L’enfer des dérives médicales

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Dérives médicales : vaccins, expérimentations humaines...

Les adeptes des médecines naturelles tiennent souvent des propos relativement acides à l’endroit des méthodes de la médecine officielle.

Aussi critiques qu’ils puissent être, on découvre pourtant à quel point ils sont encore loin du compte quand on prend connaissance des terribles expériences perpétrées par certains médecins et laboratoires.

Âmes sensibles s’abstenir !

Les experts de l’OMS ont récemment prédit que la deuxième cause de mortalité dans le monde en 2020 seraient les psychopathologies, dépression en tête, et surtout les suicides qu’elles entraîneraient.

Et comme si le tableau n’était pas assez noir, ils ajoutent que les premiers touchés seraient les enfants chez lesquels le suicide constituerait alors la première cause de mortalité.

Dans un premier temps, bien sûr, on ne peut qu’être horrifié par cette nouvelle qui se vérifiera sans doute…

Mais il nous vient immédiatement après cette idée horrible, que le moins pire qu’il puisse arriver à nos descendants sera peut-être de se suicider durant leur enfance.

Quand on se souvient des atrocités médicales perpétrées dans le cadre des guerres ou au nom de la cause militaire… on se demande si la différence est si grande avec les expérimentations sciemment orchestrées par la médecine officielle et l’industrie pharmaceutique sur les populations.

L’humanité – on s’en doute tout de même un peu – n’a pas attendu l’époque moderne pour donner libre court à son inventivité en matière de vivisection et autres expériences de physiologie barbare.

Quelques exemples :

  → Les Grecs et les Romains tranchaient dans le vif les condamnés pour faire progresser la médecine.

  → Cléopâtre faisait ouvrir ses servantes aux différentes étapes de la grossesse pour mieux connaître la croissance des fœtus.

  → Au Moyen-Âge les sorcières et autres hérétiques approvisionnaient régulièrement les salles de vivisection des médecins de l’époque.

  → Et, bien sûr, les spectaculaires progrès de la médecine de ces derniers siècles sont en grande partie dus à l’utilisation du matériel humain dans des procédures médicales dangereuses ou mortelles.

Plus récemment, l’exemple montré par les médecins hitlériens dans les camps de concentration a sans doute donné des idées à un nombre non négligeable de leurs confrères.

Cela fut d’ailleurs d’autant plus facile que plus d’un millier de ces savants nazis, dont beaucoup s’étaient rendus coupables des expériences les plus atroces, sont venus tranquillement poursuivre leurs travaux et enseigner aux Etats-Unis entre 1945 et 1973.

Mais quel que soit le degré exact de leur implication dans l’évolution sanglante de cette forme de médecine, il n’en reste pas moins qu’aujourd’hui… les raisons de s’inquiéter commencent à s’accumuler dangereusement !

Par exemple :

  → la mise en service d’armes chimiques et biologiques,

  → les expériences d’irradiations,

  → les vaccinations,

  → les manipulations génétiques,

  → le contrôle psychique à l’aide de psychotropes,

  → la commercialisation massive de produits pharmaceutiques hyper toxiques…

Oui, aujourd’hui c’est l’humanité dans son ensemble qui remplace les condamnés des sociétés antiques et sert ainsi de cobaye aux docteurs Folamour du 21ème siècle !

 

Des enfants de laboratoire

« L’entretien des prisons et des asiles de fous dans le but de protéger l’ordre public des menaces d’individus antisociaux est aujourd’hui d’un coût faramineux. Pourquoi laisser en vie toutes ces créatures inutiles et dangereuses ? La solution idéale serait de les éliminer tous dès les premiers signes de leur dangerosité ».

Ainsi s’exprimait de docteur Alexis Carrel, prix Nobel et membre de l’Institut Rockefeller.

C’est d’ailleurs ce même Institut qui, au début du siècle dernier, finança des expériences médicales d’un genre un peu particulier.

Entreprises sans états d’âme par le docteur Rhoades sur des sujets portoricains qui, selon ses propres termes, appartenaient à « la race la plus sale, la plus paresseuse, la plus dégénérée et la plus voleuse de cette planète », ces expériences consistaient tout bonnement à injecter des cellules cancéreuses à des patients venus chercher des soins auprès du bon docteur.

