tout de même hautement probable qu’un nombre significatif d’espèces et souches de borrélies n’aient pas encore été identifiées, dans la mesure où de nouvelles sont régulièrement découvertes ; ce fut par exemple le cas en 2001 en Chine, et en 2009 aux Etats-unis.

Or, en fonction de l’espèce et la souche de borrélie à l’origine de la maladie, les symptômes peuvent s’avérer être très différents les uns des autres.

De plus, les borrélies peuvent muter rapidement dans des formes qui échappent au système immunitaire et aux antibiotiques, afin de se dissimuler dans les biofilms de l’organisme.

De cette manière, elles restent latentes et sont capables de se re-développer très agressivement après une phase d’apparente guérison.

Si cette bactérie a le pouvoir de pénétrer tous les tissus et organes du corps, elle peut également se réfugier dans les articulations ou les os et affecter tous les systèmes, dont le système nerveux central : il est alors question de neuroborréliose.

Même la barrière hémato-encéphalique ne sera pas suffisante pour arrêter cette bactérie, ou les toxines qu’elle produit.

Les symptômes

Il est avant tout fondamental de différencier la borréliose en phase aiguë survenue après une piqûre, se révélant être assez proche des symptômes de la grippe, de la borréliose chronique.

Cette seconde phase d’infection revêtira quant à elle des formes bien différentes, principalement en raison de son effet inhibiteur du système immunitaire, ainsi que de l’inflammation qu’elle provoque.

Dans ce cas l’infection par Borrelia sera non seulement libre d’évoluer, mais elle ouvrira aussi la porte à d’autres pathogènes comme les :

  → bactéries,

  → virus,

  → et parasites.

Lorsque les Borrelia agissent avec d’autres pathogènes, on parle alors de co-infections.

Bien que les symptômes de la borréliose de Lyme soient aussi nombreux que variés, on peut observer trois grandes catégories :

  → La Lyme arthritique, qui atteint les articulations, cartilages et muscles.

  → La Neuroborreliose, parfois appelée « Neuro-lyme », qui atteint le système nerveux central.

  → L’Acrodermatite Chronique Atrophiante ou (ACA), qui atteint la peau et les muqueuses, y compris les muqueuses internes comme la muqueuse intestinale.

Selon l’association France Lyme les principaux symptômes de la maladie de Lyme sont :

  → fatigue,

  → asthénie profonde, avec ou sans relation avec des efforts,

  → syndrome grippal, avec ou sans fièvre,

  → migraines,

  → difficulté de concentration, perte de mémoire, vertiges, confusion,

  → douleurs le long des trajets nerveux,

  → douleurs articulaires, arthrites,

  → paralysie faciale,

  → engourdissement des membres, frissons, myalgies,

  → tremblements des membres à l’effort, fasciculations,

  → nuque raide, syndrome méningé,

  → troubles du rythme cardiaque…

Les traitements naturels

Comme nous venons de l’observer, lorsque les bactéries à l’origine de la maladie de Lyme s’enkystent dans les organes elles deviennent réfractaires aux médicaments, qui ne conduiront finalement qu’à une aggravation des symptômes.

Ainsi, après avoir fait le tour des médecins ou utilisé sans succès les antibiotiques prescrits dans ce cas, de nombreux patients se tournent vers les médecines naturelles. 

Néanmoins, considérant la complexité de cette maladie et ses nombreuses variantes, avant tout traitement naturel il sera impératif de prendre en considération :

  → la cause de la maladie,

  → l’évolution de la maladie,

  → ainsi que les symptômes liés à l’activation du système immunitaire.

      >  Pour enrayer le contexte infectieux (borrélies, micro-organismes, virus, parasites) vous pourrez privilégier les huiles essentielles à phénol et monoterpenols à prendre pendant trois à douze mois en fonction du degré de l’infection.

Parmi ces huiles, particulièrement celles de :

  → thym,

  → thymol,

  → origan,

  → achillée millefeuille,

  → feuilles de cannelle,

  → rhizome de curcuma de Java.

Vous pourrez les consommer dans des gélules bio ou mélangées dans une cuillère à soupe d’huile végétale.

Qui plus est, ces H.E. présentent une action anti-inflammatoire et anti-oxydante tout à fait appréciable.

      >  Les pré et pro-biotiques permettront de moduler le système immunitaire et de colmater l’inflammation.

Leur efficacité dépendra néanmoins des souches utilisées.

Chaque gélule doit contenir au moins dix milliards de bactéries pour s’opposer aux bactéries pathogènes.

  → Orthoflore 1 gélule le matin

couplé à

  → Propolis rouge.

Si la maladie est auto-immune (présence d’anticorps IgM et IgG, en attente d’antigène HLA) il faudra vous aider d’un immuno-régulateur naturel.

      >  Pour éviter un épuisement du système immunitaire il est essentiel d’utiliser certains micro-nutriments pour le redresser :

  → Les Béta-glucanes extraits de la levure du boulanger ou de champignons (Maïtake, Shitake)

  → L’échinacée qui stimule la lignée blanche, les cytokines, le TNF alpha (tumor necrosis factor)

  → Les Alkylglycérols contenus dans l’huile de foie de chimère

  → Les vitamines B, cofacteurs enzymatiques

  → Les oligo-éléments : le fer, le zinc et le cuivre

On retrouve tous ces ingrédients dans cette formule :

  → Stimu+ 2 gélules 3 fois par jour

      >  Puisqu’elles sont indispensables au déroulement de la quasi totalité des réactions biochimiques, les enzymes seront très sollicitées par l’apparition de cette maladie, il conviendra donc de prendre :

  → Enzy-20 recelant 20 sortes d’enzymes – 2 gélules avant les repas du matin et du soir

      >  Le foie est lui aussi en première ligne quand il est confronté à un afflux de molécules chimiques étrangères.

Pour le détoxiquer en profondeur, vous pourrez utiliser le desmodium et le chardon Marie faisant partie des compléments les plus efficaces.

  → Silydium est une formule synergique contenant du chardon Marie, du desmodium, du chrysanthellum americanum et de l’huile essentielle de carotte cultivée –1 gélule avant les 2 repas

Bien sûr, tant pour régénérer votre foie et vos intestins, que pour ne pas affaiblir encore votre système immunitaire, il est recommandé d’exclure radicalement les :

  → alcools et boissons fermentées,

  → graisses animales,

  → sauces,

  → crèmes, beurres, fromages gras,

  → viandes grasses, charcuteries,

  → café, thé,

  → chocolat,

  → épices,

  → pain blanc et farines blanches…

      >  Au plan de la phytothérapie hépatique, sont conseillées des tisanes de :

  → boldo,

  → artichaut,

  → camomille,

  → grande centaurée,

  → marrube blanc,

  → pissenlit,

  → romarin,

  → véronique…

      >  Les oméga-3 détiennent quant à eux des propriétés anti-inflammatoires et assurent la bonne santé cardiovasculaire ainsi que la régénération nerveuse.

Vous les trouverez dans l’huile de lin, de chanvre ou de poissons.

      >  Le magnésium et le calcium :

  → glycerophosphate de magnésium 200 mg,

  → glycerophosphate de calcium 300 mg pour 1 gélule.

      >  En cas de crise aiguë effectuer 2 lavements à 48 heures d’intervalle avec :

  → Soit une infusion d’une cuillère à soupe de café Arabica bio dans trois quarts de litre d’eau bouillante pendant cinq minutes. Le café Arabica contient de l’acide chloragénique.

  → Soit une infusion de 10 têtes de camomille dans trois quarts de litre d’eau bouillante pendant 10 minutes. Diluer ensuite dans un litre un quart d’eau froide afin d’amener le tout à 37°C.

      >  A compléter avec :

  → vitamine C naturelle : Cynorrhodonjusqu’à 10 à 12 gélules par jour

  → chlorure de magnésium (dans la plupart des magasins bio) : 20 g dans 1 litre d’eau – boire 1/2 verre 3 fois par jour

      >  Enfin l’homéopathie, quand elle est correctement confectionnée, peut également s’avérer fort utile :

  → Le remède de base : Borrelia 200 K : 1 dose, 3 fois par jour pendant les poussées.

  → Le remède de fond : Borrelia 200 K : 2 doses par semaine pendant 1 mois.

Qui pourra évoluer vers :

  → Borrelia 1000 K : 3 doses à 10 jours d’intervalle. 

  → Borrelia 104 K : 3 doses à 10 jours d’intervalle. 

A noter que les laboratoires Boiron ne respectant plus les principes de fabrication intrinsèques à l’éthique de la confection de remèdes homéopathiques, je vous conseille de vous orienter plutôt vers des officines réalisant leur propres dilutions.