Résultats : treize morts et des félicitations réitérées au grand homme de science qu’était le docteur Rhoades qui, plus tard, sera chargé par le gouvernement de développer des laboratoires d’armes biologiques aux Etats-Unis.

Puis vint la guerre qui, comme chacun sait, est une mauvaise chose mais à l’issue de laquelle les naïfs de tous les pays s’accordèrent à penser qu’on n’entendrait jamais plus parler d’expérimentations sur des sujets humains.

C’était, bien entendu, compter sans l’opportunité qu’offraient les bombes atomiques de permettre l’exploration des ravages causés sur les soldats par les radiations.

Et, tant qu’à faire, pourquoi ne pas profiter de quelques cobayes choisis, comme le suggérait le docteur Carrel, parmi les rebus de l’humanité pour tester les nouveaux produits chimiques que l’on inventait avec tant d’exubérance.

La tendance étant lancée, les années cinquante furent marquées par toutes sortes d’expérimentations à l’échelle des cabinets médicaux et des hôpitaux, notamment américains.

Là, tel médecin, particulièrement avide de reconnaissance et de subsides, inoculait une maladie chez un patient sain.

Tel autre remplaçait les injections d’insuline par un placebo afin de déclencher des comas diabétiques pour pouvoir mieux étudier la maladie.

Encore tel autre provoquait un arrêt cardiaque pour en décrypter les mécanismes…

Bien sûr, de tels agissements étaient tout de même sévèrement réprimés lorsqu’ils étaient malencontreusement dévoilés au grand public.

Mais de nombreuses études, pourtant non moins moralement répréhensibles, furent ouvertement publiées dans les journaux scientifiques de l’époque.

On y décrivait par exemple comment transmettre l’angine de Vincent à des enfants…

Ou on y relatait des procédures d’empoisonnement sur des échantillons de plusieurs dizaines d’adolescents pendant de longues périodes pour prouver les effets toxiques des produits qu’on soupçonnait d’être dangereux.

Est-ce parce que, conformément au prétexte invoqué, on ne connaissait pas assez la physiologie infantile, ou parce que les enfants, finalement, étaient aussi dociles que des rats de laboratoire, toujours est-il que tout au long des années soixante ce genre d’expériences sur les fœtus, les nourrissons, les enfants et les adolescents recrutés dans des orphelinats, s’intensifièrent sans vergogne.

 

Trahis par la recherchedérives médicales, expérimentations humaines...

Tout ceci, penserez-vous peut-être, c’est le passé ; et l’on dispose aujourd’hui de comités d’éthique qui nous protègent contre de tels abus.

Eh bien, si effectivement un prestigieux hôpital n’oserait plus, comme en 1967, publier dans le Journal of Clinical Investigation le rapport d’une vaste étude ayant consisté à injecter de la cortisone radioactive à des femmes enceintes pour mesurer les troubles que cela occasionnait au fœtus, la recherche médicale se poursuit néanmoins encore de nos jours sans le consentement des cobayes humains.

Et d’ailleurs, la plupart du temps, sur une beaucoup plus vaste échelle que dans les années cinquante et soixante !

Bien après le docteur Rhoades, des centaines d’autres injections de cellules cancéreuses furent pratiquées ici ou là à l’insu des patients.

Ces trente dernières années, de nombreuses personnes sont mortes au Fred Hutchinson Cancer Research Center exclusivement pour des intérêts professionnels ou financier.

Sous la présidence de Clinton, une vingtaine d’autres ont été tués par des médecins financés par le National Institute of Health sans que celui-ci ne sorte jamais de sa prudente réserve.

Certes, on pourrait croire qu’en France de tels abus ne pourraient se produire ; mais avec la mondialisation et l’emprise des multinationales pharmaceutiques, il va sans dire qu’aucun pays n’est à l’abri du phénomène.

D’ailleurs, si, en France, les débats et décisions qui aboutissent à l’autorisation de mise sur le marché d’un médicament restent parfaitement secrets, ce n’est évidemment pas pour rien !

Entre le prescripteur et le sujet recruté pour des traitements expérimentaux, le moins que l’on puisse dire est que la communication n’est pas d’une transparence exemplaire.