Vous trouverez par exemple ces remèdes spécifiques à la Pharmacie des Archers à Epernay.

 Jean-Baptiste Loin 

Internet aidant à commander directement aux laboratoires produisant les remèdes, voici un rappel des liens présents dans cet article :

  → Pour trouver Orthoflore, cliquez ici

  → Pour trouver Propolis rouge, cliquez ici 

  → Pour trouver Stimu+, cliquez ici

  → Pour trouver Silydium, cliquez ici

  → Pour trouver Cynorrhodon, cliquez ici

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Sylviane
Sylviane
7 années il y a

Votre article est intéressant mais les traitements même naturels sont hors de prix et malheureusement tant que la phytothérapie sera à de tel prix , l’alopahie et les médicaments pharmaceutiques l’emporteront parce que moins chers et remboursés par la sécurité sociale et c’est bien ce qui fait le pouvoir des laboratoires pharmaceutiques !!! Les patients ne sont non seulement pas informés des pouvoirs de la phytothérapie mais en plus très peu peuvent se permettre de se soigner naturellement ! C’est regrettable mais quand on voit le prix des soins phytotherapeutiques que vous suggérez On se dit que malheureusement on ne… Lire la suite »

voltz dany
6 années il y a
Répondre à  Sylviane

La médecine « chimique » dispose de moyens considérables qui lui permettent de produire, en plus des dividendes conséquentes au bénéfice des actionnaires, beaucoup de produits à prix réduits via leur quantité importante et de leur vente en de masse avec le soutien des pouvoir publics et les remboursements via la sécu. (certains produits coûtants cependant des milliers/millions d’€uros au gramme). La phyto ne dépendant pas du chimique, doit produire des plantes puis leur transformation à une échelle beaucoup plus réduite du fait de la fabrication artisanale ou parfois semi-industrielle, qui elle respecte le produit, la qualité et ne peut se permettre… Lire la suite »

Serge
Serge
3 années il y a
Répondre à  Sylviane

bonjour pour la maladie de Lyme qui ressemble beaucoup au paludisme, faites une cure en tisane d’atemisia annua pendant 7 jours minimum. personnellement je fais des cures de 3 semaines, je fais bouillir 1 litre d’eau et je mets une poignée d’artemisia (env 5 grs) dedans que je laisse env 15 mns ou plus et je filtre et je bois mon litre dans la journée. personnellement j’ai été piqué par une tique en août 2018 et j’ai fait 8 jours d’hôpital après, bien sur le résultat des tests ont toujours été négatif mais je reste sur mes gardes. j’ai découvert… Lire la suite »

Guidez Chantal
Guidez Chantal
7 années il y a

EXCELLENTE DOCUMENTATION !!
GRAND MERCI……

Anonyme
Anonyme
7 années il y a
Répondre à  Guidez Chantal

il me semble que l’argent colloïdale serait indiqué pour la maladie de Lyme, non?

Dr M 64
Dr M 64
7 années il y a
Répondre à  Guidez Chantal

Merci
de la part d’un médecin … évidemment anonyme !
j’ai pu constater souvent le désespoir de patients étiquetés  » psy »;
nb en Inde j’ai observé de vieilles préparations traditionnelles permettant une incroyable amélioration des symptômes des maladies auto-immunes dot la mal de Lyme.

Jocelyn
Jocelyn
7 années il y a

Bonjour;
Est-il possible d’avoir plus d’informations sur la maladie de Lyme?
Est-ce qu’il y a d’autres symptômes tel que sensation de brûlures cutanées au visage, piqûres d’aiguilles sur le corps?
Peut-on confondre la maladie de Lyme avec le zona?

Réponses Bio
Administrateur
7 années il y a
Répondre à  Jocelyn

Bonjour Jocelyn,
Effectivement, la maladie de Lyme peut parfois être interprétée comme un zona, notamment au stade 2 de l’évolution de la maladie.
Pour en savoir plus sur les différents symptômes, vous pouvez vous rendre sur cette page : http://www.tiquatac.org/tout-sur-la-maladie-de-lyme/les-symptomes-maladie-lyme.html
Bien à vous,
Jean-Baptiste Loin

Yves
Yves
7 années il y a

Merci à vous pour cet enseignement edifiant.

duringer
duringer
7 années il y a

essayer peut-être le mms de jim humble