Le patient, lui, croit que le médicament qu’on lui donne est sûr, alors que le prescripteur, pour sa part, sait bien qu’il ne peut en être ainsi.

Voici ce qu’écrit Andrew Goliszek à ce sujet :

« Les comités d’évaluation (des nouveaux médicaments) sont composés de collègues, de copains ou d’individus qui sont intimidés par les médecins ou qui ont des intérêts financiers dans la recherche qu’ils supervisent, de sorte que la procédure d’évaluation est fréquemment faussée.

« De plus, chaque étape dans la procédure de contrôle qualité et de validation peut être manipulée puisque les évaluateurs admettent tout simplement les données qu’on leur présente et acceptent ce que les chercheurs leur communiquent ».

Bref, concernant la recherche sur le cancer, ce n’est probablement pas pour rien que Linus Pauling, le double prix Nobel, affirmait :

« Il est choquant de voir à quel point le peuple américain a été trahi par la recherche contre le cancer, par le corps médical et par le gouvernement ».

C’est vraiment le moins qu’on puisse dire puisqu’on ne compte plus le nombre d’essais cliniques à taux de mortalité démesurés qui furent entrepris au profit des compagnies possédant les droits commerciaux des thérapies anti-cancer.

En fait, ce qui a changé depuis la seconde moitié du vingtième siècle, c’est seulement l’entrée en piste d’une gigantesque hypocrisie.

A l’époque, on publiait en toute ingénuité des rapports sur des expérimentations dignes de Dachau, alors qu’aujourd’hui non seulement on garde le secret mais on ment délibérément.

Rien n’est d’ailleurs plus facile puisque les organismes chargés d’assurer la sécurité des patients sont, la plupart du temps, financièrement contrôlés par les groupes pharmaceutiques, et cela aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe ou en France !

Il est, par exemple, de notoriété publique que l’AFSSAPS, c’est-à-dire l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé, est financée à près de 70% par les laboratoires, et que près de 80% des experts français travaillent directement ou indirectement pour l’industrie pharmaceutique.

Aussi, rien d’étonnant à ce qu’aucune étude commanditée par l’industrie n’ait par exemple révélé le moindre problème avec l’aspartame, alors que 92% des analyses indépendantes ont au contraire conclu à la haute dangerosité du produit.

 

Tous cobayes !dérives médicales et vaccinations

Aujourd’hui, donc, nulle personne à peu près censée et informée ne saurait ignorer que l’écrasante majorité des communications en matière de sécurité alimentaire, pharmaceutique ou chimique n’a d’autre but que d’endormir la méfiance du public et de manipuler l’opinion, sans aucun rapport avec la vérité des faits.

Lorsque, par exemple, on nous assure qu’un produit chimique est sans danger, cela veut dire que des experts grassement financés par les fabricants se sont effectivement livrés à une batterie de tests démontrant que le produit en question ne provoquait globalement ni lésions ni décès immédiats.

Et cela veut dire aussi que ces experts se sont docilement et systématiquement abstenus d’étudier ses effets toxiques à faible dose et sur le long terme.

Lorsqu’on nous explique, en France, qu’on impose un BCG – par ailleurs relativement dangereux – à sept cent cinquante mille enfants chaque année pour leur sécurité, c’est en réalité pour prévenir deux ou trois cas de méningite tuberculeuse, d’ailleurs facilement soignables…

Mais c’est surtout pour faire passer cent dix millions d’Euros de nos poches dans celles des actionnaires des laboratoires.

Et l’on ne s’étendra pas sur les prétendues preuves de l’inefficacité des remèdes naturels que les laboratoires demandent régulièrement à leurs experts de fournir aux médias pour tenter d’écarter la concurrence de plus en plus dangereuse des médecines alternatives…

Dans les années qui viennent, nul doute qu’avec l’avancée de la recherche génétique, comité d’éthique ou pas, une part grandissante de l’humanité servira de cobaye à cette médecine qui refuse de comprendre qu’à toujours vouloir sacrifier le présent au futur… celui-ci ne pourra que ressembler de plus en plus à l’enfer !

 Jean-Baptiste Loin 

Pour voir deux reportages sur le même sujet : 

Sylvie Simon / Le lobbying et la peur

Docteur Moulinier / Révélations sur la Sécurité Sociale

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